lundi 31 mai 2010

Epilepsie : les femmes concernées peuvent vivre leur grossesse sereinement

L'épilepsie n'aurait aucune conséquence néfaste sur le déroulement de la grossesse. Une information rassurante pour des milliers de femmes, publiée dans la lettre d'information de la Fondation française pour la recherche sur l'épilepsie (FFRE)
La FFRE a publié cette semaine une lettre, présentant les résultats d'une étude montrant la non dangerosité de l'épilepsie pour les femmes enceintes. La fondation rappelle à cette occasion que chaque année, environ 5.000 bébés naissent de mères épileptiques. "Dans 92 à 96% des cas, il n'y a pas de complications", affirme le professeur Franck Semah, du CHU de Lille.

Ces excellentes statistiques n'empêchent cependant pas une surveillance médicale de la future maman par un obstétricien ainsi que par un neurologue. Le plus dangereux pour l'enfant demeure le traitement médicamenteux antiépileptique qui doit, en cas de grossesse, être adapté à la situation. En effet, les médicaments antiépileptiques peuvent provoquer des malformations du foetus au cours du premier trimestre de grossesse
http://www.maxisciences.com/%e9pilepsie/epilepsie-les-femmes-concernees-peuvent-vivre-leur-grossesse-sereinement_art7512.html

dimanche 30 mai 2010

Journée mondiale sans tabac 2010

Le 31 mai 2010, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) organise sa Journée mondiale sans tabac.

Cette Journée mondiale sans tabac, organisée chaque année le 31 mai, est axée autour des dangers du tabac pour la santé et de l’action antitabac de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le tabagisme, qui provoque actuellement la mort d’un adulte sur dix sur la planète, est la deuxième cause de décès au niveau mondial.

Le thème de la Journée mondiale sans tabac en 2010 est " Tabac et appartenance sexuelle: la question du marketing auprès des femmes ". L'Organisation mondiale de la santé (OMS) profitera de cette journée mondiale sans tabac 2010 pour mettre en lumière les effets nocifs du marketing du tabac et du tabagisme auprès des femmes et des jeunes filles.

L'Assemblée mondiale de la Santé a institué la Journée mondiale sans tabac en 1987 pour faire mieux connaître, partout dans le monde, l'épidémie de tabagisme et ses effets mortels.

Elle donne l'occasion de faire passer certains messages spécifiques en matière de lutte antitabac ainsi que de susciter l'adhésion à la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac. Le tabagisme est la plus importante épidémie évitable que doit affronter la communauté sanitaire.

Pour ou contre l'homéopathie ?

L'homéopathie déchaîne toujours les passions. Il y a ceux qui ne peuvent s'en passer, en préventif comme en curatif, voire en accompagnement d'un autre traitement s'il est vraiment nécessaire, et d'autres qui n'attribuent à l'homéopathie qu'un simple effet placebo. C'est le cas du Dr Elie Arié qui, après avoir exercé la cardiologie pendant plus de 30 ans, est aujourd'hui chargé de cours d'économie et gestion des services de santé au Conservatoire national des Arts et Métiers. Il réclame que les produits homéopathiques, "par honnêteté intellectuelle", cessent d'être remboursés par la Sécurité Sociale. Son confrère Jacques Boulet est médecin généraliste et homéopathe à Paris depuis plus de vingt ans. Il dirige le Centre d'enseignement et de développement de l'homéopathie, qui, en partenariat avec des facultés de médecine et de pharmacie, propose dans plus de 20 pays un enseignement clinique de l'homéopathie.
Et ces deux médecins, que tout oppose, viennent d'écrire conjointement un livre consacré à ce type de médecine fondée sur l'idée de soigner le mal par le mal, selon la théorie des similitudes. Même si aucune étude scientifique ne démontre l'efficacité des granules, leur succès est croissant puisque 4 personnes sur 10 en prennent, au moins de façon occasionnelle. Les deux auteurs abordent très franchement l'absence de preuves, l'histoire de la "mémoire de l'eau" et les arguments déployés par les laboratoires pour justifier d'un effet alors qu'après de multiples dilutions il ne reste plus de molécules du produit initial.

Néanmoins, cette "médecine douce" est reconnue de facto en France par les instances officielles et les auteurs estiment qu'au-delà du problème scientifique se pose celui de son taux de remboursement. Alors que l'abaissement de ce dernier de 65 à 35 % avait suscité un tollé en 2003, une nouvelle offensive est menée par l'Académie de Médecine, qui demande le déremboursement total de ces produits. La polémique est alimentée par la spécificité des médicaments...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2010-05-24/pour-ou-contre-l-homeopathie/1055/0/458309


samedi 29 mai 2010

Asthme : les graisses saturées peuvent aggraver les crises

Selon une étude présentée à l'ATS (American thoracic society) 2010 International Conference, un repas riche en graisses saturées augmenterait les symptômes d'asthme et diminuerait l'efficacité des traitements
Les chercheurs de l'université de Newcastle ont mené une étude auprès de quarante sujets asthmatiques, dont une partie devait assimiler un repas de 1.000 calories riche en graisses saturées, tandis que l'autre ne prenait qu'un yaourt de 200 calories.

Dans les heures qui ont suivi la prise du repas, les chercheurs ont constaté que les sujets présentaient une forte inflammation des voies respiratoires due à une augmentation des neutrophiles (cellules immunitaires). Leur traitement à base de Ventoline était également moins efficace.

Les acides gras saturés seraient en fait détectés par des récepteurs se situant à la surface de certaines cellules qui libéreraient ensuite des médiateurs inflammatoires, exactement de la même façon que s'il s'agissait d'agents pathogènes.

Entre 1980 et 1994, la prévalence de l'asthme aurait augmenté de 75% indiquent les auteurs de l'étude. Une hausse qui pourrait notamment être due à certaines modifications dans l'alimentation.

http://www.maxisciences.com/asthme/asthme-les-graisses-saturees-peuvent-aggraver-les-crises_art7404.html

vendredi 28 mai 2010

Centenaires : le secret de la longévité enfin percé ?

Grâce à l'étude de centenaires, les chercheurs sont parvenus à isoler les gènes responsables de l'allongement de l'espérance de vie. Un médicament devrait bientôt voir le jour.
D'après le professeur Nir Barzilai, directeur de l'Institut du vieillissement à l'Albert Einstein College of Medicine de New York, certaines personnes vivent plus longtemps que d'autres en raison de leur génotype. Pour lui, l'ADN de ces personnes les prédestine à une plus longue vie, qu'elles aient ou non un mode de vie sain. Pour en venir à ces conclusions, il a étudié 500 personnes âgées de 95 à 112 ans.

"Ces personnes ont fumé, ont de l'embonpoint, et ont un niveau de cholestérol élevé" a-t-il indiqué, précisant que 30% d'entre elles étaient obèses, ou avaient fumé jusqu'à l'âge de 95 ans. "Ils sont protégés de l'environnement par leur génotype", a-t-il ensuite conclu.

Pour le professeur, vivre une vie saine peut aider la plupart des gens à augmenter son espérance de vie de quelques années, mais cette action est malgré tout limitée.

L'identification des gènes en cause a ouvert la voie au développement de médicaments qui imitent le mécanisme de longévité des centenaires. Le traitement augmenterait la production de "bon" cholestérol dans le corps, réduisant ainsi le risque de maladies cardiaques et d'accidents vasculaires cérébraux (AVC). Il aiderait également à prévenir le diabète.

Les premiers essais pourraient commencer d'ici 2012 et le médicament pourrait être mis sur le marché "dans les cinq à dix ans", a annoncé le professeur. "Les gens prendront une pilule à partir de 40 ans, et leur vie sera allongée." Le secret de la fontaine de Jouvence aurait-il été percé ?
http://www.maxisciences.com/esp%e9rance-de-vie/centenaires-le-secret-de-la-longevite-enfin-perce_art7380.html

jeudi 27 mai 2010

Suivi médical des Français : le gouvernement lance un site internet pour le faciliter

La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a annoncé qu'elle souhaitait mettre en place un site internet destiné à faciliter l'accès des patients et des professionnels de santé aux informations sanitaires.
Il s'agira d'un "service public de conseil et d'orientation médicale par Internet et par téléphone" a expliqué la ministre de la Santé. Sur le site internet, des informations médicales précises et claires seront à disposition des Français, ainsi que des conseils personnalisés. Les patients pourront également gérer leur dossier médical en ligne ou encore prendre rendez-vous avec les médecins.

Un lien sera également établi avec les réseaux sociaux afin de permettre aux utilisateurs de partager leurs expériences médicales en ligne.

http://www.maxisciences.com/site-internet-de-suivi-m%e9dical/suivi-medical-des-francais-le-gouvernement-lance-un-site-internet-pour-le-faciliter_art7467.html

mercredi 26 mai 2010

Cécile, la vie malgré la sclérose en plaques

Une Journée mondiale contre une maladie qui touche 80.000 personnes en France...
«J'étais la cible parfaite de la sclérose en plaques», raconte Cécile Hernandez-Cervellon. Difficile à croire quand on rencontre cette blonde rayonnante et sophistiquée de 35 ans. Pourtant, cette ex-chef d'entreprise, ancienne championne de BMX, est l'un des symboles de cette maladie encore méconnue, qui frappe en majorité les femmes dans la fleur de l'âge. Comme une bombe, elle a explosé dans sa vie un jour d'octobre 2002. Ce matin-là, le téléphone sonne. Cécile tombe au sol avant de pouvoir décrocher. «J'ai commencé à hurler en criant que je ne sentais plus mes jambes.»

