Alors que les deux marques de sodas se disputent généralement le marché des boissons, elles sont toutes les deux aujourd'hui mises au banc des accusés, les colorants qu'elles utilisent ayant été dénoncés comme cancérigènes
Coca-Cola contre Pepsi, il s'agit là d'un duel qui dure depuis des années et qui évolue au fur et à mesure des campagnes publicitaires. Mais aucun affrontement au sujet de la dernière étude qui concerne le marché du soda puisque cette fois-ci, les deux marques de boissons gazeuses sont mises sur le même plan, accusées d'utiliser des colorants cancérigènes. Cette accusation émane d'un important lobby américain, le CSPI (Center for Science in the Public Interest).
Ainsi, ce lobby explique au Daily Mail que Pepsi et Coca-Cola utiliseraient un certain type de caramel pour colorer ses boissons, caramel qui contiendrait deux substances connues pour être potentiellement cancérigènes (le 2-MI et le 4-MI). Loin de lancer des accusations au hasard, le CSPI demande aujourd'hui à ce que les deux boissons soient tout simplement interdites. Et le porte-parole du lobby d'expliquer : "Contrairement au caramel préparé chez soi, en faisant fondre du sucre dans une poêle, la version artificielle à l'origine de la couleur "coca" est le fruit de la réaction chimique obtenue par l'association de sucre, d'ammoniac et de sulfites portés à haute température". De ce processus résulterait les deux substances chimiques mises en cause qui "d'après les tests réalisés en laboratoire, (celles-ci) seraient nuisibles à la santé et même à l'origine de cancers du poumon, du foie, de la thyroïde".
De son côté, rapporte 7sur7, l'Institut de prévention toxicologique américain aurait confirmé la thèse du lobby expliquant qu'en effet, les deux substances seraient cancérigènes chez les animaux, et donc potentiellement chez l'homme.
Par ailleurs, l'utilisation de l'aspartame pour les boissons de type "light" est également décriée, accusée d'augmenter le risque d'accidents vasculaires. C... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/soda/le-pepsi-et-le-coca-cola-cancerigenes_art12657.html
lundi 28 février 2011
dimanche 27 février 2011
Un «docteur dans votre poche» grâce au téléphone portable
Une société de Singapour a mis au point un appareil complet pour téléphoner et contrôler sa santé...
Contrôler votre rythme cardiaque, votre diabète, vous informer sur les MST: le téléphone portable se met de plus en plus au service de la santé, avec des moyens efficaces de prévention. «Un docteur dans votre poche!», peut-on lire sur la brochure de l'entreprise EPI, installée à Singapour et qui présente son innovation au Congrès mondial de la téléphonie mobile, organisé de lundi à jeudi à Barcelone.
Le produit s'appelle EPI Life, un téléphone portable avec un électrocardiogramme intégré. L'appareil, un «smartphone», mesure vos pulsations par une simple pression des doigts de la main sur un capteur et envoie les données à un centre d'appel médical de Singapour ouvert 24h sur 24. «Nous pensons que c'est une révolution. C'est prouvé cliniquement», assure le Dr Chow U-Jin, directeur médical d'EPI (Ephone international).
Un appareil à 516 euros
«Partout dans le monde, vous pouvez l'utiliser comme un téléphone mais aussi envoyer un ECG (électrocardiogramme) et avoir une réponse», ajoute à l'AFP Chow U-Jin. «Si la réponse est normale, vous recevez un SMS seulement. Si c'est grave, on vous appelle, "Monsieur, une ambulance arrive". Nous avons trois hôpitaux à Singapour qui recevront l'information» sur votre état de santé.
L'EPI Life coûte 700 dollars (soit 516 euros), le prix d'un «smartphone» haut de gamme. Deux mille exemplaires ont été lancés sur le marché depuis novembre 2010. «La cible la plus évidente sont les gens avec des problèmes de coeur», souligne Dr Chow, ajoutant que trois formules sont disponibles: 10, 30 ou 100 contrôles par mois.
Des services disponibles par SMS ou MMS
Ce produit, également disponible dans une version mini (99 dollars) avec cette fois un appareil plus petit à relier par connexion «Bluetooth» à votre smartphone, devrait bientôt arriver en France et en Espagne. Mais la santé préventive par téléphone portable, baptisée mHealth ... lire la suite de l'article sur 20minutes.fr
http://20min.fr/a/672137
Contrôler votre rythme cardiaque, votre diabète, vous informer sur les MST: le téléphone portable se met de plus en plus au service de la santé, avec des moyens efficaces de prévention. «Un docteur dans votre poche!», peut-on lire sur la brochure de l'entreprise EPI, installée à Singapour et qui présente son innovation au Congrès mondial de la téléphonie mobile, organisé de lundi à jeudi à Barcelone.
Le produit s'appelle EPI Life, un téléphone portable avec un électrocardiogramme intégré. L'appareil, un «smartphone», mesure vos pulsations par une simple pression des doigts de la main sur un capteur et envoie les données à un centre d'appel médical de Singapour ouvert 24h sur 24. «Nous pensons que c'est une révolution. C'est prouvé cliniquement», assure le Dr Chow U-Jin, directeur médical d'EPI (Ephone international).
Un appareil à 516 euros
«Partout dans le monde, vous pouvez l'utiliser comme un téléphone mais aussi envoyer un ECG (électrocardiogramme) et avoir une réponse», ajoute à l'AFP Chow U-Jin. «Si la réponse est normale, vous recevez un SMS seulement. Si c'est grave, on vous appelle, "Monsieur, une ambulance arrive". Nous avons trois hôpitaux à Singapour qui recevront l'information» sur votre état de santé.
L'EPI Life coûte 700 dollars (soit 516 euros), le prix d'un «smartphone» haut de gamme. Deux mille exemplaires ont été lancés sur le marché depuis novembre 2010. «La cible la plus évidente sont les gens avec des problèmes de coeur», souligne Dr Chow, ajoutant que trois formules sont disponibles: 10, 30 ou 100 contrôles par mois.
Des services disponibles par SMS ou MMS
Ce produit, également disponible dans une version mini (99 dollars) avec cette fois un appareil plus petit à relier par connexion «Bluetooth» à votre smartphone, devrait bientôt arriver en France et en Espagne. Mais la santé préventive par téléphone portable, baptisée mHealth ... lire la suite de l'article sur 20minutes.fr
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samedi 26 février 2011
La recherche a besoin de votre numéro de sécu !
La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) annonce qu'elle a décidé de demander aux pouvoirs publics « de prendre des dispositions juridiques pour permettre une utilisation encadrée du Numéro d'inscription au Répertoire (NIR) également appelé Numéro de sécurité sociale ». Objectif, faciliter le travail des chercheurs et des autorités sanitaires
« Faute de pouvoir utiliser le NIR, les chercheurs ne sont pas toujours en mesure de fournir des indicateurs statistiques fiables », explique en effet la CNIL. Il est vrai que l'établissement de ces statistiques nécessite souvent le croisement de données individuelles émanent de sources diverses, dont la sécurité sociale.
Ainsi la CNIL a-t-elle décidé d'uvrer « activement pour l'élaboration de solutions juridiques et techniques (permettant de) remédier à cette situation ». Elle se dit d'ailleurs « déterminée à faciliter le travail de la recherche médicale, dans le respect des droits des citoyens et de la confidentialité des données ».
http://www.destinationsante.com/La-recherche-a-besoin-de-votre-numero-de-secu.html
« Faute de pouvoir utiliser le NIR, les chercheurs ne sont pas toujours en mesure de fournir des indicateurs statistiques fiables », explique en effet la CNIL. Il est vrai que l'établissement de ces statistiques nécessite souvent le croisement de données individuelles émanent de sources diverses, dont la sécurité sociale.
Ainsi la CNIL a-t-elle décidé d'uvrer « activement pour l'élaboration de solutions juridiques et techniques (permettant de) remédier à cette situation ». Elle se dit d'ailleurs « déterminée à faciliter le travail de la recherche médicale, dans le respect des droits des citoyens et de la confidentialité des données ».
http://www.destinationsante.com/La-recherche-a-besoin-de-votre-numero-de-secu.html
vendredi 25 février 2011
Yoga: 4 positions faciles anti-stress
Avec cette série de postures fondamentales du hatha yoga, le plus connu en Occident, chacun travaille à son rythme. Les débutants sinitient sans difficulté, tandis que les autres sentretiennent sans sennuyer. Thibaut Tran Van Tuat enseignant danatomie pour le geste corporel et professeur de yoga et Pilates au Waou Club Med Gym
Parfaite pour se préparer, cette posture de la chaise (légèrement modifiée) aide à la concentration et évacue les tensions physiques. Elle réveille lénergie, muscle les fesses et renforce les jambes. Comment sy prendre?Debout, pieds joints, fléchir légèrement les genoux vers lavant tout en poussant les fesses en arrière (comme si lon sapprêtait à sasseoir). Lever ensuite les bras dans le prolongement du dos et joindre les mains (pour quelles restent collées, croiser les pouces ou les autres doigts). Garder les talons fermement appuyés au sol et tirer les bras au maximum vers le ciel en maintenant le ventre contracté. Combien de fois? Tenir la posture sur 3 respirations complètes et augmenter la durée au fur et à mesure de son entraînement. Notre conseilPour faciliter l'exercice, regarder droit devant soi. Pour plus dintensité, regarder vers le ciel et fléchir un peu plus les jambes.
Cette posture étirant le dos et larrière des jambes agit sur les organes internes (automassage des viscères). Elle permet aussi doxygéner le cerveau (tête en bas) et de chasser les tensions nerveuses. Comment sy prendre?Debout, pieds joints, bras en lair, les épaules sont abaissées. Sur lexpiration, baisser lentement la tête et le buste jusquà ce que les doigts touchent le sol. Ou, pour les plus expertes, jusquà ce que les mains (ou même les bras) puissent passer derrière les genoux. Puis remonter tout aussi lentement, en inspirant. Garder le ventre contracté pendant lexercice. Combien de fois?Recommencer entre 3 et 6 fois, sur autant de respirations complètes. Notre conseilNe pas utiliser la force des bras pour descendre, mais laisser faire la gravité et ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/beaute-bien-etre/detente-bienetre/Yoga-4-positions-faciles-anti-stress
Parfaite pour se préparer, cette posture de la chaise (légèrement modifiée) aide à la concentration et évacue les tensions physiques. Elle réveille lénergie, muscle les fesses et renforce les jambes. Comment sy prendre?Debout, pieds joints, fléchir légèrement les genoux vers lavant tout en poussant les fesses en arrière (comme si lon sapprêtait à sasseoir). Lever ensuite les bras dans le prolongement du dos et joindre les mains (pour quelles restent collées, croiser les pouces ou les autres doigts). Garder les talons fermement appuyés au sol et tirer les bras au maximum vers le ciel en maintenant le ventre contracté. Combien de fois? Tenir la posture sur 3 respirations complètes et augmenter la durée au fur et à mesure de son entraînement. Notre conseilPour faciliter l'exercice, regarder droit devant soi. Pour plus dintensité, regarder vers le ciel et fléchir un peu plus les jambes.
