dimanche 30 septembre 2012

Ces médicaments qui endommagent l'audition

Saviez-vous que certaines classes de médicaments pouvaient entraîner une dégradation de l'audition ? Il s'agit principalement de molécules utilisées en milieu hospitalier (dans les services de réanimation notamment), lorsque le pronostic vital est engagé. Mais pas seulement.
Découvert dans les années 1940-1950, la streptomycine est un antibiotique de la classe des aminosides. Utilisé dans le traitement de la tuberculose, il engendrait des effets ototoxiques - c'est-à-dire toxiques pour le nerf auditif - irréversibles. C'est pourquoi il a été abandonné.
La molécule n'a pas été totalement interdite puisque des dérivés ont été mis au point, comme la gentamicine. Bien que présentant un risque pour l'audition du patient, cet antibiotique puissant est prescrit lorsque son pronostic vital est engagé : méningites, infections pulmonaires graves... Les sels de platine sont également à risque ototoxique, ils restent néanmoins utilisés en cancérologie. En effet, la balance bénéfice/risque de ces médicaments est largement en faveur de leur utilisation, même si l'audition du patient s'en trouvera dégradée.
Enfin certains médicaments sont ototoxiques lorsqu'ils sont utilisés à trop fortes doses. C'est le cas de l'aspirine, et de certains anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS).

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samedi 29 septembre 2012

Une étude confirme un lien entre le bisphénol A et l'obésité infantile

Une étude menée aux Etats-Unis fait pour la première fois le lien entre le bisphénol A (BPA) et l'obésité chez les enfants. Des travaux susceptibles de relancer le débat sur cette substance chimique fortement controversée.
Alors que le gouvernement réfléchit encore à une interdiction du bisphénol A dans les contenants alimentaires, c'est une étude d'importance que vient de dévoiler la revue Journal of the American Medical Association (JAMA). Celle-ci révèle que la plupart de la population américaine aurait dans les urines des traces de ce composé chimique utilisé pour fabriquer des plastiques et des résines. Plus sérieux encore, cette recherche indique que les enfants ayant les niveaux les plus élevés auraient deux fois plus de risques d'être obèses ou en surpoids que ceux ayant les concentrations les plus faibles.
Les travaux menée de 2003 à 2008, ont porté sur 2.800 jeunes âgés de 6 à 19 ans. Ils ont notamment consisté à comparer le taux de BPA dans les urines et le poids des participants, qui en fonction des résultats, ont été divisés en quatre groupes distincts. C'est ainsi que les chercheurs ont constaté qu'environ 22% des enfants avec le taux le plus élevé de BPA étaient obèses contre seulement 10% chez ceux ayant les niveaux les plus faibles. "C'est la première fois qu'une substance chimique dans l'environnement est liée à l'obésité chez des enfants dans un important échantillon national représentatif", souligne le Dr Leonardo Trasande, professeur adjoint de pédiatrie à l'Université de New York et principal auteur de l'étude.
"Ces résultats montrent une fois de plus la nécessité d'élargir notre approche pour lutter contre l'épidémie d'obésité" en augmentation depuis plus de dix ans aux Etats-Unis, explique-t-il à l'AFP. Il est clair qu'"un régime alimentaire malsain et le manque d'exercice contribuent à accroître la masse de graisse dans le corps mais, (...) Lire la suite sur maxisciences.com

vendredi 28 septembre 2012

Cancer de la prostate : le traitement Zytiga confirme son efficacité

Une étude internationale publiée mardi indique qu'une nouvelle molécule connue sous le nom de Zytiga et composée d'acétate d'abiratérone aurait la propriété d'améliorer la qualité de vie de patients atteints de cancer avancé de la prostate.
Avec 71.000 nouveaux cas, le cancer de la prostate reste le plus fréquent chez l'homme en France. Or, si le taux de survie a augmenté ces dernières années, la maladie continue de faire quelque 9.000 victimes chaque année. D'où l'importance des résultats obtenus lors d'une étude international publiée mardi dans la revue The Lancet. En effet, celle-ci s'est intéressée aux effets d'un nouveau traitement à base d'acétate d'abiratérone sur des patients atteints de cancers avancés de la prostate. Une nouvelle molécule commercialisée sous le nom de Zytiga par le laboratoire américain Johnson & Johnson.
Plus précisément, les travaux ont été menés sur 1.195 patients dans 13 pays, avec un âge moyen de 69 ans. Ceux-ci ont été divisés en deux groupes dont l'un a reçu du Zytiga tandis que l'autre s'est vu administrer un placebo. Au final, les résultats ont alors montré que la survie moyenne des 797 patients traités par Zytiga a été de 15,8 mois après chimiothérapie par docetaxel, tandis que 398 patients ayant reçu un placebo ont survécu 11,2 mois. "Ce gain peut paraître modeste mais est en fait significatif", souligne à l'AFP l'un des auteurs de l'étude, Karim Fizazi, de l'Institut Gustave Roussy (IGR), grand centre de lutte contre le cancer situé près de Paris.
En effet, l'étude "confirme que l'acétate d'abiratérone prolonge de manière significative la survie globale des patients atteints d'un cancer métastatique de la prostate résistant à l'hormonothérapie et en progression après un traitement par docetaxel" (chimiothérapie de dernière génération)", explique t-il avec ses collègues. Un facteur d'important (...) Lire la suite sur maxisciences.com

jeudi 27 septembre 2012

Alzheimer : 3 aliments aideraient à prévenir la maladie

Popeye n’en attendait pas tant : manger des épinards aurait un effet protecteur contre la maladie d’Alzheimer. Des chercheurs de l’université d’Ulm en Allemagne ont réalisé une étude qui souligne en effet les potentiels bienfaits des fruits et légumes riches en antioxydants comme les épinards, les carottes et les abricots.
Les chercheurs ont établi un lien entre un faible niveau de vitamine C et de bêta-carotène. Le bêta-carotène tout comme la vitamine C ont des propriétés antioxydantes, capables de neutraliser les radicaux libres, impliqués dans le vieillissement des cellules.
Cette petite étude a consisté à analyser les différences entre un groupe de 74 patients atteints d’Alzheimer à un stade modéré et un groupe 158 sujets sains. Les participants, âgés entre 65 et 90 ans, ont été soumis à des tests neuropsychologiques, des tests sanguins et un calcul de leur IMC (Indice de masse corporelle). Ils ont également répondu à des questions sur leur style de vie.
Si les deux groupes ont montré des niveaux similaires de vitamine E, de coenzyme Q10, un puissant antioxydant et en lycopene, un caroténoïde.
En revanche, les patients malades ont présenté une concentration beaucoup plus faible en vitamine C et en bêta-carotène que les volontaires en bonne santé.
De ces résultats, les chercheurs émettent l’hypothèse que la vitamine C et le bêta-carotène jouent un rôle préventif dans le déclenchement et le développement des démences comme la maladie d’Alzheimer. Il se pourrait en effet que ces antioxydants ralentissent la dégénérescence progressive des cellules du cerveau, caractéristique de la maladie d’Alzheimer. D’autres travaux doivent encore être faits pour pouvoir confirmer cette piste.
D’autres études se sont intéressées à l’impact de l’alimentation dans la prévention de la maladie d’Alzheimer. Le régime crétois, ou méditerranéen à base de poissons, de fruits et de légumes, de céréales et d’huile d’olive, pourrait préserver les facultés cognitives, (...) Lire la suite sur TopSante.com