«Faire tomber les clichés»

Là débute «le bal des urgences», les cuisses meurtries à force de se griffer pour tenter en vain de retrouver des sensations. Le diagnostic tombera quatre jours plus tard: «Vous avez une maladie grave, la sclérose en plaques [SEP]. »
A 26 ans, Cécile doit faire le deuil de sa «vie d'avant»: celle du sport et du business. Clouée dans un fauteuil roulant, l'ancienne sportive n'a alors plus qu'un objectif : remarcher. «Les premiers mois ont été terribles», se rappelle-t-elle. Mais petit à petit, les béquilles remplacent le fauteuil, elles-mêmes ringardisées par une petite canne, qu'elle conserve aujourd'hui. Celle qui se «voyait finir avec (s)a mère» est demandée en mariage. Mieux, elle tombe enceinte. «Des mois géniaux», pendant lesquels les symptômes de la maladie s'estompent, mais qui sont aussi l'occasion de redécouvrir le regard cruel des autres: «Tu as une maladie et tu fais un bébé?» Difficile effectivement pour celle qui s'amuse de sa «superficialité» de composer avec cette nouvelle image. «J'ai mis quatre ans à faire mon coming-out», raconte-elle, mettant alors son fauteuil et ses béquilles sur le compte d'accidents sportifs. «Aujourd'hui, je suis reconnue invalide à 80%, mais je veux faire tomber les clichés sur les personnes handicapées. Du coup, je fais ma Kylie Minogue de la SEP!»

«Tout n'est pas rose»

Mais sa rage de vivre se heurte parfois à la réalité : difficile de s'immiscer dans une file handicapée au supermarché quand on ressemble davantage à une chanteuse australienne qu'à une malade. Mère d'une petite fille de 2 ans, écrivain invitée chez Ardisson, Cécile en ferait presque oublier sa maladie. « J'essaie de ne pas trop penser à ce qui m'attend car tout n'est pas rose. » Pour l'instant, elle a choisi de « ne retenir que le positif de cette maladie de merde ».
http://www.20minutes.fr/article/407134/France-Cecile-la-vie-malgre-la-sclerose-en-plaques.php

L'obésité serait liée à la taille du cerveau

Selon une étude publiée jeudi 20 mai, l'obésité serait liée à moindre volume du cerveau. Les chercheurs avancent également que l'obésité accroit, à terme, les risques de démence et de maladie d'Alzheimer.

L'étude a été menée sur un échantillon de 733 personnes d'un âge médian de 60 ans, dont 70% de femmes. Les chercheurs ont mesuré leur indice de masse corporelle (IMC), le tour de taille, le ratio de taille-tour de hanche, ainsi que la graisse abdominale. Ils ont également déterminé le volume total du cerveau avec une IRM (imagerie par résonance magnétique) ainsi que la densité de la substance blanche cérébrale qui contient les fibres nerveuses et la présence de plaques.



Un lien entre obésité et maladie d'Alzheimer

"Nos résultats confirment la relation entre l'accroissement de l'IMC et la réduction du volume du cerveau chez les sujets les plus âgés et d'âge moyen observé précédemment dans un groupe de moins de 300 sujets", souligne la Dr Sudha Seshadri, de la faculté de médecine de l'Université de Boston (nord-est des Etats-Unis), un des principaux auteurs de cette recherche, parue dans l'édition en ligne des Annals of Neurology.

"Encore plus important, ces données montrent un lien plus fort entre l'obésité, particulièrement l'excès de graisse se trouvant dans les viscères, et un risque accru de démence et de maladie d'Alzheimer", a-t-elle ajouté.

Les résultats de cette étude, qui mettent en évidence un lien entre obésité et démence, pourraient conduire à l'élaboration de stratégies prometteuses de prévention.

Selon un rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), publié en 2005, plus de 24 millions de personnes souffrent d'une forme de démence dans le monde et on dénombre 4,6 millions de nouveaux cas chaque année.



(Nouvelobs.com avec AFP)

mardi 25 mai 2010

Journée mondiale de la sclérose en plaques le 26 mai prochain

Le 26 mai prochain sera lancée la Journée mondiale de la sclérose en plaques. Elle aura pour but de rappeler à la population l'existence de cette maladie, première cause de handicap non traumatique chez les jeunes adultes en France.
La sclérose en plaques touche actuellement plus de 2 millions de personnes au niveau mondial, dont 80.000 en France. Il s'agit d'une maladie neurologique auto-immune chronique du système nerveux central : elle s'attaque aux fibres nerveuses du cerveau, de la moelle épinière et du nerf optique, entraînant ainsi une grande fatigue, une faiblesse musculaire, des troubles visuels et surtout, si les poussées deviennent trop fréquentes, un grave handicap moteur. Les femmes sont plus sujettes à développer une sclérose en plaques que les hommes (1,7 femme pour 1 homme).

La Journée mondiale de la sclérose en plaques doit permettre de sensibiliser la population à cette maladie, ainsi qu'à la rendre plus solidaire des malades.
http://www.maxisciences.com/journ%e9e-mondiale-de-la-scl%e9rose-en-plaques/journee-mondiale-de-la-sclerose-en-plaques-le-26-mai-prochain_art7413.html

lundi 24 mai 2010

Cancer de la peau : dépistage gratuit le jeudi 27 mai

A l'occasion de la Journée nationale de dépistage du cancer de la peau qui aura lieu le 27 mai prochain, les personnes souhaitant s'assurer de leur bon état de santé sont invitées à effectuer un examen de dépistage cutané.
L'opération aura lieu un peu partout en France. Il s'agit d'une initiative mise en place en 1998 par le ministère de la Santé, en raison de l'augmentation du nombre de cas de cancers de la peau.

En plus du dépistage proposé, cette journée sert également à sensibiliser et à informer le public sur le danger des cancers de la peau et sur l'importance de se faire régulièrement contrôler. Le contrôle en lui-même consiste simplement en un examen visuel, réalisé par un dermatologue afin de déceler les tâches ou grains de beauté suspects.

100.000 nouveaux cas de cancers de la peau sont recensés chaque année en France, et leur nombre augmente de 10% tous les ans.

http://www.maxisciences.com/d%e9pistage/cancer-de-la-peau-depistage-gratuit-le-jeudi-27-mai_art7446.html

Phyto: 5 tisanes à composer pour préparer l'été

.Au printemps, vous déstockez les petites rondeurs et les kilos de l'hiver. Pour tout éliminer, buvez 3 tasses par jour pendant 20 jours de notre tisane minceur:

Fumeterre, géranium Robert et mélisse: versez ce mélange dans une grande tasse d'eau bouillante. Laissez infuser 5 minutes, filtrez.

Vous pouvez aussi y ajouter une cuillère à café d'agar-agar et une goutte de citron et laisser frémir le mélange. A déguster chaud.

Votre tisane anti-pollens

On ne vous apprend rien en vous disant que le pollen est source d'allergie. Pour combattre les symptômes de cette agression, buvez trois tasses par jour (jusqu'à ce que les signes d'allergie disparaissent) de notre tisane "stop pollens".

Plantain, cassis, et mélisse. Versez deux cuillères à café de la préparation dans une tasse d'eau bouillante. Laissez infuser 10 minutes. Filtrez. Ajoutez 1/4 de cuillère à café de miel et 1 goutte d'huile essentielle d'estragon.

Votre tisane "super libido"

Pour que l'été soit chaud, mélangez 30 grammes de berce, 50 grammes de gingembre, 30 gramme de canelle et 50 grammes de menthe.

Versez 2 cuillères à dessert de la préparation dans 25 cl d'eau froide. Faites bouillir, laissez frémir 5 minutes et laissez infuser 5 minutes. filtrez. Ajoutez à la préparation 1/4 de cuillère à café de miel et 1 goutte d'huile essentielle d'ylang-ylang.

A boire 2 fois par jour, en fin d'après-midi et le soir.

Votre tisane jambes légères

L'arrivée de la chaleur annonce souvent la désagréable sensation des jambes lourdes. Pour s'alléger, buvez cette tisane. Mélangez 2/3 de vigne rouge et 1/ de menthe. Versez 3 cuillères à soupe de la préparation dans un litre d'eau bouillante. Laissez infuser 10 minutes. Filtrez.

Ajoutez une cuillère à café de miel et trois gouttes d'huile essentielle de citron. Placez au froid. Il est recommandé d'en boire 3 tasses par jour pendant 20 jours.

Votre tisane balades


Lire la suite sur top santé
http://www.topsante.com/Femme/Belle-et-en-forme/Phyto-5-tisanes-a-composer-pour-preparer-l-ete

dimanche 23 mai 2010

Le lien entre cancer et téléphone portable n'est pas avéré

Le lien entre l'utilisation du téléphone portable et le développement de deux types de cancer du cerveau n'est pas avéré, selon une vaste étude réalisée sur dix ans dans 13 pays, et dont les conclusions seront publiées mardi.
Cet article à paraître dans l'International Journal of Epidemiology dévoile les conclusions de chercheurs de 13 pays, parmi lesquels la Grande-Bretagne, le Canada, la France, l'Allemagne et le Japon, basées sur les entretiens menés sur 12.848 participants, dont 5.150 d'entre eux étaient atteints soit de méningiome, soit de tumeurs gliales.

Cette étude menée pendant dix ans sur près de 13.000 utilisateurs de téléphone portable n'a conclu à aucune augmentation du risque de développer un méningiome, une tumeur bénigne fréquente, et seulement des "suggestions" d'un risque accru de gliomes, une forme moins commune mais statistiquement plus mortelle de cancer, à la suite de l'usage intensif de l'appareil cellulaire sur le long terme.

