jeudi 31 mars 2011

En Seine-Saint-Denis, le désert médical avance

Victime de sa mauvaise image, de la peur des agressions, de la surcharge de travail, la Seine-Saint-Denis n'attire pas les médecins. C'est là qu'ils sont le moins nombreux en Ile-de-France, alors que le besoin de soins y est très important. "Ma consultation et ma liste d'attente étant particulièrement surchargées, je ne suis plus en mesure de recevoir d'autres patients." Voilà le message du répondeur de l'unique psychiatre libéral de la préfecture, Bobigny, 48 000 habitants. Les spécialistes sont une denrée rare dans certaines zones de Seine-Saint-Denis. Mais c'est aussi le cas des généralistes : selon la caisse de retraite des médecins, il y en a 7,13 pour 10 000 habitants contre 12,32 chez les voisins parisiens. Idem dans le Val-d'Oise, avec 8 généralistes pour 10 000 habitants.

Certaines zones sont désormais qualifiées de "déserts médicaux" et la tendance va s'aggraver : les médecins sont plus âgés qu'ailleurs et ont beaucoup de mal à trouver des remplaçants à leur départ en retraite. À Clichy-sous-Bois, cinq dentistes sont partis entre 2000 et 2009, un seul est arrivé. Pierrefitte-sur-Seine, qui a l'un des plus importants taux de natalité de France, a vu partir sa dernière pédiatre en février. Elle avait subi une agression. La gynécologue, blessée fin février par un homme qui voulait lui voler son sac à main dans son cabinet, a aussi jeté l'éponge. Si ces agressions sont souvent mises en avant, elles ne sont pas la seule explication au manque d'attractivité du département.
Tristes records

"Si je vous dis que vous avez la possibilité de vous installer à Neuilly-sur-Seine ou à Clichy-sous-Bois, qu'allez-vous faire ?" interroge Georges Siavellis, généraliste à Noisy-le-Sec. Pour lui, la première difficulté est "l'image globale du département". "C'est plus difficile d'être médecin en Seine-Saint-Denis", poursuit-il. Il y a une surcharge de travail avec la queue dans le cabinet dès l'ouverture, raconte-t-il. "La population est plus précaire, on s'investit beaucoup sur le côté social", "il y a des difficultés de contact, des barrières linguistiques", "des pathologies lourdes", énumère le médecin.

La Seine-Saint-Denis détient le triste record de la mortalité infantile avec 5,4 cas pour 1 000 naissances, contre 3,6 en France, ainsi que celui de la tuberculose, du diabète... S'y installer devient presque un engagement militant. "Les gens ont encore plus besoin qu'ailleurs des médecins", dit Sabine Guinemer, en deuxième année d'internat et en stage à La Courneuve, dans "une zone précaire". "Nos patients sont des gens attachants, dans le besoin", dit la jeune femme. "La violence ? Oui, on y est confronté", dit-elle. Son pneu a été crevé quatre fois depuis novembre. Mais Sabine Guinemer se voit bien s'installer dans une zone difficile, peut-être en activité mixte, salariée et libérale.

Car les médecins salariés sont assez nombreux dans le département, dans des centres de santé. Sans ces centres, "ça serait la catastrophe sanitaire", selon le docteur Siavellis. La limite : leur coût élevé pour la collectivité. Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) a peut-être trouvé la solution après avoir déploré 32 départs de professionnels de santé pour 9 installations entre 2000 et 2006 : inaugurée en mai, la maison de santé regroupe désormais 17 libéraux. "Nous avons clairement inversé la tendance", se félicite Alexandre Grenier, de la société gestionnaire, Ancilia. Ces projets de maison pluridisciplinaire, pour réunir des libéraux et faciliter leurs conditions de travail, se multiplient. Il en est question à Clichy-sous-Bois, une des villes emblématiques des problèmes de la Seine-Saint-Denis.
http://www.lepoint.fr/societe/en-seine-saint-denis-le-desert-medical-avance-27-03-2011-1311821_23.php

mercredi 30 mars 2011

Epidémie : mon enfant peut-il échapper à la varicelle ?

Pour éviter le grattage : un antihistaminique peut être donné pour éviter les démangeaisons. Il faut avant tout respecter la cicatrisation naturelle et ne pas frotter la peau au risque d'arracher les croûtes. Avec ces recommandations simples et pleines de bon sens, la plupart des 600 000 cas de varicelle annuels se passent sans problème.Pour éviter la surinfection : le plus souvent, les surinfections sont dues à des bactéries, des streptocoques et des staphylocoques, qui utilisent les plaies comme porte d'entrée dans le corps de l'enfant. Lavez-le avec un savon dermatologique non antiseptique qui élimine les germes présents habituellement sur toutes les peaux. Un antiseptique, comme la chlorhexidine, est ensuite appliqué sur chaque bouton ou croûte. Elle est incolore, donc pas de petits points rouges sur tout le corps, dégoulinant sur les draps ou les vêtements !Attention à la fièvre qui dure : normalement, la fièvre dure de 24 à 48 heures (pour la faire tomber, donnez à vore enfant uniquement du paracétamol; et JAMAIS d'aspirine, qui peut entraîner des complications). Mais si elle persiste plus de trois jours ou si elle réapparaît, c'est un premier signe d'alerte. De plus, la peau ne fait pas mal lors d'une varicelle banale. Si un bouton gonfle ou devient douloureux, alors la surinfection est là. Il faut un avis médical le jour même.
Peut-on échapper à la varicelle ?Il existe depuis 2004 deux vaccins qui permettent d'être immunisé contre la maladie, mais ils ne sont vraiment recommandés que pour les personnes à risque. Pour linstant, le Haut Conseil de santé publique ne recommande pas la vaccination généralisée des enfants « pour éviter de déplacer les cas de varicelle vers les adolescents ou les adultes » et déconseille le remplacement du vaccin r ...Lire la suite sur TopSante.com

mardi 29 mars 2011

Un implant capable de pister les cancers dans l'organisme

Des chercheurs américains ont mis au point un capteur de quelques millimètres facile à implanter dans l'organisme et capable de détecter des tumeurs. Lire la suite l'article
L'invention ressemble étrangement à un bonbon à la menthe et pourtant, elle pourrait bien révolutionner le dépistage des cancers. En effet, ce capteur de quelques millimètres peut être implanté dans l'organisme afin de détecter la présence de tumeurs et ce, sans nécessiter d'opération invasive. "Avec cet outil, nous allons amener le laboratoire dans le patient", a expliqué au New Scientist le Dr Michael Cima, l'un des créateurs de la capsule.
Mais outre sa taille, l'invention des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) se distingue aussi par une technologie particulièrement innovante. A l'intérieur de la capsule se trouvent des nanoparticules magnétiques, arborant chacune quelques anticorps. Ceux-ci sont conçus pour repérer et s'accrocher à une hormone, l'hCG surproduite par les cellules tumorales de cancers des testicules et des ovaires. Grâce à la membrane semi-perméable, les molécules peuvent pénétrer dans la capsule. Il suffit ensuite d'utiliser un scanner IRM pour analyser ces molécules et déterminer si la tumeur disparait ou grossit. Testée chez des souris, l'invention a fait ses preuves en mettant en évidence les tumeurs humaines implantées au préalable chez les animaux.
Au cours d'une seconde étude, Michael Cima et ses collègues ont transformé leur capteur de tumeur en détecteur d'attaque cardiaque. Pour cela, ils ont remplacé les anticorps par d'autres capables de se lier aux trois différentes protéines relâchées par les cellules du muscle cardiaque lorsqu'elles éclatent. Lors des tests effectués sur des rongeurs, les chercheurs sont alors parvenus à mesurer avec précision la sévérité des dégâts. Plus il y avait de protéines accumulées, plus l'attaque était sévère et plus le signal de l'IRM était puissant.
Devant l'efficacité de l'invention, le Dr Cima et son équipe tentent désormais de dével... lire la suite de l'article sur Maxisciences

lundi 28 mars 2011

Dépistage cardiovasculaire... en pharmacie

Initiée par le Collectif National des Groupements de Pharmaciens d'Officine (CNGPO), une opération nationale de dépistage des facteurs de risque cardiovasculaire vient d'être lancée avec le soutien du laboratoire Biogaran. Elle est proposée à l'ensemble des pharmaciens d'officine et concerne une très large population.
Les pharmaciens peuvent ainsi proposer à leurs clients, la mesure de cinq facteurs de risque : hypercholestérolémie, hyperglycémie, hypertension artérielle, indice de masse corporelle et tour de taille et tabagisme. Ce dépistage est accompagné de la remise d'un « coffret santé » qui comprend un carnet de dépistage personnalisé, ainsi qu'un CD-ROM d'une heure consacré à la prévention cardiovasculaire.