mercredi 26 septembre 2012

Chute de cheveux : à chaque cas sa solution

Sur la brosse ou dans la douche, il est tout à fait normal de perdre une certaine quantité de cheveux. Mais au-delà d’une centaine par jour, il y a lieu de s’inquiéter et de réagir. On vous dit comment…
Un cheveu en bonne santé correspond à un environnement vasculaire, hormonal et métabolique favorable. Lorsqu’un déséquilibre survient, il provoque l’altération du cheveu et, le plus souvent, une chute précoce. Différentes de celle des hommes, les causes de cette chute sont plus nombreuses chez les femmes. Et les études montrent que 3 femmes sur 4 seront concernées un jour ou l’autre. "Dans la plupart des cas, cette situation est mal vécue, car il y a la peur de devenir chauve… ", confie le Dr ­Sylvie ­Garnier ­Lyonnet, dermatologue spécialiste des cheveux. Mais, contrairement à ce qui se passe chez les hommes, cela n’arrive jamais… Mais mieux vaut traiter la chute des cheveux sans tarder... En associant les traitements oraux et locaux, on peut agir efficacement sur la santé du cuir chevelu, freiner la chute des cheveux et même stimuler leur repousse. Au quotidien, "les soins cosmétiques peuvent contribuer à renforcer la tige pilaire afin qu’elle soit plus forte et résistante", ajoute la dermatologue.
On associe traitement hormonal et soins spécifiques anti-âge :Le profil hormonal se masculinise, c’est-à-dire que l’on perd des œstrogènes alors que le taux d’androgènes se maintient. Cette modification entraîne une perte de cheveux, notamment parce que leur durée de vie se raccourcit : elle passe de quatre ou six ans à deux ou trois ans. Toutes les femmes ménopausées ne sont pas concernées, car tout dépend du capital génétique et de la sensibilité aux récepteurs des androgènes.Comment on s’en aperçoit ? La chute se localise sur le sommet de la tête, la repousse est plus lente et le cheveu s’affine (son diamètre passe de 80 à 40 microns), parfois un simple duvet remplace ce qui est tombé.Ça dure combien de temps ? Si l’on ne fait rien, la (...) Lire la suite sur TopSante.com

mardi 25 septembre 2012

Que faire de la dépouille de mon animal ?

La douleur ressentie à la mort de votre animal ne doit pas vous faire oublier un élément essentiel : la gestion de sa dépouille est très réglementée en France. Pouvez-vous l'enterrer dans le jardin ? Devez-vous l'incinérer ou le confier à un vétérinaire ? Réponses.
D'une manière générale, si votre animal pèse plus de 40kg, vous devez contacter les services d'équarrissage. Selon le Code Rural en effet, vous ne pourrez ni l'enterrer, ni le faire incinérer. Ce texte stipule qu' « il est interdit d'enfouir, de jeter en quelque lieu que ce soit ou d'incinérer les cadavres d'animaux ou lots de cadavres d'animaux pesant au total plus de 40 kg ».
Dans le jardin ? Si votre animal pèse moins de 40 kg, vous pouvez l'enterrer dans le jardin sous certaines conditions : le trou doit être profond d'au moins 1,20 mètre et se situer à minimum 35 mètres de toute habitation ou point d'eau. Mettez-le en terre avec de la chaux vive, disposée sous et sur sa dépouille. Cette substance accélère la dénaturation de la matière. Le sol l'absorbera ainsi plus rapidement. Et munissez-vous de gants car ce produit est corrosif.
L'incinérer ? Vous pouvez également faire incinérer votre animal de compagnie (de moins de 40kg). Il existe des sociétés spécialisées. Elles vous proposeront notamment une incinération au choix, individuelle ou collective. Voire accompagnée dans certains cas, avec par exemple la mise à disposition d'une salle des adieux, pour se recueillir et d'un salon durant la crémation. A la moindre question, interrogez votre vétérinaire. Il saura vous guider.
Au… cimetière ! Sachez effectivement qu'il existe des cimetières animaliers. Il y en aurait une vingtaine en France, dont la liste est disponible sur le site de la Fondation 30 millions d'amis. Dans tous les cas, à la moindre question, contactez votre vétérinaire, les services d'équarrissage ou la direction départementale des services vétérinaires (DDSV).

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lundi 24 septembre 2012

Régime : comment éviter les dérapages

C’est gras, c’est sucré, on y revient sans faim… puis on culpabilise. Les conseils de la diététicienne pour éviter ces petits dérapages.
« Il faut déjà observer quand cela se produit, explique Valérie Legrand, diététicienne. Vers 18-19 heures après le travail, quand on est fatigué et qu’on a un peu faim, l’organisme recherche une source d’énergie rapidement disponible et nous fait choisir ce qu’on a sous la main : bonbons, petits gâteaux, chocolat… Il s’agit d’une réponse physiologique à la faim ou à la fatigue. »Principal souci : composés surtout de glucides purs ou d’un mélange glucides-lipides, ces aliments nous incitent à manger beaucoup avant d’être rassasié. De plus, ils se consomment rapidement. Le sucre et le gras appelant le sucre et le gras, on se ressert. Et si jamais le stress de la journée s’en mêle, on est sûr d’arriver à la fin du paquet.Pour fabriquer des endorphines« L’organisme cherche une façon de fabriquer des neuromédiateurs type endorphines, qui procurent une sensation de bien-être et d’euphorie. L’aliment sur lequel on jette son dévolu devenant source de plaisir, il nous fait sécréter ces hormones. »Autre situation : celle où l’on s’est restreint, volontairement ou non. C’est le cas si on n’a pas eu le temps de petit-déjeuner, si l’on a juste avalé un sandwich à midi, ou que l’on fait un régime trop strict. « Quand l’organisme ne reçoit pas assez d’énergie, il essaie d’en trouver à la première occasion, explique Valérie Legrand. Face à un aliment qui, en plus, lui procure du plaisir, il ne va pas vouloir s’arrêter. L’attention pour tout ce qui se mange redouble et le plaisir en est augmenté d’autant. »
Aujourd’hui, la plupart des femmes sont en « restriction cognitive », c’est-à-dire qu’elles s’interdisent certains aliments, pensant qu’ils vont les faire grossir.« Psychologiquement, cela crée une frustration. Le jour où on brise cette interdiction, on a tendance à finir le paquet en se disant qu’on n’aura pas l’occasion de s’en offrir (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 23 septembre 2012