Cette posture étirant le dos et larrière des jambes agit sur les organes internes (automassage des viscères). Elle permet aussi doxygéner le cerveau (tête en bas) et de chasser les tensions nerveuses. Comment sy prendre?Debout, pieds joints, bras en lair, les épaules sont abaissées. Sur lexpiration, baisser lentement la tête et le buste jusquà ce que les doigts touchent le sol. Ou, pour les plus expertes, jusquà ce que les mains (ou même les bras) puissent passer derrière les genoux. Puis remonter tout aussi lentement, en inspirant. Garder le ventre contracté pendant lexercice. Combien de fois?Recommencer entre 3 et 6 fois, sur autant de respirations complètes. Notre conseilNe pas utiliser la force des bras pour descendre, mais laisser faire la gravité et ...Lire la suite sur TopSante.com
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jeudi 24 février 2011
préparez un menu 100% aphrodisiaque
Certains aliments très courants ont la réputation de rendre les moments intimes sulfureux. De la moutarde au ginseng en passant par le chocolat et les huîtres, la liste des aliments aux vertus pouvant honorer la déesse de l'amour et de la séduction, est plutôt longue! Et si vous passiez en cuisine? Lire la suite l'article
Les aphrodisiaques ont, en premier lieu, le pouvoir d'exciter nos papilles, éventuellement d'agir sur la production d'hormones sexuelles, et aussi peut-être de lever certaines de nos inhibitions... De là à dire qu'ils permettent d'améliorer les performances sexuelles, personne n'oserait l'affirmer. L'amour est trop capricieux et compliqué pour répondre à un simple philtre, aussi magique soit-il! Pourtant, si on prête traditionnellement des vertus aphrodisiaques à certains aliments, ce n'est pas du pur hasard.Le ginseng. Le succès de cette racine qui a plus de trois mille ans d'existence est peut-être dû à sa forme évocatrice, explique le Dr Borys, sexologue. Mais elle permet indéniablement de lutter contre la fatigue, d'où son intérêt dans les boissons énergisantes. Il n'est pas impossible qu'elle rende réellement les hommes plus ardents!" De toute façon, elle permet de rester éveillé plus longtemps...Le gingembre. Il possède des propriétés vasodilatatrices grâce au gingérone qu'il contient." Un vasodilatateur provoque une dilatation des vaisseaux sanguins dans l'organisme. Par extension, il pourrait permettre un afflux de sang dans le pénis et le clitoris... Ce qui, évidemment, procure une certaine excitation!Et le yohimbé ? En provenance du Gabon, cette plante est surtout utilisée en pharmacopée comme vasodilatateur, pour traiter certaines maladies cardiaques. Elle bénéficie même, comme tout médicament, d'une AMM (autorisation de mise sur le marché).
Il suffit parfois de choisir les bonnes denrées pour réaliser facilement un menu des plus prometteurs.En entrée, on peut opter pour quelques ingrédients qui stimulent le désir. Par exemple, selon son budget, une sal ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/manger-mieux/recettes-saines-et-gourmandes/Sexe-preparez-un-menu-100-aphrodisiaque
Les aphrodisiaques ont, en premier lieu, le pouvoir d'exciter nos papilles, éventuellement d'agir sur la production d'hormones sexuelles, et aussi peut-être de lever certaines de nos inhibitions... De là à dire qu'ils permettent d'améliorer les performances sexuelles, personne n'oserait l'affirmer. L'amour est trop capricieux et compliqué pour répondre à un simple philtre, aussi magique soit-il! Pourtant, si on prête traditionnellement des vertus aphrodisiaques à certains aliments, ce n'est pas du pur hasard.Le ginseng. Le succès de cette racine qui a plus de trois mille ans d'existence est peut-être dû à sa forme évocatrice, explique le Dr Borys, sexologue. Mais elle permet indéniablement de lutter contre la fatigue, d'où son intérêt dans les boissons énergisantes. Il n'est pas impossible qu'elle rende réellement les hommes plus ardents!" De toute façon, elle permet de rester éveillé plus longtemps...Le gingembre. Il possède des propriétés vasodilatatrices grâce au gingérone qu'il contient." Un vasodilatateur provoque une dilatation des vaisseaux sanguins dans l'organisme. Par extension, il pourrait permettre un afflux de sang dans le pénis et le clitoris... Ce qui, évidemment, procure une certaine excitation!Et le yohimbé ? En provenance du Gabon, cette plante est surtout utilisée en pharmacopée comme vasodilatateur, pour traiter certaines maladies cardiaques. Elle bénéficie même, comme tout médicament, d'une AMM (autorisation de mise sur le marché).
Il suffit parfois de choisir les bonnes denrées pour réaliser facilement un menu des plus prometteurs.En entrée, on peut opter pour quelques ingrédients qui stimulent le désir. Par exemple, selon son budget, une sal ...Lire la suite sur TopSante.com
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mercredi 23 février 2011
Repousser le cancer avec 2h30 de sport par semaine
L'Organisation mondiale pour la santé (OMS) a fait savoir vendredi que la pratique de sport durant plus de deux heures chaque semaine pouvait prévenir l'apparition de certains cancers
A travers un nouveau rapport concernant le sport et la santé, l'OMS a fait savoir que pratiquer une activité physique au moins 2h30 par semaine aurait comme avantage de prévenir certains cancers. Ainsi, le président de l'Union internationale contre le cancer (UICC) a également estimé lors de la Journée mondiale contre le cancer qui s'est déroulé vendredi que "beaucoup de cancers pourraient être évités" de cette manière.
Si l'on en croit l'OMS, le nombre de cancers du sein et du colon pourrait être diminué de 25% grâce à une activité physique régulière. Cela correspond par exemple à 30 minutes de marche chaque jour durant 5 jours. S'il est établi par les médecins que l'activité physique peut réduire le nombre de décès du fait du cancer du sein et du colon, les scientifiques sont persuadés que la pratique du sport peut avoir de nombreux effets positifs sur d'autres cancers.
Ainsi, 7sur7.be révèle les propos du Fonds mondial de recherche contre le cancer qui explique que "dans un certain nombre de pays, des changements du mode de vie, une alimentation saine et la pratique d'une activité physique régulière, peuvent réduire d'un tiers le risque de développer un cancer courant".
A noter également qu'il existe quatre facteurs de risques de décès dans le monde qui sont le tabagisme, le diabète, l'hypertension et le manque d'activité physique. De quoi faire réfléchir à deux fois lorsqu'on a le choix entre un ascenseur et un escalier...
http://www.maxisciences.com/cancer/repousser-le-cancer-avec-2h30-de-sport-par-semaine_art12380.html
A travers un nouveau rapport concernant le sport et la santé, l'OMS a fait savoir que pratiquer une activité physique au moins 2h30 par semaine aurait comme avantage de prévenir certains cancers. Ainsi, le président de l'Union internationale contre le cancer (UICC) a également estimé lors de la Journée mondiale contre le cancer qui s'est déroulé vendredi que "beaucoup de cancers pourraient être évités" de cette manière.
Si l'on en croit l'OMS, le nombre de cancers du sein et du colon pourrait être diminué de 25% grâce à une activité physique régulière. Cela correspond par exemple à 30 minutes de marche chaque jour durant 5 jours. S'il est établi par les médecins que l'activité physique peut réduire le nombre de décès du fait du cancer du sein et du colon, les scientifiques sont persuadés que la pratique du sport peut avoir de nombreux effets positifs sur d'autres cancers.
Ainsi, 7sur7.be révèle les propos du Fonds mondial de recherche contre le cancer qui explique que "dans un certain nombre de pays, des changements du mode de vie, une alimentation saine et la pratique d'une activité physique régulière, peuvent réduire d'un tiers le risque de développer un cancer courant".
A noter également qu'il existe quatre facteurs de risques de décès dans le monde qui sont le tabagisme, le diabète, l'hypertension et le manque d'activité physique. De quoi faire réfléchir à deux fois lorsqu'on a le choix entre un ascenseur et un escalier...
http://www.maxisciences.com/cancer/repousser-le-cancer-avec-2h30-de-sport-par-semaine_art12380.html
mardi 22 février 2011
Curcuma : une épice bonne pour le cerveau
Le Dr Paul Lapchak, directeur de recherche au service de neurologie du Centre médical Cedars-Sinai à Los Angeles, est le principal auteur de cette étude, qu'il a présentée lors de la conférence annuelle de l'American Stroke Association. Ses travaux ont montré l'impact bénéfique de cette molécule sur des mécanismes protecteurs des tissus cérébraux, rapporte l'AFP. Si la substance CNB-001 ne permet pas de dissoudre les caillots ayant obstrué un vaisseau dans le cerveau et ainsi provoqué une attaque cérébrale, elle contribue à régénérer les tissus endommagés au niveau moléculaire.
Le curcuma, également appelé safran d'Inde, est depuis de nombreuses années étudié dans le cadre de recherches sur le traitement des blessures et des maladies cérébrales. Toutefois, cette épice n'est pas bien absorbée par l'organisme et se dilue trop rapidement pour atteindre ses cibles. En outre, un système de protection naturel empêchant des substances étrangères de pénétrer dans le cerveau la bloque.
La molécule CNB-001, elle, ne présente pas ces inconvénients. Elle est "dotée d'un grand nombre des mêmes vertus que le curcuma mais avec la capacité de franchir sans problème la barrière naturelle de protection cérébrale et pouvant ainsi être rapidement acheminée et distribuée dans le cerveau et doper plusieurs mécanismes clés jouant un rôle dans la survie des neurones", souligne Paul Lapchak
http://www.maxisciences.com/curcuma/curcuma-une-epice-bonne-pour-le-cerveau_art12487.html
Le curcuma, également appelé safran d'Inde, est depuis de nombreuses années étudié dans le cadre de recherches sur le traitement des blessures et des maladies cérébrales. Toutefois, cette épice n'est pas bien absorbée par l'organisme et se dilue trop rapidement pour atteindre ses cibles. En outre, un système de protection naturel empêchant des substances étrangères de pénétrer dans le cerveau la bloque.
La molécule CNB-001, elle, ne présente pas ces inconvénients. Elle est "dotée d'un grand nombre des mêmes vertus que le curcuma mais avec la capacité de franchir sans problème la barrière naturelle de protection cérébrale et pouvant ainsi être rapidement acheminée et distribuée dans le cerveau et doper plusieurs mécanismes clés jouant un rôle dans la survie des neurones", souligne Paul Lapchak
http://www.maxisciences.com/curcuma/curcuma-une-epice-bonne-pour-le-cerveau_art12487.html
lundi 21 février 2011
Les produits chimiques nous envahissent
Maxisciences a découvert en avant-première le nouveau documentaire de la journaliste Stéphane Horel. Intitulé La grande invasion, elle y dénonce l'utilisation massive des produits chimiques dans notre quotidien. Des substances qui perturberaient notre organisme et en particulier notre système endocrinien.
Notre quotidien le plus banal est farci de produits chimiques" : c'est ce qu'a découvert la journaliste et réalisatrice Stéphane Horel après plusieurs années d'enquête sur le monde de l'industrie. Dans nos maisons comme à l'extérieur, des milliers de substances chimiques partagent à notre insu notre vie quotidienne, cachées dans l'alimentation, l'eau, les plastiques, les tissus et les appareils. Mais que sont vraiment ces molécules et quels risques pour notre santé ? La grande invasion, le documentaire de Stéphane Horel, fait la lumière sur ces questions essentielles et présente l'inquiétant concept des perturbateurs endocriniens.
Bisphénol A, phtalates, diphényl-éthers-polybromés ou PBDE : ces molécules aux noms barbares sont les trois substances chimiques sur lesquelles s'interroge le documentaire. Incrustées dans la plupart des produits de consommation, de l'essuie-tout au micro-onde en passant par les cosmétiques ou les textiles, celles-ci ont une caractéristique bien particulière. Elles s'immiscent dans notre organisme et perturbent notre intimité endocrinienne en altérant les taux d'hormones. Aujourd'hui, les scientifiques multiplient les études pour tenter de prouver cet effet et conclure quant aux conséquences sur notre santé. Il se pourrait par exemple que l'exposition chronique à ces substances explique la recrudescence de maladies telles que certains cancers, diabète ou obésité.
Des animations pour rendre le ton plus léger
La grande invasion de Stéphane Horel évoque ainsi toutes les questions et problèmes qui découlent de l'utilisation massive de ces substances chimiques et ce, d'une manière assez originale. Le documentaire mêle animations cocasses, p... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/produit-chimique/les-produits-chimiques-nous-envahissent_art12497.html
Notre quotidien le plus banal est farci de produits chimiques" : c'est ce qu'a découvert la journaliste et réalisatrice Stéphane Horel après plusieurs années d'enquête sur le monde de l'industrie. Dans nos maisons comme à l'extérieur, des milliers de substances chimiques partagent à notre insu notre vie quotidienne, cachées dans l'alimentation, l'eau, les plastiques, les tissus et les appareils. Mais que sont vraiment ces molécules et quels risques pour notre santé ? La grande invasion, le documentaire de Stéphane Horel, fait la lumière sur ces questions essentielles et présente l'inquiétant concept des perturbateurs endocriniens.