Ce dépistage d'un nouveau genre, en pharmacie, ne prend pas plus de 20 minutes et permet d'obtenir des résultats immédiats. « L'intérêt de ce nouveau service est multiple. Pour le bénéficiaire, il permet un dépistage rapide avec ou sans rendez-vous chez un acteur de santé de proximité », explique Pascal Louis, président du CNGPO. Ce service innovant participe à la prévention des affections longue durée chez des patients en bonne santé qui ne se seraient pas fait dépister. Si les résultats du dépistage confirment les facteurs de risque, le pharmacien incite alors le patient à consulter son médecin.


Ce type d'initiative s'inscrit dans le cadre de la loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires. Celle-ci permet en effet aux pharmaciens de mettre en place localement des campagnes de dépistage et de prévention à l'officine. La liste des officines proposant ce nouveau service est disponible à www.depistage-officine.com.
http://www.destinationsante.com/Depistage-cardiovasculaire-en-pharmacie,34783.html

dimanche 27 mars 2011

Médicament : gérer les risques, c'est mieux les maîtriser...

La publication fin janvier par l'AFSSaPS, d'une liste de médicaments placés sous surveillance particulière, a suscité bien des interrogations. Elle a d'ailleurs inquiété le public bien davantage qu'elle ne l'a rassuré, même si telle était l'intention affichée. On s'en souviendra, une majorité des médicaments cités par l'Agence (44 sur 77) faisait l'objet d'un Plan de Gestion des Risques (PGR). Ah, le vilain mot qui fâche... Et pourtant le PGR est une procédure européenne à laquelle est systématiquement soumis tout nouveau médicament, depuis 2005
Cette année-là en effet, la réglementation européenne a imposé qu'un PGR accompagne la demande d'Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) de toute nouvelle substance active. La mise en place de ces PGR procède donc aujourd'hui d'une obligation légale. Cela ne signifie en rien que les médicaments concernés présentent davantage de risques que les autres. Bien au contraire, la mise en oeuvre de ces PGR constitue en réalité une garantie supplémentaire de suivi des événements de pharmacovigilance une fois le médicament entré dans « la vraie vie ».


En pratique et comme le rappelle l'AFSSaPS, les PGR permettent :


- De mieux quantifier les risques des nouveaux médicaments ;


- De compléter les données disponibles au moment de leur mise sur le marché ;


- De surveiller leur bon usage dans les conditions réelles d'utilisation.


« Le PGR implique, lorsque nécessaire, des investigations complémentaires », indique l'AFSSaPS. « Cela se traduit par un suivi renforcé de la pharmacovigilance, des études de sécurité d'emploi et des mesures de minimisation du risque ». Ces dernières peuvent prendre la forme de documents d'information destinés aux patients et aux professionnels de santé. Ces PGR font l'objet de bilans annuels qui sont chaque fois, rendus public. Le dernier en date, publié en juin 2010, concerne le suivi des PGR pour l'exercice 2009
http://www.destinationsante.com/Medicament-gerer-les-risques-c-est-mieux-les-maitriser.html

samedi 26 mars 2011

Circoncision: une efficacité durable contre le VIH

En 2005-2006, une étude a été menée en Ouganda sur près de 5 000 hommes séronégatifs, pour évaluer l'impact de la circoncision sur la transmission du VIH. A cette époque déjà, les résultats avaient été spectaculaires, les auteurs observant une réduction de 50% du risque de contamination chez les hommes circoncis. De nouvelles données ont été publiées cette année à la 18ème Conférence sur les Rétrovirus et les Infections opportunistes (CROI), qui vient de se dérouler à Boston. Il en est ressorti que l'efficacité de la circoncision avait été sous-estimée. Cinq ans plus tard en effet, il s'avère que le risque est en réalité réduit de... 73% !


Désinhibition?


Parmi les hommes qui n'avaient pas été circoncis à l'occasion de l'étude, 80% ont aujourd'hui opté pour cette solution. Se croient-ils totalement protégés au point d'abandonner l'usage du préservatif ? La proportion de ceux qui n'en n'utilisent pas ou peu a augmenté... de la même façon dans les deux groupes. Le manque de disponibilité de ce moyen de prévention semble donc en cause, plutôt qu'une quelconque 'désinhibition'. Rappelons que la circoncision n'est qu'un moyen complémentaire pour prévenir l'infection à VIH: le recours au préservatif reste indispensable
http://www.destinationsante.com/Circoncision-une-efficacite-durable-contre-le-VIH.html

vendredi 25 mars 2011

Elles ont choisi le sport après un cancer du sein

C'est une double épreuve qui unit ces femmes. Celle de la maladie d'abord car elles ont dû se battre contre le cancer du sein, certaines sont d'ailleurs encore sous traitement (chimiothérapie, radiothérapie). Celle du sport ensuite car elles se sont rassemblées pour créer un équipage de Dragon Boat, une embarcation de 12 mètres de long dans laquelle 20 pagayeuses rament au rythme d'un tambour. En mai dernier, elles se sont rendues à Venise pour participer à la " VolaLonga ", une course où 150 équipages du monde entier s'affrontent. L'une de ces " Dragon ladies ", Sylvie Barbe, a réalisé un film sur cette aventure, joli pied de nez à la maladie. Le documentaire sera diffusé ce soir sur France 3, dans Thalassa
" On a besoin de renaître "
Ces 21 femmes de l'association " Ensemble pour Elles " se sont entraînées pendant neuf mois à Reims (Marne), où elles habitent. Elles étaient suivies notamment par un kinésithérapeute car pour les femmes opérées d'un cancer du sein, l'une des principales craintes est la peur du " gros bras " (lymphodoeme) qui entraîne chez certaines femmes une mobilité réduite du bras. Mais aucune des 21 n'a subi cet effet secondaire. Le Dragon Boat les a au contraire aidées à passer le cap de l'après traitement. " Quand on revient à la vraie vie, la maladie reste encore extrêmement présente. On est fatiguées, on a pris du poids, nous explique Véronique Morand, présidente de l'association 'Ensemble pour Elles'. On a besoin de renaître. Cette activité physique étonnante (du Dragon Boat) a de nombreux bienfaits : elle permet de réduire le risque de récidive, d'éliminer la fatigue mais aussi de se réapproprier son corps. "
Mais pas seulement. Car pour ces femmes, qui avaient vécu la même chose, se retrouver, c'était aussi l'occasion de discuter de tout ce qu'elles ne pouvaient pas dire à leurs maris, à leurs médecins. Ces choses liées à l'hyper-intime (Comment refaire sa coloration quand les cheveux repoussent ? Où trouver ses soutiens... Lire la suite de l'article sur le site de Elle.fr

Sexo : les femmes se mettent aux films pornos

Bonne question : eh oui, c'est quoi un film porno pour mecs ? (A part dégoûtant)... C'est un film mettant en scène plusieurs personnes (plus de trois, sinon ce n'est pas drôle), qui sont en général des mafieux dans une villa du Sud draguant des écolières à nattes ou des baby-sitters à fortes poitrines (il faut dire ce qui est). Ces protagonistes n'ont pas de prénoms, pas de vocabulaire. Ils ont une pratique étrange de la vie et de l'amour en général.Pour les mecs, un film porno c'est comme le fast-food : il faut aller à l'essentiel (l'hamburger, là, et le cornichon), que ce soit vite consommé et que ça rassasie. Autrement dit, les hommes tournent des pornos dans une optique masturbatoire. Les femmes, non. "Elles ne font pas que des gros plans sur les fesses et les organes génitaux" constate Ovidie, directrice des programmes de French Lover TV.Selon la grande enquête Marc Dorcel / IFOP 2009, l'homme choisit un film porno : - si les actrices sont bien montées et sont connues (pour 73% des hommes alors que cela n'importe que 51% de femmes)- s'il coûte cher. Parce que plus il coûte cher, plus c'est bon. Alors que les femmes, elles, ne font guère attention au prix...Sur quels critères les femmes choisissent-elles un film pornographique ? Elles vont plutôt tenir compte de l'avis de leurs amies, du scénario ou même du titre. Oui, 27% des femmes avouent choisir un film pornographique selon son titre (c'est délicat) alors que les hommes s'en fichent un peu (19%). Il était donc temps que l'on s'y mette, non ?