Contraception : la pilule, en perte de vitesse, notamment à cause de son coût

Selon les premiers résultats d'une enquête Fecond Inserm-Ined publiés mercredi, la pilule reste la principale méthode de contraception utilisée par les Françaises. Toutefois, son usage aurait légèrement diminué depuis les années 2000 en particulier chez les 20-24 ans. Une baisse qui s'expliquerait en partie par un coût trop élevé.
Depuis la légalisation de la contraception en 1967, l'usage de la pilule n'a cessé d'augmenter en France. Pourtant, il semblerait aujourd'hui qu'elle soit en perte de vitesse. En effet, les premiers résultats de l'enquête Fecond menée par l'Inserm et l'Ined révèlent que la pilule est toujours le principal moyen de contraception mais aussi qu'elle connait depuis les années 2000, une diminution de son usage. Si les statistiques indiquent qu'une femme de 15-49 ans sur deux l'utilisaient en 2010, ils précisent également que la proportion d'utilisatrices a légèrement diminué de 4,6 %.
"Cette baisse est dans l'ensemble compensée par l'adoption des nouvelles méthodes hormonales, sauf chez les 20-24 ans et notamment les moins diplômées d'entre elles", soulignent les responsables scientifiques Nathalie Bajos (Inserm) et Caroline Moreau (Ined, institut national d'études démographiques) citées par l'AFP. Les nouvelles méthodes évoquées font référence à l'implant, l'anneau vaginal ou encore le patch contraceptif, diffusés au cours de la dernière décennie et qui étaient utilisés par 4% des femmes en 2010. Dans le détail, l'implant est le plus utilisé (2,6% des femmes de 15-49 ans), devant l'anneau vaginal (1,0%) et le patch contraceptif (0,4%).
Néanmoins, comme l'ont souligné les deux responsables, le recours à la pilule a diminué de façon différente selon l'âge des femmes. Ainsi, chez les jeunes de 18-19 ans, la baisse (- 4,4 %) s'accompagne d'un recours plus fréquent au préservatif et aux nouvelles méthodes hormonales. De (...) Lire la suite sur maxisciences.com

samedi 22 septembre 2012

Dès 60 ans, l'alcool favorise les hémorragies cérébrales

La consommation de quatre verres par jour atrophie et fragilise le cerveau.
Ils n'ont que 60 ans et pourtant, au scanner, leur cerveau donne l'impression qu'ils en ont 14 de plus. Ils, ce sont les 137 patients d'un groupe de 540 malades hospitalisés pour un accident vasculaire cérébral (AVC) hémorragique dans l'unité neuro-vasculaire du CHRU de Lille. Leur particularité: ils boivent au moins quatre verres d'alcool par jour (verre standard correspondant à une dose d'environ 10 grammes d'alcool pur).
Leur bilan sanguin est normal (même s'il flirte parfois avec les limites de normalité ) mais pour leur cerveau c'est une autre histoire. «Ils ont un vieillissement cérébral accéléré», observe sobrement le Pr Charlotte Cordonnier, qui a dirigé l'étude. Pourtant, «tous ne sont pas alcooliques et la plupart ne se considèrent pas comme tel», précise-t-elle. C'est l'un des résultats les plus étonnants de l'étude lilloise: la consommation régulière d'alcool, même à des niveaux encore loin de l'alcoolisme avéré, abîme les artères cérébrales au point de provoquer un accident brutal. Chaque année en France, 100.000 personnes sont victimes d'un AVC mais c'est la première fois que les chercheurs se focalisent sur les hémorragies.
Car il y a deux sortes de lésions possibles des artères du cerveau: soit elles se bouchent et causent un infarctus cérébral, ou ischémie, soit elles se rompent, entraînant une hémorragie. «Dans 80 % des cas, c'est une artère qui se bouche,le risque de mourir est alors compris entre 10 et 13 %, explique le Pr Cordonnier. Mais s'il s'agit d'une hémorragie, la probabilité est de plus de 40 %.» En pratique, il est impossible de distinguer d'emblée la cause de l'AVC d'après les symptômes, puisque ce sont les mêmes (perte d'une ou plusieurs fonctions de l'organisme: mouvement, parole, vision, etc.) liés au manque d'oxygène dans la zone qui n'est plus nourrie par l'artère lésée. Mais la prise en charge sera très différente selon que l'on se trouve dans l'un (...)
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vendredi 21 septembre 2012

Perte de poids: les aliments 0 kilo de l’automne

Avec l’arrivée de l’automne, on en profite pour remplir son caddie de délicieux produits light, gorgés de vitamines et bons pour la santé. Zoom sur ces aliments 0 kilo à déguster sans compter !
Riches en eau, en protéines et en minéraux, les champignons ne contiennent que très peu de calories (seulement 20 calories pour 100g). Champignons de Paris, cèpes, pleurotes, trompettes de la mort, les champignons contiennent en outre du sélénium fortement antioxydant et du cuivre, qui favorise le bien-être intestinal. Pour un ventre plus plat ! La recette minceur : champignons sautés au currySaupoudrez des champignons de Paris d’une cuillère à soupe de curry en poudre. Salez, poivrez et faites-les dorer dans une poêle chaude additionnée d’une cuillère à soupe d’huile d’olive. Servez parsemé de persil frais ciselé.A lire aussi:Champignons : gare à l'intoxication !video_minute
Peu calorique (moins de 20 calories au 100g), le céleri branche est aussi très riche en fibres. Rien de tel que de croquer un morceau de cèleri frais pour caler un petit creux ! Savez-vous par ailleurs que le cèleri branche est réputé favoriser l’élimination de la cellulite et activer le métabolisme des graisses ? Un légume vraiment diurétique à mettre entre toutes les dents !La recette minceur : cèleri à la croque pour l’apéroPréparez une petite sauce minceur en mélangeant 100g de fromage blanc 0% avec 1 cuillère à café de moutarde, quelques feuilles de persil finement ciselé, du sel et du poivre. Ajoutez éventuellement un peu de curry ou quelques gouttes de jus de citron. Servez avec du cèleri branche et des carottes coupés en bâtonnets.
Sans aucun doute l’un des fruits les plus malins de l’automne, la pomme n’a pas son pareil pour doper un régime minceur. Riche en pectine, elle est parfaite pour caler un petit creux sans excès de calories. Et quand on sait qu’elle est aussi bourrée de vitamines, de fibres et facile à digérer, on aurait tord de s’en priver !La recette minceur : les chips (...) Lire la suite sur TopSante.com

mercredi 19 septembre 2012

Pourquoi les femmes prennent du ventre à la cinquantaine

À la ménopause, un enzyme déclencherait le stockage des graisses.
À la ménopause, la répartition des graisses se modifie dans le corps des femmes: moins dans les cuisses ou les fesses mais plus dans l'abdomen, donnant naissance à ce que les médecins appellent l'obésité abdominale. C'est une injustice flagrante, mais cela pourrait bientôt changer. Des chercheurs américains publient dans le dernier numéro de la revue internationale Diabetes la preuve, chez la souris, qu'un enzyme, la ALDH1A1, est peut-être la clé du mys­tère. Quand on retire cet enzyme chez une souris génétiquement modifiée, même une femelle soumise à un régime riche en graisses ne grossit pas. D'où le rêve de bloquer l'enzyme.
On distingue deux types d'obésité abdominale, celle qui se produit juste sous la peau, l'obésité sous-cutanée réputée moins dangereuse pour la santé, et celle qui se produit en profondeur jusqu'à l'intérieur du ventre, l'obésité viscérale, qui joue un rôle dans de nombreuses maladies, notamment le diabète, les maladies cardio-vasculaires et certains cancers (côlon, sein). Avant la ménopause, l'activité de l'enzyme responsable de l'obésité viscérale est freinée par les hormones féminines.
En juin dernier, le Pr Jorge Plutzky et son équipe de Harvard (États-Unis) soulignaient aussi dans la revue Nature Medicine les implications thérapeutiques de l'enzyme ALDH1A1 dans la plasticité des adipocytes, les cellules qui stockent les graisses. L'université de l'Ohio a, quant à elle, déjà testé avec succès des cellules sans ALDH1A, insérées dans l'abdomen de souris, afin de favoriser la consommation des graisses.
Peut-on extrapoler des souris aux femmes? Le Dr Ouliana Ziouzenkova, professeur de nutrition à l'Université de l'Ohio (États-Unis), qui dirige ces recherches, a confié son optimisme au Figaro: «D'une part, l'enzyme ALDH1A1 s'exprime de la même façon chez les femmes et chez la souris. D'autre part, les femmes qui sont obèses en possèdent plus que celles qui ont un poids (...)
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mardi 18 septembre 2012