Bisphénol A, phtalates, diphényl-éthers-polybromés ou PBDE : ces molécules aux noms barbares sont les trois substances chimiques sur lesquelles s'interroge le documentaire. Incrustées dans la plupart des produits de consommation, de l'essuie-tout au micro-onde en passant par les cosmétiques ou les textiles, celles-ci ont une caractéristique bien particulière. Elles s'immiscent dans notre organisme et perturbent notre intimité endocrinienne en altérant les taux d'hormones. Aujourd'hui, les scientifiques multiplient les études pour tenter de prouver cet effet et conclure quant aux conséquences sur notre santé. Il se pourrait par exemple que l'exposition chronique à ces substances explique la recrudescence de maladies telles que certains cancers, diabète ou obésité.
Des animations pour rendre le ton plus léger
La grande invasion de Stéphane Horel évoque ainsi toutes les questions et problèmes qui découlent de l'utilisation massive de ces substances chimiques et ce, d'une manière assez originale. Le documentaire mêle animations cocasses, p... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/produit-chimique/les-produits-chimiques-nous-envahissent_art12497.html
dimanche 20 février 2011
Le soda light accroîtrait le risque d'accident vasculaire
Si le soda light apparait comme une bonne alternative diététique aux boissons sucrées, il semblerait que celui-ci ne soit pas sans danger. C'est ce que viennent de découvrir des chercheurs américains à l'issue d'une étude présentée en début de semaine à la conférence internationale de l'American Stroke Association à Los Angeles.
Selon leurs résultats, les personnes qui boivent du soda light quotidiennement augmentent leur risque d'accident vasculaire de 61% comparé à celles qui ne consomment aucun soda. Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques américains ont suivi pendant plus de 9 ans près de 2.560 individus dans le cadre du projet baptisé Northern Manhattan Study (NOMAS).
Par l'intermédiaire de questionnaires, ils ont interrogé les participants sur la quantité et le type de soda que ceux-ci avaient l'habitude de consommer : sur les 2.564 individus, 24% ont avoué boire du soda light, dont environ 5% de façon quotidienne, alors que 35% ont déclaré ne jamais consommer de soda . Ainsi, les participants ont été groupés en sept catégories allant de ceux ne buvant jamais de soda, à ceux qui en buvaient modérément et quotidiennement. Pour compléter ces données, les scientifiques se sont aussi intéressés à l'âge, au sexe, à l'origine ethnique et à d'autres facteurs tels que la consommation d'alcool, le régime alimentaire, l'activité physique et le fait de fumer ou non.
A l'issue de l'étude, 559 individus étaient décédés d'accidents vasculaires. Et même en tenant compte de l'excès de poids et des antécédents des participants, le risque d'accidents vasculaires des gros consommateurs de soda light restait supérieur de 48% à ceux des autres. "Si nos résultats se confirment, ceux-ci suggéraient que le soda light n'est pas le meilleur substitut aux boissons sucrées dont les conséquences sur la santé ont déjà été démontrées", indique le ... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/alimentation/le-soda-light-accro-trait-le-risque-d-039-accident-vasculaire_art12467.html
Selon leurs résultats, les personnes qui boivent du soda light quotidiennement augmentent leur risque d'accident vasculaire de 61% comparé à celles qui ne consomment aucun soda. Pour arriver à cette conclusion, les scientifiques américains ont suivi pendant plus de 9 ans près de 2.560 individus dans le cadre du projet baptisé Northern Manhattan Study (NOMAS).
Par l'intermédiaire de questionnaires, ils ont interrogé les participants sur la quantité et le type de soda que ceux-ci avaient l'habitude de consommer : sur les 2.564 individus, 24% ont avoué boire du soda light, dont environ 5% de façon quotidienne, alors que 35% ont déclaré ne jamais consommer de soda . Ainsi, les participants ont été groupés en sept catégories allant de ceux ne buvant jamais de soda, à ceux qui en buvaient modérément et quotidiennement. Pour compléter ces données, les scientifiques se sont aussi intéressés à l'âge, au sexe, à l'origine ethnique et à d'autres facteurs tels que la consommation d'alcool, le régime alimentaire, l'activité physique et le fait de fumer ou non.
A l'issue de l'étude, 559 individus étaient décédés d'accidents vasculaires. Et même en tenant compte de l'excès de poids et des antécédents des participants, le risque d'accidents vasculaires des gros consommateurs de soda light restait supérieur de 48% à ceux des autres. "Si nos résultats se confirment, ceux-ci suggéraient que le soda light n'est pas le meilleur substitut aux boissons sucrées dont les conséquences sur la santé ont déjà été démontrées", indique le ... lire la suite de l'article sur Maxisciences
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samedi 19 février 2011
Les bons gestes pour effacer les cernes
Les cernes ne sont pas toujours dus au manque de sommeil ou à une alimentation déséquilibrée. On en hérite souvent ! Les bons gestes pour apprendre à les gommer en deux temps trois mouvements.
Plus l'épiderme du contour de l'oeil est souple et satiné, plus la pose de votre anti-cernes sera naturelle et invisible. Commencez par appliquer votre crème hydratante sur le visage, puis votre soin contour de l'oeil. Otez l'excédent de produit avec un papier absorbant avant de poser l'anticernes.Difficile à appliquer l'anticernes ?Pas si vous gardez bien en tête que sa texture épaisse a besoin d'être "travaillée" pour être étalée facilement et en toute discrétion. Travailler, cela veut dire étaler le produit sur le dos de la main par exemple, puis, à l'aide d'un applicateur ou de la pulpe du doigt, le malaxer quelques secondes pour qu'il se fluidifie un peu.Appliquez-le directement sur la zone sombre, sans oublier le coin interne de l'oeil, contre la base du nez. Tapotez avec le doigt pour fondre le produit. Etalez le fond de teint après l'anticernes, et la poudre en dernier (bannissez-la si vous avez beaucoup de rides sous les yeux : elle les souligne). Pensez au blush sur le haut des pommettes, un brun rosé par exemple, qui va à toutes : un point lumière qui attire le regard... et le détourne de vos cernes !
Avec les palettes pastel - roses, blancs, ciels - vous êtes sûre d'obtenir un joli résultat (mais fuyez les mauves et les prunes). N'oubliez pas la petite touche entre l'oeil et la base du nez, qui " défatigue " instantanément le regard. Enfin, allongez vos cils supérieurs avec un mascara.A noterSi vos cernes sont très bruns, vous les masquerez mieux avec un correcteur d'un ton ivoire ou jaune qu'avec une teinte rosée qui les ferait paraître gris. S'ils sont plutôt bleu-violacés, optez pour un ton jaune-orangé car ces teintes annulent les couleurs bleutées.
Un anticernes se pose au doigt (du bout du majeur) ou au pinceau dans le coin interne de l'oeil. Etirez ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/beaute-bien-etre/mes-gestes-beaute/Les-bons-gestes-pour-effacer-les-cernes
Plus l'épiderme du contour de l'oeil est souple et satiné, plus la pose de votre anti-cernes sera naturelle et invisible. Commencez par appliquer votre crème hydratante sur le visage, puis votre soin contour de l'oeil. Otez l'excédent de produit avec un papier absorbant avant de poser l'anticernes.Difficile à appliquer l'anticernes ?Pas si vous gardez bien en tête que sa texture épaisse a besoin d'être "travaillée" pour être étalée facilement et en toute discrétion. Travailler, cela veut dire étaler le produit sur le dos de la main par exemple, puis, à l'aide d'un applicateur ou de la pulpe du doigt, le malaxer quelques secondes pour qu'il se fluidifie un peu.Appliquez-le directement sur la zone sombre, sans oublier le coin interne de l'oeil, contre la base du nez. Tapotez avec le doigt pour fondre le produit. Etalez le fond de teint après l'anticernes, et la poudre en dernier (bannissez-la si vous avez beaucoup de rides sous les yeux : elle les souligne). Pensez au blush sur le haut des pommettes, un brun rosé par exemple, qui va à toutes : un point lumière qui attire le regard... et le détourne de vos cernes !
Avec les palettes pastel - roses, blancs, ciels - vous êtes sûre d'obtenir un joli résultat (mais fuyez les mauves et les prunes). N'oubliez pas la petite touche entre l'oeil et la base du nez, qui " défatigue " instantanément le regard. Enfin, allongez vos cils supérieurs avec un mascara.A noterSi vos cernes sont très bruns, vous les masquerez mieux avec un correcteur d'un ton ivoire ou jaune qu'avec une teinte rosée qui les ferait paraître gris. S'ils sont plutôt bleu-violacés, optez pour un ton jaune-orangé car ces teintes annulent les couleurs bleutées.
Un anticernes se pose au doigt (du bout du majeur) ou au pinceau dans le coin interne de l'oeil. Etirez ...Lire la suite sur TopSante.com
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vendredi 18 février 2011
"La pharmacie n'est pas une confiserie"
Le Dr François Chast, chef du service de pharmacologie de l'Hôtel-Dieu et professeur à la faculté de pharmacie de Paris-Descartes, revient sur la publication par l'Afssaps de la liste des 77 médicaments sous surveillance renforcée. Lire la suite l'article
Quel est votre sentiment sur la publication de la liste des médicaments placés sous surveillance renforcée?
Elle arrive dans un contexte particulier. L'affaire Mediator d'abord. Et puis un contexte de "On nous trompe on ne nous dit pas tout". Et donc, d'un coup les autorités se sentent dans l'obligation de faire une sorte de happening pharmacologique, en mettant sur la place publique des informations qui sont déjà connues des professionnels et même du public qui irait spontanément sur le site de l'Afssaps.
Mais je pense que la peur n'est jamais bon conseiller. Et il y a eu un vent de panique autour de ces questions de securité sanitaire. Les pouvoirs publiques ont voulu dire: "On a commis des erreurs, peut-être des fautes avec le Mediator, mais nous faisons beaucoup d'efforts".
Quels sont les risques de cette publication?
La confusion. Ces medicaments n'ont strictement rien à voir les uns avec les autres. Certains sont très courants et en vente libre, depuis longtemps. D'autres touchent des maladies très rares, pour lesquelles le prescripteur est en général un grand spécialiste, qui ne subit pas de pression de ses patients. Dans le cas d'un myélome multiple par exemple, qui est une maladie mortelle en quelques mois en cas d'absence de traitement, oui, on prend le risque d'utiliser un médicament qui a un bénéfice.
Dans l'affaire Mediator, on avait un médicament qui ne servait à rien, sauf à être un coupe-faim qui ne disait pas son nom et pour lequel l'industriel a trompé les patients, les prescripteurs et les autorités de santé.
Parmi les médicaments courants, le Di-Antalvic, qui va être retiré de la vente en mars 2011, fait beaucoup de bruit.
C'est un médicaments que nous... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/la-pharmacie-n-est-pas-une-confiserie_959546.html#xtor=AL-447
Quel est votre sentiment sur la publication de la liste des médicaments placés sous surveillance renforcée?
Elle arrive dans un contexte particulier. L'affaire Mediator d'abord. Et puis un contexte de "On nous trompe on ne nous dit pas tout". Et donc, d'un coup les autorités se sentent dans l'obligation de faire une sorte de happening pharmacologique, en mettant sur la place publique des informations qui sont déjà connues des professionnels et même du public qui irait spontanément sur le site de l'Afssaps.
Mais je pense que la peur n'est jamais bon conseiller. Et il y a eu un vent de panique autour de ces questions de securité sanitaire. Les pouvoirs publiques ont voulu dire: "On a commis des erreurs, peut-être des fautes avec le Mediator, mais nous faisons beaucoup d'efforts".
Quels sont les risques de cette publication?
La confusion. Ces medicaments n'ont strictement rien à voir les uns avec les autres. Certains sont très courants et en vente libre, depuis longtemps. D'autres touchent des maladies très rares, pour lesquelles le prescripteur est en général un grand spécialiste, qui ne subit pas de pression de ses patients. Dans le cas d'un myélome multiple par exemple, qui est une maladie mortelle en quelques mois en cas d'absence de traitement, oui, on prend le risque d'utiliser un médicament qui a un bénéfice.
