mercredi 30 novembre 2016
Bronchiolite: Attention! L'épidémie touche cinq nouvelles régions
L’épidémie de bronchiolite s’étend sur le territoire. Cinq nouvelles régions ont été touchées la semaine dernière, tandis que le nombre de cas de
gastro-entérite a lui aussi augmenté, a indiqué ce mercredi Santé publique
L’épidémie de bronchiolite s’étend sur le territoire. Cinq nouvelles régions ont été touchées la semaine dernière, tandis que le nombre de cas de gastro-entérite a lui aussi augmenté, a indiqué ce mercredi Santé publique France.
>> A lire aussi : Comment éviter la contagion dans les bureaux?
Le nombre de cas de gastro-entérite s’était déjà situé au-dessus du seuil épidémique pendant deux semaines fin octobre, avant de redescendre. Sentinelles avait alors évoqué « un pic d’activité automnal » plutôt qu’une « arrivée précoce de l’épidémie saisonnière ».
Les cas de grippe sont eux restés peu nombreux en France métropolitaine la semaine dernière, avec seulement 32 cas pour 100.000 habitants, loin du seuil épidémique.
http://www.20minutes.fr/dossier/epidemie
L’épidémie de bronchiolite s’étend sur le territoire. Cinq nouvelles régions ont été touchées la semaine dernière, tandis que le nombre de cas de gastro-entérite a lui aussi augmenté, a indiqué ce mercredi Santé publique France.
Des cas de bronchiolite en forte hausse
Au cours de la semaine du 21 au 27 novembre, le nombre d’enfants de moins de deux ans hospitalisés pour des cas de bronchiolite a grimpé de 50 % par rapport à la semaine précédente et les visites de SOS Médecins pour cette maladie de 44 %.Les cas de « gastro » augmentent
Durant la même période, le taux de nouveaux cas (incidence) de diarrhées aiguës ayant conduit à la consultation d’un médecin généraliste s’est établi à 207 pour 100.000 habitants, au-dessus du seuil épidémique pour la deuxième semaine consécutive, a également annoncé Santé publique France, à partir des données du réseau Sentinelles.>> A lire aussi : Comment éviter la contagion dans les bureaux?
Le nombre de cas de gastro-entérite s’était déjà situé au-dessus du seuil épidémique pendant deux semaines fin octobre, avant de redescendre. Sentinelles avait alors évoqué « un pic d’activité automnal » plutôt qu’une « arrivée précoce de l’épidémie saisonnière ».
Les cas de grippe sont eux restés peu nombreux en France métropolitaine la semaine dernière, avec seulement 32 cas pour 100.000 habitants, loin du seuil épidémique.
http://www.20minutes.fr/dossier/epidemie
mardi 29 novembre 2016
lundi 28 novembre 2016
dimanche 27 novembre 2016
samedi 26 novembre 2016
L'hôpital de Pau peut détruire une tumeur en 10 minutes
Le centre hospitalier de Pau vient de se doter d'un nouvel équipement de pointe permettant l'ablation tumorale par micro-ondes.
Hier, l'équipe du docteur Olivier Bonnefoy, du service radiologie interventionnelle de l'hôpital de Pau a pratiqué sa vingtième destruction tumorale grâce à une toute nouvelle technique. L'ablathermie par micro-ondes, ici pratiquée sur un patient de 51 ans atteint d'un cancer primitif du foie, lui a évité un traitement par chimiothérapie
Très efficace et peu invasif, ce procédé non chirurgical s'ajoute à la liste des dispositifs de traitement du cancer guidés par l'image déjà existants à l'hôpital de Pau.« Seuls trois grands centres anticancéreux l'ont développé : l'Institut Gustave-Roussy à Villejuif, le CHU de Strasbourg et l'Institut Bergonié à Bordeaux », indique le directeur Christophe Gautier
Autant dire que l'établissement palois se place idéalement dans la course anti-cancer. Cette technique italienne - dont l'autorisation de mise sur le marché français a été délivrée il y a un an - affiche des résultats très satisfaisants et a fait l'objet de plusieurs publications dans des revues médicales. « Tous les CHU de l'Hexagone devraient en être équipés très vite », ajoute-t-il.
