dimanche 14 avril 2013

Bonsoir

Pour des raisons techniques, ce blog s'arrête ce soir...
Vous pouvez nous retrouver désormais sur ce blog tout neuf
 
 
Nous vous attendons.. alors à bientôt
merci
francis

Antistress : soigner son mal-être sans médicament

Quand le mal-être envahit un peu trop le quotidien, médecines douces et thermalisme méritent d’être essayés. En étant accompagnés de nouvelles habitudes de vie.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l’humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L’alimentation n’est pas à négliger. Essayez de diminuer votre consommation de café, d’alcool et de tabac. Croquez des antidépresseurs naturels : amandes, noisettes… Buvez des infusions de basilic, de thym et du thé noir. Enfin, le miel est un bon sédatif. Choisissez-le foncé : il est plus riche en minéraux. Le traitement homéopathique contre l’angoisse -En cas d’événements provoquant de l’anxiété, Gelsemium 15 CH, 5 granules, deux ou trois fois par jour. Si l’anxiété semble liée à une émotivité excessive, Thuya 9 CH, 5 granules par jour. Contre les crises d’angoisse avec palpitations cardiaques, Aconit 9 CH, 5 granules à la demande. -Quand l’anxiété s’accompagne d’une sensation de boule dans la gorge, Ignatia 9 CH, 5 granules.-Anxieuse de nature ? Prendre Gelsemium 9 CH en traitement de fond, 5 granules, une fois par jour. Envie d’un produit tout prêt ? Sédatif PC® (Boiron), 5 granules, deux ou trois fois par jour. Les “plantes du bonheur” calment la nervosité -L’eschscholtzia. On l’appelle parfois le Lexomil® vert ! C’est la plante anti-anxiété idéale, car elle a une action sédative et favorise aussi le sommeil. Elle peut se prendre en tisane (fleurs et feuilles) : ½ cuillerée à café par tasse, trois ou quatre fois par jour. Sous forme d’extrait fluide (Phytostandard, PhytoPrevent) : une ou deux fois par jour en dehors des repas. Ou en extrait de plante standardisé (EPS) : 1 cuillerée à soupe (pour un poids de 60 kg), à prendre le matin.-L’aubépine. Elle est conseillée en cas d’anxiété s’accompagnant de palpitations. Elle se prend en tisane, à raison de 4 tasses par jour, en gélules (...) Lire la suite sur TopSante.com

Tension artérielle, la mesure au quotidien

A l'échelle mondiale, plus d'un adulte sur trois est hypertendu... et ce, dès 25 ans ! L'hypertension artérielle (HTA) est en fait l'un des principaux facteurs de cardiopathie et d'accident vasculaire cérébral (AVC). A l'occasion de la Journée mondiale de la Santé de ce 7 avril (dont l'hypertension est le thème principal), pourquoi ne pas prendre une bonne résolution ? Celle de mesurer et de surveiller vous-même votre tension. Comment vous y prendre et interpréter les chiffres ? Voici quelques conseils.
Avant toute, vous devrez choisir le bon matériel. La tension se mesure avec un tensiomètre. Même s'il en existe de plusieurs sortes, vous devrez vous munir d'un appareil électronique, dont l'usage et la lecture sont faciles. Demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien qui vous guideront et vous présenteront le mode d'utilisation.
Votre tension artérielle n'est pas constante. Bien au contraire. Elle est basse la nuit, lorsque vous êtes allongé. Elle augmente en position debout, et plus encore lors des efforts physiques. Le mieux est encore d'effectuer les mesures le matin, avant le petit-déjeuner ou le soir, avant le coucher.
Tout d'abord, asseyez-vous (ou allongez-vous). Après vous être reposé pendant au moins 5 minutes, placez votre bras, à hauteur du coeur, sur une table. Enfilez le brassard gonflable au niveau du biceps. La mesure va pouvoir commencer. Un bon moyen mnémotechnique est de respecter la règle des trois :
3 mesures consécutives, le matin entre le lever et le petit-déjeuner ;
3 mesures consécutives, le soir entre le dîner et le coucher ;
Et réaliser ces 2 séries de mesures, 3 jours de suite,.
13/8 ou 12/7, ça veut dire quoi ?
Sur l'écran de votre tensiomètre, deux chiffres apparaîtront. La tension est en fait toujours exprimée en millimètres de mercure (mmHg).
Le premier chiffre - le plus grand - c'est la pression systolique. Elle correspond à la contraction du coeur. Quant au petit chiffre, appelé pression diastolique, il (...) Lire la suite sur destinationsante.com