Dans l'affaire Mediator, on avait un médicament qui ne servait à rien, sauf à être un coupe-faim qui ne disait pas son nom et pour lequel l'industriel a trompé les patients, les prescripteurs et les autorités de santé.
Parmi les médicaments courants, le Di-Antalvic, qui va être retiré de la vente en mars 2011, fait beaucoup de bruit.
C'est un médicaments que nous... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
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jeudi 17 février 2011
Cancers du sein et de l'ovaire : les prédispositions génétiques mieux détectées
La méthode EMMA, mise au point par une équipe de l'Institut Curie de Paris, permettrait de mieux détecter les mutations génétiques qui sont à l'origine de 5% des cancers du sein et de l'ovaire. Les femmes porteuses de variations d'un des deux gènes BRCA1 ou BRCA2 présentent en effet un risque plus élevé de développer une tumeur
Un risque 8 fois supérieur à celui de la population générale. Quant au risque de cancer de l'ovaire, il est pour sa part « très élevé » chez ces femmes, selon l'Institut Curie. La nouvelle méthode EMMA (pour Enhanced Mismatch Mutation Analysis®) « permet de détecter des altérations génétiques de grande et de petite taille. Or ces dernières paradoxalement, sont plus difficiles à repérer », nous a expliqué le Pr Dominique Stoppa-Lyonnet, chef du service de génétique oncologique à l'Institut Curie.
Utilisée sur 1 525 patientes atteintes soit d'un cancer du sein soit d'une tumeur de l'ovaire, la nouvelle méthode a permis de « détecter une variation génétique qui avait échappé à la stratégie que nous utilisions jusque là », ajoute le Pr Stoppa-Lyonnet. En plus de sa plus grande efficacité, cette méthode permet également d'obtenir des résultats plus rapidement. Une analyse génétique complète prend quatre fois moins de temps qu'avec la technique utilisée jusqu'à présent. En 2010, l'Institut Curie a utilisé la technique EMMA pour 700 recherches de mutations pathogènes chez des femmes répondant à des critères de risque spécifiques. « Ces derniers incluent le nombre de cancers survenus dans la famille, leur localisation, l'âge de leur survenue, le type de cancer... », nous a-t-elle précisé.
En 2010, environ 52 000 nouveaux cas de cancers du sein ont été diagnostiqués en France. Le nombre de nouveaux cas de cancer de l'ovaire est estimé à 4 500. Parmi eux, les formes héréditaires représentent environ 5% des cancers du sein et 6% des cancers de l'ovaire
http://www.destinationsante.com/Cancers-du-sein-et-de-l-ovaire-mieux-detecter-les-predispositions.html
Un risque 8 fois supérieur à celui de la population générale. Quant au risque de cancer de l'ovaire, il est pour sa part « très élevé » chez ces femmes, selon l'Institut Curie. La nouvelle méthode EMMA (pour Enhanced Mismatch Mutation Analysis®) « permet de détecter des altérations génétiques de grande et de petite taille. Or ces dernières paradoxalement, sont plus difficiles à repérer », nous a expliqué le Pr Dominique Stoppa-Lyonnet, chef du service de génétique oncologique à l'Institut Curie.
Utilisée sur 1 525 patientes atteintes soit d'un cancer du sein soit d'une tumeur de l'ovaire, la nouvelle méthode a permis de « détecter une variation génétique qui avait échappé à la stratégie que nous utilisions jusque là », ajoute le Pr Stoppa-Lyonnet. En plus de sa plus grande efficacité, cette méthode permet également d'obtenir des résultats plus rapidement. Une analyse génétique complète prend quatre fois moins de temps qu'avec la technique utilisée jusqu'à présent. En 2010, l'Institut Curie a utilisé la technique EMMA pour 700 recherches de mutations pathogènes chez des femmes répondant à des critères de risque spécifiques. « Ces derniers incluent le nombre de cancers survenus dans la famille, leur localisation, l'âge de leur survenue, le type de cancer... », nous a-t-elle précisé.
En 2010, environ 52 000 nouveaux cas de cancers du sein ont été diagnostiqués en France. Le nombre de nouveaux cas de cancer de l'ovaire est estimé à 4 500. Parmi eux, les formes héréditaires représentent environ 5% des cancers du sein et 6% des cancers de l'ovaire
http://www.destinationsante.com/Cancers-du-sein-et-de-l-ovaire-mieux-detecter-les-predispositions.html
mercredi 16 février 2011
La santé mentale ne serait pas altérée par l'avortement
La revue New England Journal of Medecine a récemment publié une étude qui établit clairement la non-existence de lien entre une dégradation de la santé mentale chez les femmes et l'avortement
L'étude en question explique que si l'accouchement peut avoir un effet sur la santé mentale des femmes, ce n'est pas le cas de l'avortement. Ainsi, ces conclusions sont basées sur les recherches d'une équipe danoise qui s'est penchée sur le cas de 265.550 femmes danoises, qui n'avaient jamais eu de problèmes mentaux jusqu'à ce qu'elles tombent enceintes. Selon Slate, l'étude sur le sujet a été menée afin de détruire "un peu plus l'idée selon laquelle mettre fin à une grossesse peut déclencher des maladies mentales et montre que la dépression post partum est un facteur bien plus important".
Ainsi, il serait apparu que les femmes ayant accouché ont plus de risques d'être prises en charge de façon psychiatrique après le terme de leur grossesse que celles ayant subi un avortement. Cette étude danoise n'est pas la seule a avoir été effectuée sur le sujet. En effet, Slate rapporte qu'en 2008, l'American Psychological Association avait effectué une étude qui concluait qu'"il n'y a pas de preuve crédible qu'un avortement choisi à la suite d'une grossesse non-voulue entraîne à lui seul des problèmes pour la santé mentale chez les femmes adultes". Les associations et groupements anti-avortement réfutent les conclusions de cette étude, expliquant que les séquelles de l'avortement sur la santé mentale des femmes peuvent apparaitre plusieurs années après la prise de décision.
http://www.maxisciences.com/grossesse/la-sante-mentale-ne-serait-pas-alteree-par-l-039-avortement_art12204.html
L'étude en question explique que si l'accouchement peut avoir un effet sur la santé mentale des femmes, ce n'est pas le cas de l'avortement. Ainsi, ces conclusions sont basées sur les recherches d'une équipe danoise qui s'est penchée sur le cas de 265.550 femmes danoises, qui n'avaient jamais eu de problèmes mentaux jusqu'à ce qu'elles tombent enceintes. Selon Slate, l'étude sur le sujet a été menée afin de détruire "un peu plus l'idée selon laquelle mettre fin à une grossesse peut déclencher des maladies mentales et montre que la dépression post partum est un facteur bien plus important".
Ainsi, il serait apparu que les femmes ayant accouché ont plus de risques d'être prises en charge de façon psychiatrique après le terme de leur grossesse que celles ayant subi un avortement. Cette étude danoise n'est pas la seule a avoir été effectuée sur le sujet. En effet, Slate rapporte qu'en 2008, l'American Psychological Association avait effectué une étude qui concluait qu'"il n'y a pas de preuve crédible qu'un avortement choisi à la suite d'une grossesse non-voulue entraîne à lui seul des problèmes pour la santé mentale chez les femmes adultes". Les associations et groupements anti-avortement réfutent les conclusions de cette étude, expliquant que les séquelles de l'avortement sur la santé mentale des femmes peuvent apparaitre plusieurs années après la prise de décision.
http://www.maxisciences.com/grossesse/la-sante-mentale-ne-serait-pas-alteree-par-l-039-avortement_art12204.html
mardi 15 février 2011
Minceur : les médicaments qui font grossir
Aucun régime ne parvient à venir à bout de vos kilos en trop ? Et si c'était la faute de vos médicaments ? Explications et conseils pour vous soigner tout en limitant les dégâts sur la balance...
Ce nest pas un mythe : certains médicaments font grossir. Il peut sagir dune prise de poids limitée (moins de cinq kilos) mais aussi très importante (plus de 20 kilos). Elle est parfois directe (rétention deau et de sel ou stockage des graisses) et parfois indirecte (stimulation de la soif et de la faim). Elle survient rapidement ou de manière progressive donc plus insidieuse.Pour limiter les dégâts, renseignez-vous toujours auprès de votre médecin lorsquil vous prescrit un traitement. Si vous craignez plus que tout de grossir, expliquez-le lui afin quil le prenne en compte dans sa prescription.
Néanmoins, dans certains cas, les médicaments responsables de votre prise de poids sont vitaux. Le médecin saura faire le bon choix entre les bénéfices et les risques de votre traitement. Si besoin, vous devrez jouer sur léquilibre alimentaire et lactivité physique pour éviter de trop grossir.Dans ces cas-là, nhésitez pas à solliciter un médecin nutritionniste en prévention pour vous aider à trouver des solutions. Il est toujours plus simple déviter de prendre du poids que den perdre. Il en va de votre moral, de votre forme mais aussi de la bonne observance de votre traitement et donc de votre santé en général...
La cortisone favorise la rétention deau et de sel, doù les effets sur votre silhouette et même les traits de votre visage. Pour limiter ce phénomène, vous devez absolument surveiller votre consommation de sel. Si vous devez prendre des corticoïdes, trouvez des astuces pour donner du goût à vos aliments autrement en utilisant des épices (curry, safran, piment, cannelle, poivre), des herbes (thym, sauge, basilic, persil, coriandre, menthe) mais aussi des aliments très parfumés tels que loignons, lail, le fenouil, le citron, le poivron...
Les sulfamides hypoglycé ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/maux-du-quotidien/Minceur-les-medicaments-qui-font-grossir
Ce nest pas un mythe : certains médicaments font grossir. Il peut sagir dune prise de poids limitée (moins de cinq kilos) mais aussi très importante (plus de 20 kilos). Elle est parfois directe (rétention deau et de sel ou stockage des graisses) et parfois indirecte (stimulation de la soif et de la faim). Elle survient rapidement ou de manière progressive donc plus insidieuse.Pour limiter les dégâts, renseignez-vous toujours auprès de votre médecin lorsquil vous prescrit un traitement. Si vous craignez plus que tout de grossir, expliquez-le lui afin quil le prenne en compte dans sa prescription.
Néanmoins, dans certains cas, les médicaments responsables de votre prise de poids sont vitaux. Le médecin saura faire le bon choix entre les bénéfices et les risques de votre traitement. Si besoin, vous devrez jouer sur léquilibre alimentaire et lactivité physique pour éviter de trop grossir.Dans ces cas-là, nhésitez pas à solliciter un médecin nutritionniste en prévention pour vous aider à trouver des solutions. Il est toujours plus simple déviter de prendre du poids que den perdre. Il en va de votre moral, de votre forme mais aussi de la bonne observance de votre traitement et donc de votre santé en général...
La cortisone favorise la rétention deau et de sel, doù les effets sur votre silhouette et même les traits de votre visage. Pour limiter ce phénomène, vous devez absolument surveiller votre consommation de sel. Si vous devez prendre des corticoïdes, trouvez des astuces pour donner du goût à vos aliments autrement en utilisant des épices (curry, safran, piment, cannelle, poivre), des herbes (thym, sauge, basilic, persil, coriandre, menthe) mais aussi des aliments très parfumés tels que loignons, lail, le fenouil, le citron, le poivron...