Minceur: 4 astuces pour brûler plus

Nos experts vous expliquent comment brûler plus grâce à de petits trucs très faciles à mettre en place au quotidien.
Cela majore de 30 % la dépense calorique. Si vous marchez dans la demi-heure qui suit le repas, vous brûlez ce qui est nécessaire à la marche, mais vous élevez l’effet thermique de la digestion et la chaleur du corps, ce qui réduit d’autant la valeur du repas.Dr Pierre DukanA lire aussi:Minceur : on brûle les graisses avec la marche nordiquevideo_minute5 conseils pour se remettre au sport
Vous dînez au restaurant ? Le lendemain matin, à jeun, effectuez une séance de marche active de 30 minutes. Super-efficace pour puiser instantanément dans les réserves de graisses de l’organisme et compenser l’écart de la veille.Cécile GuionnetA lire aussi:Méthode Orsoni: un corps plus ferme grâce à la gym sans contraintes
L’idée : marcher à vive allure pendant 20 à 25 minutes, équipée de chaussures plates, quitte à laisser ses talons au bureau et à les remettre le lendemain matin. Cherchez l’appui le plus loin possible, en déroulant bien le pied et en maintenant le buste droit. Ce type de marche brûle davantage de calories qu’un jogging à petite allure, renforce le gainage et favorise le retour veineux.José SanchezA lire aussi:Gym anti-cellulite: la marche
Dès le saut du lit, utilisez cet outil qui calcule le nombre de pas que vous effectuez : vous serez surprise au début (sachant qu’il faut faire au moins 5 000 pas par jour). Comme c’est assez ludique et que vous pouvez mesurer vos progrès, vous allez marcher de plus en plus : un vrai booster de pas, donc de dépense énergétique !Valérie LesportA lire aussi:Détox: chaque jour, je marche d’un bon pas

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lundi 17 septembre 2012

C'est  la journée mondiale contre la maladie d'Alzheimer, promenade guidée dans un "jardin des sens", espace de sérénité et de réminiscences

Ça sent la soupe… » « Non, les pâtes au pistou… »Chacune des résidentes de la Fondation Pauliani à Nice y va de son ressenti, lorsqu'on lui fait humer des feuilles de basilic. Nous sommes dans le « Jardin des sens » de cet EHPAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes), l'un des plus importants de la région avec une capacité d'accueil de 214 personnes (1). Près de 60 % d'entre elles, ici comme dans la plupart des EHPAD, sont atteintes de formes modérées à sévères de la maladie d'Alzheimer. Et c'est justement dans un secteur réservé à ces résidents que nous nous trouvons. « Conformément aux recommandations de la HAS (Haute autorité de santé), les patients les plus sévères n'ont plus de traitements médicamenteux », précise le Dr Jean-Luc Philip, gériatre et médecin coordonnateur de l'établissement.

Ce sont les autres approches qui constituent dès lors le pilier de la prise en charge : « Les preuves s'accumulent pour démontrer les bienfaits de la stimulation cognitive,souligne Nasser Bouguerra, psycho gérontologue. Dans un environnement sécurisant, comme celui-ci, le contact avec la nature suscite des émotions qui vont elles-mêmes permettre aux souvenirs heureux de ressurgir. Il ne s'agit pas d'agir sur la performance de la mémoire mais de produire du bien-être, de la tranquillité, alors que l'angoisse est très présente. »

Recréer du lien

Les sourires que nous croisons racontent cette sérénité. « Avant d'arriver ici, la plupart de ces personnes vivaient à domicile, recluses, souvent prostrées et silencieuses… »Même si la parole est encore hésitante, ou difficilement compréhensible, les manifestations d'intérêt qui se lisent sur les visages permettent de recréer du lien avec l'environnement. « Pour les familles, qui souffrent de l'éloignement généré par la maladie, ces manifestations recréent du lien, favorisent les échanges », analyse le Dr Philip.

Nous retrouvons Madeleine, le visage penché vers la main de Nasser Bouguerra. « Quelle est cette plante, Madame ? » La réponse de la vielle dame prend la forme d'un grand sourire, plein d'appétit… « Hum… » « Alors, c'est quoi ? »,insiste le professionnel…« De la lavande ! » Trois petits mots qui résonnent comme une grande victoire.

1. Ce jardin paysager conçu avec des revêtements de sols différents, comprend un parterre de plantes aromatiques, un puits et un jardin potager surélevé. Cet espace multi-sensoriel est synonyme d'apaisement pour les patients.
 

dimanche 16 septembre 2012

Ménopause : pourquoi survient-elle plus tôt chez les fumeuses ?

C'est désormais bien connu, tabac et fertilité ne font pas bon ménage. Chez la femme, le tabagisme avancerait l'âge de la ménopause, d'environ deux à trois ans. Et pour cause, les œstrogènes le détestent. Explications.
Le tabagisme induit un phénomène quasi-permanent d'oxydation. Ce stress oxydatif est responsable d'une baisse de la qualité des œstrogènes, l'hormone féminine. Ce processus altère donc le fonctionnement ovarien par son effet anti-œstrogène. C'est pourquoi les fumeuses sont ménopausées en moyenne, un à deux ans avant les non-fumeuses.
La bonne nouvelle tient toutefois aux bénéfices… du sevrage. Le simple fait d'arrêter de fumer facilite en quelque sorte, le retour à la situation antérieure. Et permet d'éviter l'apparition d'une ménopause précoce.

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samedi 15 septembre 2012

5 remèdes santé à dénicher dans la cuisine

Vous avez sûrement dans votre placard de cuisine du café, du thé ou du piment de Cayenne. Mais savez-vous que vous pouvez vous en servir pour guérir tout un tas de petits bobos du quotidien ? Maux de tête, aphtes ou douleurs : découvrez ces ingrédients magiques à avoir toujours sous la main !
C’est le scénario classique de l’été : des piqûres de moustiques qui démangent terriblement mais aucune crème sous la main pour les apaiser efficacement. Dans ce cas, le vinaigre blanc est le remède qu’il vous faut : riche en acide acétique, il calme les démangeaisons en quelques minutes. Grâce à lui, terminées les démangeaisons !Le remède : En cas de piqures, appliquez du vinaigre blanc pur à l’aide d’une compresse généreusement imbibée, patientez quelques minutes et renouvelez 2 à 3 fois par jour. La bonne nouvelle : ça marche aussi pour les piqûres de guêpes !A lire aussi:5 remèdes de grand-mère avec le vinaigre de cidre
Aïe, les aphtes ! Si vous avez abusé des noix et que celles-ci ont laissé des traces dans votre bouche, pensez au thé ! Les tanins contenus dans le thé (surtout dans le thé vert) ont en effet des vertus astringentes. Ils assèchent les aphtes, soulagent la douleur causée par la lésion et facilitent leur disparition. Le remède : Faites tremper un sachet de thé, pressez-le pour enlever l’excédent d’eau. Appliquez-le ensuite directement contre l’aphte, comme un cataplasme. Répétez chaque jour jusqu’à ce que l’aphte ait totalement disparu.A lire aussi:Peut-on se débarrasser des aphtes?
Il fallait y penser : le piment de Cayenne aide à calme les douleurs. Pourquoi ? Parce qu’il contient un actif appelé capsaïcine, qui possèderait un effet analgésique et permettrait, selon des études allemandes et anglaises, d’atténuer les douleurs articulaires (arhtrose…) ainsi que certaines douleurs musculaires.Le remède : mélangez une petite cuillère à café de piment de Cayenne en poudre avec une cuillère à café d’huile végétale. Mélangez soigneusement, appliquez sur (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 14 septembre 2012