Plus de patients pourront être pris en charge
« Griller » une tumeur cancéreuse grâce à la radiofréquence, n'est pas une technique nouvelle. Elle existe en France depuis une dizaine d'années, mais elle se limite aux tumeurs de moins de 3 cm et n'est pas pertinente sur des zones proches de vaisseaux sanguins.
Ce nouvel équipement résout ces deux problèmes, tout en réduisant de moitié le temps d'intervention. En utilisant les micro-ondes, on peut agir pour un plus grand nombre de tumeurs : celles de 3 à 7 cm et/ou situées près d'une zone vascularisée. Pour ces cas-là, seule la chimiothérapie et la chirurgie étaient proposées. Soit un cas sur deux de cancer.
Nécrose complète de la tumeur
Cette technique permet donc en 10 minutes maximum de détruire physiquement le tissu tumoral.
C'est un radiologue et non un chirurgien qui effectue les gestes salvateurs. Tout d'abord, une fine aiguille de 1,5 mm est enfoncée dans le corps du patient et traverse la tumeur de part en part. Cette sonde est reliée à un générateur qui envoie des micro-ondes (jusqu'à 120 watts de puissance) chauffant les molécules d'eau des tissus cancéreux. La température peu atteindre 80 °C et nécrose totalement la zone.
Puis le radiologue place le patient dans le scanner afin de bien vérifier le succès de l'opération. « En agissant ainsi, on peut voir tout de suite s'il reste des tissus cancéreux, en général, ça n'est pas le cas car nous prenons bien soin d'agir sur une zone un peu plus grande que la tumeur. Cette technique très peu invasive nous permet de recommencer immédiatement si besoin est et de traiter plusieurs tumeurs à la suite », explique le docteur Olivier Bonnefoy.
De plus en plus de cancers concernés
Déjà pratiquée sur environ 600 patients en Italie, cette technique est proposée dans les cas de cancers du poumon, du rein, de l'os, du foie et va se développer à terme pour les cancers de la thyroïde, du sein et de l'utérus. Une seule maladie non-cancéreuse peut être traitée par cette technique : l'ostéome ostéoïde.
Au total l'intervention dure moins d'une heure. Le patient reste tout de même une nuit en observation et retourne chez lui le lendemain matin.
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2011/04/08/detruire-une-tumeur-en-10-minutes,188917.php
vendredi 25 novembre 2016
La fillette que les médecins voulaient débrancher s'est réveillée
Le cas de la petite Marwa, placée dans un coma artificiel depuis des semaines, fait débat depuis plusieurs jours.
Mais au-delà de la polémique, une bonne nouvelle a redonné de l'espoir à ses parents: la fillette s'est réveillée, jeudi, comme le rapporte Nice-Matin.
"Elle ouvre et ferme un oeil. Son traitement se poursuit, mais on constate chaque jour des progrès, et ça nous donne beaucoup d'espoir", a témoigné son père.
Reste à savoir si Marwa est réellement consciente.
Ils estimaient que la poursuite des soins était assimilable à un acharnement thérapeutique.
En désaccord avec cette décision, les parents avaient saisi le tribunal administratif, qui a suspendu l'arrêt des soins dans l'attente d'expertises.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/11/25/la-fillette-que-les-medecins-voulaient-debrancher-s-est-reveillee
Mais au-delà de la polémique, une bonne nouvelle a redonné de l'espoir à ses parents: la fillette s'est réveillée, jeudi, comme le rapporte Nice-Matin.
"On constate des progrès"
Malgré son réveil, difficile de dire si elle va mieux. Sur la vidéo postée par son papa sur Facebook, il semblerait que la petite fille réagisse à sa voix et le suive des yeux."Elle ouvre et ferme un oeil. Son traitement se poursuit, mais on constate chaque jour des progrès, et ça nous donne beaucoup d'espoir", a témoigné son père.
Reste à savoir si Marwa est réellement consciente.
L'arrêt des soins retoqué par le tribunal
Victime d'un entérovirus au mois de septembre, la petite Niçoise avait dû être plongée dans un coma artificiel. Il y une dizaine de jours, les médecins de l'hôpital de La Timone, à Marseille, avaient suggéré de débrancher la fillette, qui était maintenue en vie par un appareil respiratoire.Ils estimaient que la poursuite des soins était assimilable à un acharnement thérapeutique.