FRANCE 24 Santé: 07/04/2013 SANTE


samedi 13 avril 2013

Cancer du sein : un dépistage au ralenti

En 2012, près de 2 500 000 de femmes ont eu recours au dépistage organisé du cancer du sein. Ces chiffres, publiés par l'InVS, font état d'un taux de participation de 52,7% de la population cible. Soit... exactement le même que pour la période précédente (2010–2011).
Sur la période 2011-2012 en effet, l'ensemble des femmes de 50 à 74 ans a été invité à se faire dépister par mammographie. Soit 4,9 millions contre 4,8 millions en 2010-2011. Généralisé à l'ensemble du territoire en 2004, cet examen « semble avoir atteint un palier. En effet, depuis 2008, il fluctue entre 52 et 53 % », indique l'Institut de Veille sanitaire (InVS). Pour rappel, l'objectif européen du taux de participation s'établit à 70%.
Une inégalité régionale
Certaines régions françaises font office de bons élèves. C'est le cas des Pays-de-la Loire, du Centre, du Limousin et de la Bretagne avec une participation de 60%. En revanche, des taux inférieurs à 45% ont été relevés en Corse, en Ile-de-France et dans la région PACA.
A niveau départemental, la Loire-Atlantique, l'Indre et Loire, la Haute-Vienne, le Cher, la Sarthe et le Morbihan présentent des taux compris entre 65% et 70%. De son côté, le département de Paris se distingue avec... 27,2% de participantes.
Un accès gratuit
Pour l'InVS, « il est donc particulièrement important de continuer à sensibiliser les femmes au programme de dépistage organisé, accessible gratuitement, en particulier celles qui ne font jamais de mammographie. »
Rappelons qu'en 2009, près de 16 000 cancers du sein ont été découverts par le dépistage organisé, soit un taux de 6,8 cancers pour 1 000 femmes dépistées.
Aller plus loin :
Consultez l'ensemble des données relatives à l'Evaluation des programmes de dépistage des cancers publiés par l'InVS ;
Consultez la fiche Le dépistage du cancer du sein, publiée sur le site de l'Assurance-maladie.

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vendredi 12 avril 2013

Sommeil : bientôt un somnifère sans effets secondaires ?

Selon l’Institut national du sommeil et de la vigilance, 3 personnes sur 4 souffrent d’insomnie. Difficultés d’endormissement, réveils multiples dans la nuit ou réveil trop précoce le matin : ces différentes formes d’insomnie poussent nombre d’insomniaques à se tourner vers les somnifères. Or, ces médicaments qui permettent de plonger dans le sommeil en « forçant » le cerveau à s’endormir, provoquent des effets secondaires dans la journée : difficultés d’attention, trous de mémoire, entre autres. C’est pourquoi des chercheurs essayent de trouver « la » molécule miracle qui permettra de s’attaquer aux racines de l’insomnie sans provoquer d’effets secondaires.
>> A lire aussi : Insomnie, 3 fleurs de Bach pour bien dormir
Selon les chercheurs des laboratoire Merck, il semble que la mise sur le marché de ce somnifère soit en bonne voie. Déjà testé sur les rats et les singes rhésus, le suvorexant est une molécule qui fait partie des Antagonistes des récepteurs des orexines (DORA en anglais), c’est-à-dire qu’il bloque les neuropeptides qui stimulent la vigilance. Il a donc un effet hypnotique mais sans les effets de somnolence le jour. « Ce nouveau somnifère semble assez prometteur » explique Emmanuel Mignot, de l’Université de Stanford. Mais seul un essai sur le long terme sur des patients insomniaques pourra nous dire s’il ne provoque pas d’autres complications comme des cas de narcolepsie chez les personnes à risque ». 
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jeudi 11 avril 2013