Tachycardie : les 5 causes qui font battre le coeur trop vite

Les palpitations rapides que l’on ressent correspondent à ce que les médecins appellent une tachycardie. Selon sa cause, elle peut être régulière ou non, permanente ou non.
En période de stress intense, les glandes surrénales sécrètent des substances qui augmentent le rythme cardiaque. L’accélération peut être brutale, mais le cœur revient spontanément à la normale de façon progressive. Des palpitations s’observent également en cas de sédentarité : le cœur s’accélère alors au moindre effort, par manque d’entraînement. La prévention : Une activité physique régulière permet de réguler le système nerveux autonome, ce qui a tendance à ralentir le cœur et à éviter les accélérations trop rapides. >> A découvrir aussi : Anxiété : 3 solutions naturelles pour rester zen
L’accélération du cœur est liée à l’existence d’une anomalie électrique située le plus souvent dans l’oreillette droite. C’est un phénomène fréquent chez les personnes âgées qui ont alors le cœur qui bat en permanence à 150 battements par minute. D’où l’essoufflement. Le traitement : des médicaments anti-arythmiques tous les jours, qui seront le plus souvent à prendre à vie. Ils sont efficaces dans 70 % des cas. Les médecins ont le choix parmi quatre classes de médicaments (flécaïnide et propafénone ; bêtabloquants ; amiodarone et sotalol et calcium bloqueurs). Tous peuvent entraîner des effets secondaires limitant parfois leur utilisation. Une surveillance régulière du traitement est donc nécessaire. Une petite intervention si cela n’est pas suffisant : sous anesthésie locale, on monte une sonde dans le cœur en passant par les veines et on applique un courant de radiofréquence ou du froid (cryothérapie) qui va brûler la petite zone à l’origine de la tachycardie. Deux à quatre jours d’hospitalisation sont nécessaires.>> A découvrir aussi : Les meilleurs sports pour entretenir votre coeur
Cette accélération du cœur est souvent due à l’existence d’un circuit électrique anormal situé à la (...) Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 13 septembre 2012

Mort subite : un "accident" qui tue plus de 1.000 sportifs par an en France

Dimanche, le footballeur suédois Victor Brännström est décédé en plein match alors qu'il venait de marquer un but. Âgé de 29 ans, il pourrait avoir été victime d'un arrêt cardiaque à l'instar de l'Italien Piemario Morosini, également décédé lors d'un match en avril dernier. Aujourd'hui, ce type de mort subite tue chaque année des centaines de sportifs, poussant les spécialistes à émettre des recommandations.
C'est un nouveau drame qu'a connu ce week-end le monde du football. Dimanche, lors d'un match de 2e division suédoise, l'un des joueurs de l'équipe de Piteaa s'est effondré alors qu'il venait tout juste de marquer un but. Seulement âgé de 29 ans, Victor Brännström a perdu connaissance et n'a pu être réanimé par les services de secours. Si l'on ignore encore les causes de sa mort, les médecins soupçonnent qu'il ait été victime d'un arrêt cardiaque comme l'avait été en avril dernier, le joueur italien Piermario Morosini, également décédé.
Comme le révèlent ces accidents à répétition, les cas de mort subite de sportifs sont de plus en plus nombreux aujourd'hui. Toutefois, ils sont loin de ne toucher que les athlètes de haut niveau bien au contraire. D'après l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), plus de 1.000 sportifs mourraient de manière soudaine au cours de leur pratique chaque année en France. Un chiffre qui a de quoi inquiéter, d'autant plus que certains de ces décès pourraient être évités en étant plus vigilant et en respectant certaines règles. Dans plus de 90% des cas, les décès sont dus à des problèmes cardiaques restés insoupçonnés jusque là.
Si des facteurs de risque existent tels que l'obésité, le cholestérol ou le tabagisme, il n'est bien entendu pas évident de détecter de tels problèmes chez quelqu'un qui semble être en bonne santé. Néanmoins, certains signes peuvent en témoigner tels qu'un essouflement ou des (...) Lire la suite sur maxisciences.com

mercredi 12 septembre 2012

5 idées reçues sur le café

Il permettrait de vivre plus longtemps, de réduire les risques d'AVC chez les femmes et protègerait la mémoire. Mais les vertus que l'on prête au café sont-elles toutes réelles ?
Faux Seuls 10 à 20% de consommateurs semblent gênés par l'arrêt de la consommation de caféine. Il n'existe en tout pas de syndromes de manque analysés scientifiquement. Les plus gros buveurs de café peuvent ressentir des maux de tête et parfois de l'irritabilité.>> A découvrir aussi : Café : 3 tasses par jour pour vivre longtemps
VraiEn effet, le café permet de combattre la constipation et pourrait éviter la formation de calculs dans la vésicule biliaire.Mais, au fait, connaissez-vous votre consommation quotidienne de caféine ?>> A découvrir aussi : Digestion : les 8 aliments anti-brûlures d'estomac
Vrai La caféine diminue la fatigue, améliore l'état respiratoire et augmente la capacité de contractions musculaires. Que d'atout pour les sportifs ! La caféine était même, jusqu'en 2004, considérée comme produit dopant!>> A découvrir aussi : Les meilleurs sports pour entretenir votre coeur
VraiToutes les boissons contenant de la caféine sont à proscrire pendant un traitement antibiotique (en particulier énoxacine, ciprofloxacine) et avec les médicaments contenant de la théophylline (sirop contre la toux, antiasthmatique). >> A découvrir aussi : Médicaments génériques : efficaces ou pas ?
VraiLa caféine est vasoconstrictrice et elle est analgésique (antidouleur) surtout quand elle est consommée avec du paracétamol ou de l'aspirine. Elle diminue l'intensité et la durée des migraines. >> A découvrir aussi : Migraine : peut-on en guérir ?

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mardi 11 septembre 2012

Méfiez-vous du pamplemousse !