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lundi 14 février 2011
Témoignages: la vie après un cancer du sein
Renouer avec la vie quotidienne est un challenge pour les femmes qui ont dû se battre contre le cancer du sein. A l'occasion de la Journée mondiale contre le cancer, trois femmes nous ont confié leurs états d'âme
Après une chimiothérapie, Soline, 30 ans, subit lablation dun sein en 2008. Depuis, elle prend un traitement hormonal."Pouvoir bénéficier dun traitement hormonal ciblé est une chance. Le problème est que cela mempêche davoir des enfants pendant 5 ans. Cest long et douloureux. Surtout si je maperçois, à ce moment-là, que la chimiothérapie ma rendu stérile... Pour toutes ces raisons, mon mari et moi-même allons entamer une procédure dadoption. Peut-être est-ce prématuré, mais je sais désormais que la vie est fragile. Jaurais aimé pouvoir faire congeler mes ovocytes avant la chimio, mais cétait impossible, car mon cancer est hormono-dépendant. Les stimulations ovariennes sont donc proscrites dans ce cas-là. Jattends les résultats des tests oncogénétiques (qui permettront de préciser le degré dagressivité de ma tumeur). Sils sont positifs et indiquent donc un risque important de récidive, je me ferai retirer le second sein et ferai une double reconstruction mammaire. De toute façon, jai fait le deuil de ma poitrine. Jai été très soutenue par mon mari, je nai jamais douté de son amour. Nous avons réussi à acheter un appartement, même si cest lui qui porte le crédit à100 %, car aucune banque na accepté de massurer! Jessaie de manger davantage de fruits et de légumes. Je fais aussi du karaté et de la danse dans une association qui regroupe malades et anciens malades. Ça maide à me reconstruire, à me sentir bien dans mon corps. Jai limpression quil ma trahie, ce corps! Jai très peur que mon bras gonfle à cause du curage axillaire (prélèvement dune dizaine de ganglions situés sous le bras au niveau de laisselle susceptibles de contenir des cellules cancéreuses). Mes angoisses de mort se sont estompées mais certains cauchemars subsistent encore aujourdhui. Rest ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/cancer/Temoignages-la-vie-apres-un-cancer-du-sein
Après une chimiothérapie, Soline, 30 ans, subit lablation dun sein en 2008. Depuis, elle prend un traitement hormonal."Pouvoir bénéficier dun traitement hormonal ciblé est une chance. Le problème est que cela mempêche davoir des enfants pendant 5 ans. Cest long et douloureux. Surtout si je maperçois, à ce moment-là, que la chimiothérapie ma rendu stérile... Pour toutes ces raisons, mon mari et moi-même allons entamer une procédure dadoption. Peut-être est-ce prématuré, mais je sais désormais que la vie est fragile. Jaurais aimé pouvoir faire congeler mes ovocytes avant la chimio, mais cétait impossible, car mon cancer est hormono-dépendant. Les stimulations ovariennes sont donc proscrites dans ce cas-là. Jattends les résultats des tests oncogénétiques (qui permettront de préciser le degré dagressivité de ma tumeur). Sils sont positifs et indiquent donc un risque important de récidive, je me ferai retirer le second sein et ferai une double reconstruction mammaire. De toute façon, jai fait le deuil de ma poitrine. Jai été très soutenue par mon mari, je nai jamais douté de son amour. Nous avons réussi à acheter un appartement, même si cest lui qui porte le crédit à100 %, car aucune banque na accepté de massurer! Jessaie de manger davantage de fruits et de légumes. Je fais aussi du karaté et de la danse dans une association qui regroupe malades et anciens malades. Ça maide à me reconstruire, à me sentir bien dans mon corps. Jai limpression quil ma trahie, ce corps! Jai très peur que mon bras gonfle à cause du curage axillaire (prélèvement dune dizaine de ganglions situés sous le bras au niveau de laisselle susceptibles de contenir des cellules cancéreuses). Mes angoisses de mort se sont estompées mais certains cauchemars subsistent encore aujourdhui. Rest ...Lire la suite sur TopSante.com
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dimanche 13 février 2011
Contre les caries : des yaourts plutôt que des chips
Pour protéger ses dents, mangez du fromage et aussi du yaourt. Plus les enfants mangent de yaourts, moins ils ont de caries !
En effet des chercheurs japonais ont attiré lattention sur cet aliment: une étude conduite chez plus de 2.000 enfants âgés de 3 ans montre que ceux qui ont la consommation la plus élevée de yaourts (4 ou plus par semaine) ont beaucoup moins de caries que ceux qui ont la consommation la plus faible (moins dun yaourt par semaine).
De plus, le yaourt est plein de promesses vis-à-vis des bactéries responsables des maladies des gencives. Différents probiotiques présents dans les yaourts ou les laits fermentés (lactobacilles, bifidobactéries...) ont été testés avec succès en laboratoire contre plusieurs souches de bactéries responsables des parodontites (atteintes du tissu de soutien de la dent). Les probiotiques inhibent laction des bactéries pathogènes, sans nuire à lefficacité des bactéries protectrices. Source Cerin.
http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/Actus/Contre-les-caries-des-yaourts-plutot-que-des-chips
En effet des chercheurs japonais ont attiré lattention sur cet aliment: une étude conduite chez plus de 2.000 enfants âgés de 3 ans montre que ceux qui ont la consommation la plus élevée de yaourts (4 ou plus par semaine) ont beaucoup moins de caries que ceux qui ont la consommation la plus faible (moins dun yaourt par semaine).
De plus, le yaourt est plein de promesses vis-à-vis des bactéries responsables des maladies des gencives. Différents probiotiques présents dans les yaourts ou les laits fermentés (lactobacilles, bifidobactéries...) ont été testés avec succès en laboratoire contre plusieurs souches de bactéries responsables des parodontites (atteintes du tissu de soutien de la dent). Les probiotiques inhibent laction des bactéries pathogènes, sans nuire à lefficacité des bactéries protectrices. Source Cerin.
http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/Actus/Contre-les-caries-des-yaourts-plutot-que-des-chips
samedi 12 février 2011
Le vaccin anti-H1N1 a-t-il provoqué des cas de narcolepsie ?
L'Europe suspecte Pandemrix, l'un des vaccins anti-H1N1, d'être responsable de cas de narcolepsie. Ces deux dernières années, plusieurs pays ont en effet constaté une forte augmentation de l'incidence de cette maladie, habituellement rare
Selon l'Institut national finlandais pour la santé, Pandemrix, le principal vaccin utilisé contre la grippe H1N1, serait responsable de cas de narcolepsie. Une maladie neurologique chronique qui se caractérise par des accès sévères de somnolence voire des pertes brutales du tonus musculaire. D'ordinaire, cette affection est plutôt rare et la Finlande ne dénombre qu'une dizaine de cas par an. Mais ces deux dernières années, près de 60 jeunes âgés de 4 à 19 ans ont déclaré la maladie. Parmi eux, 90% venaient juste d'être vaccinés.
En août dernier, la Suède avait déjà tiré la sonnette d'alarme en signalant une augmentation de l'incidence de la maladie. De même en France, où une vingtaine de cas ont été répertoriés entre 2009 et 2010. "Des cas troublants par leur âge de survenue et leur sévérité inhabituelle" souligne au journal Le Figaro le Pr Yves Dauvilliers, neurologue et spécialiste en narcolepsie.
Pour les autorités finlandaises, "l'association est tellement évidente qu'il est peu probable que d'autres facteurs puissent expliquer à eux seuls entièrement ce phénomène". Mais il est possible que ce lien soit "un effet conjoint du vaccin et d'un ou plusieurs autres facteurs". Pour confirmer ces hypothèses, il faudra attendre les résultats du rapport final de l'Institut finlandais en août 2011 et ceux de l'enquête lancée par l'Agence européenne du médicament.
http://www.maxisciences.com/grippe-h1n1/le-vaccin-anti-h1n1-a-t-il-provoque-des-cas-de-narcolepsie_art12290.html
Selon l'Institut national finlandais pour la santé, Pandemrix, le principal vaccin utilisé contre la grippe H1N1, serait responsable de cas de narcolepsie. Une maladie neurologique chronique qui se caractérise par des accès sévères de somnolence voire des pertes brutales du tonus musculaire. D'ordinaire, cette affection est plutôt rare et la Finlande ne dénombre qu'une dizaine de cas par an. Mais ces deux dernières années, près de 60 jeunes âgés de 4 à 19 ans ont déclaré la maladie. Parmi eux, 90% venaient juste d'être vaccinés.
En août dernier, la Suède avait déjà tiré la sonnette d'alarme en signalant une augmentation de l'incidence de la maladie. De même en France, où une vingtaine de cas ont été répertoriés entre 2009 et 2010. "Des cas troublants par leur âge de survenue et leur sévérité inhabituelle" souligne au journal Le Figaro le Pr Yves Dauvilliers, neurologue et spécialiste en narcolepsie.
Pour les autorités finlandaises, "l'association est tellement évidente qu'il est peu probable que d'autres facteurs puissent expliquer à eux seuls entièrement ce phénomène". Mais il est possible que ce lien soit "un effet conjoint du vaccin et d'un ou plusieurs autres facteurs". Pour confirmer ces hypothèses, il faudra attendre les résultats du rapport final de l'Institut finlandais en août 2011 et ceux de l'enquête lancée par l'Agence européenne du médicament.
http://www.maxisciences.com/grippe-h1n1/le-vaccin-anti-h1n1-a-t-il-provoque-des-cas-de-narcolepsie_art12290.html
vendredi 11 février 2011
La réglisse, bien plus qu'une racine
Une saveur douce très caractéristique, à la fois sucrée et amère... la réglisse glabre ou Glycyrrhiza glabra L., n'est pas une racine comme les autres. Au-delà des ses qualités gustatives, elle est aussi très appréciée pour ses propriétés médicinales. Sur le confort digestif notamment.
La réglisse en effet, est la racine de Radix liquiritiae, une plante aux fleurs violacées peut-être mieux connue sous le nom de licorice. Pas question de la déterrer avant la troisième année de culture, lorsque la plante commence à perdre ses feuilles. Glycyrrhiza glabra L. sera ensuite maintes fois lavée, pelée et séchée à une température maximale de 35°C. Il faut laisser du temps au temps...
Sur le plan nutritionnel, la réglisse est riche en glucosides donc, mais aussi en flavonoïdes, une famille d'antioxydants désormais bien connue. Elle renferme également des terpènes dotés de propriétés bienfaisantes pour les voies respiratoires. Elle peut être employée en infusions, à condition d'avoir été finement hachée. Et si vous souhaitez retrouver le goût sucré des pastilles de votre enfance, vous devrez faire bouillir la réglisse et en extraire son Succus liquiritiae.
Quant à ses vertus médicinales, elles sont nombreuses. La réglisse est expectorante, spasmolytique, et légèrement laxative. En association par exemple avec la mélisse, elle aura des effets bénéfiques sur le confort digestif. Elle exercerait même une action favorable contre les ulcères gastro-duodénaux. Pour en savoir plus, interrogez votre pharmacien
http://www.destinationsante.com/La-reglisse-bien-plus-qu-une-racine.html
La réglisse en effet, est la racine de Radix liquiritiae, une plante aux fleurs violacées peut-être mieux connue sous le nom de licorice. Pas question de la déterrer avant la troisième année de culture, lorsque la plante commence à perdre ses feuilles. Glycyrrhiza glabra L. sera ensuite maintes fois lavée, pelée et séchée à une température maximale de 35°C. Il faut laisser du temps au temps...
Sur le plan nutritionnel, la réglisse est riche en glucosides donc, mais aussi en flavonoïdes, une famille d'antioxydants désormais bien connue. Elle renferme également des terpènes dotés de propriétés bienfaisantes pour les voies respiratoires. Elle peut être employée en infusions, à condition d'avoir été finement hachée. Et si vous souhaitez retrouver le goût sucré des pastilles de votre enfance, vous devrez faire bouillir la réglisse et en extraire son Succus liquiritiae.
Quant à ses vertus médicinales, elles sont nombreuses. La réglisse est expectorante, spasmolytique, et légèrement laxative. En association par exemple avec la mélisse, elle aura des effets bénéfiques sur le confort digestif. Elle exercerait même une action favorable contre les ulcères gastro-duodénaux. Pour en savoir plus, interrogez votre pharmacien
http://www.destinationsante.com/La-reglisse-bien-plus-qu-une-racine.html
jeudi 10 février 2011
Alerte santé : des morceaux de verre dans un sirop
Une jeune maman ayant signalé à son pharmacien la présence d'un morceau de verre dans un flacon d'Oracefal® 250 mg/ 5 ml, poudre pour suspension buvable, une procédure de rappel sur ce produit a été déclenchée. Oracefal® est un antibiotique, utilisé contre les infections des voies respiratoires et les infections ORL de l'enfant. Le laboratoire Bristol-Myers Squibb, en accord avec l'Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), a donc décidé de procéder au rappel du lot 9J56684 (péremption 09/2012).