Réalisée par l'Agence internationale pour la recherche sur le cancer de l'Organisation mondiale pour la santé (OMS), l'étude conclut donc que "des biais et des erreurs empêchent une interprétation causale" qui permettrait d'imputer directement aux radiations émanant des téléphones portables un rôle dans l'augmentation du risque de développer des gliomes.

L'une des sources d'inexactitude vient du fait qu'il a été demandé aux participants de se souvenir de la fréquence avec laquelle ils ont utilisé leur téléphone portable au cours de la dernière décennie. Or la fréquence d'utilisation pourrait jouer un rôle dans l'accroissement du risque ou non de développer un cancer.

Selon les chercheurs, une enquête approfondie est nécessaire pour conclure qu'il n'y a pas de lien entre les radiations des téléphones portables et le cancer du cerveau, car l'usage des appareils cellulaires a considérablement changé depuis le début de l'étude.

Les chercheurs envisagent également d'examiner si l'utilisation de téléphone portable accroît les risques de tumeurs du nerf acoustique de l'oreille et de la glande parotide, où est produite la salive. Une étude séparée devra également examiner les effets du téléphone portable sur les enfants, qu'on estime plus sensibles aux effets des radiations.

Près du quart des 19,2 millions d'euros de financements de cette étude proviennent de l'industrie cellulaire.
AP Associated Press

samedi 22 mai 2010

Hépatite B : la couverture vaccinale des enfants a progressé

Une hausse de la couverture vaccinale des enfants contre le virus de l'hépatite B a été notée entre 2004 et 2007, d'après une étude publiée aujourd'hui dans le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire.
En 2007, 41,9% des enfants auraient ainsi reçu, à l'âge de 2 ans, trois doses de vaccin contre l'hépatite alors qu'ils n'étaient que 34,5% en 2004 d'après l'Institut de veille sanitaire (InVS) et la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) a indiqué hier l'AFP.

"Ces résultats encourageants pourraient être le signe d'un regain de confiance des familles et des professionnels de santé vis-à-vis de cette vaccination", ont déclaré les auteurs de l'étude. Une couverture jugée encore trop faible, dont la baisse avait été causée par les doutes concernant les effets secondaires du vaccin au niveau neurologique.

En 2004, en France, 281.000 personnes auraient été porteuses du virus de l'hépatite B. Notamment transmissible lors de rapports sexuels non protégés, celui-ci peut multiplier par 100 le risque de développer un cancer du foie (hépatocarcinome).

http://www.maxisciences.com/h%e9patite-b/hepatite-b-la-couverture-vaccinale-des-enfants-a-progresse_art7371.html

vendredi 21 mai 2010

Vaccination : du sucre pour réduire la douleur des bébés

Une étude réalisée par des chercheurs australiens, canadiens et brésiliens a démontré le pouvoir anti-douleur du sucre ingéré avant l'administration d'un vaccin chez les bébés de 1 an et moins.
Pour en venir à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les données de plus de 1.600 injections réalisées sur des bébés d'un à douze mois à travers quatorze études.

Avant la piqure, les nourrissons recevaient soit une solution sucrée, soit de l'eau, soit on ne leur donnait rien.

Chez les bambins qui avaient bu un liquide sucré, il était possible de constater une diminution des indices de douleurs (expressions faciales, mouvements des bras et des jambes, respiration et battements cardiaques accélérés), les pleurs étaient eux-aussi moins importants et duraient moins longtemps.

Pour les auteurs de l'étude, une seule demi-cuillère à thé de solution sucrée permettrait de réduire la douleur au moment de la vaccination. Une solution qui pourrait facilement être appliquée par les professionnels de santé.
http://www.maxisciences.com/vaccination/vaccination-du-sucre-pour-reduire-la-douleur-des-bebes_art7355.html

jeudi 20 mai 2010

Nouvelle campagne sur les antibiotiques

La Caisse nationale d'assurance maladie (CNAMTS) a lancé aujourd'hui une nouvelle campagne visant à une meilleure utilisation des antibiotiques afin d'éviter les résistances bactériennes, avec un nouveau slogan, "si on les utilise à tort, ils deviendront moins forts".

La campagne de 2002, dont le slogan, "les antibiotiques c'est pas automatique", est resté dans les mémoires, a entraîné une baisse de la consommation de 15%. Mais une reprise, depuis deux ans, a incité la caisse à renouveler sa campagne.
La nouvelle, qui se veut plus ciblée, se centre sur les angines et les bronchites aigües et vise particulièrement les jeunes adultes et les parents de jeunes enfants.

A partir de ce soir, elle propose un film sur l'angine qui met en scène dans un univers réaliste deux petits personnages membres d'une équipe d'intervention, qui personnifient les antibiotiques. L'un, le novice, est prêt à affronter n'importe quelle maladie, tandis que l'antibiotique expérimenté freine son enthousiasme. Le film sera diffusé jusqu'à la mi-juin sur les chaînes de télévision.

Des mini-jeux, permettant de tester ses aptitudes à rejoindre "la section des antibiotiques", seront proposés à partir de début juin sur Facebook.
A partir d'octobre la campagne s'élargira avec un autre film, sur la bronchite aigüe, des annonces -où les deux petits personnages joueront leur rôle- dans la presse magazine et des spots radio. L'assurance maladie ouvrira une plateforme sur son site, www.antibiotiques.ameli.fr.

Enfin, d'ici à la fin de l'année, les médecins -auxquels ont été remis des tableaux de synthèse et des brochures- pourront commander en ligne des tests gratuits de dépistage rapide de l'angine.
Le Figaro

Médicaments non remboursables: des prix qui passent du simple au double

C'est ce que souligne une étude publiée ce jeudi par l'association de consommateurs Familles rurales...
Un traitement contre l'herpès (Activir) dont le prix varie de 2,99 à 9,60 euros. Un lait infantile Gallia qui coûte entre 11,78 et 25,65 euros... Les prix des médicaments non remboursables présentent en France «une très grande disparité», pouvant être jusqu'à trois fois plus élevés d'une pharmacie à l'autre. C'est ce que souligne une étude publiée ce jeudi par l'association de consommateurs Familles rurales.

Les tarifs de 13 médicaments dans 76 magasins de 36 départements ont été passés au crible en janvier par les «veilleurs» de l'association. Parmi les plus forts écarts constatés figurent également le Biafineact (émulsion contre les brûlures), le Dacryum (antiseptique pour lavage optique), ou encore la solution pour bain de bouche Hextril, avec des différences de plus de 3,50 euros entre les prix minimum et maximum observés.

Derrière le comptoir
Familles Rurales, qui réalisera un nouveau relevé en juin, dénonce par ailleurs une mauvaise information du consommateur.

Les médicaments concernés «ne sont pas majoritairement en accès libre et restent derrière le comptoir» sous contrôle du pharmacien, empêchant souvent les clients d'examiner les prix, dénonce l'association.

En revanche, pour ceux des médicaments qui sont proposés en accès libre, le consommateur «a une parfaite lisibilité sur le prix», et les tarifs sont en général «moins chers». Un décret du 1er juillet 2008 avait autorisé les pharmacies à proposer en accès direct quelque 200 médicaments, visant notamment à mieux informer les acheteurs et à améliorer la concurrence.
20minutes

Consommer de l'alcool modérément pour être en meilleure santé ?

Selon une étude française publiée dans le European Journal of Clinical Nutrition, les personnes buvant de l'alcool de façon modérée sont globalement en meilleure santé que celles qui n'en consomment pas du tout ou beaucoup.
Les données cliniques et biologiques d'environ 150.000 adultes, hommes et femmes, ont été analysées alors que ces personnes effectuaient un bilan au Centre d'investigation clinique de Paris entre 1999 et 2005.

Il s'est avéré que les personnes buvant modérément de l'alcool étaient en meilleure santé, avaient un IMC plus bas et moins de facteurs de risques de maladie cardiovasculaire. Elles seraient également moins susceptibles de développer un stress ou de tomber en dépression. On note aussi chez ces personnes une activité physique plus poussée, et un niveau socioprofessionnel plus élevé, souvent lié à un mode de vie plus sain.

Cependant, les scientifiques n'affirment pas que l'alcool est bon pour la santé. Il s'agirait plutôt d'un effet indirect, notamment dû à un stress moindre ainsi qu'à une meilleure vie sociale. Pour résumer de façon simpliste, d'après le Dr Hansel, responsable de l'étude : "Boire pour la santé, non, boire un petit peu pour le plaisir, oui".

http://www.maxisciences.com/alcool/consommer-de-l-039-alcool-moderement-pour-etre-en-meilleure-sante_art7435.html

Journée européenne de l'obésité : des manifestations partout en France les 21 et 22 mai 2010

Face à l'augmentation du nombre de personnes en surpoids et de l'obésité en Europe, le Collectif national des associations d'obèses (CNAO) organise le vendredi 21 et le samedi 22 mai deux journées de manifestations dans le cadre de la première Journée européenne de l'obésité.
L'évènement se déroulera sur deux jours et aura pour principaux objectifs de mettre en lumière les besoins des personnes obèses et en surpoids, ainsi que de faire reconnaître l'obésité comme une maladie chronique.

Vendredi 21 mars, une action de dépistage sera menée par tous les acteurs institutionnels et professionnels, plusieurs centres publics et privés ouvriront leurs portes gratuitement pour offrir à tous les adultes qui le souhaitent des consultations pluridisciplinaires.

Le samedi 22 mai, un grand pique-nique convivial et équilibré sera mis en place un peu partout en France.