Une revue médicale française indépendante affirme que le pamplemousse est fortement déconseillé avec de "nombreux médicaments".
La consommation de pamplemousse "au cours d'un traitement médicamenteux" est fortement déconseillée par la revue médicale française indépendante Prescrire en raison d'interactions possibles avec des "dizaines de médicaments". Le pamplemousse est connu depuis des années pour agir sur le métabolisme de "nombreux médicaments" avec des effets indésirables graves parfois observés, souligne cette revue dans son numéro de septembre.
Des dizaines de médicaments sont concernés par ces possibles interactions avec l'agrume. Parmi ceux-ci : les statines contre le cholestérol, les benzodiazépines (tranquillisants), les immunodépresseurs (inhibiteur du système immunitaire) ou encore les inhibiteurs calciques, substances utilisées pour traiter des troubles cardiaques. "La gravité des quelques observations publiées est à elle seule une bonne raison de ne pas consommer du pamplemousse, notamment du jus de pamplemousse, au cours d'un traitement médicamenteux", juge la revue dans un communiqué.
Nombreux effets indésirables
On ignore les mécanismes précis expliquant ces interactions. De nombreuses substances présentes dans le pamplemousse ont été mises en cause. D'après certaines "hypothèses", le pamplemousse provoquerait l'inhibition d'enzymes qui habituellement métabolisent les médicaments, conduisant à des risques de surdosage. Dans d'autres cas, plus rares, on observe au contraire une diminution de la concentration de substances médicamenteuses dans le sang, ce qui nuit à l'efficacité du produit. Les effets indésirables observés peuvent être graves : destruction musculaire (rhabdomyolyse), insuffisance rénale aiguë, tremblements invalidants, chocs hémorragiques, avec "parfois une évolution mortelle", selon la revue.
Alors que le rôle (...) Lire la suite sur LePoint.fr

dimanche 9 septembre 2012

Bedaine ou petit bidon abdominal : réagissez, ça peut être dangereux

L'excès de graisse abdominale chez des personnes de poids normal augmente les risques de maladies cardiovasculaires.
Mauvais nouvelle pour les amateurs de bières. La bedaine ou les "abdos Kro" sont plus mauvais pour la santé que ce qu'on pouvait imaginer. Une étude scientifique américaine révèle en effet que l'excès de graisse abdominale chez des personnes de poids normal peut entraîner un risque accru de maladies cardiovasculaires. Mais ce qui surprend particulièrement, c'est qu'une personne de poids normal munie d'une bonne bedaine court plus de risques sur sa santé qu'un obèse. Une information qui pourrait changer la prise en charge des maladies cardiovasculaires. L'idée selon laquelle ces troubles touchent principalement les personnes obèses est en effet extrêmement répandue.
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs de la Mayo Clinic de Rochester dans le Minnesota se sont intéressés à l'indice de masse corporelle (IMC) de 12 800 personnes âgées de 44 ans en moyenne, mais aussi au rapport entre la circonférence de la taille et celle des hanches, qui permet notamment de relever la répartition des graisses au niveau abdominal d'une personne.
Après quatorze années d'étude, les scientifiques montrent donc que le risque de maladies cardiovasculaires mortelles est 2,75 fois plus élevé chez quelqu'un de poids normal mais ayant un fort rapport taille-hanche, donc un excès de graisse abdominale, que chez une personne de poids normal. Or, la surmortalité des individus obèses est 2,34 fois plus élevée, donc moindre que les personnes de poids normal, mais avec un excès de graisse abdominale. Les scientifiques expliquent cela par la localisation de la masse graisseuse, qui s'accumule au niveau de l'abdomen chez les individus à l'IMC normal, mais se répartie aussi bien dans les jambes et les hanches chez les obèses.


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samedi 8 septembre 2012

Phytothérapie : la rose, un bon revitalisant

Célébrées pour leur beauté, recherchées pour leurs arômes, les roses cachent aussi des trésors médicinaux. Apprenez à repérer et à utiliser les variétés qui vous soigneront.
L’huile végétale de rose musquée du Chili est très riche sur le plan nutritif car ses graines détiennent un fort taux d’oméga-3 et 6. Ces derniers permettent à la peau de se régénérer et ainsi de lutter contre les rides et d’aider à la cicatrisation. Cette huile est très efficace contre les vergetures de la grossesse. Les acides gras polyinsaturés protègent aussi le système nerveux, lui permettant de mieux supporter les états de stress. « Ajoutez une cuillère à café sur les crudités durant 2 à 3 semaines pour profiter de ses effets », conseille Franck Dubus, docteur en pharmacie et formateur en plantes médicinales.L’huile essentielle de rose de Damas exerce une action régulatrice du sébum permettant à l’épiderme de garder son élasticité. Elle est également astringente et raffermissante pour les peaux matures. Enfin, la présence d’alcool, comme le citronellol, dans sa composition favorise la cicatrisation. En sérum, elle s’emploie sur les peaux dévitalisées. En eau florale, elle est idéale comme tonique matinal. >> A découvrir aussi : La spiruline, votre complément vitalité de la rentrée
« L’huile essentielle de rose de Damas agit sur le système nerveux sympathique en stimulant le nerf olfactif, sans même l’appliquer sur la peau », explique Franck Dubus. Elle met les sens en éveil et favorise la concentration. « Elle est souvent utilisée en diffusion pour méditer, poursuit notre expert, mais également en cas de baisse de moral, contre les troubles émotionnels de la ménopause. Appliquée en massage, cette huile essentielle est aussi réputée comme aphrodisiaque, à raison de 2 gouttes mélangées à une huile végétale. »Comment la choisir ?- Évitez les produits à base de rose de synthèse. Préférez ceux portant la mention « huile essentielle » ou « eau florale » ou « hydrolat » selon le (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 7 septembre 2012

Pourquoi les bébés pleurent

Moins de 5 % de leurs cris ont pour origine une vraie pathologie. La principale fonction des pleurs pourrait être de créer des liens d'attachement entre la mère et l'enfant.
Ils inquiètent, irritent, épuisent et enferment nombre de parents dans un terrible sentiment d'impuissance. Les pleurs du nourrisson constituent un des premiers motifs de consultation dans les premiers mois de vie d'un enfant, mais aussi la principale cause d'appels à la ligne de soutien Allo Parents Bébé.
De tout temps, les familles se sont interrogées sur la meilleure façon de répondre à ces cris, que les médecins ont encore le plus grand mal à expliquer. «La plupart des pleurs excessifs n'ont aucune cause médicale identifiée, remarque le Dr Gisèle Gremmo-Feger, au CHU de Brest. Faute d'explication, les pédiatres les attribuent souvent à une colique ou à un reflux gastro-œsophagien . En réalité, moins de 5 % des pleurs ont pour origine une vraie pathologie.»
Immature et dépendant Selon les études pédiatriques, de 10 à 30 % des nourrissons pleureraient de manière excessive - ou jugée telle par leurs parents. Ces cris, plus ou moins consolables, surviennent en général dès la deuxième semaine de vie, culminent entre 6 et 8 semaines (lors de ce pic, un quart des bébés pleurent plus de 200 minutes par jour) puis s'atténuent et disparaissent vers l'âge de 5 mois, sans entraîner de conséquence sur le développement ultérieur.
«Ces cris correspondent à une phase normale du développement», assure Philippe Grandsenne, pédiatre (1). «Quand il vient au monde, le bébé humain est très immature et dépendant, complète Stéphane Clerget, pédopsychiatre (2). Comme d'autres mammifères, il supporte très mal d'être seul. Or, il n'a que ce moyen pour exprimer son mal-être.»
La méthode Ferber critiquée Comment réagir face à ces signes de détresse? Éternellement désemparés par ce phénomène qui reste en grande partie mystérieux, les parents ont tout essayé: bercements, allées et venues dans la (...) Lire la suite sur Figaro.fr