Comme l'explique Erika Lust dans son livre "Porno pour elles" : "Jusqu'à présent, les hommes ont eu le monopole de la définition du concept de pornographie (...). Désormais, je crois que c'est à mon tour et à celui des autres femmes de redéfinir ce que le porno peut et doit être pour nous".Eh oui, ...Lire la suite sur TopSante.com


http://www.topsante.com/sexualite/plaisir-libido/Sexo-les-femmes-se-mettent-aux-films-pornos

jeudi 24 mars 2011

Le manque de sommeil accroît l'optimisme

Une nouvelle étude américaine démontre que les individus souffrant de manque de sommeil auraient tendance à être plus optimistes lors de prises de décisions en comparaison aux individus reposés.
Cette nouvelle étude a été publiée dans le journal Neuroscience. Elle rapporte les résultats d'une enquête menée auprès de 29 adultes volontaires, âgés en moyenne de 22 ans. Ces personnes ont été soumises à une série de décisions à prendre, notamment à caractère économique, et cela après une nuit de sommeil pleine, et une nuit où ils n'ont pu dormir. Chaque volontaire a ensuite subi une imagerie par résonance magnétique (IRM).


Les chercheurs ont alors pu observer que chez les individus qui ont été privés de sommeil, l'activité du cerveau responsable des anticipations positives était plus importante qu'à la normale, tandis que les parties du cerveau chargées des anticipations négatives avaient une activité moindre. Ainsi, l'étude explique : "Les individus privés de sommeil ayant participé à l'étude ont eu tendance à faire plus de choix mettant l'accent sur les gains monétaires et moins de choix permettant de réduire les risques". Un résultat mis en parallèle avec les joueurs de casino. En effet, Vinod Venkatraman, étudiant de troisième cycle en psychologie et en neurosciences à l'Université de Duke, responsable de l'étude, précise : "Les gens qui jouent jusqu'aux petites heures du jour ne doivent pas seulement compter avec le hasard des machines, mais avec leur propre cerveau qui manque de sommeil et a implicitement tendance à anticiper des gains et minimiser la probabilité de pertes
http://www.maxisciences.com/sommeil/le-manque-de-sommeil-accro-t-l-039-optimisme_art13033.html

mercredi 23 mars 2011

Soins : on succombe au massage thaï !

C'est quoi ? Un immense espace de 500 m2 dédié au massage thaï, avec un lounge où boire un thé après son soin, des vestiaires individuels pour se changer et 18 cabines-tentes en épais drapage écru. Ambiance chic et feutrée.On y va pour ? La qualité des massages, à l'huile ou tradi, donnés par des Thaïlandaises formées selon la méthode Wat Po (à partir de 65 E pour une heure). Tout au long de la séance, elles ajustent la gestuelle et l'intensité de leurs pressions pour dénouer les tensions, avec fermeté mais sans crisper.Le plus : les soirées filles, le deuxième jeudi du mois, de 20 h à minuit. On profite chacune de deux massages + un plateau de sushis (100 E par personne).La Villa Thaï, 8 bis, rue Sedaine, Paris-11e. Tél. : 01 48 07 02 02.

http://fr.news.yahoo.com/77/20110308/thl-soins-on-succombe-au-massage-tha-7d36203.html

mardi 22 mars 2011

Prothèses dentaires : les patients dans le flou

La pression des chirurgiens dentistes aura finalement payé. Alors qu'il y a deux ans, l'article 57 de la loi HPST (hôpital, patient, santé, territoire) était voté, obligeant les dentistes à indiquer sur leurs devis le prix d'achat des prothèses dentaires proposées aux patients, le Sénat a tout simplement supprimé cette disposition, laissant à nouveau les Français perdus dans le brouillard des tarifs des chirurgiens dentistes. Ainsi, l'amendement de Gilbert Barbier demande aujourd'hui aux dentistes seulement d'indiquer le prix total de la pose des prothèses, cachant ainsi au patient la différence de prix parfois faramineuse entre le coût réel de la prothèse, et ce que réclame le dentiste après la pose.


Un manque d'information et de transparence regretté par beaucoup et cela alors qu'il y a un an, la disposition législative demandant à ce que le patient soit tenu au courant de l'origine géographique de sa prothèse a également été annulée.


Les députés ne se sont pas encore exprimés sur le sujet, mais une chose est sûre, les prix des actes chez le dentiste ne devraient pas diminuer. De son côté, le ministre de la Santé Xavier Bertrand a expliqué : "Si l'on impose aux dentistes de communiquer le prix d'achat des prothèses, alors il faudra bientôt le faire avec les opticiens, et au-delà avec tous les commerçants". Selon les données de l'assurance maladie, les poses de prothèses représentaient en moyenne deux tiers de l'activité d'un dentiste libéral en 2008
http://www.maxisciences.com/dentiste/protheses-dentaires-les-patients-dans-le-flou_art13099.html

lundi 21 mars 2011

Alimentation : ne zappez pas le petit-déjeuner !

Le Parisien a publié cette semaine les résultats d'une enquête montrant l'intérêt du premier repas de la journée contre le cholestérol.
Selon les nutritionnistes américains en charge de l'étude, les personnes qui ne prennent pas de petit-déjeuner ont tendance sur le long terme à développer du mauvais cholestérol. Quant aux personnes qui sautent ce repas en essayant de perdre du poids, à la longue, ce sont elles qui prennent le plus de kilos superflus. Ce manque accroît également le risque de maladies cardio-vasculaires.


Toujours concernant le petit-déjeuner, mais cette fois-ci pour les enfants, l'article mentionne une étude publiée dans le magazine Pediatrics. Elle montre que les enfants qui mangent les céréales les plus sucrées sont aussi ceux qui en mangent le plus. Ainsi, la qualité nutritionnelle de leur repas est appauvrie. A contrario, ceux qui mangent les moins sucrées en consomment moins d'un bol, et ont encore faim pour un fruit, un yaourt ou du pain. Ils ont ainsi un repas plus équilibré. Ne vous contentez donc pas de petit-déjeuner, regardez aussi les étiquettes !


http://www.maxisciences.com/alimentation/alimentation-ne-zappez-pas-le-petit-dejeuner_art12848.html

dimanche 20 mars 2011

Prendre soin de ses reins pour protéger son coeur

Protéger vos reins, c'est sauver votre cur.» Pour la journée mondiale du rein, qui se tient ce jeudi, l'accent a été mis sur les répercussions cardiovasculaires des pathologies rénales, souvent méconnues, mais qui toucheraient près de 3 millions de personnes en France.


Insuffisance rénale chronique


L'évolution ultime des maladies du rein est l'insuffisance rénale chronique, dans laquelle l'organe n'assure plus sa fonction de filtre, nécessitant des dialyses régulières ou une greffe. Mais pour le professeur Michel Godin, président de la Fondation du rein en France, «un patient atteint de maladie rénale chronique risque beaucoup plus de mourir d'un accident cardio-vasculaire que d'atteindre le stade ultime de l'insuffisance rénale».


