lundi 31 décembre 2012

Surmonter la perte de son animal

Longtemps perçue comme insignifiante, la douleur des propriétaires de chats ou chiens endeuillés est de plus en plus reconnue.
Trente ans après les faits, Véronique en est encore traumatisée. Elle était venue soutenir sa meilleure amie, qui venait de perdre son chat. «Je tâchais de la consoler. L'animal, empoisonné, reposait sur le carrelage, se souvient-elle. Soudain, mon amie s'est levée, a pris le chat mort et l'a jeté dans la poubelle. Je ne m'en suis jamais remise.» Choquée, Véronique avoue que cette manière d'agir a sérieusement endommagé le lien qu'elle avait avec son amie. «Traiter ainsi un animal avec qui on a vécu de longues années, c'est inhumain, non?»
L'attitude expéditive de cette propriétaire envers son chat correspond à une époque révolue: celle où l'on ne prenait pas en compte la profondeur du lien qui peut unir un maître à Médor ou Mistigri. «Pendant longtemps, la question de la condition animale n'a pas suscité grand intérêt en Occident, rappelle la journaliste Karine-Lou Matignon, qui vient de publier le beau livre Enfants et animaux. Des liens en partage (Éditions de La Martinière). L'attachement que l'on pouvait éprouver pour un animal a été souvent jugé sinon indécent ou dérisoire, en tout cas symptomatique d'une époque et d'une société malades, en perte de repères. Dans un tel contexte, il était même difficile de montrer sa peine lors de la mort de son chien ou de son chat.»
Les pays anglo-saxons ont été les premiers à changer la donne, avec la création de groupes de parole pour propriétaires endeuillés * et l'émergence de pet loss therapists, qui accompagnent ceux dont la douleur s'éternise. Internet a aussi ouvert de nouveaux espaces pour toute une population qui ne savait pas où communiquer son chagrin: les cimetières virtuels pour animaux y fleurissent, ainsi que les forums de discussion autour d'un chat ou d'un chien perdu.
Les étapes du deuil
Pour la journaliste Karine-Lou Matignon, pas de doute, il s'agit bien d'un deuil à (...)
Lire la suite sur Figaro.fr

dimanche 30 décembre 2012

Digestion : le citron, votre allié détox des fêtes

Avec ses 19 calories pour 100 grammes; le citron est un précieux atout minceur et détox. En jus le matin et sans restriction toute la journée, vous pouvez le consommer dans vos programmes minceur.
Commencer sa journée par un jus de citron pressé dilué dans de l'eau chaude et à jeun est une excellente habitude à prendre pour affiner sa silhouette et détoxifier son corps. La forte teneur en vitamine C du citron va booster votre organisme et vous permettre de brûler plus de calories. Le citron possède aussi des vertus détox, car il nettoie le système digestif. Ses propriétés diurétiques stimulent l'activité rénale et aide à l'élimination des toxines.
Le citron est un coupe-faim naturel qui stabilise le taux de sucre dans le sang. Grâce à la pectine, une fibre qui gonfle au contact de l'eau dans l'estomac, le citron envoie un message de satiété et prévient les petites et grosses faims. Il est donc recommandé de boire un jus de citron pressé avant chaque repas. Et contre les faims compulsives, respirez de l'huile essentielle de citron.
Le citron s'il est consommé à jeun nettoie le foie et permet une meilleure digestion. Au pied du lit, n'oubliez pas votre jus de citron avant de commencer votre journée. Le citron est aussi un l'allié de votre estomac. Quelques gouttes sur vos plats améliorent donc votre digestion. Rien de tel aussi, que de finir un repas trop riche par quelques rondelles de citron.
Contre la rétention d'eau rien de plus efficace que la citronnade au petit matin à jeun. En effet, les vertus diurétiques du citron permettent d'éliminer l'eau stockée. Le citron est un allié anticellulite.
De l'écorce à consommer en zeste, à la pulpe en passant par le jus, tout est bon, sain et bénéfique dans le citron. Ce petit allié jaune doit occuper une place importante dans votre alimentation et être toujours présent dans votre cuisine.