Le vaccin contre la grippe était légèrement défaillant

Une mutation inopportune sur l'une des trois souches virales utilisées par les laboratoires cette saison pourrait expliquer la baisse d'efficacité constatée en Europe comme aux États-Unis.
Le vaccin contre la grippe était légèrement défectueux cette saison. Lors de sa recommandation annuelle pour la composition du vaccin 2013-2014, l'Organisation mondiale de la santé a révélé que l'une des souches de grippe sélectionnées l'année passée avait muté lors d'une étape-clé du processus de production du millésime 2012-2013. Cet aveu masqué fait dans un communiqué très technique publié le 20 février était passé à peu près inaperçu jusqu'à ce que la webradio spécialisée Fréquence M et le NouvelObs.com se penchent sur la question de l'efficacité du vaccin annuel en début de semaine.
Le Pr Bruno Lina, directeur du Centre national de référence pour la grippe (CNR grippe), explique à ces médias que compte tenu de cette mutation inopportune «le virus vaccinal n'était plus exactement le même que celui qu'on avait sélectionné au départ». La réponse immunitaire des personnes vaccinées n'a donc pas été aussi bonne que prévue face à l'une des familles de virus grippaux qui ont circulé cet hiver. Cela explique pourquoi le pourcentage de personnes protégées par l'injection n'était que de 50% en Europe et 56% aux États-Unis, selon deux études préliminaires indépendantes publiées en février. D'ordinaire, ce chiffre est plutôt compris entre 65 et 75%.
«Pas de défaut dans la chaîne de contrôle»
Que s'est-il passé précisément? Chaque année, l'OMS détermine en février les trois souches de virus qui ont le plus de chances de circuler l'année suivante, deux de la famille A (un H1N1 et un H3N2) et un de la famille B. Les virus sont cultivés sur des œufs embryonnés de poules. C'est lors de cette étape dite de «propagation» que la souche de type H3N2 s'est révélée instable. «Le virus de la grippe est connu pour ses nombreuses mutations imprévisibles», explique le Dr Elizabeth Nicand, (...)
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mercredi 10 avril 2013

Manger du poisson : la solution pour vivre vieux ?

Ce n’est pas la première fois qu’on vous le dit : manger du poisson (et plus particulièrement du poisson gras) est bon pour la santé. Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'université de Harvard et de l'université de Washington nous rappelle que la consommation régulière de poisson a un effet particulièrement protecteur contre les maladies cardiovasculaires, notamment chez les seniors.
Selon cette étude, les personnes âgées de 65 ans ou plus qui consomment régulièrement du poisson voient leur risque de mortalité diminué de 27% et leur risque de maladie cardio-vasculaire diminué de 35%. « En fait, on peut affirmer que les personnes qui ont un taux d’acides gras essentiels important vivent en moyenne 2,2 ans de plus que celles qui ont un taux plus bas » explique le Pr Dariush Mozaffarian, qui a dirigé cette première étude portant sur le taux d’omega 3 et d’acides gras essentiels présent dans le sang. Pour cette étude, les chercheurs ont étudié les dossiers de 2700 patients âgés de 65 ans et plus, ayant accepté de participer à une grande Etude sur les maladies cardiovasculaires.
« Les résultats de ces recherches confirment l'importance de niveaux suffisants d'oméga-3 dans le sang pour la santé cardiovasculaire et laissent penser que, plus tard dans la vie, ces bienfaits pourraient en fait prolonger le nombre d'années restant à vivre", ajoute le Dr Dariush Mozaffarian.
Cette étude va dans le sens d’une étude allemande récente qui montre que manger du poisson fait baisser la tension artérielle.
Pour vivre vieux, on vous propose donc de tester la recette du Poisson au four tomate et céleri, la recette de la Papillote de filet de tacaud ou la recette de la Paupiette de poisson aux pruneaux . Bon appétit !