.Le médicament Oracefal® 250 mg/ 5 ml, poudre est administré après reconstitution avec de l'eau à l'aide d'une cuillère-mesure. Le fabricant a informé l'AFSSaPS que le lot suspect n'était plus distribué aux pharmacies depuis le 25 janvier 2010. Aucune autre réclamation du même type n'a été reçue par le laboratoire.
L'AFSSaPS recommande « aux patients en possession d'un flacon portant ce numéro de lot de ne pas l'utiliser et de le rapporter à la pharmacie ». L'agence demande par ailleurs au laboratoire « d'identifier les causes ayant conduit à la présence du morceau de verre découvert dans le flacon de ce lot ». Bristol-Myers Squibb en juin dernier, avait déjà dû procéder au rappel d'un lot de flacons de Fungizone(R) 10%... pour les mêmes raisons.
http://www.destinationsante.com/Alerte-sante-des-morceaux-de-verre-dans-un-sirop.html
.Le médicament Oracefal® 250 mg/ 5 ml, poudre est administré après reconstitution avec de l'eau à l'aide d'une cuillère-mesure. Le fabricant a informé l'AFSSaPS que le lot suspect n'était plus distribué aux pharmacies depuis le 25 janvier 2010. Aucune autre réclamation du même type n'a été reçue par le laboratoire.
L'AFSSaPS recommande « aux patients en possession d'un flacon portant ce numéro de lot de ne pas l'utiliser et de le rapporter à la pharmacie ». L'agence demande par ailleurs au laboratoire « d'identifier les causes ayant conduit à la présence du morceau de verre découvert dans le flacon de ce lot ». Bristol-Myers Squibb en juin dernier, avait déjà dû procéder au rappel d'un lot de flacons de Fungizone(R) 10%... pour les mêmes raisons.
http://www.destinationsante.com/Alerte-sante-des-morceaux-de-verre-dans-un-sirop.html
Oméga-3 : une arme anti-déprime facile à trouver
Des chercheurs de l'Inserm viennent de montrer qu'un déficit en Oméga-3 provoquait certains troubles de l'humeur pouvant aller jusqu'à la dépression. Pour éviter de tomber dans la déprime, on vous dit où les trouver ces fameux Oméga-3.
Sauvage, il est naturellement riche en oméga-3. Délevage, tout dépend en fait de son alimentation. Dans tous les cas, il reste une bonne source de vitamines B1 et B3, spécialisées dans la transformation des aliments en énergie.Le conseil : Cest en tartare, en carpaccio, en sashimis, rapidement poché, ou cuit à la vapeur ou en papillote, que le saumon donnera le meilleur de lui-même. Nhésitez pas à lui associer du jus de citron !A lire aussiDécouvrez tous les articles nutrition dans la rubrique Femme-nutrition-minceurTest : qu'est-ce que votre frigo dit de vous ?155 recettes pour mincir et rester mince enfin!
"Seulement" 0,25 g doméga-3, cela peut paraître peu, mais pour un végétal, cest beaucoup !Le conseil : Remplacez de temps en temps votre salade verte par de la mâche, et évidemment, assaisonnez-ladhuile de noix ou de colza.
Avec 7,4 g doméga-3 et un rapport idéal entre oméga-3 et oméga-6, elles apportent ausside la vitamine E, essentielle pour éviter loxydation des acides gras essentiels, des protéines et des fibres. Elles aident également à lutter contre le cholestérol.Le conseil: Décortiquez-en quelques cerneaux pour agrémenter vos salades vertes, compotes, müeslis... Pensez aussi à acheter régulièrement du pain aux noix.
Composé de 18 % doméga-3, le lin possède un CV hors norme : une seule cuillère à soupe de graines apporte déjà 2 g doméga-3 ! Vous trouverez des sachets de graines en magasins bio ou diététiques.Le conseil : Vous pouvez en rajouter quelques pincées sur le fromage blanc, les salades, les légumes cuits, le riz, les lentilles... Vous pouvez aussi les mixer et en incorporer 1 c. à s. à la farine dun gâteau, dun pain...
Le "lait" de soja, la "crème" et le tofu apportent des protéines complètes du poi ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/manger-mieux/mon-alimentation-sante/Nutrition-prenez-gout-aux-Omega-3
Sauvage, il est naturellement riche en oméga-3. Délevage, tout dépend en fait de son alimentation. Dans tous les cas, il reste une bonne source de vitamines B1 et B3, spécialisées dans la transformation des aliments en énergie.Le conseil : Cest en tartare, en carpaccio, en sashimis, rapidement poché, ou cuit à la vapeur ou en papillote, que le saumon donnera le meilleur de lui-même. Nhésitez pas à lui associer du jus de citron !A lire aussiDécouvrez tous les articles nutrition dans la rubrique Femme-nutrition-minceurTest : qu'est-ce que votre frigo dit de vous ?155 recettes pour mincir et rester mince enfin!
"Seulement" 0,25 g doméga-3, cela peut paraître peu, mais pour un végétal, cest beaucoup !Le conseil : Remplacez de temps en temps votre salade verte par de la mâche, et évidemment, assaisonnez-ladhuile de noix ou de colza.
Avec 7,4 g doméga-3 et un rapport idéal entre oméga-3 et oméga-6, elles apportent ausside la vitamine E, essentielle pour éviter loxydation des acides gras essentiels, des protéines et des fibres. Elles aident également à lutter contre le cholestérol.Le conseil: Décortiquez-en quelques cerneaux pour agrémenter vos salades vertes, compotes, müeslis... Pensez aussi à acheter régulièrement du pain aux noix.
Composé de 18 % doméga-3, le lin possède un CV hors norme : une seule cuillère à soupe de graines apporte déjà 2 g doméga-3 ! Vous trouverez des sachets de graines en magasins bio ou diététiques.Le conseil : Vous pouvez en rajouter quelques pincées sur le fromage blanc, les salades, les légumes cuits, le riz, les lentilles... Vous pouvez aussi les mixer et en incorporer 1 c. à s. à la farine dun gâteau, dun pain...
Le "lait" de soja, la "crème" et le tofu apportent des protéines complètes du poi ...Lire la suite sur TopSante.com
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mercredi 9 février 2011
Dormir pour mieux retenir
Des chercheurs allemands publient le résultat d'une étude sur la mémoire dans la revue Nature Neuroscience. Celle-ci révèle que le cerveau profite des périodes de sommeil pour enregistrer de façon beaucoup plus importante les informations qu'il vient d'acquérir.
Jusqu'ici, les chercheurs savaient que l'hippocampe, la zone cérébrale qui stocke provisoirement les données qui viennent d'être acquises, était en attente d'une forme de réactivation de ces souvenirs de façon à les fixer dans le néocortex, zone de stockage permanent. Pour s'assurer que le sommeil ne jouait aucun rôle dans le processus de mémorisation, les scientifiques allemands ont mis en place une expérience.
Ils ont demandé à 24 volontaires de retenir 15 paires de cartes représentant des animaux et des objets. Au bout de 40 minutes, 12 des candidats devaient mémoriser une nouvelle série légèrement différente de la première. Les 12 autres participants, de leur côté, avaient profité d'une sieste avant d'être mis devant la seconde série de cartes. Le test qui leur a ensuite était proposé, concernait uniquement la première série.
Les chercheurs ont pu constater, à leur grande surprise, que les candidats qui s'étaient reposés avaient retenu 85% des cartes contre 60% pour les autres. Ils en ont conclu que "la réactivation des souvenirs a eu des effets complètement différents selon l'état de veille ou de sommeil. Nous pensons que la raison de ce résultat inattendu est que le transfert des souvenirs entre l'hippocampe et le néocortex avait déjà commencé dès les premières minutes de sommeil".
Ainsi, un repos de 40 minutes serait suffisant pour qu'une grande quantité de souvenirs soit stockée dans une zone où de nouvelles informations qui arriveraient ne viendraient plus les déloger ou les brouiller. Ces résultats pourraient bénéficier à ceux qui font un apprentissage d... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/dormir/dormir-pour-mieux-retenir_art12072.html
Jusqu'ici, les chercheurs savaient que l'hippocampe, la zone cérébrale qui stocke provisoirement les données qui viennent d'être acquises, était en attente d'une forme de réactivation de ces souvenirs de façon à les fixer dans le néocortex, zone de stockage permanent. Pour s'assurer que le sommeil ne jouait aucun rôle dans le processus de mémorisation, les scientifiques allemands ont mis en place une expérience.
Ils ont demandé à 24 volontaires de retenir 15 paires de cartes représentant des animaux et des objets. Au bout de 40 minutes, 12 des candidats devaient mémoriser une nouvelle série légèrement différente de la première. Les 12 autres participants, de leur côté, avaient profité d'une sieste avant d'être mis devant la seconde série de cartes. Le test qui leur a ensuite était proposé, concernait uniquement la première série.
Les chercheurs ont pu constater, à leur grande surprise, que les candidats qui s'étaient reposés avaient retenu 85% des cartes contre 60% pour les autres. Ils en ont conclu que "la réactivation des souvenirs a eu des effets complètement différents selon l'état de veille ou de sommeil. Nous pensons que la raison de ce résultat inattendu est que le transfert des souvenirs entre l'hippocampe et le néocortex avait déjà commencé dès les premières minutes de sommeil".
Ainsi, un repos de 40 minutes serait suffisant pour qu'une grande quantité de souvenirs soit stockée dans une zone où de nouvelles informations qui arriveraient ne viendraient plus les déloger ou les brouiller. Ces résultats pourraient bénéficier à ceux qui font un apprentissage d... lire la suite de l'article sur Maxisciences
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mardi 8 février 2011
Maladies respiratoires : la pollution de l'air dans le viseur
Alors que la pollution de l'air est à l'origine de nombreuses maladies respiratoires, les ministères de l'Ecologie et de la Santé ont fait savoir que dès la fin janvier un "Plan National Santé Environnement 2" devrait débuter afin de lutter contre ce phénomène.
Le Plan National Santé Environnement a débuté en 2009 et devrait s'achever en 2013. Son objectif ? Arriver à une amélioration de la qualité de l'air intérieur et extérieur, afin de faire reculer le nombre de malades et d'infections respiratoires. Les ministères de l'Ecologie et de la Santé comptent bien parvenir à réaliser leur objectif, et cela à travers notamment une meilleure information du grand public concernant les produits volatiles susceptibles d'être utilisés à la maison.
En ce sens, dès le 1er janvier 2012, les produits tels que les dalles PVC, les sols stratifiés, les moquettes ou encore les peintures feront l'objet d'un étiquetage spécifique qui indiquera le niveau d'émission de ces substances volatiles. Plusieurs postes de conseiller habitat/santé seront créés pour mieux accompagner le client en fonction de sa situation de santé personnelle tandis que des mesures de qualité de l'air seront adoptées dans plusieurs établissements français. Ce Plan National Santé Environnement 2 devrait également observer l'évolution de l'état de santé de 20.000 enfants, de leur période de vie intra-utérine à leur 20e anniversaire. La lutte contre les nuisances sonores est également un point important que les ministères de la Santé et de l'Ecologie ne veulent pas négliger.
http://www.maxisciences.com/plan-national-sant%e9-environnement-2/maladies-respiratoires-la-pollution-de-l-039-air-dans-le-viseur_art12165.html
Le Plan National Santé Environnement a débuté en 2009 et devrait s'achever en 2013. Son objectif ? Arriver à une amélioration de la qualité de l'air intérieur et extérieur, afin de faire reculer le nombre de malades et d'infections respiratoires. Les ministères de l'Ecologie et de la Santé comptent bien parvenir à réaliser leur objectif, et cela à travers notamment une meilleure information du grand public concernant les produits volatiles susceptibles d'être utilisés à la maison.