Retrouvez cet article sur TopSante.com

samedi 29 décembre 2012

Infarctus : être stressée équivaut à fumer 5 cigarettes par jour

Une nouvelle étude dirigée par le Centre de recherche médicale de l’Université de Columbia, aux Etats-Unis, vient de montrer que si vous être stressée, vous avez 27% de risques en plus de souffrir d’un infarctus. Tout simplement parce que le stress a le même effet sur votre organisme que si vous fumiez 5 cigarettes par jour.
Pour arriver à cette conclusion, publiée dans l’American Journal of Cardiology, les chercheurs se sont penchés sur 6 études précédentes dans lesquelles les patients avaient été interrogés sur leur stress ressenti, et sur la fréquence de ce stress. Ces mêmes patients ont ensuite été divisés en deux groupes (les « très stressés » et les « moins stressés ») et ont été suivis pendant 14 ans, afin de pouvoir enregistrer le nombre d’infarctus.
C’est ainsi que les chercheurs en ont conclu que les personnes les plus stressées ont 27% de risques en plus de souffrir d’un problème cardio-vasculaire.
>> A lire aussi : Le stress raccourcit l’espérance de vie
Les maladies du cœur sont parfois banalisées. Pourtant, elles représentent la première cause de mortalité chez les femmes : en Europe, 42% des femmes décèdent d’une maladie cardio-vasculaire alors que 27% décèdent des suites d’un cancer du sein.
Les signes qui doivent alerter les femmes :
- Une douleur très intense au niveau de la poitrine (à l’effort comme au repos) qui dure plus de 10 minutes.
- Des douleurs dans le cou, les épaules ou le haut du dos.
- Un inconfort abdominal ou un essoufflement.
- Une soudaine fatigue sans raison.
- Si vous ressentez ces symptômes de manière anormale, appelez ou faites appeler immédiatement les secours (SAMU : 15)
Et pour éviter d’être stressée, et donc de jouer avec votre cœur, découvrez les 5 façons de dompter l’hormone du stress

Retrouvez cet article sur TopSante.com

vendredi 28 décembre 2012

Antibiotiques : l’amoxicilline ferait plus de mal que de bien

Le plus prescrit des antibiotiques serait non seulement inutile pour soigner la toux mais, selon une étude publiée dans the Lancet, il serait responsable de nombre d’effets indésirables.

Otites, sinusites, surinfection de bronchites, infections urinaires, abcès dentaires, infections digestives… l’amoxicilline est sans doute l’un des antibiotiques les plus prescrits (il en existe d’ailleurs plus de 90 versions génériques !). Mais une nouvelle étude menée par les chercheurs de l’Université de Southampton, en Grande-Bretagne, vient pointer du doigt les effets secondaires de cet antibiotique qui, dans certains cas, ferait plus de mal que de bien.
Pour cette étude menée auprès de plus de 2000 adultes de différents pays d’Europe, et souffrant d’une infection respiratoire avec complications, la moitié des patients a reçu de l’amoxicilline 3 fois par jour pendant 7 jours et l’autre moitié a reçu un médicament placebo. Les chercheurs ont alors constaté qu’il y avait peu de différence significative dans la durée des symptômes entre les patients sous antibiotiques et les autres, y compris chez les patients âgés de plus de 60 ans, pour lesquels les antibiotiques semblaient avoir le moins d’effets.
Mais l’étude montre également qu’un plus grand nombre de patients sous antibiotiques ont souffert de symptômes comme des nausées, une éruption de boutons ou de la diarrhée. D’où les conclusions des chercheurs, publiées dans The Lancet : « Prescrire de l’amoxicilline à des personnes dont l’infection ORL ne dégénère pas en pneumonie n’a aucun effet sur leur toux et peut même provoquer d’autres symptômes indésirables ».
Des conclusions qui vont dans(...) Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 27 décembre 2012

Bronchite : barrez-lui la route en douceur

Un peu de fièvre, une toux sèche qui devient grasse... voilà qui ressemble bien à une bronchite! En attendant le rendez-vous chez le médecin, essayez ces remèdes naturels qui calmeront la toux et éviteront de trop puiser dans vos réserves d'énergie.
Les vertus des plantes en tisane permettent de calmer les symptômes de la bronchite aiguë, mais aussi de les prévenir. Les boissons chaudes évitent en plus de se déshydrater.Mélangez 2 clous de girofle, 1 feuille de laurier, 1 morceau de cannelle de 2cm, 1 pincée de tilleul pour 1 tasse d'eau froide. Préparer en décoction et boire 1 tasse le soir.video_minute
Pour calmer la toux versez 150ml d'eau bouillante sur 1 ou 2 c. à café de thym. Laissez infuser 10 à 15 minutes, puis buvez 1 tasse plusieurs fois par jour.Pour un effet anti-inflammatoire sur les bronches, versez 150ml d'eau bouillante sur une demi-cuillère à café de feuilles séchées de lierre grimpant. Laissez infuser 10 minutes. Buvez jusqu'à 3 tasses par jour.Ou versez 150ml d'eau bouillante sur 1,5g de feuilles séchées de plantain. Buvez jusqu'à 3 ou 4 tasses par jour.video_minute
Pour une action antiseptique : l'ail et le citron sont adorés des grands-mères !- Plongez 2 gousses d'ail dans une tasse de lait froid. Portez à ébullition et laissez cuire 10 minutes. Buvez bien chaud pour désinfecter vos poumons.- Faites bouillir 75cl d'eau. Eteignez le feu et versez 5 gouttes d'huile de citron. Placez la tête au-dessus de la casserole et inhalez les vapeurs. A renouveler jusqu'à 3 fois par jour.
Prenez un radis noir et réduisez-le en purée à l'aide d'un mixeur. Versez dans un bocal et couvrez la purée d'une couche de miel d'acacia blond. Mélangez et laissez au frais pendant 15 jours en prenant soin de fermer hermétiquement le bocal.Au bout de ces 2 semaines, prenez 3 à 6 c. à soupe par jour afin de bien fluidifier les sécrétions.