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mardi 9 avril 2013

Anti-âge : 4 aliments jeunesse inattendus

Vous connaissez la grenade. Mais savez-vous que le pollen de châtaigner, l'algue Klamath et la réglisse sont, eux aussi, de formidables aliments anti-âge ? Pour profiter de leurs vertus anti-rides, on vous donne la marche à suivre.
Nouveau fruit à la mode, la grenade est recommandée dans de nombreux régimes alimentaires, notamment en prévention de certains cancers. Mais savez-vous qu’elle possède également de précieuses vertus anti-âge ? La grenade est en effet un fruit très riche en anti-oxydants, notamment des phytostérol, qui aident à lutter contre les radicaux libres responsables du vieillissement cutané. Votre ordonnance anti-rides :Par très pratique à manger avec tous ses pépins et ses petites membranes, la grenade se consomme généralement sous forme de jus. La bonne quantité pour garder une peau jeune et fraiche ? Un grand verre au saut du lit. A renouveler chaque matin aussi souvent que possible !Où trouver de la grenade ? En magasins bio et sur www.boutique-meneau.com Prix : 7, 80 € les 75 cl
Réputé pour ses propriétés antioxydantes, le pollen de châtaigner est un allié précieux pour lutter contre les rides. Grâce à sa forte teneur en polyphénols, en vitamine E et en sélénium, c’est en effet le champion de la chasse aux radicaux libres, les principaux responsables du vieillissement cutané. La bonne idée ? Le choisir congelé pour profiter de toutes ses vertus et le conserver au frais. Votre ordonnance anti-rides :1 ou 2 cuillères à soupe de pollen de châtaigner par jour, à consommer mélangé dans une compote ou un yaourt de préférence le matin. Une cure à suivre durant 6 semaines et à renouveler 1 à 2 fois par an. Où trouver du pollen de châtaigner ?Sur www.pollenergie.frPrix : 21 € la barquette de 250g
Réputée pour ses bienfaits sur le système digestif, la réglisse l’est un peu moins pour ses vertus anti-âge. A tort ! Cette racine à la saveur si particulière, contient en effet de nombreux flavonoïdes, des molécules antioxydantes connues pour (...) Lire la suite sur TopSante.com

lundi 8 avril 2013

Préparer une pâte à tartiner maison, c’est bon pour la santé !

Impossible de résister à la pâte à tartiner. Avec sa texture onctueuse et son goût sucré, elle est tellement réconfortante… Pourtant, celle que vous achetez dans le commerce n’a pas franchement bonne réputation. Comment se faire plaisir sans culpabiliser ? En préparant soi-même sa pâte à tartiner bien sûr !
Attention, préparez-vous à entendre une nouvelle qui risque de vous mettre les larmes aux yeux à chaque fois que vous avalerez une cuillère de pâte à tartiner industrielle: 100 g de pâte à tartiner, c’est déjà plus de 540 calories (soit environ un quart des besoins journaliers d’une femme) !
Si la composition exacte peut différer d’un pays à l’autre, il y a tout de même une constante : un pot de Nutella contient essentiellement du sucre et des graisses avec respectivement plus de 55% de sucre et plus de 17% d’huile végétale ( la fameuse huile de palme ). Quant au lait, aux noisettes et au cacao, ils ne font que de la figuration dans le pot. Les noisettes représentent seulement 13 % de la préparation, 7% pour le cacao en poudre, et 6% pour le lait écrémé en poudre.
Mais ne déprimez pas tout de suite, on vous propose une alternative saine et gourmande avec cette recette de pâte à tartiner maison dans laquelle le sirop d’agave remplace avantageusement le sucre et l’huile de palme.
Recette de la pâte à tartiner maison sans huile de palme :
- Faites fondre 50 g de chocolat noir et 70 g de chocolat au lait cassés en morceaux avec 20 cl de lait concentré non sucré.
- Hors du feu, ajoutez 50 g de sirop d’agave, puis 100 g de purée de noisettes et ½ c. à c. d’extrait liquide de vanille.
- Mélangez vivement, mettez en pots, conservez au réfrigérateur.