Principale conséquence des maladies rénales: les cellules des vaisseaux de l'organe, lorsqu'elles sont touchées, libèrent dans le sang des substances qui ont une nocivité cardiaque et vasculaire. Mais les insuffisants rénaux présentent également des anomalies du métabolisme de la vitamine qui entraînent une accumulation de calcium dans les artères coronaires irriguant le coeur.


Surveillance et hygiène de vie


Pour lutter contre les pathologies rénales, les spécialistes conseillent avant tout de boire beaucoup d'eau (un minimum d'un litre chaque jour), et de surveiller son alimentation en limitant les apports en sel et en protéine. Un régime adapté permet en outre d'éviter le surpoids et le cholestérol, deux autres facteurs de risque.


Au rayon hygiène de vie, il convient également de bannir le tabac et de pratiquer une activité physique régulière. Pour le reste, c'est chez le médecin que ça se passe. Celui-ci peut rechercher au moyen d'une bandelette réactive la présence d'albumine dans les urines, qui est un signe d'atteinte rénale. A partir de 60 ans, enfin, un dosage sanguin de la créatinine s'impose, cet examen étant un excellent indicateur de la fonction rénale.


http://20min.fr/a/684730

samedi 19 mars 2011

Semaine contre le cancer : travaillons en équipe

Le 21 mars, la Ligue contre le cancer lancera sa semaine nationale contre le cancer. Un coup d'envoi donné en fait, et au sens littéral du terme, la veille lors du match de football OM-PSG. Une rencontre marquée, en règle générale par des heurts entre supporters. Un symbole donc pour les ligues (celle contre le cancer et celle de football) : dépasser les clivages entre les deux équipes pour revêtir les couleurs de « l'équipe de France contre le cancer (EFCC) ».
Le 20 mars donc, l'EFCC investit le stade Vélodrome. Pour l'occasion, le club des supporters de l'Olympique de Marseille s'associe à la Ligue afin de rendre le combat de cette dernière toujours plus visible. Au coup d'envoi de la seconde mi-temps, vers 21h30, sera déployé le maillot géant de l'équipe de France contre le cancer. Une visibilité accrue dans la mesure où le match sera diffusé en direct sur Canal +.


Cette EFCC a été créée l'an dernier par la Ligue contre le cancer. Par l'intermédiaire de cette équipe, la Ligue souhaite que chacun prenne conscience que le cancer est à la fois un problème de santé et de société. « Malades, proches de malades, professionnels de santé, chefs d'entreprise, journalistes, sportifs ou encore personnalités du monde artistique...chacun, individuellement ou collectivement, est invité à participer activement à la lutte contre le cancer », précise-t-on au sein de la Ligue.


Pour participer, et devenir membre de l'équipe (qui en compte déjà 785 102), les moyens sont divers... et simples :


- Vous pouvez poster votre témoignage ou ajouter votre photo à la galerie des membres sur www.ligue-cancer.net/efcc ;


- rejoindre le groupe Facebook EFCC ;


- devenir bénévole au sein du Comité départemental le plus proche de chez vous ;


- vous abonner à la newsletter de la Ligue contre le cancer;


- faire un don ;


- porter le maillot (17) et l'écharpe de l'EFCC (10) mis en vente sur le site de la Ligue contre le cancer. A noter que les sommes récoltées seront reversées en totalité.


Pour... Lire la suite sur DestinationSante.com
http://www.destinationsante.com/Semaine-contre-le-cancer-travaillons-en-equipe.html

vendredi 18 mars 2011

Des prothèses high-tech contre la surdité

Les implants cochléaires permettent déjà, chaque année, à près de 700 Français de réentendre. Lire la suite l'article
Les problèmes de surdité sont variés et touchent un très grand nombre de personnes. Parmi les avancées les plus importantes de ces dernières années figurent les implants dits cochléaires . Cette technologie de pointe est proposée uniquement après l'échec des aides auditives classiques. Ils sont ainsi posés aux enfants ayant une surdité de naissance et aux adultes devenus sourds, soit par accident -par exemple, à la suite d'une explosion-, soit en raison d'une maladie génétique comme l'otospongiose, caractérisée par l'absence de transmission des vibrations sonores à l'oreille interne, dans sa forme sévère.


«La bonne nouvelle, c'est que les implants cochléaires, ainsi appelés parce que leurs électrodes sont positionnées à l'intérieur de l'oreille interne afin de stimuler directement les cellules auditives sensorielles, ont bénéficié des innovations des aides auditives conventionnelles. Comme ces dernières, les nouveaux implants sont devenus capables de faire la soustraction entre le bruit ambiant et le bruit d'une conversation (on appelle cela le “débruitage”), pour restituer au mieux une conversation», explique le Pr Bruno Frachet, ORL (hôpital Avicenne). De plus, la technique chirurgicale a aussi progressé: «Lorsqu'il persiste une petite capacité à entendre les sons graves, ce qui est souvent le cas chez les adultes devenus malentendants à la suite d'une maladie, le chirurgien fait attention à conserver cette fonction résiduelle lorsqu'il met en place les électrodes. Cela permet d'obtenir une audition plus naturelle et une meilleure compréhension de la parole, notamment dans une atmosphère bruyante, précise le Pr Frachet. Par ailleurs, même si cette chirurgie est aujourd'hui bien rodée -avec une intervention d'environ une heure trente à deux heures sous anesthésie générale et un contrôle auditif dès la fin de l'opération-, une chirurgie encore plus légère, avec... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr


http://www.lefigaro.fr/sante/2011/03/06/01004-20110306ARTFIG00269-des-protheses-high-tech-contre-la-surdite.php

jeudi 17 mars 2011

Mediator : le rapport au vitriol de Debré et Even

Les deux professeurs, Bernard Debré et Philippe Even, remettent ce mercredi à Nicolas Sarkozy un rapport au vitriol sur la réforme du système du Médiator. Une mission qui leur avait été confiée directement par le président de la République. Pour ce faire, ils ont entendu une quinzaine de personnes -Haute autorité de santé, Agence sanitaire des produits de santé (Afssaps), industrie du médicament, Agence européenne du médicament, revue Prescrire...


L'affaire du Mediator "est beaucoup plus qu'un accident isolé", notent-ils dans l'introduction de ce rapport de 85 pages. Leur texte s'en prend à la Haute autorité de santé, mais surtout à l'Afssaps, "une structure qui dit tout", avec 1.000 employés, cinq directions scientifiques, trois commissions dont "l'une dit toujours oui, en acceptant une foule de médicament inutiles, et l'autre non, refusant presque toujours de suspendre ou de retirer les médicaments même plus dangereux qu'utiles", et 75 groupes de travail, des missions transversales, des unité, un conseil scientifique... Même si la grande majorité des décisions d'autorisation de mise sur le marché (AMM) des médicaments sont prises au niveau européen, la commission d'AMM de l'Afssaps reste une structure "lourde", avec "28 membres choisis sur des critères très contestables, où domine la cooptation relationnelle de hasard".


"Une usine à gaz"


Les conflits d'intérêt sont moyennement respectés, les auditions des experts ne sont pas publiques, les compte-rendus de séance sont "peu fidèles". "De nombreux membres ignorent presque tout du dossier sur lequel ils votent, et même de la pathologie en cause". Quant à la commission de pharmacovigilance, elle agit selon une procédure "extraordinairement lente". Il s'agit d'une "course d'obstacles et de montagne par étapes, qui privilégie clairement l'intérêt des firmes et non celui des patients". Au total, le rapport souligne "la totale faillite de l'Afssaps", qui échoue "parce qu'elle n'a jamais eu de directions d'envergure" mais surtout parce que c'est "une usine à gaz", "un labyrinthe dont rien ne peut sortir".