Retrouvez cet article sur TopSante.com

mercredi 26 décembre 2012

Et si le roquefort était le secret de longévité des Français ?

Des chercheurs britanniques ont découvert que le roquefort connu pour ses veinures vert bleuté, possédait des propriétés anti-inflammatoires. Un facteur qui pourrait expliquer notre longévité, selon eux.
Avec une espérance de vie de 84,80 ans, les Françaises sont les Européennes qui présentent la plus grande longévité. Un phénomène qui suscite des questions chez de nombreux chercheurs et en particulier les Britanniques. En effet, c'est ce qu'ils appellent le "French paradox" ou "paradoxe français". Cette expression désigne l'apparente contradiction qui existe selon eux, entre les pratiques alimentaires des Français et leur santé.
Outre-Manche, nous sommes apparemment réputés pour avoir une alimentation riche en matières grasses comprenant notamment du fromage, de la charcuterie, mais aussi des boissons alcoolisées. Or, la santé globale de la population est relativement bonne avec notamment un taux d'infarctus bien moins élevé que dans d'autres pays. Un phénomène qui laisse dubitatif les chercheurs au Royaume-Uni où l'espérance de vie moyenne des femmes avoisine les 81,30 ans. Mais des scientifiques d'une société de biotechnologie basée à Cambridge pensent avoir trouvé notre secret : le roquefort !
Dans une étude intitulée "Le fromage pourrait-il être la pièce manquante du puzzle du paradoxe français ?", ces chercheurs expliquent en effet qu'ils ont découvert que le fromage, connu pour ses veinures vert bleuté, possédait des propriétés anti-inflammatoires. Pour cela, ils ont testé les propriétés du fromage et ont constaté que plus le roquefort était "mûri", plus l'effet anti-inflammatoire s'accentuait. Par ailleurs, ce dernier était d'autant plus efficace quand il avait lieu dans un environnement acide tel que la paroi de l'estomac ou la surface de la peau.
Un effet bénéfique sur la santé cardiovasculaire
"Les observations indiquent que la consommation de vin rouge ne (...) Lire la suite sur maxisciences.com

mardi 25 décembre 2012

Huiles essentielles : pas plus d'une heure

Les huiles essentielles sont à la base même de l'aromathérapie. Apaisantes, elles nous aideraient à lutter contre le stress de la vie quotidienne et contre bien des petits maux. On leur prête en particulier, des bienfaits cardiovasculaires, nerveux, respiratoires... Pourtant lorsqu'elles sont utilisées avec excès, leurs vertus tendraient à devenir des défauts. Voire des dangers. Explications.
Les chercheurs de la Taipei Medical University se sont intéressés à une centaine de sujets des deux sexes, en bonne santé et non-fumeurs. Point commun, tous travaillaient dans un Spa, à Taiwan. Pour les besoins de l'étude, ils ont été exposés pendant deux heures à une brumisation d'huile essentielle de bergamote.
Au cours de la première heure, les auteurs ont observé une diminution de la tension artérielle et du rythme cardiaque de tous les volontaires. Ce qui tendrait à confirmer les vertus apaisantes des huiles essentielles.
Après 75 minutes d'exposition cependant, ils ont eu la surprise de constater une inversion de tendance. Et après 2 heures, la pression artérielle systolique des participants est revenue à son niveau d'origine. Quant au pouls, il s'est élevé très au-dessus du niveau enregistré au début de l'étude, avec un facteur de multiplication de 1,7. En d'autres termes, un sujet dont le pouls de départ était de 65 pulsations par minute s'est retrouvé au bout de 2 heures ou plus, à 110 pulsations.
Pour l'auteur de ce travail, le Dr K-J Chuang, « les brumisations d'huiles essentielles semblent bénéfiques lorsqu'elles n'excèdent pas une heure, Au-delà, c'est l'effet inverse qui se produit. Elles deviennent nocives sur le plan cardiovasculaire ».
Un risque cutanée
Pour la Société française de dermatologie, les utilisateurs de ces huiles sous une forme liquide, en application cutanées, s'exposent à des allergies de contact. « C'est le cas des masseurs qui mettent des huiles essentielles dans leurs huiles de massage. Les réactions observées peuvent être sévères ». (...) Lire la suite sur destinationsante.com