En ce sens, dès le 1er janvier 2012, les produits tels que les dalles PVC, les sols stratifiés, les moquettes ou encore les peintures feront l'objet d'un étiquetage spécifique qui indiquera le niveau d'émission de ces substances volatiles. Plusieurs postes de conseiller habitat/santé seront créés pour mieux accompagner le client en fonction de sa situation de santé personnelle tandis que des mesures de qualité de l'air seront adoptées dans plusieurs établissements français. Ce Plan National Santé Environnement 2 devrait également observer l'évolution de l'état de santé de 20.000 enfants, de leur période de vie intra-utérine à leur 20e anniversaire. La lutte contre les nuisances sonores est également un point important que les ministères de la Santé et de l'Ecologie ne veulent pas négliger.
http://www.maxisciences.com/plan-national-sant%e9-environnement-2/maladies-respiratoires-la-pollution-de-l-039-air-dans-le-viseur_art12165.html
lundi 7 février 2011
Cancer du col : je vaccine ma fille ou pas ?
Selon le Haut Conseil de la santé publique, seule une jeune fille sur 4 se fait vacciner contre le papillomavirus humain. Faut-il se méfier de ce nouveau vaccin ou suivre les recommandations en vigueur? Le point avec le Dr David Elia, gynécologue.
Recommandé depuis mars 2007, le vaccin contre les HPV fait partie des vaccinations de routine inscrites sur le calendrier vaccinal des enfants au même titre que la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la rubéole, la rougeole... Pourtant, il fait lobjet de polémiques, suite au décès dune jeune Britannique l'an dernier mais aussi plus récemment en Espagne, où des patientes auraient observé des effets secondaires à la vaccination. Plusieurs articles ont alors relayé la controverse et semé le trouble dans lesprit des mamans de jeunes ados.Le Dr David Elia, gynécologue met fin à ce débat avec assurance : « Comme toute campagne vaccinale, celle contre les HPV possède ses détracteurs. Pourtant, ces vaccins ont fait lobjet détudes sur plusieurs années qui ont abouti à une autorisation de mise sur le marché (AMM) délivrée par les plus hautes autorités de santé.De plus en France et ailleurs dans le monde les rapports de sécurité édités régulièrement par les autorités ne font mention daucune complication. Il ny a donc aucun souci à se faire sur déventuels risques ou effets secondaires. »
Lautre argument des anti-vaccins contre les papillomavirus (HPV) consiste à véhiculer lidée que la vaccination détourne les femmes de lautre moyen de prévention indissociable contre les virus : le frottis. Sauf que selon le Dr Elia, les patientes qui acceptent de se faire vacciner consultent aussi volontiers pour les frottis de contrôle.En somme, cela ne change rien à ce problème plus vaste de manque de responsabilisation des patientes quant à la propagation des virus : certaines restent opaques à tout message de prévention. En France, aucun courrier de rappel noblige les femmes à se faire vacciner. Pourtant, dans plu ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/gyneco/Cancer-du-col-je-vaccine-ma-fille-ou-pas
Recommandé depuis mars 2007, le vaccin contre les HPV fait partie des vaccinations de routine inscrites sur le calendrier vaccinal des enfants au même titre que la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la rubéole, la rougeole... Pourtant, il fait lobjet de polémiques, suite au décès dune jeune Britannique l'an dernier mais aussi plus récemment en Espagne, où des patientes auraient observé des effets secondaires à la vaccination. Plusieurs articles ont alors relayé la controverse et semé le trouble dans lesprit des mamans de jeunes ados.Le Dr David Elia, gynécologue met fin à ce débat avec assurance : « Comme toute campagne vaccinale, celle contre les HPV possède ses détracteurs. Pourtant, ces vaccins ont fait lobjet détudes sur plusieurs années qui ont abouti à une autorisation de mise sur le marché (AMM) délivrée par les plus hautes autorités de santé.De plus en France et ailleurs dans le monde les rapports de sécurité édités régulièrement par les autorités ne font mention daucune complication. Il ny a donc aucun souci à se faire sur déventuels risques ou effets secondaires. »
Lautre argument des anti-vaccins contre les papillomavirus (HPV) consiste à véhiculer lidée que la vaccination détourne les femmes de lautre moyen de prévention indissociable contre les virus : le frottis. Sauf que selon le Dr Elia, les patientes qui acceptent de se faire vacciner consultent aussi volontiers pour les frottis de contrôle.En somme, cela ne change rien à ce problème plus vaste de manque de responsabilisation des patientes quant à la propagation des virus : certaines restent opaques à tout message de prévention. En France, aucun courrier de rappel noblige les femmes à se faire vacciner. Pourtant, dans plu ...Lire la suite sur TopSante.com
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dimanche 6 février 2011
Du poison dans nos assiettes ?
Après Le monde selon Monsanto, la journaliste et réalisatrice Marie-Monique Robin dénonce la façon dont l'industrie chimique empoisonne notre alimentation dans Notre poison quotidien, un documentaire qui sera diffusé sur Arte le 15 mars prochain
Menée aux Etats-Unis, au Canada, au Chili, en Inde, et dans six pays européens, la France, l'Italie, l'Allemagne, la Suisse, la Grande Bretagne, et le Danemark, l'enquête de Marie-Monique Robin sera également publiée dans un livre à paraître le 7 mars. La journaliste s'est intéressée aux produits chimiques qui font désormais partie de notre alimentation. Conservateurs, colorants, anti-oxydants ou résidus de pesticides : ces substances, Marie-Monique Robin les considère comme de véritables poisons, et s'interroge quant à leur rôle dans le développement de maladies telles que le cancer, le diabète, l'obésité, ou les maladies neuro-dégénératives.
La journaliste se pose alors la question de savoir si ces produits chimiques présents dans notre chaîne alimentaire sont testés et évalués, et si la réglementation à laquelle ils sont soumis protège réellement les consommateurs. Sur son blog, Marie-Monique Robin explique s'être posée trois questions fondamentales : "Est-ce que le comportement de Monsanto constitue une exception dans l'histoire industrielle ?", "Comment sont réglementés les 100.000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement depuis la fin de la seconde guerre mondiale ?", et "Y-a-t il un lien entre l'exposition à ces produits chimiques et 'l'épidémie de maladies chroniques évitables' que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a constatée surtout dans les pays dits 'développés'".
Au cours de son enquête, la réalisatrice a interrogé de nombreux experts jouant un rôle dans le système de règlementation, la recherche et l'utilisation des produits chimiques. Marie-Monique Robin dénonce la façon dont l'Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) emploie des chercheurs travaillant pour des entreprises ut... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/industrie-chimique/du-poison-dans-nos-assiettes_art11915.html
Menée aux Etats-Unis, au Canada, au Chili, en Inde, et dans six pays européens, la France, l'Italie, l'Allemagne, la Suisse, la Grande Bretagne, et le Danemark, l'enquête de Marie-Monique Robin sera également publiée dans un livre à paraître le 7 mars. La journaliste s'est intéressée aux produits chimiques qui font désormais partie de notre alimentation. Conservateurs, colorants, anti-oxydants ou résidus de pesticides : ces substances, Marie-Monique Robin les considère comme de véritables poisons, et s'interroge quant à leur rôle dans le développement de maladies telles que le cancer, le diabète, l'obésité, ou les maladies neuro-dégénératives.
La journaliste se pose alors la question de savoir si ces produits chimiques présents dans notre chaîne alimentaire sont testés et évalués, et si la réglementation à laquelle ils sont soumis protège réellement les consommateurs. Sur son blog, Marie-Monique Robin explique s'être posée trois questions fondamentales : "Est-ce que le comportement de Monsanto constitue une exception dans l'histoire industrielle ?", "Comment sont réglementés les 100.000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement depuis la fin de la seconde guerre mondiale ?", et "Y-a-t il un lien entre l'exposition à ces produits chimiques et 'l'épidémie de maladies chroniques évitables' que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a constatée surtout dans les pays dits 'développés'".
Au cours de son enquête, la réalisatrice a interrogé de nombreux experts jouant un rôle dans le système de règlementation, la recherche et l'utilisation des produits chimiques. Marie-Monique Robin dénonce la façon dont l'Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) emploie des chercheurs travaillant pour des entreprises ut... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/industrie-chimique/du-poison-dans-nos-assiettes_art11915.html
samedi 5 février 2011
Les facteurs de risque de cancer du sein
En 1990, la première grande cohorte française était lancée. Plus de 100.000 femmes adhérentes de la MGEN nées entre 1925 et 1950 allaient être suivies pendant des années dans le cadre de l'étude dite E3N pour comprendre les facteurs de risque du cancer et ceux des maladies chroniques. Cette cohorte, qui a plus de vingt ans, dirigée par le Pr Françoise Clavel-Chapelon (Inserm), a déjà permis la découverte de plusieurs facteurs clés dans le cancer du sein. Plus de cinquante publications sont issues de cette enquête.
Une nouvelle cohorte dite E4N, constituée des enfants et petits-enfants des femmes incluses dans E3N, va aussi bénéficier, avec cet appel à projets, d'un financement de près de 8 millions d'euros qui permettra de continuer à faire fonctionner l'étude E3N.
Stratégies de prévention
«Dans le cadre de E3N, les 100.000 femmes sont suivies grâce à un questionnaire auquel elles répondent tous les deux ans, explique le Pr Clavel-Chapelon. 25.000 d'entre elles ont aussi bénéficié d'une prise de sang, à la recherche de marqueurs biologiques. Un certain nombre va aussi bénéficier d'un prélèvement de salive permettant d'identifier des caractéristiques génétiques.» Cette cohorte vise comme les autres à identifier des associations entre l'état de santé, le mode de vie et certaines caractéristiques biologiques.
L'étude E3N a déjà permis de mieux identifier les traitements hormonaux de la ménopause les plus liés au risque de cancer du sein. Tout récemment, elle a permis d'observer que les femmes ayant un taux faible de vitamine D avaient aussi un risque accru de cancer du sein. Des recherches ont aussi mis en évidence un effet protecteur du régime méditerranéen. De même, un effet délétère des acides gras trans (que l'on trouve dans les pâtisseries industrielles) a été détecté. «Le vieillissement des femmes de la cohorte nous permet maintenant de travailler su... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
http://www.lefigaro.fr/sante/2011/01/26/01004-20110126ARTFIG00772-les-facteurs-de-risque-de-cancer-du-sein.php
Une nouvelle cohorte dite E4N, constituée des enfants et petits-enfants des femmes incluses dans E3N, va aussi bénéficier, avec cet appel à projets, d'un financement de près de 8 millions d'euros qui permettra de continuer à faire fonctionner l'étude E3N.
Stratégies de prévention
«Dans le cadre de E3N, les 100.000 femmes sont suivies grâce à un questionnaire auquel elles répondent tous les deux ans, explique le Pr Clavel-Chapelon. 25.000 d'entre elles ont aussi bénéficié d'une prise de sang, à la recherche de marqueurs biologiques. Un certain nombre va aussi bénéficier d'un prélèvement de salive permettant d'identifier des caractéristiques génétiques.» Cette cohorte vise comme les autres à identifier des associations entre l'état de santé, le mode de vie et certaines caractéristiques biologiques.
L'étude E3N a déjà permis de mieux identifier les traitements hormonaux de la ménopause les plus liés au risque de cancer du sein. Tout récemment, elle a permis d'observer que les femmes ayant un taux faible de vitamine D avaient aussi un risque accru de cancer du sein. Des recherches ont aussi mis en évidence un effet protecteur du régime méditerranéen. De même, un effet délétère des acides gras trans (que l'on trouve dans les pâtisseries industrielles) a été détecté. «Le vieillissement des femmes de la cohorte nous permet maintenant de travailler su... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
http://www.lefigaro.fr/sante/2011/01/26/01004-20110126ARTFIG00772-les-facteurs-de-risque-de-cancer-du-sein.php
vendredi 4 février 2011
Obésité infantile : l'OMS émet de nouvelles recommandations
Dans le cadre de sa stratégie mondiale pour l'alimentation, l'exercice physique et la santé, l'Organisation mondiale de la santé pointe du doigt le problème de l'obésité infantile et émet de nouvelles recommandations
L'obésité infantile est de plus en plus importante dans le monde, et est notamment due à la mauvaise alimentation des enfants et le manque d'activités physiques. Ainsi, l'OMS accuse, entre autres, les publicités et les stratégies de commercialisation des aliments et boissons à destination des enfants, de ne pas favoriser une alimentation saine. Plusieurs recommandations concernant cette commercialisation des aliments et boissons pour les enfants avaient été émises lors de la 63e assemblée mondiale de la santé qui a eu lieu en mai 2010.