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samedi 6 avril 2013

Minceur : une bactérie peut vous aider à maigrir

Des bactéries intestinales qui nous aideraient à perdre du poids, c’est la découverte que des chercheurs de l’Hôpital général du Massachussets viennent de faire en étudiant le microbiote (c’est-à-dire la colonie de microbes) d’intestins humains et d’intestins de souris.
En fait, au cours de cette étude, les chercheurs américains se sont rendus-compte que la rapide perte de poids enregistrée par les patients ayant subi un by-pass gastrique (une intervention chirurgicalequi court-circuite une partie de l’estomac) était, certes due à l’opération mais également à la colonisation de la sphère digestive par de nouvelles bactéries.
>> A lire aussi : Chirurgie de l'obésité : quelle technique choisir ?
« Les personnes qui font appel à la chirurgie pour maigrir perdent généralement entre 65 et 75 % de leur poids excédentaire. Et maintenant nous savons que les bactéries comptent pour 20% dans cette perte de poids ». explique le Dr Lee Kaplan, directeur de l’Institut de nutrition de l’Université du Massachussets et responsable de cette étude.
Cette découverte laisse entendre qu’éventuellement, des traitements qui permettraient de coloniser la flore intestinale pourraient aider certaines personnes à perdre du poids sans chirurgie »

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vendredi 5 avril 2013

Maladie d'Alzheimer : le plan déjà en fin de vie

Vive inquiétude de l'Association France Alzheimer, lors du comité de suivi du plan Alzheimer 2008-2012 qui se tenait le 26 mars à Paris. Le plan en effet, traverse actuellement une « période de transition et de latence ». Celle-ci souligne l'Association, « met en péril la dynamique du plan mais aussi l'engagement des acteurs de terrain ».
Le plan-Alzheimer 2008-2012 en effet, a été prolongé par les pouvoirs publics, et doit faire l'objet d'une évaluation approfondie en juin 2013. L'association a pris connaissance des dépenses effectives et de l'état d'avancement des mesures. Alors que le plan a été doté d'un budget dédié de 1,6 milliard d'euros, elle regrette « que seuls 41% de cette somme ait été réellement dépensée à ce jour ».
Pour les responsables de France Alzheimer ces résultats « sont d'autant plus décevants qu'ils laissent de côté les patients et leur famille. En effet, la mesure numéro 1 relative à la diversification et au développement des formules de répit est loin d'atteindre les objectifs fixés ». Ce constat s'applique plus globalement à l'ensemble des mesures liées à l'amélioration de la qualité de vie. Fin 2012, seulement 35% du budget prévu pour ces mesures avait été dépensé. « Une sous-consommation (dont les effets sont ressentis) sur le terrain ».
« Pour les familles, le plan Alzheimer reste très abstrait. Elles sont nombreuses à nous rapporter qu'elles n'en perçoivent pas les effets concrets dans leur vie quotidienne », dénonce Marie-Odile Desana, présidente de France Alzheimer. « Aujourd'hui, elles ont avant tout besoin de répit, ce qui implique de développer des dispositifs d'accueil et d'accompagnement, et surtout de les rendre accessibles financièrement ».