Vessie : les envies pressantes, ça se soigne !

Quand on a besoin d’uriner de toute urgence plusieurs fois par jour, ce n’est pas normal… Et c’est parfois le signe d’une vessie trop active. Mais il existe des solutions pour mieux la contrôler. Le point avec le Dr Brigitte Fatton, gynécologue à Nîmes.
Valérie ne va presque jamais au cinéma alors qu’elle adore ça. « Les rares fois où j’accompagne mes ados, je suis si gênée de devoir me lever pendant le film pour aller aux toilettes que ça me gâche tout le plaisir », regrette-t-elle. Des récits comme celui-là, les médecins en entendent peu, pudeur oblige. Pourtant, près d’une femme sur six souffre de ces envies d’uriner si pressantes ­qu’elles sont quasi impossibles à maîtriser. « Contrairement à ce que l’on pense, l’hyperactivité vésicale (HAV), qu’elle s’accompagne ou non de fuites urinaires, n’est pas l’apanage des femmes qui vieillissent, souligne le Dr Brigitte Fatton, gynécologue. Même si le risque augmente avec les années, 12 % sont des personnes jeunes.">> A lire aussi : Et si c'était une cystite ?Bien que la recherche ait beaucoup progressé dans la compréhension des liens entre vessie et cerveau, les causes restent inconnues dans la majorité des cas : on parle alors d’hyper­activité vésicale idiopathique. Mais des besoins urgents d’uriner peuvent aussi provenir d’une inflammation vésicale (calcul, cystite, polype…) ou d’une maladie neurologique débutante, comme la sclérose en plaques. D’où l’importance de consulter son généraliste, qui pourra au besoin vous orienter vers un urologue ou un gynécologue spécialisé. Selon l’origine du trouble, plusieurs traitements peuvent être proposés.
Avant toute chose, le médecin va analyser les habitudes alimentaires afin de repérer d’éventuelles erreurs. Mieux vaut, en effet, ne pas boire en trop grande quantité et éviter les excitants comme le thé, le café, le vin ou la bière, qui stimulent inutilement la vessie. On essaie aussi de modifier ses habitudes. L’objectif est de reprendre le contrôle de (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 23 décembre 2012

Grippe : s'attaquer aux cellules infectées plutôt qu'au virus

Une nouvelle stratégie devrait aider l'organisme à bien se défendre sans encourager la sélection de virus résistants au traitement.


Une molécule qui cible directement les cellules pulmonaires de la personne contaminée par le virus de la grippe - permettant à son organisme de se défendre efficacement - vient d'être identifiée par l'équipe du docteur Béatrice Riteau (*), en collaboration avec des chercheurs internationaux. Cette découverte, publiée le 3 décembre 2012 dans le Journal of Clinical Investigation, devrait aboutir au développement d'un traitement symptomatique efficace contre les différents virus de la grippe, même les plus dangereux.
La grippe est responsable d'épidémies saisonnières, voire de pandémies sporadiques, chez l'homme et l'animal. En France, elle touche plusieurs millions de personnes chaque hiver. Au-delà du coût sanitaire des épidémies de grippe (plusieurs centaines de millions d'euros en France pour une épidémie moyenne), l'émergence de souches résistantes aux traitements antiviraux actuellement commercialisés - le Tamiflu et le Relenza - constitue un réel défi pour la recherche. Ce problème est essentiellement dû au fait que ces médicaments ciblent des protéines du virus.
"Inflammation excessive"
Pour le contourner, les chercheurs ont développé une stratégie portant, cette fois, sur les cellules du malade. Pour y parvenir, ils se sont focalisés sur les virus grippaux de type A, qui sont parmi les plus fréquents et les plus virulents. Leur présence provoque des réactions en chaîne et "l'inflammation excessive qui s'ensuit peut entraîner des troubles pulmonaires graves qui limitent la capacité respiratoire et qui pourraient expliquer la pathogénicité du virus chez l'homme", note Béatrice Riteau.
Or les scientifiques ont observé que, chez des souris infectées par ces virus, une protéine appelée PAR1 était responsable de la cascade d'événements conduisant à cette (...)
Lire la suite sur LePoint.fr