En désaccord avec cette décision, les parents avaient saisi le tribunal administratif, qui a suspendu l'arrêt des soins dans l'attente d'expertises.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/11/25/la-fillette-que-les-medecins-voulaient-debrancher-s-est-reveillee
jeudi 24 novembre 2016
mercredi 23 novembre 2016
mardi 22 novembre 2016
lundi 21 novembre 2016
Bronchiolite: forte hausse des cas en Ile-de-France, Normandie et dans les Hauts-de-France
La bronchiolite, infection respiratoire saisonnière qui affecte les nourrissons de moins de deux ans, progresse rapidement en Ile-de-France, en Normandie et dans les Hauts-de-France, selon des chiffres de l'Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (Irsan) publiés aujourd'hui
L'Irsan, qui se base sur des données fournies en temps réel par SOS Médecins, précise qu'au cours de la semaine écoulée (14 au 20 novembre), 17.672 nouveaux cas de bronchiolite ont été enregistrés, soit une hausse de 36% par rapport à la semaine précédente.Les régions les plus touchées sont l'Ile-de-France, les Hauts-de-France et la Normandie -trois régions dans lesquelles le nombre de cas dépasse les 30 pour 100.000 habitants-, mais d'autres régions sont en train de les rattraper avec une augmentation très rapide du nombre de cas au cours de la semaine écoulée (+99% en Occitanie et +157% en région Centre-Val-de-Loire).
Toutefois, l'épidémie n'inquiète pas outre mesure les experts. "C'est une épidémie conforme au calendrier", c'est-à-dire qu'"elle débute avec le Beaujolais nouveau et se termine après la Galette des rois", a relevé le Dr Claude Smadja, président de SOS médecins Ile-de-France.
En France, on estime chaque année que 460.000 nourrissons (30% de la population des nourrissons) sont concernés par cette infection.
LIRE AUSSI: Appel à volontaires pour tester un vaccin contre la bronchiolite
Dans la grande majorité des cas, la maladie peut être traitée par des médecins de ville qui surveillent la fièvre et peuvent prescrire divers médicaments et de la kinésithérapie respiratoire, technique encore très prescrite en France mais qui fait l'objet d'une polémique depuis quelques années en ce qui concerne son efficacité.
Dans de rares cas, la bronchiolite peut imposer l'hospitalisation. Selon des estimations de l'Irsan, 2% des nourrissons de moins d'un an touchés par la bronchiolite seraient hospitalisés chaque année pour une forme grave de la maladie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
L'Irsan, qui se base sur des données fournies en temps réel par SOS Médecins, précise qu'au cours de la semaine écoulée (14 au 20 novembre), 17.672 nouveaux cas de bronchiolite ont été enregistrés, soit une hausse de 36% par rapport à la semaine précédente.Les régions les plus touchées sont l'Ile-de-France, les Hauts-de-France et la Normandie -trois régions dans lesquelles le nombre de cas dépasse les 30 pour 100.000 habitants-, mais d'autres régions sont en train de les rattraper avec une augmentation très rapide du nombre de cas au cours de la semaine écoulée (+99% en Occitanie et +157% en région Centre-Val-de-Loire).
Toutefois, l'épidémie n'inquiète pas outre mesure les experts. "C'est une épidémie conforme au calendrier", c'est-à-dire qu'"elle débute avec le Beaujolais nouveau et se termine après la Galette des rois", a relevé le Dr Claude Smadja, président de SOS médecins Ile-de-France.
En France, on estime chaque année que 460.000 nourrissons (30% de la population des nourrissons) sont concernés par cette infection.
LIRE AUSSI: Appel à volontaires pour tester un vaccin contre la bronchiolite
Dans la grande majorité des cas, la maladie peut être traitée par des médecins de ville qui surveillent la fièvre et peuvent prescrire divers médicaments et de la kinésithérapie respiratoire, technique encore très prescrite en France mais qui fait l'objet d'une polémique depuis quelques années en ce qui concerne son efficacité.
Dans de rares cas, la bronchiolite peut imposer l'hospitalisation. Selon des estimations de l'Irsan, 2% des nourrissons de moins d'un an touchés par la bronchiolite seraient hospitalisés chaque année pour une forme grave de la maladie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
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mercredi 2 novembre 2016
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