Le rapport suggère "une réforme profonde, un véritable tournant". Il veut que l'Afssaps nouvelle s'occupe de missions d'analyse scientifique avec l'aide non plus de 3.500 experts, mais de 20 à 40 de haut niveau, sans conflit d'intérêt. "Les molécules n'apportant rien de plus que les traitements antérieurs seront refusées au remboursement". En matière de pharmacovigilance, le système d'alerte des médecins sera simplifié. Au total, le fonctionnement devra être complètement remanié, avec remplacement de cadres supérieurs et disparition de la machinerie administrative. Au passage, le rapport relève la nécessité d'un grand ministère de la santé, de la vieillesse et de la dépendance, "sans lien", comme c'est le cas actuellement, "avec le travail et l'emploi".
http://lci.tf1.fr/science/sante/2011-03/mediator-le-rapport-au-vitriol-de-debre-et-even-6311105.html

mercredi 16 mars 2011

Toux : deux sirops pour enfants retirés du marché

Parents attention. L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a retiré du marché deux sirops antitussifs pour enfants de moins de deux ans : le Broncalène nourrissons (Hepatoum) et l'Hexapneumine nourrissons (Bouchara Recordati). L'agence évoque à ce propos l'absence de preuve d'efficacité de ces produits et des cas de complications "neuropsychiatriques" (convulsions, agitations...) et de difficultés respiratoires observés chez certains enfants.


D'autres sirops - antitussifs antihistaminiques H1 de première génération et le fenspiride - ne peuvent désormais plus être délivrés en pharmacie pour les enfants de moins de deux ans. "Le risque d'effets indésirables lié à l'utilisation de ces médicaments étant supérieur au bénéfice escompté", souligne l'Afssaps. Les médicaments mucolytiques, mucofluidifiants et l'Hélicidine sont contre-indiqués chez le nourrisson (moins de deux ans) depuis le 29 avril 2010, rappelle-t-elle par ailleurs. Les parents doivent faire attention de ne pas donner aux petits de moins de deux ans, le sirop d'un aîné, avertit l'Afssaps.


http://lci.tf1.fr/science/sante/2011-03/toux-deux-sirops-pour-enfants-retires-du-marche-6314670.html

Les Français associent une alimentation saine à un meilleur vieillisement

Sur demande du Groupe Prévoir, l'Ifop a récemment mené un sondage, demandant aux Français comment ils expliquaient le fait que certaines personnes vieillissent mieux que d'autres. Ainsi, 58% des sondés ont expliqué que selon eux, bien vieillir passe avant tout par une alimentation saine. Près de la moitié des sondés pensent également que rester en forme lorsque le temps passe peut être la conséquence d'une vie sociale bien remplie. Suivent alors la pratique d'une activité physique et la culture pour expliquer un bon vieillissement.


Pour autant, les Français concèdent que la bonne volonté ne suffit pas et qu'un manque d'argent peut freiner certains à sortir, à faire du sport, ou bien à acheter des aliments plus sains. Le manque de temps, de volonté et d'équipements à disposition sont également cités par les personnes interrogées, rapporte Le Parisien.


Concernant le lien entre vieillesse et apparence, près de 9 Français sur 10 sont persuadés qu'il est possible de bien vieillir sans avoir recours à la chirurgie esthétique, aux crèmes ou au Botox.


Lors de ce sondage, il a également été demandé aux Français de choisir la femme qui incarne au mieux la notion de "bien vieillir", et c'est Line Renaud qui a été plébiscitée en premier, avant Simone Veil, Jane Fonda et Claude Sarraute. Du côté de la gent masculine, Clint Eastwood a été plébiscité, devançant alors Sean Connery, Charles Aznavour et Jean d'Ormesson.


http://www.maxisciences.com/vieillesse/les-francais-associent-une-alimentation-saine-a-un-meilleur-vieillisement_art12872.html

mardi 15 mars 2011

Médicaments antidouleur: comment vous y retrouver

Mal de tête, rage de dents, douleurs abdominales ou articulaires... Personne ny échappe un jour ou lautre. Très vite on tente dapaiser sa souffrance. Mais quel antidouleur prendre? Non seulement il en sort de nouveaux mais les anciens, comme le Di-Antalvic, disparaissent. Les arguments des experts pour guider votre choix.
Non, le paracétamol agit uniquement sur la douleur, alors que les anti-­inflammatoires, comme libuprofène, combattent linflammation responsable de celle-ci. Au-delà, il existe surtout une différence dhabitude et de culture. En France, on utilise beaucoup de paracétamol, alors quaux États-Unis libuprofène arrive largement en tête... Les formes récentes sont-elles plus efficaces? Quelle que soit la galénique, cest-à-dire la forme (comprimé, pastilles effervescentes...), 200 mg de paracétamol, cest 200 mg de paracétamol. Le principe actif est le même, la quantité équivalente, donc laction identique. Ce qui change, cest la rapidité daction. La libération du produit est un peu plus rapide lorsque le médicament est déjà désagrégé. Ainsi, une forme effervescente agit en général en une quinzaine de minutes, contre trente à quarante-cinq minutes pour un comprimé.


Depuis dix ans, la consommation de paracétamol a plus que doublé, alors que celle de laspirine a diminué de moitié. Celle-ci présente en effet davantage de risques et deffets indésirables. Elle augmente la fluidité du sang et peut provoquer des érosions des muqueuses digestives, source de saignements. Par conséquent, ses contre-indications sont nombreuses: antécédents dulcères digestifs ou de gastrite, anomalies de la coagulation, asthme, grossesse, diabète, goutte, maladies traitées par le méthotrexate (cancer, polyarthrite...).


Il est très bien toléré, mais les risques de surdosage existent. Il est en effet facile dabsorber des doses excessives sans bien sen rendre compte car de très nombreux médicaments en contiennent. Si vous prenez du Doliprane® contre votre mal de tête et un autre ...Lire la suite sur TopSante.com


http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/maux-du-quotidien/Medicaments-antidouleur-comment-vous-y-retrouver

lundi 14 mars 2011

Après un cancer du sein, attention à la fracture

Habituellement, la fracture du col du fémur touche essentiellement les femmes de plus de 70 ans. Mais des chercheurs de Chicago viennent de montrer que les femmes ayant été soignées pour un cancer du sein, souffrent d'un affaiblissement de leur structure osseuse bien avant cet âge, et ont donc un risque de fracture accru
Cette étude, qui vient d'être publiée dans l'édition de février du magazine Clinical Cancer Research, montre que la ménopause précoce provoquée par les traitements contre le cancer du sein, ainsi que les traitements de chiliothérapie, ont des conséquences sur la densité osseuse des femmes ayant été soignées pour un cancer.


Même s'il ne s'agit pas d'ostéoporose à proprement parler, ces problèmes de densité osseuse méritent d'être pris en compte par les médecins qui suivent les femmes "guéries" d'un cancer du sein, car une fracture de la hanche (et du col du fémur) peut être provoquée pau un simple choc, une chute même minime, voire un "mauvais geste" en se retournant.


http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/Actus/Apres-un-cancer-du-sein-attention-a-la-fracture

dimanche 13 mars 2011

Régime Dukan, dangereux pour la santé ?

Comme tout régime, la méthode Dukan connaît aussi ses limites après un fort engouement pour cette méthode dite " miracle ". C'est en tout cas ce que Marie-Josée Leblanc, nutritionniste à l'université de Montréal et gérante du site de l'université, " Extenso ", sur la nutrition, dénonce dans un entretien pour le quotidien canadien " La Presse " (17/01/2001) en mettant en avant les conséquences d'un tel régime. Le régime Dukan, fortement médiatisé, consiste à privilégier les aliments protéinés et à mettre de coté les glucides et les lipides. Ainsi, il repose sur le choix des aliments et non sur leur quantité ingurgitée. Et si ce régime attire autant celles qui rêvent d'une silhouette parfaite, c'est d'une part parce que le facteur " quantité " ne rentre pas en compte - pas de grande frustration - et d'autre part, parce qu'il permet une perte de poids rapide. Ainsi Marie-Josée Leblanc évoque les carences alimentaires que cela entraîne. La variété et l'équilibre de l'alimentation ne seraient selon elle pas assurés par ce régime. L'ostéoporose que peut provoquer le régime Dukan est également montré du doigt par la nutritionniste, thèse que l'Anses - agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail- soutient. En attendant qu'une vraie méthode miracle voie le jour, une chose est sûre, il faut continuer de manger équilibré !
http://www.elle.fr/elle/Minceur/News/Nutrition-Sante/Regime-Dukan-dangereux-pour-la-sante/(gid)/1517543

samedi 12 mars 2011

Des robots miniatures pour soigner les patients

Une équipe de chercheurs dirigée par le professeur Brad Nelson de l'Ecole Polytechnique Fédérale (EPF) de Zurich s'apprête à tester sur l'oeil humain un prototype de robot miniature. Cette avancée laisse entrevoir un avenir prometteur des nouvelles technologies médicales. Lire la suite l'article
Brad Nelson et ses collaborateurs vont bientôt expérimenter leur robot miniature sur l'oeil humain. Celui-ci interviendra dans le transport ciblé de médicaments pour traiter une affection rétinienne. L'illustration présente le nouveau prototype à côté de la mouche. Ce système, d'environ un tiers de millimètre est capable d'effectuer, sous l'influence de champs magnétiques oscillants, une sorte de mouvement natatoire.