samedi 22 décembre 2012

Alcoolisme : attention à la perte de mémoire

Les alcooliques souffrent souvent de troubles de la mémoire qui compliquent singulièrement leur prise en charge.
Heureusement ces troubles sont pour la plupart réversibles après abstinence, ont indiqué jeudi des spécialistes à Paris.
"Les atteintes sont très variables", explique Hélène Beaunieux, une chercheuse en neuropsychologie lors d'une rencontre-débat organisée par l'Inserm avec les associations d'entraide aux personnes en difficulté avec l'alcool.
La France compte 1,5 million d'alcoolo-dépendants et 3,5 millions de personnes souffrant de consommation excessive.
Selon Mme Beaunieux, qui travaille sur l'impact de l'alcoolisme sur la mémoire depuis plusieurs années à l'Université de Caen, la prise en charge hospitalière n'est pas adaptée pour les troubles cognitifs.
"On demande actuellement aux malades d'oublier leurs habitudes et de mettre en place d'autres automatismes en l'espace de 15 jours, ce qui est juste impossible du point de vue cognitif", souligne-t-elle.
L'alcool peut en effet avoir des effets sur la mémoire à court terme, qui permet de stocker et de manipuler les informations pendant quelques minutes, mais aussi sur la mémoire épisodique qui permet de se rappeler des évènements vécus dans un contexte précis.
Il agit également sur "la métamémoire" qui permet de connaître et de contrôler le fonctionnement de sa mémoire et de s'auto-évaluer, une fonction souvent perturbée chez les alcooliques qui ont tendance à "se surestimer", selon la chercheuse.
Lorsque la mémoire épisodique est déficitaire par exemple, les patients arrivent à l’hôpital alors qu'ils "n'ont pas encore pris conscience de leur problème", explique la chercheuse.
Apprentissage moins efficace
En se basant sur les travaux qu'elle a réalisés à Caen, elle souligne que leur capacité d'apprentissage est également "plus coûteuse et moins (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 21 décembre 2012

Je suis fatiguée, je fais quoi ?

Vous vous sentez fatiguée, épuisée, raplapla, ramollo... Mais ce n'est pas en restant sous la couette que vous allez retrouver la forme ! Nos astuces pour traverser l'hiver sans flancher.
Rien de tel qu'un bon sommeil pour être en forme.Ayez des horaires de coucher réguliers, évitez les dîners trop riches et alcoolisés, ne surchauffez pas votre chambre (environ 18°C), Allongez-vous dans votre lit avec un masque refroidissant sur les yeux pour vous détendre et vous assurer un bon sommeil.Prenez éventuellement de l’euphytose avant de dormir pour un sommeil récupérateur.Au réveil, buvez un verre d'eau et, s'il le faut, réveillez-vous un quart d'heure plus tôt pour prendre le temps de partager un petit déjeuner avec votre chéri.>> Découvrez nos recettes de muesli énergie à faire vous-même
L'hiver, votre corps a besoin de vitamines, de sucres lents et de magnésium. Autant dire que les sandwichs sur le pouce et les pizzas réchauffées sont à éviter. L'idéal serait de varier au maximum vos repas et de manger au moins 5 fruits et légumes par jour, sans oublier la viande rouge (qui contient du fer et constitue donc un anti-anémique), les poissons et les céréales.Contrairement aux idées reçues, préparer une soupe de légumes, plat hivernal par excellence, n'est pas plus long qu'un plat tout préparé !Pas le temps d’éplucher les légumes, merci le surgelé! Pas le temps d’acheter du surgelé ? Merci les soupes déshydratées light, la soupe ça réconforte, et c’est facile à digérer! >> Découvrez nos recettes de soupes gourmandes
S'il n'est pas conseillé de faire des cures à l'année, les spécialistes recommandent, sur des périodes de 15 jours environ, de recourir aux compléments multivitaminés en cas de fatigue et de stress. C'est le cas pour la vitamine C, anti-fatigue et anti-oxydant ou du magnésium, anti-stress. Demandez l'avis à votre médecin.N'hésitez pas non plus à recourir à quelques (...) Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 20 décembre 2012