D'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les statistiques concernant l'obésité dans toute l'Europe (pas seulement dans l'UE) sont alarmantes et atteignent des proportions épidémiques.

En 2010, 150 millions d'adultes européens sont obèses (20% de la population) ainsi que 15 millions d'enfants et d'adolescents (10% de la population). Entre 30 et 80% des adultes présentent également une surcharge pondérale dans la plupart des pays.

http://www.maxisciences.com/ob%e9sit%e9/journee-europeenne-de-l-039-obesite-des-manifestations-partout-en-france-les-21-et-22-mai-2010_art7346.html

mercredi 19 mai 2010

Journée nationale de la santé du pied

8 édition de la journée nationale de dépistage gratuit des pathologies du pied :
Rendez-vous le 19 mai ! Des centaines de sites de dépistage gratuit. Pour en savoir plus : www.santé-du-pied.org

http://www.google.com/url?sa=D&q=http://www.sante-du-pied.org/&usg=AFQjCNGXYBkBRC4hBoJKMgbeZk1zFcO3cg

Les produits de comblement des rides sous surveillance

Entre 2003 et 2008, les produits injectables de comblement des rides ont représenté un volume de vente en France de plus de 3.000.000 de seringues, soit 600.000 seringues par an. Inutile donc de préciser que ce marché se développe rapidement. D'ailleurs, environ 80 produits sont actuellement commercialisés dans notre pays par 25 fabricants. Ces chiffres émanent de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) qui a organisé hier une conférence de presse sur le sujet. À cette occasion, elle a présenté une classification de ces produits et émis quelques recommandations concernant leur utilisation.
La classification repose sur la durée d'effet et aussi sur la notion de risque, car "plus le produit est rémanent dans les tissus cutanés et plus le risque d'effets secondaires est important", a expliqué Jean-Claude Ghislain, le directeur de l'évaluation des dispositifs médicaux. La première catégorie est celle des dispositifs "résorbables", qui disparaissent en trois à six mois. Il s'agit de la plupart des acides hyaluroniques, du collagène et de l'alginate de sodium. La deuxième catégorie est celle des dispositifs "lentement résorbables", dont la durée d'effet est de 6 à 24 mois : on y trouve d'autres types d'acides hyaluroniques, leur association avec diverses substances ou encore l'hydroxyapatite de calcium. Quant à la troisième, elle regroupe les dispositifs "non résorbables", qui sont donc destinés à rester définitivement. C'est le cas des polymères.

Certes, les principaux dispositifs de comblement des rides ne posent pas de problèmes majeurs ; les risques se limitent à "des réactions immédiates (hématome, rougeur), retardées (pigmentation, allergie)" et des "effets indésirables liés aux conditions d'asepsie de l'injection elle-même (infection)", note l'agence. Néanmoins, des effets indésirables assez rares, mais sévères ont été observés avec des produits de comblement, en particulier avec ceux non résorbables. C'est pourquoi l'Afssaps déconseille leur...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2010-05-12/les-produits-de-comblement-des-rides-sous-surveillance/1055/0/454261


mardi 18 mai 2010

Salon HÔPITAL EXPO-INTERMEDICA 2010

A Paris, Porte de Versailles - Pavillon 1

HÔPITAL EXPO-INTERMEDICA est une événement de la Fédération Hospitalière de France (FHF) et de l'Association Intermedica, organisé par PG PROMOTION-CMPMedica.

Le salon accueillera, du 18 au 21 mai, plus de 750 exposants et 25 000 visiteurs professionnels.

Cette édition s’inscrit dans un contexte de profondes mutations du secteur de la santé avec la mise en œuvre de la nouvelle loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST).

Tous les métiers de l'hôpital seront abordés : Plateau technique et
innovations technologiques ; Logistique ; Confort de vie ; Administration, gestion, services et institutions.
Il accueillera le Forum de l'hôpital public et du secteur social et médico-social.

http://www.hopitalexpo.com/salon/visiter.asp

Ces aliments qui nous évitent d’avoir le cancer

Attention, succès annoncé. Le professeur Khayat, chef du service de cancérologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière et ancien directeur de l’Institut national du Cancer (Inca) publie ces jours-ci chez Odile Jacob Le Vrai Régime anticancer. Un énième livre sur la prévention de la maladie ? Pas tout à fait.

S’appuyant sur trente ans d’expérience, deux ans de travail et l’analyse de centaines d’études, sur 350 pages, le scientifique fait la somme des savoirs sur les moyens les plus efficaces de prévenir tous les cancers par le biais de notre alimentation. Fruits, légumes, viandes, poissons, céréales, épices… tout y passe, chiffres et tableaux à l’appui. On y apprend notamment qu’en trop grande quantité le jus d’orange favorise le développement de mélanomes malins ou que les poissons soit-disant riches en oméga 3 ne permettent pas de diminuer significativement les risques de la maladie.

Il n’existe pas de régime miracle
En France, entre 340 et 350.000 nouveaux cas de cancers sont diagnostiqués chaque année, 150.000 d’entre eux sont mortels. A l’échelle mondiale, le cancer tue plus que le sida, le paludisme et la tuberculose réunis. Les habitudes alimentaires restent un levier relativement simple sur lequel il est possible d’appuyer pour prévenir la maladie.

Si le livre du cancérologue s’appuie sur une démarche scientifique fiable, il n’est ni le premier ni le dernier à s’intéresser au lien entre la prévention du cancer et l’alimentation. Les rayons des librairies regorgent d’ouvrages de recettes aux aliments miracles censés empêcher la maladie. « Si un régime miracle existait, on le saurait », clame Jacques Raynaud, président de l’Association pour la recherche contre le cancer (Arc). « Il faut prendre ces informations avec humilité et prudence car entre le moment où l’on ingère un aliment comme le thé vert, par exemple, et le jour où cela à un réel impact positif sur les cellules de notre corps, il y a un monde biologique. Je pense néanmoins que cette prolifération d’ouvrages n’est pas nuisible. Cela montre que la prévention commence à porter ses fruits et que l’opinion publique prend en compte les facteurs de risques. »
France Soir

lundi 17 mai 2010

L'enfant, première cible de la journée européenne de l'obésité

Les enfants seront la première cible de la Journée européenne de l'obésité, qui se traduira en France par une campagne de sensibilisation à un mal qui y touche 6,5 millions de personnes, dont un enfant sur six.
Spots radiotélévisés, affiches représentant des pieds sur une balance, conseils délivrés dans les grands magasins, consultations en pédiatrie marqueront, les 21 et 22 mai, ces journées organisées pour la première fois en France autour du slogan "Ma santé, c'est ma vie et j'en prends soin".

Les enfants seront particulièrement visés par la distribution d'un "Petit quotidien du bien manger", de cahiers de coloriage et un jeu pour iPod où l'on propose notamment de reconnaître les fruits de saison et de compter les calories.

Au début des années 2000, on comptait en France un enfant sur six atteint d'obésité, contre un sur 20 à la fin des années 1970. Une situation qui tend à s'améliorer grâce aux efforts des pouvoirs publics, se réjouissait au début du mois la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, en présentant le bilan du Programme national Nutrition Santé (PNNS) 2005-2010.

Entre 2000 et 2007, le surpoids et l'obésité chez l'enfant sont passés de 18% à 16%, soulignait-elle, le nombre d'adultes consommant cinq fruits et légumes par jour a augmenté de 16% et la consommation de sucre diminué de 10%.

Les spécialistes remarquent que le nombre d'enfants atteints d'obésité s'est stabilisé dans les pays ayant engagé des politiques de santé publique, comme la Suisse ou la Suède.

Ce n'est pas le cas de pays qui n'ont pas agi, comme le Portugal ou la Grande-Bretagne, où la proportion d'enfants obèses est de 30%.

"ALERTER LES PARENTS"

"Un enfant n'est pas en surpoids parce qu'il ne mange pas cinq fruits et légumes par jour, mais parce qu'il mange mal et qu'il ne se dépense pas assez", souligne François-Marie Caron, pédiatre.

Selon lui, c'est vers l'âge de six ans que doivent être détectés les premiers signes d'obésité chez l'enfant, qui est censé s'être beaucoup affiné à cet âge.

"Il faut alerter les parents", a dit le médecin lors d'une conférence de presse de présentation de la Journée européenne de l'obésité, à Paris. "Ce n'est pas l'enfant qui fait les courses, ce n'est pas lui qui prépare les repas ni lui qui met les gâteaux dans le cartable", a-t-il fait remarquer.

L'école a aussi son rôle à jouer.

Le ministère de l'Agriculture étendra à la rentrée 2010 l'opération "Un fruit pour la récré", qui concernera un million d'enfants, contre 400.000 actuellement dans 1.800 établissements, a rappelé Pascale Briand, chargée de ce dossier au ministère.

D'après l'Organisation mondiale de la santé, l'Europe compte en 2010 quelque 150 millions de personnes obèses, soit 20% de la population, et 15 millions d'enfants et d'adolescents souffrant de cette pathologie.