Bien que limité, ce modèle offre de nouvelles perspectives pour le développement de robots contrôlés et guidés par l'influence de champs magnétiques externes. Ces nouveaux robots seraient capables d'effectuer de façon autonome des opérations à l'intérieur du corps humain comme le transport de substances actives ou des interventions chirurgicales extrêmement précises.


Ces nouvelles technologies représentent une avancée importante pour la chirurgie mini-invasive. En effet, une légère incision dans une zone anodine du corps suffirait pour introduire les robots. De plus, ces robots extrêmement compacts pourraient intervenir dans quasiment toutes les régions du corps.


Des discussions sur le développement de ces nouveaux systèmes sont actuellement en cours avec des sociétés du secteur des techniques médicales.


http://www.maxisciences.com/robot/des-robots-miniatures-pour-soigner-les-patients_art12889.html

vendredi 11 mars 2011

Médicaments pour enfants : les nouvelles cibles de « Prescrire »

Après le buflomédil qui a, depuis, été retiré du marché, les rédacteurs de la revue Prescrire s'attaquent à deux « familles » de produits destinées aux enfants : les antitussifs (qui sont en fait des anti-allergiques dits anti-histaminiques H1') et des dérivés terpéniques. Disponibles sous forme de suppositoires ou de baumes notamment, ces derniers sont produits à base d'huiles essentielles et renferment de l'eucalyptol et du camphre. Le retrait du marché de ces deux classes de produits est instamment demandé...
Les antitussifs (anti-histaminiques H1). En 2010, l'AFSSaPS a procédé à la réévaluation de différents traitements appartenant à cette famille. Les molécules en question sont l'alimémazine, la chlorphénamine, l'oxomémazine, le piméthixène, la prométhazine et le méglumine. A la suite de ce travail, l'Agence avait décidé de contre-indiquer tous ces traitements chez l'enfant de moins de deux ans. Motif de cette décision, une « balance bénéfice/risque défavorable ».


« Ces médicaments n'ont pas d'intérêt démontré pour soulager la toux et ils exposent à de nombreux effets indésirables », estiment les rédacteurs de la revue. Ils évoquent notamment des cas de troubles neuropsychiques, de sédation et même le décès de certains enfants de moins de 6 ans. Aux Etats-Unis par exemple, la Food and Drug Administration (FDA) en a recensé 123 entre 1969 et 2006. La majorité serait liée à des surdoses accidentelles. Pour la revue Prescrire, « une contre-indication ne suffit pas. Pour protéger les patients, il vaut mieux tout simplement un retrait du marché des (antihistaminiques H1) commercialisés contre la toux ».


Les dérivés terpéniques. Derrière cette expression, se cachent de nombreux produits fabriqués à base d'huiles essentielles et contenant de l'eucalyptol et du camphre. « Pas d'efficacité clinique démontrée mais un risque de convulsions avéré », expliquent les rédacteurs. Avant de poursuivre : pour l'heure, « c'est aux professionnels de santé de protéger les patient... Lire la suite sur DestinationSante.com


http://www.destinationsante.com/Medicaments-pour-enfants-les-nouvelles-cibles-de-Prescrire.html

jeudi 10 mars 2011

Montpellier : un médecin déclare la guerre à Coca Cola

Dans le livre “Je maigris sain, je mange bien“ le docteur Chevallier, nutritionniste au CHU de Montpellier, dénonce les régimes miracle, l’opacité des étiquettes et particulièrement celle de la célèbre boisson gazeuse.


Il explique "Le colas, sont des boissons très sucrées ou avec édulcorants avec les doutes que l’on connaît. Ensuite, il est impossible de connaître la composition exacte. Je ne demande pas la formule, mais je voudrais connaître les ingrédients en tant que médecin pour pouvoir
conseiller les patients notamment allergiques. Le ministère de la Santé ne répond pas à la question..."


Et d'enfoncer le clou : "Vous trouvez normal de consommer un produit sans savoir ce qu’il y a dedans ? Les autorités françaises devraient avoir l’information, et la mettre à disposition du public. On ennuie les viticulteurs, on veut tout savoir sur les conditions de production du bio, et là, sur un produit de consommation courante, on laisse faire."


http://www.midilibre.com/articles/2011/03/09/A-LA-UNE-Un-nutritionniste-declare-la-guerre-a-Coca-Cola-1560861.php5

mercredi 9 mars 2011

L'imagerie cérébrale pour évaluer la dyslexie

Une école de médecine américaine a révélé que l'utilisation de l'imagerie cérébrale chez les adolescents dyslexiques pouvait permettre de prédire quels patients pourraient par la suite surmonter plus facilement leur handicap.
La dyslexie se caractérise souvent par des difficultés dans l'apprentissage du langage oral, dans l'orientation dans l'espace, dans la mémorisation et la lecture. Corriger ce trouble demande souvent l'intervention d'un orthophoniste ainsi que plusieurs exercices. Aujourd'hui les chercheurs de l'école de médecine de Stanford, aux Etats-Unis, expliquent que l'imagerie cérébrale pourrait permettre de déterminer quels adolescents dyslexiques pourront être capables de corriger leur problème. Ainsi, ils ont effectué une IRM fonctionnelle afin d'observer comment le cerveau de 14 adolescents dyslexiques réagissait lors d'un exercice de lecture. Trente mois plus tard, l'imagerie cérébrale a de nouveau été utilisée pour observer l'activité du cerveau lors du même exercice et il est apparu que les adolescents disposant des meilleurs connexions dans le gyrus frontal droit et utilisant davantage cette partie du cerveau se seraient plus sensiblement améliorés.


Le Figaro explique que le gyrus frontal droit est souvent sollicité comme compensatoire par les personnes dyslexiques alors que pour les lecteurs normaux, la partie gauche du cerveau est plus utilisée. Pour autant, cette découverte ne convient pas à l'ensemble des enfants dyslexiques explique Ghislaine Dehaene, spécialiste de l'unité de neuro-imagerie cognitive du CEA à Saclay : "Cette étude ne doit pas faire oublier que chaque enfant est unique et la dyslexie un phénomène complexe qui résulte de multiples facteurs. Une difficulté à distinguer certains sons semble cependant un facteur de risque important pour l'apparition ultérieure de la dyslexie et pourrait être détectée à la naissance dans des familles particulièrement touchées. Ce type d'étude reposant sur l'imagerie cérébrale peut aussi nous donne... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/dyslexie/l-039-imagerie-cerebrale-pour-evaluer-la-dyslexie_art12694.html

mardi 8 mars 2011

Dépistage de la trisomie : les gynécologues en colère

Aujourd'hui, chaque femme enceinte se voit proposer par son gynécologue un test pour évaluer le risque que son futur enfant soit porteur d'une anomalie chromosomique, telle la trisomie 21. Le test, qui consiste en une prise de sang, n'est pas obligatoire mais il est remboursé. Dorénavant, les futures mères pourraient n'avoir accès à ce dépistage que si le médecin l'estime nécessaire. Ce changement éventuel résulte d'une modification de texte de l'article 9 de la loi de bioéthique. Un texte voté par les députés le 15 février et sur le point de passer devant le Sénat.