Coloscopie : un examen utile mais pas dénué de risque

La coloscopie, indiquée notamment pour le diagnostic et le suivi du cancer colorectal, est un acte très fréquemment pratiqué. En France selon une enquête de l'Assurance-maladie, près de 1,3 million de ces examens ont été réalisés en 2011 ! Fait marquant, près de 130 décès sont observés chaque année à la suite à de perforations provoquées durant une coloscopie. C'est un chiffre faible - un accident pour 10 000 examens – mais toujours trop élevé…
L'Assurance-maladie a dressé un état des lieux détaillé de la pratique des coloscopies en France. En 2011, elle a ainsi enregistré 1,28 million de coloscopies, dont 6 sur 10 ont été mené auprès de patients âgés de 50 à 74 ans. Au total sur une période de 5 ans, 8% des Français ont subi cet examen. Et le ciblage n'est pas fait au hasard : une fois sur trois la coloscopie donne lieu à l'exérèse – ou l'ablation - de polypes.
Entre 600 et 1 300 perforations intestinales par an !
La pratique de la coloscopie apparaît sensiblement plus fréquente en France que dans les pays d'Europe du Nord : 19,2 pour 1 000 habitants en moyenne contre 9,5 en Finlande, 10,6 en Norvège ou 11 en Suède. En Allemagne, au contraire, ce taux est beaucoup plus important : 30,3 coloscopies par an et par tranche de 1 000 habitants.
Par ailleurs, la France enregistre un taux de complications – principalement des perforations intestinales et des hémorragies sévères – semblables à ceux qui sont observés dans des pays comparables. Celles-ci cependant, sont quatre fois plus fréquentes chez les plus de 79 ans que chez les 50-74 ans. Enfin selon l'Assurance-maladie, « plus l'activité de l'établissement est importante, moins les complications sont fréquentes ». Au total, chaque année en France entre 600 et 1 300 perforations sont recensées.

Retrouvez cet article sur destinationsante.com

mercredi 19 décembre 2012

Stress : comment préserver notre peau

Épiderme au bord de la crise de nerfs ? Quand la peau (et parfois aussi les cheveux) accusent le coup, il est temps de réagir ! Les conseils des spécialistes pour traiter ces petits bobos liés au stress qui peuvent nous gâcher la vie.
Les premiers signes du stress sont bien connus : le cœur s’accélère, la peau pâlit, les glandes sudoripares s’activent. Ce que l’on sait moins, c’est que, à la longue, l’équilibre cutané peut être lui aussi perturbé. La fonction barrière peut alors s’altérer, entraînant irritations, démangeaisons, rougeurs, boutons… Car le stress génère des cascades de réactions biologiques qui se répercutent sur tout l’organisme, y compris sur l’épiderme. Cette réaction en chaîne est assez logique quand on sait que la peau et le système nerveux ont la même origine embryonnaire. "Il apparaît assez probable que le système nerveux traduise stress, émotions et pensées en langage biochimique avec les lettres que sont les neuromédiateurs. Ceux-ci sont susceptibles d’agir sur la peau, de sorte qu’ils peuvent induire des maladies ou les guérir", explique le Dr Danièle ­Pomey-Rey*, dermatologue et psychanalyste à l’hôpital Saint-Louis (Paris). Ces messagers chimiques qui circulent entre la peau et le système nerveux peuvent aussi exercer une influence sur la fabrication du collagène ou du sébum, sur la pigmentation… Enfin, le stress est sans doute impliqué dans l’apparition de "certaines dermatoses comme le psoriasis (plaques rouges avec squames), l’eczéma, l’acné ou l’herpès", précise le Dr Pascale Neulat, dermatologue. Quand nos émotions se lisent sur notre peau, mieux vaut tenir compte de ce qu’elle nous dit. "Ce qui signifie prendre en charge son stress avec des méthodes relaxantes comme la sophrologie ou le yoga. Avoir une activité physique régulière, diminuer le tabac et le café, voire arrêter complètement si on peut. Un sommeil de qualité est important aussi", recommande la dermatologue. Parallèlement, on calme le jeu (...) Lire la suite sur TopSante.com

mardi 18 décembre 2012

La défiance vis-à-vis des médicaments génériques s'accroît

61 % des Français se déclarent convaincus que ces médicaments sont "aussi sûrs" que les médicaments d'origine, contre 71 % en 2011.
Les Français sont de plus en plus réticents face aux médicaments génériques, avec une défiance qui a augmenté de 5 points en un an, selon un sondage Ifop publié lundi.

Alors qu'ils étaient encore 62 % en 2011 à accepter systématiquement la substitution d'un médicament d'origine, ils ne sont plus que 57 % à l'accepter cette année, selon le sondage réalisé pour le groupe de pharmaciens PHR. Les Français sont également plus réservés quant à l'efficacité des génériques, 72 % la jugeant similaire à celle des médicaments d'origine contre 77 % en 2011.