En France, le problème concernait en 2009 14,5% de la population, soit presque 6,5 millions de personnes, contre 8,5% en 1997, selon les chiffres d'une enquête menée tous les trois ans (ObEpi).
Reuters

dimanche 16 mai 2010

Une bonne vision toute la vie

Avec 600.000 cataractes opérées chaque année en France, cette intervention chirurgicale est de loin la première pratiquée, toutes spécialités confondues. Le matériel moderne permet d'améliorer sans cesse les résultats par des incisions toujours plus petites, des implants encore plus souples et à géométrie de plus en plus élaborée. Ces progrès accroissent le champ de ce qu'on appelle la chirurgie combinée : cataracte et glaucome, cataracte et greffe de cornée ou encore chirurgie de la réfraction (myopie, hypermétropie ...) et pose d'implant intraoculaire. C'est l'un des sujets développés cette année au 116e congrès de la Société française d'ophtalmologie, qui se tient actuellement à Paris. Avec pour thème général : en 2010, une bonne vision toute la vie ! Le laser dit "femto-seconde" permet de réaliser des ablations de tissus et des incisions automatisées d'une très grande précision. Les résultats sont spectaculaires, notamment dans la chirurgie des anomalies de la vision, les greffes de cornée où la découpe automatisée assure une adéquation inégalable de la greffe à l'oeil du receveur, le traitement de la presbytie et bientôt l'opération automatisée, voire robotisée de la cataracte ! Côté DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge), qui touche plus de 600.000 personnes, de nouveaux traitements plus efficaces et moins contraignants sont en cours d'évaluation. Lire la suite l'article
Enfin, les résultats d'une intéressante étude sur le glaucome (l'augmentation de la pression intraoculaire qui provoque une atteinte du nerf optique) ont été dévoilés. Elle portait sur les facteurs de risque connus comme l'âge, la myopie, les antécédents familiaux, l'appartenance ethnique (le glaucome est plus fréquent dans la population noire), mais aussi sur des facteurs de risque potentiels comme l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie, le diabète... dont le rôle est non négligeable. Elle s'est surtout intéressée aux facteurs nutritionnels, notamment aux acides gras essentiels oméga 3 et oméga 6, et à l'exposition à des...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2010-05-10/une-bonne-vision-toute-la-vie/1055/0/453044


samedi 15 mai 2010

AVC : les facteurs génétiques passés au crible

Les chercheurs du CHU de Nantes ont décidé de lancer un protocole de recherche visant à identifier les marqueurs génétiques à l'origine de l'apparition des accidents vasculaires cérébraux (AVC).
Les spécialistes connaissent les facteurs de risque de ces anévrismes (tabac, hypertension artérielle) mais les raisons de leur apparition restent encore inconnues à ce jour. Les équipes du centre hospitalier nantais vont donc désormais essayer, grâce à des recherches biologiques, de cibler les facteurs génétiques qui pourraient augmenter les risques de développement d'un anévrisme chez un patient. "Depuis 2000, nos services suivent une population de 1.500 patients qui vont être contactés. L'objectif, c'est de leur proposer, ainsi qu'à leur famille, une prise de sang pour tenter d'identifier des marqueurs génétiques", a expliqué le neurologue Benoît Guilllon au journal Ouest-France. Depuis 20 ans, les médecins de ce centre hospitalier traitent de façon préventive les anévrismes non rompus par voie endovasculaire, une technique chirurgicale qui consiste à combler l'anévrisme par des microspires métalliques. Désormais, leur objectif est de faire évoluer cette prévention afin de réduire la survenue des accidents vasculaires cérébraux, troisième cause de mortalité dans les pays industrialisés.
http://www.maxisciences.com/an%e9vrisme/avc-les-facteurs-genetiques-passes-au-crible_art7278.html

vendredi 14 mai 2010

Un générique, nouvel espoir contre les tumeurs au cerveau

Un médicament générique qui sert habituellement à traiter des troubles liés à une enzyme chez l'enfant, le dichloroacétate (désigné aussi par l'abréviation DCA), pourrait être un traitement efficace contre une forme mortelle de cancer du cerveau. C'est ce que semblent suggérer les résultats d'étape d'une étude, publiée sur le journal en ligne Science Translational Medicine, et menée par des chercheurs de l'université canadienne de l'Alberta. Cette étude à petite échelle, effectuée sur 5 patients, montre que les tumeurs ont réagi au dichloroacétate en changeant leur métabolisme. Le traitement a fonctionné sur les tissus des tumeurs des 5 patients en phase terminale, comme le laissaient présager les expériences en laboratoires menées en 2007.

Chez quatre des cinq patients, les chercheurs ont observé que la tumeur ne s'étendait plus après 15 mois de traitement. Les tests suivants sur les cellules prélevées de ces patients ont montré que le DCA avait tué les cellules cancéreuses. "On peut en conclure que le DCA est probablement sans danger et peut-être efficace cliniquement sur certains patients", explique l'un des auteurs de l'étude, le Dr Evangelos Michelakis, de l'université d'Edmonton en Alberta, cité par CBC News. "Etant donnée la petite envergure de cette étude, on ne peut pas faire davantage de spéculations", poursuit-il. "Cependant, ces premiers résultats sont suffisants pour créer assez d'enthousiasme, d'inspiration et d'élan pour poursuivre les recherches, ce qui impliquerait des expérimentations à plus grande échelle".

Comment contourner le manque de fonds

La particularité de cette étude est son financement atypique : c'est le directeur d'une radio de Peace-River, ayant perdu sa soeur d'un cancer, qui, furieux de voir le manque de fonds alloués à l'étude du Dr Michelakis a mobilisé sa ville et récolté 365.000 dollars, selon CBC News. Mais le médicament "n'est pas brevetable, ce qui n'offre aucune perspective de profit pour les laboratoires pharmaceutiques", écrit CBC News sur son site.

"Nous défions l'idée selon laquelle on ne peut pas faire d'expérimentation humaines sans le soutien de l'industrie pharmaceutique", commente le Dr Michelakis. Mais le chercheur met en garde les patients qui voudraient s'automédiquer en achetant eux-mêmes du DCA. "Les consommateurs ne peuvent pas être sûrs qu'on leur vende du DCA pur. Il peut y avoir de dangereuses impuretés dans le médicament (...) qui pourraient causer des complications catastrophiques", met-il en garde dans le quotidien Globe and Mail.
tf1news

Biodiversité: parrainez une abeille

Depuis quelques années, les abeilles sont en danger, leur population étant en forte diminution. Traitements pesticides, infections parasitaires, maladies, pollution, ce phénomène, encore difficile à expliquer, est pourtant très inquiétant. En effet, par leur action, les abeilles assurent la reproduction de 80% des espèces végétales, la production de plus de 20 000 tonnes de miel chaque année et la production de plus des trois quarts des cultures dans le monde.
Pour sauver les abeilles, le projet, Un toit pour les abeilles, a mis en place un système de parrainage de ruches ouvert aux particuliers et aux entreprises.

Il suffit de faire un don et l'association se charge de toute la gestion de la ruche, chaque ruche étant identifiée avec le logo de l'entreprise. De plus, chaque année l'entreprise participante recevra des pots de miel avec son logo et disposera sur le site de l'association d'une page internet, présentant l'engagement de l'entreprise et les photos des ruches.

Pour participer au projet et sauver les abeilles, rendez-vous sur www.untoitpourlesabeilles.fr
http://www.untoitpourlesabeilles.fr/



http://www.topsante.com/actualite/view/119153/Actus/Biodiversite-parrainez-une-abeille

jeudi 13 mai 2010

Alzheimer : un futur médicament contre la perte de mémoire ?

Un chercheur de l'Institut européen des neurosciences de Göttingen a mis au point une protéine qui agit sur le cerveau de la souris, améliorant les capacités cognitives du rongeur.

Nommée H4K12, cette protéine permet de contrôler les principaux gènes de la mémoire et de l'apprentissage dans le cerveau de la souris, selon la revue Science.

"C'est une avancée scientifique très importante, explique le Dr André Fischer, qui a mis au point cette protéine. Utilisée seule, elle n'est pas capable de guérir la maladie d'Alzheimer, mais elle pourrait certainement aider à son traitement".

"Chez la souris, cette recherche nous donne des indices sur la façon dont les souvenirs se forment et fonctionnent dans le cerveau", a déclaré le Dr Marie Janson, de l'association britannique Alzheimer's Research Trust.

"Nous avons maintenant besoin de savoir si les mêmes processus se produisent dans le cerveau humain, a-t-elle poursuivi. Cette compréhension est essentielle si nous voulons développer des moyens de protéger le cerveau vieillissant du déclin cognitif".

Elle a ensuite conclu qu'étant donné la complexité et le nombre important de facteurs causant la maladie d'Alzheimer, il serait certainement nécessaire de mettre au point plusieurs médicaments pour traiter cette maladie, et les autres types de démence.

http://www.maxisciences.com/alzheimer/alzheimer-un-futur-medicament-contre-la-perte-de-memoire_art7270.html

Sérum antivenimeux : les nouvelles directives de l’OMS contre la pénurie

Face à la pénurie de sérum antivenimeux et aux 5 millions de cas de morsures de serpents recensés chaque année, l'OMS a publié mardi de nouvelles directives et présenté une nouvelle base de données sur son site internet, pour que venin de serpent ne soit plus synonyme de mort. Lire la suite l'article
Sur les 2,5 millions de cas d'envenimement, on recense "au moins 100.000 décès et environ trois fois plus d'amputations et d'autres incapacités définitives" indique l'OMS dans son communiqué. Un phénomène particulièrement important et grave en Afrique et en Asie mais également présent "dans une moindre mesure" en Amérique latine. Il s'agit le plus souvent de populations pauvres qui n'ont pas les ressources suffisantes pour acheter un sérum, d'autant que les prix ont considérablement augmenté ces dernières années en raison de la pénurie d'antivenimeux. Celle-ci résulte notamment de la "difficulté à estimer les besoins et à définir les marchés", précise l'OMS. "De nombreux pays n'ont pas accès aux sérums antivenimeux dont ils ont besoin. D'autres utilisent des sérums qui n'ont jamais été testés contre les venins qu'ils ciblent. Il arrive donc souvent qu'en cas de morsure de serpent, les victimes ne puissent pas obtenir le traitement dont elles ont besoin", explique Carissa Etienne, sous-directeur général à l'OMS. L'Organisation mondiale de la santé a donc mis en place de nouvelles directives afin de faciliter la production, la réglementation et le contrôle des sérums contre les venins de serpents. Un site web donnant des informations sur les serpents venimeux, leur localisation, leur morphologie, les sérums antivenimeux adaptés ainsi que l'endroit où l'on peut se les procurer a également été ouvert. "Ces nouveaux outils contribueront à mettre un terme à cette situation", conclut Carissa Etienne.

