mardi 5 décembre 2017

Johnny Hallyday : sa mort démentie, le chanteur poursuit son traitement

[Mis à jour le 5 décembre 2017 à 14h36] Depuis ce jeudi 30 novembre, journée d'intenses rumeurs qui annonçaient la mort de Johnny Hallyday, les fans sont plus que jamais inquiets, malgré ce démenti d'un proche venu calmer la tempête, indiquant que ces rumeurs étaient "totalement fausses". Sont ensuite intervenus des intimes de Johnny Hallyday, comme Eddy Mitchell, invité dimanche sur LCI. Le membre de la tournée des Vieilles canailles a affirmé avoir vu le "Taulier" récemment et a donné de ses nouvelles. "C'est un battant. Un Robocop, cousu de partout et il va bien. Tout va bien, il fonctionne. Il bouffe la vie, vraiment. Je l'ai vu il y a une semaine, il se soigne, il se bat. Croyez-moi, il respire, c'est un battant", a-t-il déclaré, visiblement un peu contraint et gêné par les questions d'Audrey Crespo-Mara sur l'état de santé de son ami de toujours.

Et puis ce lundi matin, c'est Nathalie Baye, ancienne compagne de Johnny et mère de Laura Smet, qui est intervenue sur l'antenne de RTL. "Oui, bien sûr, j'ai des nouvelles. Il se maintient. Il se maintient très, très courageusement. Les dernières nouvelles date d'hier et elles allaient plutôt dans le bon sens", a-t-elle déclaré. Des déclarations qui se veulent positives mais qui ne suffisent pas, semble-t-il, à rassurer les fans du chanteur, qui font face à d'autres informations parues dans la presse.

Johnny aurait perdu 15 kilos et repris son traitement


Selon Closer, le "Taulier" aurait perdu une quinzaine de kilos et serait donc très affaibli, alors que son traitement a repris cette semaine, de façon plus intensive. Il s'agit de la deuxième séance de chimiothérapie que subi Johnny depuis son hospitalisation en novembre. Le médecin attitré du chanteur, le célèbre David Khayat, aurait même fait le déplacement depuis Los Angeles pour assister son patient. Daniel Dos Reis, le coach sportif de Johnny Hallyday, tenterait quotidiennement d'apporter les soins de kiné nécessaires au chanteur, "mais son état physique [rendrait] la chose de plus en plus compliquée".

Enfin, la femme du "Taulier", Laeticia Hallyday, consciente de l'état de fatigue de son mari, aurait restreint les visites à leur domicile de Marnes-la-Coquette (Yvelines). Seuls quelques intimes de la famille viendraient encore au chevet de l'artiste. Le magazine parle d'une dizaine de personnes, parmi lesquelles son manager Sébastien Farran, mais aussi la cheffe médiatique Hélène Darroze, visiblement très amie du couple, et bien sur ses enfants David Hallyday et Laura Smet.

La fille de Johnny s'est d'ailleurs faite remarquer par son absence jeudi soir sur le plateau de "C à Vous" où elle devait promouvoir aux côtés de sa mère, Nathalie Baye, le film Les Gardiennes. "Je crois qu'elle préférait surtout être auprès de son papa", a déclaré l'actrice lorsque Pierre Lescure a évoqué le fait que "Laura aujourd'hui préférait être tranquille". L'ancien président et co-fondateur de Canal + a alors poursuivi : "Et son papa, il a la rage qu'on lui connaît ?" Ce à quoi l'actrice a répondu, manifestement peu à l'aise : "Il est d'un courage absolument incroyable… Et voilà".

A Marnes-la-Coquette, un dispositif est en place


Des réactions qui ne sont pas de nature à rassurer les fans du chanteur, qui n'a donc pas envisagé un retour aux Etats-Unis, considéré comme de la "fatigue inutile" selon son ami et biographe Gilles Lhote. Depuis le retour de Johnny Hallyday en France, le chanteur vit dans sa luxueuse villa qu'il possède à Marnes-la-Coquettes (Hauts-de-Seine). Dans cette petite ville très boisée, le calme est régulièrement perturbé par l'afflux de journalistes, paparazzi ou encore de fans venus témoigner leur soutien au chanteur. L'évocation de la mort de Johnny résonne donc encore plus fort à Marnes-la-Coquette, où l'on redoute un véritable déferlement. 20 Minutes rapporte qu'un dispositif a déjà été imaginé. "Barrières, périmètre de sécurité, blocs de béton et déviations" sont évoqués par une source du journal, qui affirme que "Le dispositif se rapprocherait de ce que l'on connaît avec Vigi­pi­rate".


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