Quant à la perception de la sécurité des génériques, elle baisse de 10 points, avec 61 % des Français se déclarant convaincus que ces médicaments sont "aussi sûrs" que les médicaments d'origine, contre 71 % en 2011. Les personnes interrogées sont également très critiques vis-à-vis de la loi de 2006 qui a supprimé le tiers payant en cas de refus des génériques, estimant, pour 46 % d'entre elles, qu'elle porte atteinte à leur liberté. Les personnes âgées de 35 à 49 ans sont même majoritaires (51 %) à remettre en cause cette mesure, strictement appliquée depuis le 1er juillet 2012 par les pharmaciens.
Pédagogie

L'économie que représentent les génériques continue en revanche à faire consensus, avec 82 % des Français estimant que ces médicaments sont plus économiques que les médicaments d'origine. La Sécurité sociale rembourse aujourd'hui quelque 700 millions de boîtes de génériques par an, soit près de deux fois plus qu'en 2006, ce qui a permis d'économiser 1,3 milliard d'euros par an. Le taux de substitution est actuellement de 76 %, ce qui est jugé encore insuffisant par les autorités.

Lucien Bennatan, le président du groupe PHR (qui représente 11 % des pharmacies en France), reconnaît qu"'il reste du (...)
Lire la suite sur LePoint.fr

dimanche 16 décembre 2012

Marseille : un "accélérateur de découvertes" médicales à Luminy

Le grand défi, c'est la compréhension de notre système immunitaire. Savoir comment les globules blancs fonctionnent, en défense de tous les virus, tumeurs et affections qui nous menacent. Pour relever ce défi, Marseille s'est dotée d'un centre d'immunophénomique (Ciphe pour faire plus court) de 3 500 m², inauguré hier à Luminy.
À l'intérieur, des souris (voir ci-dessous) et des hommes : une équipe pluridisciplinaire de quarante ingénieurs et techniciens rattachés à l'Inserm et au CNRS, dirigée par Bernard Malissen, biologiste de formation. Avant le Ciphe, les chercheurs étaient éparpillés. Le directeur confirme : "Chacun étudiait dans son coin une pièce du puzzle, ce qui prenait beaucoup de temps". Surtout que ce puzzle compte 20 000 pièces, le nombre de gènes qui composent notre génome. Depuis quelques années, la science va plus vite, " la biologie a subi un changement d'échelle". Le nouveau centre permet "d'étudier le plus possible de pièces du puzzle, le plus rapidement possible. Nous sommes des accélérateurs de découverte".
À l'extérieur, scientifiques et industriels réclament ce changement de braquet. Cancérologie, immunologie, infectiologie, autant de domaines qui vont exploiter à fond les atouts du Ciphe. Industriels du pôle de compétitivité Eurobiomed, scientifiques à Marseille, Sidney ou Singapour : le centre de Luminy est probablement unique au monde. "On a la capacité" résume joliment Bernard Malissen "de construire, un peu mieux que les autres, ces choses de la vie" .
Les premiers à en bénéficier seront les enfants les plus fragiles sur le plan des défenses naturelles, mais aussi les malades du cancer qui pourront davantage compter sur leur système immunitaire pour combattre les tumeurs. Sans compter ceux atteints des maladies les plus rares. Leurs parents ont parfois abandonné l'espoir même d'un test. La construction de modèles de souris sur mesures, dans cet atelier scientifique haut de gamme, ouvre grandes les possibilités de traitement. "On remplit la case qui permet de s'assurer qu'un médicament va fonctionner avant de commencer les études sur les humains".
Le centre a coûté près de 10 millions d'euros (Inserm, Région, Département, Ville, Académie et un million pris sur le plan de relance). S'ajoutent plus de 5,3 millions pour les équipements

http://www.laprovence.com/article/actualites/marseille-un-accelerateur-de-decouvertes-medicales-a-luminy