http://www.maxisciences.com/serpent/serum-antivenimeux-les-nouvelles-directives-de-l-oms-contre-la-penurie_art7251.html

mercredi 12 mai 2010

Travailler trop nuit gravement à la santé

Travailler trois heures de plus que la normale, comprise entre sept et huit heures par jour, expose à un risque accru de 60% de développer des problèmes cardiaques, selon une étude publiée mardi dans le European Heart Journal. 6014 fonctionnaires londoniens âgés de 39 à 61 ans sans pathologie cardiaque ont été suivis pendant 11 ans en moyenne, jusqu'à 2002-2004 dans le cadre d'une vaste étude baptisée Whitehall II. Au cours des 11,2 ans de suivi, 369 d'entre eux sont soit morts d'une maladie du coeur, soit ont eu un accident cardiaque non mortel ou une angine de poitrine.

Si le lien entre les heures supplémentaires au travail et les maladies cardio-vasculaires semble clair, la cause l'est moins, selon les auteurs. Une piste pourrait être que le travail supplémentaire pourrait affecter le métabolisme ou masquer des états dépressifs, d'anxiété ou de manque de sommeil. Le "présentéisme maladif" voit, à l'inverse de l'absentéisme, des salariés venir travailler même malades, ignorant les symptômes et négligeant de consulter un médecin, pourrait également être en cause. Ceux qui travaillent plus que la normale sont plutôt des hommes, plus jeunes que la moyenne du groupe, et occupant des responsabilités plus importantes.

Aimer son travail diminue les risques

"Le lien entre les longues heures de travail et les maladies cardio-vasculaires est indépendant d'un ensemble de facteurs de risque mesurés au début de l'étude, tels que le tabac, le surpoids ou un taux élevé de cholestérol", a précisé le Dr Marianna Virtanen, qui a dirigé l'étude du Finnish institute of occupationnal health (Helsinki) et de University College London dans un communiqué.

Cette dernière avance plusieurs hypothèses, comme des habitudes de vie néfastes et des facteurs de risque plus répandus parmi les personnes qui travaillent en excès. "Une autre possibilité est que le stress chronique (souvent associé aux longues heures de travail) affecte négativement l'organisme", ajoute-t-elle, appelant de ses voeux des recherches supplémentaires. Toutefois, des gens qui aiment leur travail et ont tendance à travailler davantage juste pour le plaisir pourraient avoir un risque moins élevé de maladie cardiaque.
tf1 news

Les piments aideraient à mincir plus facilement

Selon une équipe de chercheurs de l'UCLA (University of California at Los Angeles), manger du piment, plus ou moins épicé, pourrait aider à mincir.
La responsable de cette propriété inattendue est la capsaïcine, substance qui donne son goût piquant au piment et qui lui permet, dans la nature, de repousser les prédateurs. Plus ce légume est épicé, plus il contient de capsaïcine.Les scientifiques ont mené une étude sur trente-quatre personnes, hommes et femmes, qui suivaient un régime hypocalorique (800 calories par jour) et liquide. La moitié d'entre eux prenait une pilule de DCT, l'autre un placebo. Le DCT, ou dihydrocapsiate, a les mêmes effets que la capsaïcine mais ne provoque pas de sensation de brûlure comme le piment.Il s'est avéré que les personnes ayant pris du DCT ont brûlé deux fois plus de calories que celles auxquelles on avait administré un placebo, et ce durant quelques heures après la prise du comprimé. Le DCT favorisrait également l'oxydation des graisses, leur permettant d'être plus facilement utilisées comme source d'énergie par l'organisme. Enfin, les piments contenant des fibres (un grand piment en contient environ 3 grammes), ils augmentent la satiété et permettent de manger moins et donc de mincir.Selon les chercheurs, le piment aiderait à brûler les graisses grâce à la chaleur que provoque la prise de capsaïcine, ou de DCT. Son ingestion entraîne l'activation des récepteurs de la douleur qui transmettent des messages au cerveau. Celui-ci augmente le taux d'adrénaline, la fréquence cardiaque, la transpiration et donc, les dépenses énergétiques. En plus de ces propriétés amincissantes, il a été démontré récemment que le piment pouvait être utilisé pour traiter certaines affections comme la migraine, l'arthrite ou les douleurs musculaires
http://www.maxisciences.com/piment/les-piments-aideraient-a-mincir-plus-facilement_art7170.html

mardi 11 mai 2010

Cancer et diabète : une découverte pour deux espoirs de traitement

France - D'une pierre deux coups. L'équipe de Chang Xian Zhang, directeur de recherche à l'Inserm, vient de découvrir des pistes prometteuses dans le domaine du traitement du diabète, alors qu'elle travaillait sur les tumeurs endocrines pancréatiques
En étudiant l'origine de certaines tumeurs endocrines du pancréas, les chercheurs ont mis en évidence l'implication du phénomène de transdifférenciation des cellules alpha du pancréas en cellules secrétant l'insuline. En plus d'élucider une partie du mystère relatif à la naissance de ces tumeurs, ces résultats apportent des informations très utiles pour l'élaboration de traitements contre le diabète. Le diabète de type 1 se caractérise en effet par la perte des cellules produisant l'insuline. Trouver comment restaurer ces cellules et leur fonction est l'un des principaux objectifs de la recherche sur cette maladie.

Depuis plus de dix ans, Chang Xian Zhang et ses collaborateurs travaillent sur le gène Nem1. Lorsqu'il est inactivé, celui-ci conduit à l'apparition de tumeurs, dont les tumeurs endocrines pancréatiques. Élucider les processus d'apparition et de développement de ces tumeurs est donc la clé pour mieux les maîtriser, améliorer leur diagnostic, affiner le pronostic ainsi que le suivi médical, voire le traitement du cancer du pancréas.

Cette découverte se révèle donc bénéfique pour deux pathologies. Une meilleure compréhension des mécanismes de la transdifférenciation des cellules alpha pancréatiques en cellules sécrétant de l'insuline pourrait permettre de mieux expliquer l'origine cellulaire des tumeurs endocrines pancréatiques observées. L'objectif : affiner diagnostic et pronostic, et identifier de potentielles cibles thérapeutiques."En plus de nouvelles pistes pour la recherche contre le cancer, l'étude des mécanismes responsables de la transdifférenciation révélée dans cet article permettrait une meilleure compréhension de la biologie des cellules endocrines pancréatiques et la conception de nouvelles s... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/cancer/cancer-et-diabete-une-decouverte-pour-deux-espoirs-de-traitement_art7133.html


lundi 10 mai 2010

Le bébé qui n'a jamais grandi

Il s'agit d'un cas unique dans le monde, et d'ailleurs inexpliqué par la médecine: aux Etats-Unis, une jeune fille de 16 ans a toujours l'apparence d'un bébé de douze mois.
Elle a la taille d’un bébé de douze mois et marche à quatre pattes. Pourtant, Brooke Greenberg a 16 ans, bientôt 17. Cette Américaine, qui vit avec ses parents et ses deux sœurs à Maryland, aux Etats-Unis, n’a jamais grandi.

Dès la naissance, les médecins détectent une malformation à la hanche. Mais très vite, les parents de Brooke s’inquiètent de ne pas la voir grandir. Ils consultent une centaine de médecins. Sans résultats. Aucun d’entre eux ne parvient à expliquer de quoi souffre la fillette. Broke est d’ailleurs une sorte de "miraculée" pour les médecins. Elle a en effet survécu à sept ulcères et à un coma qui ne lui a laissé aucune séquelle.

Si l’apparence de Brooke ne change plus depuis des années, ses organes, eux, évoluent à des rythmes différents. Un cas unique au monde qu’aucun médecin ne parvient encore à expliquer. Pour le docteur Richard Walker, qui travaille sur son cas depuis 2005, il pourrait s’agir d’un gène mutant qui stoppe le vieillissement. Des résultats médicaux sont attendus d’ici à trois mois. Pour sa mère, qui s’est confié à Paris Match, Brooke est "une ado comme les autres". "C’était un bébé adorable. Désormais, son tempérament est celui d’une jeune fille de 16 ans. Elle a ses bons et mauvais jours, ses crises de colère et ses moments de sérénité" raconte t-elle.
JDD

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Pas de sirops contre la toux pour les nourrissons

Depuis jeudi, les médicaments contre la toux, tels que les sirops, sachets ou poudre, destinés à fluidifier les sécrétions bronchiques des nourrissons de moins de 2 ans ne sont plus vendus en pharmacie pour les enfants de cet âge. Ces médicaments peuvent en effet aggraver un surencombrement bronchique, en raison de la faible capacité des nourrissons à tousser pour éliminer les sécrétions produites, explique l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
Elle a donc "décidé de contre-indiquer, chez l'enfant de moins de deux ans, l'utilisation des médicaments mucolytiques, mucofluidifiants" (sirops, sachets à diluer, solutions buvables), tels Rhinathiol ou Carbocistéine, ainsi que le sirop "Hélicidine" contre la toux. Cette décision intervient après plusieurs cas d'aggravation d'encombrement respiratoire ou de bronchiolite du nourrisson. La liste des médicaments concernés est sur le site de l'agence (www.afssaps.fr). Ils restent cependant disponibles au delà de cet âge. En conséquence, trois médicaments en sachets ou poudres exclusivement pour nourrissons sont retirés du marché : Exomuc, Fluimucil et Mucomyst formule nourrisson.