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jeudi 4 avril 2013

Médicaments : la vente en ligne ne séduit pas encore

Pouvoir acheter ses médicaments en un clic à n’importe quelle heure de la journée et surtout à des prix plus attractifs : voilà l’idée des pharmacies en ligne. Celles-ci sont officiellement autorisées à être présentes sur internet depuis le 1er mars dernier. Mais il faudra sans doute un peu de temps avant que les consommateurs ne sautent le pas. En effet, selon un sondage publié aujourd’hui dans le quotidien gratuit Métro, 81% des Français répondent « non » à la question : « Seriez-vous prêts à acheter des médicaments sans ordonnance sur internet ? ». Principale crainte pour 74% des sondés : que les médicaments vendus sur internet soient de moins bonne qualité, voire contrefaits.
>> A lire aussi : Médicaments : on en consomme un peu moins
Avec une consommation annuelle de 48 boites de médicaments par an et par habitant, les Français se placent comme les plus gros consommateurs européens. Mais l’officine ayant pignon sur rue semble avoir encore de beaux jours devant elle. Pourtant, la vente en ligne de médicaments est soigneusement encadrée : ce commerce en ligne n’est autorisé que par des pharmaciens diplômés et uniquement pour les médicaments sans ordonnance obligatoire. Mais, pour l’instant, la méfiance persiste. Ce qui n’est pas pour déplaire à la Fédération des syndicats pharmaceutiques qui souligne de son côté que la vente de médicaments en ligne n’a pas lieu d’être « puisqu’en France personne ne se trouve à plus de 15 minutes d’une pharmacie ».

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mercredi 3 avril 2013

L'oeuf, un trésor dans votre assiette !

Plus équilibré que la viande ou le poisson, il est un aliment miracle, facile à cuisiner, même au lave-vaisselle ! Ne vous en privez pas !


Les Français mangent en moyenne 230 oeufs par an, dont 140 en coquille, entiers, ce qui est bien loin de la consommation japonaise (près de 300 oeufs chaque année). Ces chiffres, et bien d'autres, sont rappelés dans un très intéressant dossier que l'Inra (Institut national de la recherche agronomique) vient de rédiger à la gloire de cet aliment, à l'occasion des fêtes de Pâques.
L'oeuf apporte moins de 100 kilocalories pour 60 grammes, dont 75 % d'eau, 13 % de protéines et 10,5 % de lipides (pour la partie comestible). "Son intérêt nutritionnel réside dans le subtil équilibre et la diversité de ses constituants : des protéines parmi les meilleures pour l'homme, des lipides de très bonne qualité, nombre de vitamines et de minéraux", précise le document. Et après une période de désaffection liée à sa teneur en cholestérol (susceptible d'augmenter le risque de maladies cardiovasculaires), l'oeuf a fait un retour en force sous le regard bienveillant des nutritionnistes, des cardiologues et des autres professionnels de santé.
Deux oeufs apportent autant de protéines que 100 g de viande ou de poisson
Les protéines sont indispensables à notre organisme pour le fonctionnement des muscles, l'apport en énergie, la stimulation du système immunitaire, le maintien des cheveux, des ongles ou encore pour le système cardiovasculaire et hormonal, rappellent les chercheurs de l'Inra. Dans l'oeuf, elles sont réparties de manière équitable dans le blanc et le jaune. Ainsi, deux oeufs apportent autant de protéines que 100 g de viande ou de poisson. Ces protéines sont riches en acides aminés essentiels (que notre corps n'est pas capable de synthétiser) dans des proportions équilibrées par rapport à nos besoins.
Il faut néanmoins savoir que, à l'état cru, ces protéines ne sont digérées (...)
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mardi 2 avril 2013