Aujourd'hui, l'OMS rappelle qu'une mauvaise alimentation peut avoir pour conséquence d'augmenter le risque de développer des maladies, et cela d'autant plus si cette mauvaise alimentation est adoptée dès le plus jeune âge. L'Organisation mondiale de la santé aimerait promouvoir les régimes à faible teneur en graisse et sucre pour les enfants. De plus, il apparaitrait que la publicité télévisée aurait également un très lourd impact sur les préférences alimentaires de la jeunesse ainsi que sur leur mode de consommation. L'une des recommandations de l'organisation est notamment d'interdire la présence d'aliments trop salés, trop gras ou trop sucrés dans les établissements destinés à accueillir les enfants.
http://www.maxisciences.com/ob%e9sit%e9-infantile/obesite-infantile-l-039-oms-emet-de-nouvelles-recommandations_art12092.html
L'obésité infantile est de plus en plus importante dans le monde, et est notamment due à la mauvaise alimentation des enfants et le manque d'activités physiques. Ainsi, l'OMS accuse, entre autres, les publicités et les stratégies de commercialisation des aliments et boissons à destination des enfants, de ne pas favoriser une alimentation saine. Plusieurs recommandations concernant cette commercialisation des aliments et boissons pour les enfants avaient été émises lors de la 63e assemblée mondiale de la santé qui a eu lieu en mai 2010.
Aujourd'hui, l'OMS rappelle qu'une mauvaise alimentation peut avoir pour conséquence d'augmenter le risque de développer des maladies, et cela d'autant plus si cette mauvaise alimentation est adoptée dès le plus jeune âge. L'Organisation mondiale de la santé aimerait promouvoir les régimes à faible teneur en graisse et sucre pour les enfants. De plus, il apparaitrait que la publicité télévisée aurait également un très lourd impact sur les préférences alimentaires de la jeunesse ainsi que sur leur mode de consommation. L'une des recommandations de l'organisation est notamment d'interdire la présence d'aliments trop salés, trop gras ou trop sucrés dans les établissements destinés à accueillir les enfants.
http://www.maxisciences.com/ob%e9sit%e9-infantile/obesite-infantile-l-039-oms-emet-de-nouvelles-recommandations_art12092.html
jeudi 3 février 2011
Bientôt un test pour détecter l'Alzheimer ?
L'agence fédérale américaine des médicaments (FDA) fait savoir qu'un test mis au point par le laboratoire Eli Lilly pour détecter Alzheimer avait été jugé prometteur par un comité d'experts
La maladie d'Alzheimer est l'une des plus grandes préoccupations sanitaires des Etats-Unis, de l'Europe, et de la France. Le problème ? Elle est difficilement détectable. Ainsi, le laboratoire Eli Lilly s'est penché sur le sujet et vient de mettre au point un test visant le diagnostic de la maladie qui a été jugé comme prometteur par un comité d'experts. Le test en question consiste en l'introduction d'une substance chimique dans le sang des patients. Cette substance a pour principal effet de mettre en avant les dépôts de protéines dans le corps et cela par scanner, alors que ces dépôts joueraient un rôle important dans la maladie d'Alzheimer, explique l'AFP.
La FDA (agence fédérale américaine des médicaments) a alors demandé à un comité d'experts d'observer et d'étudier ce test, et ces derniers ont voté à l'unanimité pour sa commercialisation à la seule condition que le laboratoire Eli Lilly prouve que les scanners effectués après l'introduction de la substance puissent être parfaitement interprétés par des médecins formés. L'AFP précise que les dépôts de protéines bêta-amyloïde auraient pour conséquence la formation de plaques dans les régions corticales, entrainant une destruction de neurones et une dégénérescence cérébrale. Plusieurs autres laboratoires travaillent sur la mise en place d'un test de diagnostic.
http://www.maxisciences.com/test/bientot-un-test-pour-detecter-l-039-alzheimer_art12038.html
La maladie d'Alzheimer est l'une des plus grandes préoccupations sanitaires des Etats-Unis, de l'Europe, et de la France. Le problème ? Elle est difficilement détectable. Ainsi, le laboratoire Eli Lilly s'est penché sur le sujet et vient de mettre au point un test visant le diagnostic de la maladie qui a été jugé comme prometteur par un comité d'experts. Le test en question consiste en l'introduction d'une substance chimique dans le sang des patients. Cette substance a pour principal effet de mettre en avant les dépôts de protéines dans le corps et cela par scanner, alors que ces dépôts joueraient un rôle important dans la maladie d'Alzheimer, explique l'AFP.
La FDA (agence fédérale américaine des médicaments) a alors demandé à un comité d'experts d'observer et d'étudier ce test, et ces derniers ont voté à l'unanimité pour sa commercialisation à la seule condition que le laboratoire Eli Lilly prouve que les scanners effectués après l'introduction de la substance puissent être parfaitement interprétés par des médecins formés. L'AFP précise que les dépôts de protéines bêta-amyloïde auraient pour conséquence la formation de plaques dans les régions corticales, entrainant une destruction de neurones et une dégénérescence cérébrale. Plusieurs autres laboratoires travaillent sur la mise en place d'un test de diagnostic.
http://www.maxisciences.com/test/bientot-un-test-pour-detecter-l-039-alzheimer_art12038.html
mercredi 2 février 2011
Un médicament contre le cancer du sein utile contre le cancer du poumon
Le Tamoxifen, un médicament antioestrogène administré pour le traitement de certaines formes de cancer du sein, pourrait aussi contribuer à réduire la mortalité des personnes atteintes de cancer du poumon, relève une étude parue lundi dans la revue américaine Cancer.
De précédentes études avaient montré que les femmes qui suivaient une thérapie hormonale à l'oestrogène pour traiter les effets de la ménopause avaient un risque plus élevé de décéder d'un cancer du poumon.
L'étude publiée lundi se fonde ainsi sur l'hypothèse selon laquelle le fait de bloquer les oestrogènes pourrait améliorer la survie des personnes atteintes de cancer du poumon.
«Une influence hormonale»
Elle porte sur 6.655 femmes atteintes d'un cancer du sein entre 1980 et 2003, selon le registre genevois des tumeurs, dont près de la moitié, soit 3.066 où 46%, ont reçu un traitement antioestrogène.
L'étude, menée par le Dr Elisabetta Rapiti qui a suivi l'état de santé de ces femmes jusqu'en 2007, relève que celles qui ont pris des antioestrogènes ont eu 87% de risques en moins de décéder d'un cancer du poumon que les autres. En revanche, l'étude ne relève pas d'incidence significative du traitement antioestrogène sur les risques d'avoir un cancer du poumon.
«Nos conclusions confortent l'hypothèse selon laquelle il existe une influence hormonale sur le cancer du poumon», indique le Dr Rapiti. «Si de futures études confirment nos conclusions et déterminent que les agents antioestrogènes améliorent la survie des personnes atteintes de cancer du poumon, ceci pourrait avoir des conséquences substantielles sur la pratique clinique», ajoute-t-elle.
http://20min.fr/a/657836
De précédentes études avaient montré que les femmes qui suivaient une thérapie hormonale à l'oestrogène pour traiter les effets de la ménopause avaient un risque plus élevé de décéder d'un cancer du poumon.
L'étude publiée lundi se fonde ainsi sur l'hypothèse selon laquelle le fait de bloquer les oestrogènes pourrait améliorer la survie des personnes atteintes de cancer du poumon.
«Une influence hormonale»
Elle porte sur 6.655 femmes atteintes d'un cancer du sein entre 1980 et 2003, selon le registre genevois des tumeurs, dont près de la moitié, soit 3.066 où 46%, ont reçu un traitement antioestrogène.
L'étude, menée par le Dr Elisabetta Rapiti qui a suivi l'état de santé de ces femmes jusqu'en 2007, relève que celles qui ont pris des antioestrogènes ont eu 87% de risques en moins de décéder d'un cancer du poumon que les autres. En revanche, l'étude ne relève pas d'incidence significative du traitement antioestrogène sur les risques d'avoir un cancer du poumon.
«Nos conclusions confortent l'hypothèse selon laquelle il existe une influence hormonale sur le cancer du poumon», indique le Dr Rapiti. «Si de futures études confirment nos conclusions et déterminent que les agents antioestrogènes améliorent la survie des personnes atteintes de cancer du poumon, ceci pourrait avoir des conséquences substantielles sur la pratique clinique», ajoute-t-elle.
http://20min.fr/a/657836
mardi 1 février 2011
Marchez vite... vous vivrez plus longtemps
C'est confirmé, le fait de marcher d'un pas alerte constitue un signe de bonne santé. Mais pas seulement... Selon des chercheurs américains, la vitesse de marche serait même un indicateur pertinent d'espérance de vie. Chiffres à l'appui.
Le Dr Stephanie Studenski et son équipe, de l'Université de Pittsburgh en Pennsylvanie, ont passé au crible 9 études réalisées sur le sujet entre 1986 et 2000. Leur travail a pris en compte près de 35 000 participants, âgés en moyenne de 73 ans et suivis de 6 à 21 ans.
Au cours de leur travail, les auteurs ont recensé 17 500 décès. En moyenne, 84% des sujets étaient toujours en vie au bout de 5 ans, et 60% après 10 ans. « Nous avons constaté que la vitesse de marche était bien corrélée à la durée de vie », expliquent-ils. « Et ce constat est particulièrement vrai pour les plus de 75 ans ». Autrement dit, ceux qui marchent le plus vite vivent aussi, le plus longtemps...
Il s'avère également, que la durée de vie augmente à partir d'une vitesse de marche supérieure à un mètre par seconde, soit 3,6 kilomètres par heure.. Et cela, aussi bien chez les femmes que les hommes. A leurs yeux, « voilà assurément un indicateur simple et accessible de l'état de santé d'une personne âgée. A l'avenir, il pourrait même être utilisé en médecine de ville ». A condition bien sûr que les praticiens puissent exploiter une méthode d'évaluation standardisée, qui reste à mettre au point...
http://www.destinationsante.com/Marchez-vite-vous-vivrez-plus-longtemps.html
Le Dr Stephanie Studenski et son équipe, de l'Université de Pittsburgh en Pennsylvanie, ont passé au crible 9 études réalisées sur le sujet entre 1986 et 2000. Leur travail a pris en compte près de 35 000 participants, âgés en moyenne de 73 ans et suivis de 6 à 21 ans.
Au cours de leur travail, les auteurs ont recensé 17 500 décès. En moyenne, 84% des sujets étaient toujours en vie au bout de 5 ans, et 60% après 10 ans. « Nous avons constaté que la vitesse de marche était bien corrélée à la durée de vie », expliquent-ils. « Et ce constat est particulièrement vrai pour les plus de 75 ans ». Autrement dit, ceux qui marchent le plus vite vivent aussi, le plus longtemps...
Il s'avère également, que la durée de vie augmente à partir d'une vitesse de marche supérieure à un mètre par seconde, soit 3,6 kilomètres par heure.. Et cela, aussi bien chez les femmes que les hommes. A leurs yeux, « voilà assurément un indicateur simple et accessible de l'état de santé d'une personne âgée. A l'avenir, il pourrait même être utilisé en médecine de ville ». A condition bien sûr que les praticiens puissent exploiter une méthode d'évaluation standardisée, qui reste à mettre au point...
http://www.destinationsante.com/Marchez-vite-vous-vivrez-plus-longtemps.html
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