Mesures simples pour améliorer le confort de l'enfant

Sur 70 cas rapportés de complications respiratoires liées à l'aggravation de l'encombrement bronchique, plus de la moitié sont survenus chez des nourrissons de moins d'un an. "La majorité de ces cas était grave et a nécessité une hospitalisation." Les pharmaciens remettent à partir de jeudi un document d'information aux parents à chaque demande ou prescription de ces médicaments.

Une porte-parole de Bouchara-Recordati France a indiqué que le laboratoire avait cessé "depuis plusieurs mois" la commercialisation des sachets d'Exomuc pour nourrissons, en prévision de cette décision des autorités sanitaires françaises. "Cela ne remet pas du tout en cause le médicament dans son intégralité. C'est juste une mesure de précaution chez le petit enfant", a pour sa part réagi une porte-parole de Zambon France, qui vend le Fluimicil. "La décision de l'Afssaps est tout à fait légitime", a estimé une porte-parole de Sanofi-Aventis, qui revendique 7% de l'ensemble du marché des mucolytiques en France. Le groupe français commercialise plusieurs sirops enfants et nourrissons, qui seront désormais uniquement à destination des enfants. Les pharmaciens remettent à partir de jeudi un document d'information aux parents à chaque demande ou prescription de ces médicaments.

La toux, symptôme fréquent chez le nourrisson (moins de 2 ans) et le plus souvent associé à une infection respiratoire, est un réflexe naturel et indispensable de défense de l'organisme. En dehors de signes de gravité (gêne respiratoire, difficultés importantes à s'alimenter) qui doivent faire consulter un médecin, des mesures simples sont recommandées pour améliorer le confort de l'enfant (lavage du nez au sérum physiologique, hydratation, aération de la chambre et éviction du tabac). Si la toux se prolonge plus de 4-5 jours sans amélioration, un avis médical s'impose pour en rechercher la cause.
tf1news

dimanche 9 mai 2010

Agir contre la migraine

Allongez-vous dans une pièce sombre, fraîche et calme
Appliquez sur le front ou dans la nuque une lingette chaude ou froide, selon ce qui vous soulage le plus. Vous pouvez opter pour un bandeau anti-migraine : ce coussin thermique réfrigérant s'applique sur le front au moment de la crise et peut diminuer la douleur (en vente en pharmacie, 15 environ).

Massez-vous les tempes avec un peu de baume du tigre. Cet onguent à base de camphre et de menthol est préconisé pendant les crises migraineuses (en vente dans les boutiques bio).

Essayez la chiropratique. Voici 4 gestes chiropracteurs qui peuvent vous aider :

1. Massez le muscle du trapèze, au niveau de la nuque et des épaules, pour le détendre et libérez ainsi la tension musculaire.

2. Exercez une pression moyenne avec les pouces à la base du crâne pendant quelques secondes, plusieurs fois de suite, pour permettre le relâchement des points d'ancrage des méninges et des points d'attachement du muscle du trapèze.

3. Massez les tempes avec les doigts afin de faire baisser la tension musculaire au niveau du temporal.

4. Exercez une pression juste sous l'intérieur de l'arcade sourcilière, au-dessus de l'orbite de l'il, au niveau du nerf oculaire, pendant quelques secondes pour apaiser la douleur vers les yeux.

L'acupuncture apaiserait aussi les migraines en régulant la libération de sérotonine et des endorphines dans le cerveau. Mal connus, les mécanismes de ce mal de tête bien particulier pourraient être actionnés par une baisse du taux de sérotonine entraînant la dilatation des vaisseaux sanguins qui enveloppent le cerveau. Si vous voulez en savoir plus sur cette médecine chinoise, vous pouvez consulter le site du Syndicat national des médecins acupuncteurs de France (www.acumedsyn.org).

Pour en savoir plus sur la migraine avec EurekaSanté, le site médical grand public édité par VIDAL.


Retrouvez cet article sur TopSante.com
http://www.topsante.com/Homme/Sante/Agir-contre-la-migraine

samedi 8 mai 2010

Les sucres ajoutés sont mauvais pour le cholestérol

Selon une étude publiée dans le journal de l'American medical association, une consommation trop importante d'aliments comprenant des sucres ajoutés entraînerait non seulement des risques de diabète mais également une augmentation du taux de cholestérol dans le sang.
L'étude a porté sur 6.113 hommes et femmes. Les scientifiques ont analysé les apports nutritifs ainsi que les taux de lipides dans le sang entre 1999 et 2006. Les participants ont été répartis dans cinq groupes, selon la quantité de sucres ajoutés qu'ils consommaient chaque jour.Il s'avère qu'une consommation trop importante de sucres ajoutés augmente le taux de triglycérides dans le sang et diminue l'HDL cholestérol (le bon cholestérol). Les femmes subissent également une augmentation du taux de LDL cholestérol (mauvais cholestérol), phénomène qui ne touche pas les hommes. Le co-auteur de l'étude, le Pr. Miriam Vos conclut : "tout comme un régime alimentaire riche en matières grasses peut augmenter votre taux de triglycérides et de cholestérol, la consommation de sucre peut également affecter ces mêmes lipides".Selon l'OMS (Organisation mondiale de la santé), la proportion de sucres ajoutés consommés chaque jour ne doit pas dépasser 10% des apports quotidiens. C'est cependant difficilement réalisable puisque cet ingrédient peu cher est ajouté dans de nombreux aliments et boissons.
http://www.maxisciences.com/sucre-ajout%e9/les-sucres-ajoutes-sont-mauvais-pour-le-cholesterol_art7047.html

vendredi 7 mai 2010

L'Agence européenne du médicament recommande le retrait des AMM du Bufexamac, un antiprurigineux local

L'Agence européenne du médicament (EMA) recommande le retrait des autorisations de mise sur le marché de tous les médicaments contenant du bufexamac, un antiprurigineux local, en raison d'un "risque élevé d'allergies de contact, parfois graves" a annoncé vendredi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS). Lire la suite l'article
Le bufexamac est un anti-inflammatoire non stéroïdien, indiqué en France dans le traitement "du prurit provoqué par des manifestations inflammatoires cutanées", explique l'AFSSAPS dans un communiqué. En France, où cette substance est disponible depuis 1974, une spécialité à ce jour est commercialisée, sous le nom de Parfenac.

A la suite d'une procédure de réévaluation bénéfice/risque du bufexamac, l'Agence européenne du médicament estime que ce rapport est devenu "défavorable" et recommande "à la Commission européenne de demander le retrait des autorisations de mise sur le marché de tous les médicaments contenant du bufexamac en Europe".

Dans l'attente de la décision de la Commission européenne, l'AFSSAPS "recommande aux prescripteurs de ne plus instaurer ni renouveler de traitement par Parfenac". Les patients actuellement traités avec ce médicament "sont invités à consulter sans urgence leur médecin", afin de "reconsidérer leur traitement", ou "à prendre conseil auprès de leur pharmacien".
AP Associated Press

mardi 4 mai 2010

lundi 3 mai 2010

Bernard Giraudeau : "En méditant, j'ai pu accepter de mourir..."

Bernard Giraudeau, talentueux comédien français (père de Sara, qui est très proche de sa mère Anny Duperey) n'a pas peur d'affronter la maladie. A 62 ans, l'homme des planches, du grand et du petit écran souffre d'un cancer qui l'a contraint à diminuer ses activités et même à arrêter le théâtre
Après l'ablation du rein gauche (2000) et une métastase du poumon (2005), Bernard Giraudeau choisit de consacrer du temps à la maladie : pour en retarder les effets d'une part, pour aider les autres malades d'autre part. Engagé auprès de l'Institut Marie Curie, Institut Gustave Roussy et auprès de la Maison du cancer, il soulève des questions et apporte des réponses sur les dysfonctionnements dans les hôpitaux aussi bien que la gestion de la pathologie au quotidien.

Mais le comédien qui se félicite d'être entouré de ses proches pour vivre son cancer (car "la maladie sans l'amour, c'est la mort") prend aussi du temps pour écrire : Cher amour, son dernier roman, a ainsi été salué par la critique.

C'est sans aigreur et avec sérenité ("il faut accepter la maladie sans se résigner", se plaît-il à dire) que Giraudeau a choisi de s'épancher sur son histoire dans l'émission Vie privée, vie publique diffusée vendredi dernier sur France 3. Conscient du gouffre qui l'attend ("Bernard est prêt pour la mort" annonce Mireille Dumas à TVmag), Bernard reste pourtant amoureux de la vie. Pas inquiet, Giraudeau avoue ne pas connaître les regrets si ce n'est... le manque de connaissance. La vie est faite pour être vécue et pour apprendre et Bernard Giraudeau aimerait continuer à apprendre le plus longtemps possible. Un sens de la relativité qu'il doit à la méditation (il prête sa voix à un livre-CD) : "En méditant, j'ai pu accepter de mourir, mais aussi apprivoiser les souffrances de la maladie".