Les gynécologues sont scandalisés. Plusieurs d'entre eux ont signé un appel pour dénoncer cet amendement qu'ils jugent "contraire aux droits du patient". "Le médecin deviendra le seul juge et c'est très dangereux", s'inquiète dans le Parisien, le docteur Nicolas Fries, président du Collège français d'échographie fœtale. "En filigrane, je crains qu'il y ait derrière cela une volonté de freiner ce dépistage. Or, c'est aux patientes et à elles seules de choisir si elles veulent ce dépistage, et si elles veulent ou non interrompre leur grossesse en cas d'anomalie chromosomique", renchérit dans le Parisien toujours, Joëlle Belaisch-Allart, notamment vice-présidente de la Société française de gynécologie. Et la spécialiste de rappeler que "nous sommes dans un Etat laïc. Toutes les religions sont respectables, mais il ne faut pas qu'elles interfèrent avec la santé, la médecine."


http://lci.tf1.fr/science/sante/2011-03/depistage-de-la-trisomie-les-gynecologues-en-colere-6302769.html

Le régime végétalien mauvais pour le coeur ?

Une nouvelle étude chinoise expliquerait aujourd'hui que le régime végétalien pourrait augmenter les risques de maladies cardio-vasculaires, ainsi que de formation de caillots sanguins
Le régime végétalien se caractérise par le refus de consommer de la viande ou du poisson mais également tout produit d'origine animale, comme le lait, le fromage, ou encore les oeufs. Parmi les bénéfices annoncés par ce type d'alimentation, le plaisir de respecter le droit des animaux, se prémunir du diabète, de l'obésité, et des troubles cardio-vasculaires. Ce dernier avantage ne serait plus vrai aujourd'hui si l'on en croit une récente étude chinoise qui explique qu'au contraire, le régime végétalien pourrait accroitre les risques de développer ces maladies.


Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs se sont basés sur plusieurs articles publiés ces trente dernières années, rapporte Le Parisien. Ils ont démontré que les végétaliens avaient tendance à avoir un taux d'homocystéine important dans le sang, un acide aminé souvent mis en cause en cas de maladie coronarienne. De plus les personnes suivant ce type de régime auraient également de nombreuses carences, notamment en vitamine B12, en oméga-3, en fer et en zinc, importants dans la prévention des maladies cardio-vasculaires.


http://www.maxisciences.com/r%e9gime-v%e9g%e9talien/le-regime-vegetalien-mauvais-pour-le-coeur_art12696.html

lundi 7 mars 2011

Cancer de la peau : un nouveau procédé de détection par laser

Publiés dans la revue Science Tranlational Medicine, les résultats de chercheurs américains, qui ont testé avec succès un nouveau dispositif laser pour analyser les grains de beauté, offrent des perspectives intéressantes pour la prévention du cancer de la peau.
Ce nouveau dispositif émet un double et minuscule faisceau laser, avec une énergie moindre qu'un pointeur laser "classique", sur le grain de beauté suspect, puis analyse les différents pigments de la peau. Les scientifiques observent alors, parmi ces pigments, la quantité de mélanine - laquelle est présente en plus grande quantité dans les tissus potentiellement cancéreux. Testé pour la première fois, le procédé a permis aux chercheurs du Centre d'imagerie médicale de la Duke University de Durham (Caroline du Nord), de détecter les 11 cas de mélanome - la forme la plus mortelle du cancer de la peau - présents parmi les échantillons traités.


Actuellement, pour analyser les grains de beauté suspects, les médecins utilisent une sorte de loupe lumineuse ou font effectuer une biopsie. La première méthode, datant du 17e siècle, est fiable à 85 %, et la seconde ne l'est guère plus puisque, dans 14 % des cas, les médecins sont en désaccord sur l'interprétation d'une même biopsie. En cas de doute, le principe de précaution implique l'ablation, ajoutant aux coûts de santé et éliminant potentiellement des cellules en réalité saines.


Même avec un taux de réussite de 50 %, le nouveau dispositif pourrait éviter des centaines de milliers de mauvais diagnostics de la maladie à travers le monde chaque année, selon Thomas Matthews, de la Duke University
http://www.maxisciences.com/m%e9lanome/cancer-de-la-peau-un-nouveau-procede-de-detection-par-laser_art12779.html

dimanche 6 mars 2011

Pour certains cancers, fellations et cunnilingus sont plus dangereux que le tabac

.Vaut-il mieux fumer que de pratiquer une fellation ou un cunnilingus? La question est très sérieuse car ces pratiques sexuelles ont pris le pas ces dernières années sur le tabac comme déclencheurs de cancers de la bouche et de la gorge, surtout chez les jeunes Américains, selon des médecins qui ne peuvent toutefois entièrement expliquer ce mystère.


Risque de cancer


Le point commun, c'est la présence dans ces tumeurs cancéreuses de certains papillomavirus (HPV), responsables des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes et principale cause du cancer du col de l'utérus.


Les personnes infectées par ces virus, notamment la souche HPV-16, «ont un risque de cancer oropharyngé 32 fois supérieur à celui du reste de la population, ce qui est nettement supérieur au danger représenté par le tabac, qui a seulement triplé», a expliqué le Dr Maura Gillison, professeur de médecine à l'Université d'Ohio (nord), lors d'une présentation à l'Assemblée annuelle de l'Association américaine pour la promotion de la science (AAAS) réunie ce week-end à Washington.


Ce médecin, qui travaille sur cette question depuis une quinzaine d'années, a indiqué que le fait d'avoir des rapports buccogénitaux avec plus de six partenaires dans sa vie multiplie le risque par huit au moins.


Péhnomène «inexpliqué»


En outre, la progression la plus rapide a été constatée chez les jeunes hommes blancs, a noté le Dr Gillison, tout en reconnaissant que ce phénomène «demeurait inexpliqué».


Au total, les cancers de la cavité buccale et de la gorge ont progressé de 225% de 1974 à 2007 dont une grande partie chez des personnes ayant des rapports buccogénitaux.


Ce médecin a cependant relevé qu'il s'agissait d'études observationnelles qui doivent encore être confirmées par d'autres recherches statistiques. «Nous ne pouvons pas démontrer avec certitude que certains comportements sexuels sont liés à un risque d'être infecté par des papillomavirus», a-t-el ... lire la suite de l'article sur 20minutes.fr
http://20min.fr/a/673437

samedi 5 mars 2011

Epilepsie : du sport contre les crises

Contrairement à une idée reçue mais... largement répandue, un épileptique peut et doit faire du sport. De nombreuses études ont démontré que l'exercice physique n'aggrave pas la maladie. Bien au contraire... Il permet de mieux contrôler les crises
L'épilepsie dont le nom vient du grec epilambanein qui signifie prendre par surprise - est une affection neurologique encore imparfaitement connue. Elle est surtout, trop souvent stigmatisée et considérée comme honteuse. En France, pourtant, près de 500 000 patients - dont la moitié a moins de 20 ans- souffrent de cette maladie. Elle est donc loin d'être rare...


Caractérisée par des crises à répétition, l'épilepsie suscite souvent la peur et l'incompréhension. Mais en aucun cas, elle ne contre-indique la pratique sportive. Avant de se lancer dans une activité physique, il est bien entendu indispensable que le traitement soit adapté et correctement suivi. Une consultation médicale sera donc nécessaire.


Selon le Pr Alexis Arzimanoglou, président de la ligue française contre l'Epilepsie (LFCE), « aucune activité physique ne peut déclencher une crise d'épilepsie. Au contraire, l'expérience montre que plus les patients sont concentrés sur une activité sportive, moins ils risquent de faire une crise. »


Le plus souvent cette dernière survient pendant les périodes d'inactivité, de repos ou d'ennui. Voilà pourquoi il n'y a aucune raison qu'un enfant épileptique soit dispensé de sport à l'école. Outre les bénéfices qu'il en retirera sur le plan physique, il se sentira mieux intégré au groupe.