Dépendance au tabac: pour en finir avec la nicotine

La polémique sur la cigarette électronique le confirme: nous ne savons rien ou presque sur les causes réelles de cette addiction.
Marisol Touraine, ministre de la Santé, a demandé une étude sur la «cigarette électronique». Cette demande était justifiée par une augmentation considérable ces derniers mois de telles cigarettes. L'étude s'attachera sans soute à évaluer leur toxicité éventuelle. Il est fort peu vraisemblable qu'elle ira jusqu'à mesurer leur efficacité en matière de la lutte contre le tabagisme. Le principe de la cigarette électronique est simple: le chauffage d'un liquide, le propylène glycol, le transforme en vapeur qui entraîne avec elle des arômes et/ou des doses variables de nicotine.
Eviter l'exposition de l'organisme aux trois mille composés présent dans la fumée du tabac est certainement un progrès. Pour autant, la toxicité potentielle du propylène glycol et des arômes qui lui sont ajoutés est encore mal connue et mérite sans aucun doute d'être étudiée.
Qu'en est-il de l'efficacité de la nicotine sur l'arrêt de la consommation de tabac? C'est là que se situe la polémique, une polémique que viennent relancer les cigarettes électroniques.
Résumons l'un des principes de la pharmacologie de la dépendance: pour être efficace, un produit de substitution doit reproduire l'action pharmacologique du produit qui a déclenché l'addiction. La prise du substitut doit permettre au toxicomane de soulager sa sensation de manque. C'est ce soulagement qui peut le conduire à se passer du produit qui l'a conduit à l'addiction. Dans le cas de l'héroïne, par exemple, l'effet addictif passe par la stimulation d'un récepteur spécifique, le récepteur µ-opioïde. Les produits de substitution efficaces pour les héroïnomanes, comme la méthadone ou le Subutex®, stimulent effectivement ce récepteur.
Le doute sur l'efficacité de la nicotine
Pourquoi la polémique autour de la (...) Lire la suite sur Slate.fr

lundi 1 avril 2013

Premiers secours : les bons gestes en cas d’accident

Quand un accident de la route survient, que l’on soit victime ou juste témoin, la panique nous empêche parfois de savoir comment réagir. Pascal Cassan, médecin conseiller national de la Croix-rouge française, nous explique les gestes à faire et ceux à éviter.
Le rôle du premier témoin est fondamental ! Il assure le balisage et protège les lieux de l’accident évitant ainsi le "suraccident." Il faut : - Allumer ses feux de détresse dès que l’on est en vue de l’accident et ralentir. Garer son véhicule idéalement après le lieu de l’accident sur la bande d’arrêt d’urgence s’il y en a une.- Laisser les feux de détresse en marche.- Enfiler son gilet de haute visibilité désormais obligatoire dans tous les véhicules- Faire descendre immédiatement tous les occupants du véhicule et les mettre en sécurité sur le bas-côté, derrière les glissières de sécurité si elles existent- Baliser de part et d’autre à une distance de 150 ou 200 mètres avec l'aide de témoins qui, placés en sécurité sur le bord de la route, peuvent utiliser tous les moyens pour se faire voir : lampe électrique, linge blanc. En l'absence de témoins, utiliser les triangles de présignalisation.- Veiller à ce que personne ne fume aux abords de l’accident pour éviter tout risque d’incendie.
S’il est vrai que bouger un blessé peut endommager sa moelle épinière et entraîner une paralysie définitive ou même son décès, il existe des situations ou, si l’on n’agit pas très rapidement avant l'arrivée des secours, le décès de la victime sera inévitable. Le risque pris en le dégageant est alors plus faible que celui de ne pas le faire.Cette décision doit donc être prise si la victime, les sauveteurs ou les deux sont exposés à un danger immédiat : si la victime est étendue au milieu de la route, ou inconsciente dans une voiture qui commence à prendre feu.Faut-il retirer son casque à un motocycliste accidenté ?Il ne faut pas retirer le casque d’un motard accidenté par contre il faut, si possible, (...) Lire la suite sur TopSante.com