"Je voudrais vivre encore assez longtemps..." dit-il. Voilà donc le seul mal qu'on lui souhaite
http://www.purepeople.com/article/bernard-giraudeau-en-meditant-j-ai-pu-accepter-de-mourir_a55220/1

Contre la douleur, l’hypnose s’impose peu à peu

Tous les parents ont en tête des images pénibles associées à l’hôpital : un enfant qui braille et se débat. Des infirmières qui s’y mettent à plusieurs pour le maîtriser afin de lui poser une perfusion ou lui faire une ponction lombaire. Et des parents démunis, qui se résignent à accepter les hurlements de leur petit comme une fatalité.
Sauf que ça n’en est pas une. Le travail effectué depuis une dizaine d’années par des médecins et psychologues, qui font peu à peu entrer l’hypnose cet état de sommeil éveillé dans les box d’urgence et les chambres d’hôpital, le prouve. A Robert-Debré (Paris), plus d’une centaine de soignants ont reçu une formation ces dernières années. C’est également le cas dans les hôpitaux de Lyon, et dans certains services pédiatriques de Montpellier, où de plus en plus de personnels se familiarisent avec les techniques de l’hypnoanalgésie.

Des techniques efficaces

Le but ? Réduire la douleur du patient en focalisant son attention sur autre chose. Des techniques autrefois décriées mais aujourd’hui réputées très efficaces, notamment sur les enfants. Si bien que l’Institut français d’hypnose (IFH)* vient de lancer à Paris des formations de sept jours destinées à tous les soignants qui veulent aider les patients à souffrir moins sans forcément augmenter la dose d’antidouleur.
Lors de ces sessions, infirmières, médecins ou aides-soignants apprennent que tout ce qui peut focaliser, capter l’attention d’un petit enfant est le bienvenu. Elle permettra qu’une simple prise de sang ou une longue dialyse se passe mieux. « Quand on arrive tout à coup à captiver l’enfant, avec une chanson, une histoire, son héros préféré, et qu’il regarde bouche bée, tout étonné, c’est gagné. Certains puristes diront que ce n’est pas vraiment de l’hypnose, mais quelle importance tant que ça marche sur l’enfant », explique Isabelle Ignace, psychologue clinicienne, responsable de la formation des hospitaliers à l’IFH.
L’utilisation de l’hypnose pour réduire la douleur de l’enfant est encore marginale à l’hôpital. Mais il faut dire que la prise en charge de la douleur (avec l’usage de crèmes et de gaz anesthésiant) de l’enfant ne date que des années 1980. Puis les soignants se sont peu à peu rendu compte des limites des antidouleur. Car c’est un âge où la dimension psychique de la douleur est primordiale : « La douleur, c’est aussi l’anticipation de la douleur à venir, le souvenir des douleurs passées, le sentiment d’impuissance et même parfois la peur de mourir, analyse Isabelle Ignace. Or, les médicaments ne prennent pas en compte tous ces paramètres. »
* Institut français d’hypnose, 38, rue René-Boulanger, Paris Xe . Http://www.hypnose.fr


Le Parisien

Migraine : un médicament expérimental prometteur

Un nouveau médicament expérimental, le telcagepant, apparaît prometteur contre la migraine, selon un article publié jeudi en ligne dans la revue britannique médicale The Lancet.

Telcagepant, qui est encore en phase d'évaluation, appartient à une nouvelle classe de médicaments, expliquent les auteurs de l'article, qui ont passé en revue une série de publications sur le traitement de la migraine.

Il s'agit d'un inhibiteur des récepteurs CGRP qui sont impliqués dans la transmission de la douleur au niveau du cerveau.

«Telcagepant semble être un composé prometteur, bien que des investigations plus poussées soient justifiées pour établir solidement son rôle», estiment Lars Edvinsson (hôpital universitaire de Lund, Suède) et Mattias Linde (hôpital St Olavs, Trondheim, Norvège).

Ce traitement expérimental soulage la douleur à un niveau similaire à d'autres médicaments actuellement utilisés, comme les triptans, mais, contrairement à ces derniers, il ne semble pas vasoconstricteur (effet de rétrécissement des vaisseaux sanguins). Il pourrait donc être utilisable chez des patients présentant une pathologie cardiovasculaire.

La migraine affecte jusqu'à 15% de la population adulte des pays industrialisés.
Le Parisien

dimanche 2 mai 2010

Mobilisation contre la sclérose en plaques

Première cause de handicap après les accidents de la route, la sclérose en plaques touche environ 80.000 personnes en France, souvent de jeunes individus, frappés alors qu'ils étaient en pleine activité professionnelle. Cette maladie, souvent mal connue, s'attaque à la myéline entourant les neurones du système nerveux central et peut finir par empêcher la transmission de l'influx nerveux du cerveau au reste du corps. Pour récolter des dons destinés à faire progresser la recherche médicale et également à aider les patients concernés, les associations organisent, du 22 au 29 mai 2010, les journées de lutte contre la sclérose en plaques. Cette maladie génère des handicaps physiques et sociaux, dont la lourdeur dépend de la forme clinique, du mode évolutif et du degré de sévérité de l'atteinte. Elle peut se présenter sous trois formes. La première, dite rémittente, est caractérisée par l'apparition de "poussées", qui alternent avec des rémissions partielles ou totales. La forme secondaire progressive concerne la moitié des patients au bout de 10 ans. Ils auront alors souvent besoin d'une aide pour marcher. Enfin, dans 15 % des cas, la forme est dite progressive d'emblée. Les symptômes s'installent en quelques mois. Les troubles les plus fréquents sont une gêne à la marche, des troubles de l'équilibre et des problèmes urinaires. Lire la suite l'article
Quant aux médicaments, des progrès ont été réalisés pour ralentir l'évolution de la maladie, mais aucun ne la guérit. Les médecins peuvent prescrire un traitement de fond à base d'immunomodulateurs ou d'immunosuppresseurs, qui permet de limiter les inflammations du système nerveux central, donc de réduire les poussées. Des corticostéroïdes peuvent être prescrits lors de crises brutales, mais ce n'est pas systématique. Une prise en charge thérapeutique peut également être envisagée, notamment pour les patients atteints de raideurs musculaires, de douleurs ou de troubles urinaires. Et un soutien psychologique est apporté tout au long de leur maladie pour leur permettre...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2010-04-21/mobilisation-contre-la-sclerose-en-plaques/1055/0/446601

samedi 1 mai 2010

Beauté: préparez vous-même vos cosmetos à l'argile

L'intérêt que les cosmétologues portent à l'argile ne s'est jamais démenti. Grâce à son effet purifiant, elle normalise les peaux à problèmes, allège les cheveux gras et régule le pH de la peau.

La plupart des grandes marques de produits de beauté intègrent de l'argile verte ou blanche dans leurs formules. Elles utilisent les propriétés absorbantes de la roche sédimentaire pour purifier la peau, éliminer toutes ses impuretés et nettoyer les cheveux à tendance grasse. Du fait de sa richesse minérale et des rapports très particuliers qu'elle entretient avec l'eau, l'argile peut aussi réhydrater l'épiderme et prévenir son vieillissement. Les femmes arabes ne s'y sont pas trompées qui s'en servent régulièrement sous forme de rassoul pour la toilette du corps et des cheveux.

Argile: quelle couleur choisir?

Verte pour les peaux grasses

Les argiles de couleur verte sont parmi les plus couramment utilisées en thérapeutique naturelle. Riches en magnésie et en chaux, elles assainissent les plaies et favorisent leur cicatrisation. Elles sont recommandées également dans les soins des peaux grasses ou à tendance acnéique.

Blanche pour un effet cicatrisant

Les argiles blanches sont les seules à figurer au Codex et à entrer dans la composition des médicaments. Elles sont employées pour la préparation de bains de bouche et de gargarismes en raison de leur action cicatrisante. De plus, leurs propriétés antiacide et antidiarrhéique, ainsi que leur aptitude à absorber les gaz, en font un constituant efficace des pansements gastro-intestinaux.

Grise pour un effet purifiant

Les argiles de couleur grise, sont pauvres en oxyde de fer et en composés alcalins. Elles servent principalement à la fabrication de différents produits de beauté tels que les démaquillants et les masques purifiants.

Notre conseil: vous pouvez vous procurer l'argile dans les herboristeries, les magasins de prod ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/Femme/Belle-et-en-forme/Beaute-preparez-vous-meme-vos-cosmetos-a-l-argile

Encore trop de plomb dans les aliments

Les sources d'exposition alimentaire au plomb les plus importantes au niveau européen sont les céréales, les légumes et l'eau du robinet. Concernant les sources d'exposition non-alimentaire au plomb, les enfants sont surtout exposés à la poussière des maisons et à la terre.

Le groupe CONTAM a d'abord déterminé des niveaux de quotient intellectuel réduits chez les jeunes enfants et une augmentation de la pression artérielle chez les adultes. En comparant les estimations actuelles d'exposition pour différents groupes de population et les niveaux à ne pas dépasser pour enrayer les effets indésirables, les experts ont estimé que l'exposition au plomb pouvait générer des effets sur le développement neurologique des foetus, des nourrissons et des enfants.

Selon l'EFSA, la dose hebdomadaire tolérable provisoire (DHTP) actuelle, fixée à 25 microgrammes par kilogramme de poids corporel, n'est plus appropriée. Néanmoins, les experts ne sont pas parvenus à déterminer un nouveau seuil "car il n'a pas identifié de limite claire en deçà de laquelle il pouvait être sûr qu'aucun effet indésirable ne se produirait".
http://www.topsante.com/actualite/view/168099/Actus/Encore-trop-de-plomb-dans-les-aliments