Tous les sports où les conséquences d'une perte de connaissance ou d'une chute ne comportent a priori aucun risque peuvent être pratiqués: tennis, football, hand-ball, volley-ball, basket-ball, golf, course à pied... En revanche les sports d'eau nécessitent la surveillance d'un proche. Enfin les sports mécaniques, l'alpinisme, les sports de combat, la plongée sous-marine ou le parachutisme sont contre-indiqués.


Que penser du sport d... Lire la suite sur DestinationSante.com


http://www.destinationsante.com/Epilepsie-du-sport-contre-les-crises.html

vendredi 4 mars 2011

Contre les microbes, aérez ou... mettez des plantes !

Connaissez-vous le point commun entre la Silver Queen, l'Aloe Vera, la Fougère de Boston, le Gerbera et le Philodendron ? Toutes ces plantes auraient la particularité de... dépolluer nos intérieurs ! Visite guidée.
Tout aurait commencé dans une navette spatiale ! Les vertus dépolluantes de certaines plantes ont été étudiées pour la première fois dans les années 70, par le Pr William Wolverton. Chercheur à la NASA, il a testé des dizaines de plantes dans un milieu clos très spécifique puisqu'il s'agissait d'une ... navette spatiale.


Depuis lors, des dizaines de travaux ont été réalisés sur le sujet. La majorité aurait confirmé les résultats de Wolverton. Il n'empêche, les vertus dépolluantes des plantes sont toujours très discutées. Leurs détracteurs soulignent en effet que la meilleure façon de dépolluer un habitat reste tout simplement de l'aérer. Ce qui n'est pas faux, sauf lorsque les conditions locales sont défavorables.


Cuisine et salle de bain. Vous souhaitez essayer la formule « avec plantes » ? Sachez que certaines rempliront mieux leur mission dans une pièce plutôt que dans une autre. Avec ses grandes fleurs rouges, l'anthurium est non seulement très beau, mais en plus il sera idéal dans la cuisine ou la salle de bain. Il serait en effet reconnu pour absorber l'ammoniac à ne pas confondre avec l'ammoniaque en solution - et toute sorte de composés organiques volatils (COV) dégagés par les produits d'entretiens ou de ménage.


Dans le salon vous avez le choix. Le gerbera par exemple, s'attaque à de nombreux polluants comme le formaldéhyde, le toluène et même le tabac. C'est d'ailleurs également le cas du lierre, de notre ami le philodendron déjà évoqué, ainsi que du beaucarnea, également connu sous le nom de pied d'éléphant.


Pour les chambres, optez pour un chlorophytum, aux longues feuilles qui s'étalent autour du pot. Il ciblerait particulièrement le monoxyde de carbone mais aussi le benzène et de nombreux solvants. Si vous préférez l'élégance de Spat... Lire la suite sur DestinationSante.com
http://www.destinationsante.com/Contre-les-microbes-aerez-ou-mettez-des-plantes.html

jeudi 3 mars 2011

L'eau du robinet contiendrait des traces de médicaments

Une nouvelle étude se penchant sur la composition de l'eau du robinet en France montre qu'un quart des eaux analysées contiendrait des traces de médicaments
Cette nouvelle étude a été commandée en septembre 2009 par la Direction générale de la santé (DGS), qui vient de livrer ses résultats. Ces derniers sont d'ailleurs effrayants. Si l'on en croit les chiffres et analyses, 25% de l'eau du robinet contiendrait des résidus de médicament.


L'étude a porté sur 300 échantillons analysés provenant de l'ensemble du territoire français. Au total, ce sont une vingtaine de molécules qui ont été isolées comme le précise la DGS : "Parmi les 45 molécules recherchées, 26 n'ont jamais été retrouvées et 19 ont été détectées au moins une fois".


Dans les eaux appartenant au quart pollué par des médicaments, ce sont une à quatre molécules qui ont été retrouvées, rapporte France Soir, parmi lesquelles la caféine, le carbamazépine (anti-épileptique) ou l'oxazépam (anxiolytique). Si la DGS se veut rassurante auprès des Français, en assurant que la concentration de ces molécules est très très faible, elle souhaite tout de même ouvrir une enquête, précisant : "L'évaluation des risques sanitaires est complexe (...). Les concentrations trouvées dans les eaux traitées sont 1.000 à 1 million de fois inférieures aux doses utilisées dans le cadre des doses thérapeutiques".


http://www.maxisciences.com/eau/l-039-eau-du-robinet-contiendrait-des-traces-de-medicaments_art12602.html

mercredi 2 mars 2011

Une bactérie multirésistante crée l'inquiétude en Provence

A. baumannii est à l'origine d'infections nosocomiales chez 14 patients d'hôpitaux de la région marseillaise. Le ministère de la Santé a organisé une réunion sur le sujet. Lire la suite l'article
La réapparition d'Acinetobacter baumannii dans des hôpitaux provençaux inquiète les autorités sanitaires. Cette bactérie, résistante à de nombreux antibiotiques, est responsable d'épidémies d'infections nosocomiales souvent mortelles. Quatorze patients de l'Assistance publique des hôpitaux de Marseille (APHM) ont déjà été infectés, et quatre d'entre eux sont décédés, révèle La Provence .


Même si le lien entre ces quatre décès et la présence dans leur organisme d'A. baumannii n'a pas encore pu être établi, les autorités sanitaires prennent la menace au sérieux. Le ministère de la Santé a organisé mercredi une réunion de coordination sur le sujet, soit près d'une semaine après la signalisation des premiers cas, le 15 février, par l'APHM, à son Agence régionale de santé. «Nous ne sommes pas inquiets, plutôt soucieux de la bonne gestion de l'incident, précise-t-on au ministère. Nous suivons avec beaucoup d'attention la problématique de la résistance antibiotique».


Une bactérie opportuniste


A. baumannii a été détectée pour la première fois en France en 2001. Résistante à de nombreux antibiotiques, elle infecte les patients faibles et immunodéprimés, notamment ceux des services de réanimation, en passant par des plaies ouvertes, des cathéters ou des tubes respiratoires. Elle peut causer des infections pulmonaires, des septicémies ou des infections de plaies ou de brûlures, difficiles à traiter et souvent associées à une létalité élevée. En revanche, elle ne présente pas de danger pour les personnes en bonne santé.


Compte tenu du mode de propagation elle se transmet par les mains - les recommandations de l'Institut national de veille sanitaire pour enrayer l'épidémie sont strictes : respect des procédures d'hygiène habituelles (lavage des mains), nettoyage soigneux des surfac... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr


http://www.lefigaro.fr/sante/2011/02/25/01004-20110225ARTFIG00381-une-bacterie-multiresistante-cree-l-inquietude-en-provence.php

mardi 1 mars 2011

Le chocolat pourrait être meilleur pour le cœur que les fruits

D'après une récente étude publiée aux Etats-Unis, le chocolat pourrait être meilleur que certains fruits car il contiendrait plus d'antioxydants
Voila qui devrait ravir les fans de cacao, et les allergiques de la consigne allègrement martelée dans tous les médias "Cinq fruits et légumes par jour". Car si l'on en croit une récente étude publiée dans la revue américaine Chemistry Central Journal, le chocolat pourrait être meilleur pour le coeur que certains fruits, du fait qu'il serait plus riche en antioxydants et notamment les polyphénols et les flavonoïdes.


Pour parvenir à cette conclusion, explique Psychomédia, les chercheurs ont comparé du chocolat noir, à des jus de fruits frais et purs comme l'acai, le cannerberge, ou encore la grenade. De l'ensemble des jus comparés, seul celui de grenade contenait plus d'antioxydants que le chocolat à 60% de cacao. Pour autant, ce résultat concerne le chocolat noir, et pas le chocolat chaud. Les fruits restent d'ailleurs bénéfiques pour notre corps à d'autres niveaux et restent donc indispensables. Mais pourquoi ne pas associer les deux afin de vous faire plaisir ?


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