jeudi 6 septembre 2012

Asthme : pour une rentrée en pleine forme

Votre enfant est asthmatique ? Pour préparer au mieux sa rentrée, l'Association Asthme et Allergies vous propose le 7 septembre, un Tchat qui se déroulera de 10 heures à 20 heures sur son site. Profitez-en. Vous pourrez y poser toutes vos questions à des médecins spécialistes de l'asthme.
Dois-je informer l'école ? Comment rendre compatible la scolarité et les traitements ? Le Projet d'Accueil Individualisé (PAI), est-il vraiment utile ? La rentrée souvent, est synonyme de préoccupations pour les parents dont l'un des enfants souffre d'asthme ou d'allergie. L'Association propose donc, à travers l'organisation de son Tchat, de répondre à leurs nombreuses questions.
En parallèle, elle rappelle que les différentes créations présentées à son concours « ASTHME, TRAM, GRAM » devront être déposées avant le 30 septembre 2012. Son thème cette année ? « Et si je n'avais pas d'asthme ? ». Tous les asthmatiques sont appelés à s'y exprimer par l'écriture, le dessin, le collage voire la bande dessinée. Les récompenses consisteront en des cadeaux placés sous le double signe du sport et de la culture.
Aller plus loin :
- Pour poser vos questions le 7 septembre, rendez vous de 10h à 20h sur http://asthme-allergies.org ;
- Pour participer au Concours ASTHME TRAM GRAM, envoyez vos créations à l'Association Asthme et Allergies – 66 rue des Tilleuls 92100 Boulogne-Billancourt ;
- Consultez le site de l'Association Asthme et Allergies sur www.asthme-allergies.org. Vous pouvez également composer le 0800 19 20 21 (Numéro Vert -appel gratuit depuis un poste fixe).

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mercredi 5 septembre 2012

Cinq suspects dans nos maisons

Le Triclosan, une substance chimique présente dans de nombreux produits ménagers, a récemment été désignée comme dangereuse par une étude américaine. Focus sur ces molécules qui nous entourent et qui sont montrées du doigt. Triclosan: Du dentifrice au déodorant, en passant par les laves-mains, le Triclosan est LE produit chimique antibactérien. Une étude, publiée la semaine dernière par l'Académie des Sciences Américaines (PNAS), démontre un impact très négatif sur les organismes vivants. Il aurait des effets sur la tonicité musculaire, ainsi que sur le muscle cardiaque. Par le passé le Triclosan avait déjà été classée comme perturbateur endocrinien. Cette fois, les résultats de l'étude ont d'ores et déjà incité plusieurs grands industriels à retirer cette substance de leurs articles.
Formaldéhyde : Alerte au formaldéhyde à Radio France. Cette substance entre dans la composition des colles à bois utilisées pour les meubles ou les contreplaqués. Ou encore les studios de radio. En mars dernier, le syndicat Unsa s'est alarmé du fait qu'à l'intérieur des locaux de la Maison de la Radio, à Paris, les taux relevés étaient par endroits plus de quatre fois supérieurs à la normale. Les conséquences peuvent être graves : classé comme cancérogène certain par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), une agence de l'Onu, il est susceptible de provoquer des troubles neurologiques, des nausées, des irritations et des allergies. L'Agence Nationale de Sécurité sanitaire de l'Alimentation et du travail (Anses) estime que ce produit doit être classé comme " cancérogène plus sévère à l'échelle européenne ". Il est possible d'éviter le formaldéhyde en privilégiant, par exemple, le bois massif aux dérivés du bois. A Radio France, 28 cellules de montage sont encore fermées et subissent de nouveaux travaux de mise aux normes.
Trichloroethylène: Le Haut Conseil de la Santé Publique (HSCP) s'est très récemment alarmé de la concentration de trichloroethylène (...) Lire la suite sur lexpress.fr

mardi 4 septembre 2012

Un nouvel implant contre l'insuffisance cardiaque

Plusieurs pays d'Europe participent à l'essai d'un implant électrique qui stimule directement un nerf du coeur.
Un nouveau type d'implant électrique contre l'insuffisance cardiaque développé par l'université de Leicester en Grande-Bretagne a été implanté pour la première fois sur un malade britannique. Une intervention chirurgicale qui fait partie d'une procédure d'essai pour évaluer l'efficacité de ce nouvel appareil israélien, qui se branche directement sur un nerf du coeur.
L'insuffisance cardiaque est une maladie extrêmement invalidante qui touche principalement les seniors. Elle peut notamment faire suite à une hypertension artérielle ou survenir après un infarctus du myocarde. Souffle court, fatigue, autant de symptômes handicapants qui résultent des efforts du cœur. Celui-ci a alors tendance à battre plus vite et à grossir. Une hypertrophie qui résout le problème de manière temporaire mais qui devient très vite elle-même source d'aggravation de la maladie. Les malades sont essoufflés pour des efforts de plus en plus minimes et finissement même par l'être au repos.

Réduire la fréquence cardiaque

Dans l'organisme, la fréquence des battements cardiaques, ni trop rapide ni trop lente, résulte entre autre d'un équilibre entre un système nerveux qui accélère (le sympathique) et un système qui freine (le parasympathique). Or, dans l'insuffisance cardiaque, se produirait un excès de fonctionnement du système accélérateur…ou un manque de stimulation du système freinateur parasympathique représenté par le nerf vague. C'est sur ce dernier levier que travaille depuis plus de quinze ans, une équipe de l'Université de Leicester (Royaume-Uni).
Grâce au CardioFit, un nouvel implant électrique produit par la société israélienne BioControl Medical, les chercheurs espèrent maintenir une stimulation du parasympathique et réduire de façon durable la fréquence cardiaque pour améliorer in fine la fonction de celui-ci. Le système, de la taille d'un pacemaker, est donc relié au nerf vague et également au cœur pour contrôler les pulsations. Le Dr André Ng, qui dirige l'étude à l'université de Leicester, se félicite qu'il y ait, «enfin une forme innovante de traitement disponible pour soigner l'insuffisance cardiaque», en complément du traitement habituel.
Déjà 32 patients ont été implantés en Allemagne, Italie ou encore aux Pays-Bas et en Serbie, avec des résultats encourageants. Le cœur semble pomper plus vigoureusement et les symptômes ont diminués. La première opération réalisée en Angleterre a été pratiquée le 23 août dernier au Glenfield Hospital de Leicester par les Dr André Ng et Matt Brow. Elle devrait être suivie de plus de 600 autres à travers le monde pour compléter l'étude. Il s'agit maintenant d'étudier l'efficacité de l'implant sur le long terme et sa bonne tolérance avant d'espérer offrir une réelle alternative aux patients en stades d'insuffisance cardiaque avancée. Les résultats de l'essai sont attendus pour 2018. En France, plus de 20.000 patients décèdent chaque année des suites d'une insuffisance cardiaque selon l'Institut de veille sanitaire.

http://www.lefigaro.fr/sante/2012/08/24/01004-20120824ARTFIG00450-un-nouvel-implant-contre-l-insuffisance-cardiaque.php

lundi 3 septembre 2012

La nouvelle maladie qui inquiète

Elle n’a pas même pas encore de nom mais pour la désigner, l’équipe de chercheurs thaïlandais, taïwanais et les Américains du laboratoire des allergies et des maladies infectieuses du Maryland décrivent ses « symptômes similaires à ceux du sida ». Cette maladie inconnue, une déficience immunitaire soudaine d’adultes qui ne sont pourtant pas porteurs du virus du sida, vient de faire l’objet d’une étude épidémiologique aux résultats significatifs : elle recense une centaine de patients en six mois, pour la plupart d’origine asiatique et âgés d’une cinquantaine d’années, dont l’organisme semble s’être brutalement mis à détruire ses propres interférons, un anticorps qui nous protège contre certains virus, bactéries et autres parasites, voire contre des cellules tumorales.
Les interférons sont d’ailleurs utilisés dans le traitement de maladies virales telles que l’hépatite C, le VIH ainsi qu’en cancérologie.
En tout cas, pour le docteur Sarah Brown, principale auteur du compte rendu publié cette semaine dans le « New England Journal of Medecine », cette maladie étrangement localisée sur le continent asiatique a fait assurément de bien plus nombreuses victimes que la centaine ciblée pendant six mois d’observation. Les premiers cas remonteraient en réalité à 2004, et des centaines, peut-être des milliers d’autres, ont pu faire les frais de « méprises de diagnostic », et seraient passés pour des tuberculoses, ainsi qu’avance la scientifique. La faute à leurs symptômes, tellement semblables à ceux de l’infection pulmonaire beaucoup plus répandue que cette maladie sans nom ni cause. La grande différence, comme l’ont néanmoins constaté les chercheurs, c’est que « l’inconnue » n’est pas contagieuse.
La maladie inconnue s’annonce-t-elle comme un fléau comparable au sida, dont elle reprend aussi les symptômes principaux ? Répondre est l’un des défis des spécialistes de la virologie et de l’immunologie, que ce genre de découverte intrigue.
« C’est un enjeu passionnant, et ce n’est pas la première maladie auto-immune dont l’on ne comprend pas l’origine! », s’enthousiasme le professeur Didier Raoult, directeur de l’unité de recherche en maladies infectieuses et tropicales émergentes (Urmite) de Marseille, en rappelant « l’un des exemples les plus connus, le lupus », (NDLR : dont le nom vient des lésions dermatologiques qu’elle provoque au visage, en forme de masque de loup) qui a fait l’objet de dizaines de milliers de travaux et qui reste un mystère. « L’étude est pour nous le début d’une histoire, estime le professeur Raoult. Pour l’instant, nous avons la description de quelque chose, alors on va tâcher d’évaluer sa gravité, son ampleur, son mode de déclenchement, de savoir si elle est spécifique à cette région d’Asie ou si on la rencontre partout dans le monde, de savoir si elle a fait des morts, etc. Et comme en plus, il y a des chances que l’on puisse y trouver un traitement, c’est fantastique », prédit-il. Dans son unité, une
épidémiologique va être menée. « Nous allons mener des tests auprès de personnes montrant les mêmes symptômes et non porteurs du VIH, pour savoir s’il y a des cas en France », explique Didier Raoult.
Identifier la cause de la maladie inconnue reste plus aléatoire. « Chaque époque a ses peurs, souligne le scientifique, et lorsqu’on ne peut expliquer quelque chose, dans notre société où l’on veut tout expliquer, on fait souvent de ces peurs des causes de maladies. » Or, rien ne permet de mettre en cause l’environnement, la génétique ou tout autre facteur.


http://www.leparisien.fr/societe/la-nouvelle-maladie-qui-inquiete-26-08-2012-2137468.php

dimanche 2 septembre 2012

La réapparition insidieuse de la coqueluche

Royaume-Uni, États-Unis, Pays-Bas
plusieurs pays développés font face à de brutales poussées épidémiques.
La coqueluche est responsable de 300.000 morts chaque année dans les pays en développement, faute de vaccination suffisante, mais voilà que la maladie semble reprendre une certaine vigueur dans les pays développés.
Ainsi, les États-Unis sont-ils confrontés à ce qui pourrait bien être leur plus importante épidémie de coqueluche depuis cinquante ans. D'où l'inquiétude du Pr James Cherry, relayée par l'édition en ligne de l'une des plus prestigieuses revues médicales internationale, le New England Journal of Medicine , le 15 août dernier. Le spécialiste américain de la maladie se demande même si cette résurgence ne viendrait pas d'une baisse d'efficacité du vaccin utilisé: «Les épidémies majeures en 2005, en 2010 et maintenant en 2012 invitent à se préoccuper des échecs du vaccin diphtérie, tétanos et coqueluche acellulaire», écrit-il.
L'épidémie reste cependant bien au-dessous de celles de l'époque prévaccinale qui voyaient survenir plus de 270.000 infections et 10.000 morts environ chaque année, aux États-Unis. Il n'empêche que certains voyants sont passés à l'orange outre-Atlantique: le nombre d'infections ne cesse de croître et les décès se multiplient. La coqueluche regagne lentement du terrain: depuis le plancher de 1000 cas qui avait été observé en 1973, on est passé à 11.000 cas en 2003, et déjà à 21.000 depuis le début de cette année. Et, surtout, une épidémie sans précédent a, il y a deux ans, entraîné la mort de dix nourrissons en Californie . L'efficacité vaccinale était là encore mise en cause.
En Grande-Bretagne aussi, on s'inquiète. Les autorités recensent 2466 cas depuis le début de l'année, contre 311 à la même époque l'année dernière. Cinq bébés sont déjà morts cette année et les parents de l'un d'entre eux, qui avait contracté l'infection à l'âge de 1 mois avant de décéder après deux semaines en réanimation, ont (...) Lire la suite sur Figaro.fr

samedi 1 septembre 2012

La ménopause, un bienfait pour les petits-enfants !

Une étude surprenante prétend qu'une ménaupose précoce pacifie les relations familiales et serait bénéfique à l'enfant. Explications.
À la différence de ce que l'on observe chez la plupart des mammifères, la vie reproductive des femmes s'arrête aux alentours de la cinquantaine, donc en général plusieurs décennies avant la fin de leur existence. La justification de la ménopause est une question qui taraude les scientifiques depuis longtemps. Les résultats d'une étude menée par des chercheurs de quatre universités - une en Finlande (Turku), deux au Royaume-Uni (Exeter et Sheffield) et une aux États-Unis (Stanford) -, repris par le Quotidien du Médecin sur son site internet, apportent un élément de réponse.
D'emblée, il est précisé que les études sur ce sujet sont difficiles à mener car elles nécessitent de recueillir des informations sur plusieurs générations de femmes, tout en sachant qui a vécu avec qui, à quelle période, combien d'enfants sont nés et l'avenir de ces derniers. Cette fois, les auteurs ont analysé les données collectées par Virpi Lummaa (Sheffield) et Mirkka Lahdenperä (Turku) à partir de registres des églises de l'ère pré-industrielle de Finlande. Ils ont ainsi disposé d'informations concernant les taux de naissance et de décès entre 1700 et 1900 (donc bien avant la contraception moderne et les progrès de l'obstétrique).
Apaisement des relations belle-mère, belle-fille
Leur analyse révèle que les femmes avaient plus de petits-enfants si elles arrêtaient de se reproduire aux alentours de 50 ans. Les chercheurs estiment que c'est d'une part lié à une diminution de la compétition entre la femme vieillissante et sa belle-fille et, d'autre part, dû au fait qu'elle peut alors apporter une aide à ses petits-enfants. D'ailleurs, l'analyse de registres montre qu'un enfant né dans une famille où la belle-mère et la belle-fille se reproduisaient en même temps avait deux fois plus de (...) Lire la suite sur LePoint.fr