samedi 15 décembre 2012

L’aloe vera : un cactus très apaisant pour la peau

Encore mal connue, cette super-plante prend soin de tous les types de peau et de toutes les chevelures. Dans ses feuilles, le précieux gel d’aloe, qui s’utilise frais ou déjà conditionné, pour plus de facilité.
Parmi les trois cents espèces d’aloès existantes, l’aloe vera est l’un des seuls à avoir des vertus cosmétiques. Il était déjà utilisé dans l’Antiquité : Cléopâtre s’en servait, avec le lait d’ânesse, pour ses soins de beauté ! Sous ce nom exotique se cache un arbuste qui s’épanouit partout où il fait chaud et sec. Ce sont ses feuilles généreuses qui abritent le fameux gel d’aloe. Longues de 80 cm, elles peuvent atteindre jusqu’à 10 cm de large. Comme les feuilles repoussent miraculeusement, on peut les couper par deux ou trois tout au long de l’année pour recueillir la précieuse gelée. Celle-ci contient pas moins de deux cents composants, dont une vingtaine de minéraux et une douzaine de vitamines. Plus dix-huit acides aminés dont sept essentiels (non produits par l’organisme), des polysaccharides (sucres complexes), des enzymes et des protéines. Le tout lui assure des propriétés hors pair, notamment cicatrisantes et adoucissantes. On l’utilise pur ou dilué ?En cosmétique, on peut utiliser le gel pur d’aloe vera en l’achetant frais sur les marchés bio ou en conservant la plante dans un pot. Mais on le trouve aussi en tube (par exemple, sur www.aroma-zone.com) : c’est l’option la plus économique. En revanche, il faut l’employer en petite quantité, car il colle littéralement à la peau. Si vous préférez une texture plus fluide, choisissez plutôt une crème à base d’aloe vera.Aloe vera : un hydratant hors norme ! Le jus de la plante contient 85 % d’une eau riche en minéraux et en vitamines, qui alimentent les cellules cutanées. Ce qui lui assure un fort pouvoir hydratant, encore renforcé par sa teneur en poly- et monosaccharides. Des sucres capables de retenir l’eau. Il est donc présent dans des soins de jour ou de nuit, des crèmes hydratantes et des laits (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 14 décembre 2012

Psycho : la "petite voix" dans notre tête, elle existe !

Non Jeanne d’Arc n’est pas la seule à entendre des voix ! Nous aussi, lorsque nous pesons le pour et le contre mentalement avant de prendre une décision ou quand nous lisons dans notre tête, nous percevons notre "petite voix intérieure". Vous êtes-vous déjà demandés d’où venait cette fameuse voix ?
La "petite voix" localisée
Toutes les pensées plus ou moins profondes que nous avons à longueur de journée trouveraient en fait leur origine dans les zones auditives de notre cerveau.
Des chercheurs de l’Inserm au Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon en collaboration avec le C.H.U. de Grenoble viennent de prouver que notre cerveau peut réagir comme si nous entendions quelqu’un nous parler alors que nous sommes seuls. Leur étude vient de paraître dans la revue The Journal of neuroscience.
En faisant lire silencieusement un groupe d’individus, les chercheurs ont pu repérer les zones du cerveau qui s’activaient. Ils ont constaté que les régions cérébrales auditives spécialisées dans le traitement de la voix étaient actives quand nous lisons dans notre tête c’est-à-dire lorsque la seule voix qu’on entend est celle dans notre tête.
Vers un traitement contre la schizophrénie ?
Il est donc possible de "voir" par imagerie médicale quand une personne se parle à elle-même dans sa tête mais pas encore de décoder quelles sont ses pensées.
"Les applications potentielles sont nombreuses, par exemple pour envisager des outils de rééducation permettant d’éviter l’emballement de ces pensées quand celles-ci deviennent trop nombreuses, dans le cas de la rumination dépressive (pensées négatives qui s’enchainent les unes aux autres et qui finissent par accaparer toute l’attention des patients dépressifs) ou de la schizophrénie", précise Jean-Philippe Lachaux, directeur de recherche à l’Inserm en charge de l’étude.


Retrouvez cet article sur TopSante.com

jeudi 13 décembre 2012

Dormir plus pour diminuer la douleur

D’après une étude américaine, dormir deux heures de plus par nuit permettraient de réduire la sensibilité à la douleur. Cette découverte pourrait donc servir dans la prise en charge des maladies chroniques douloureuses.
En effet, des chercheurs américains ont démontré que le sommeil serait plus efficace que certains médicaments contre la douleur comme la codéine. Dormir sept à 9 heures par huit pourraient donc rendre moins sensible à la douleur. Pour arriver à ces résultats, les scientifiques ont suivi 18 personnes au cours de quatre nuits et leur ont fait placer leurs doigts sur une source de chaleur. Ils ont ensuite mesuré le temps que chaque volontaire mettait à retirer ses doigts. Ils ont par la suite constaté que les personnes ayant dormi dix heures au lieu de huit étaient capable de maintenir leurs doigts 25 secondes de plus que les autres. De plus, les effets se sont avérés plus conséquents que ceux observés au cours d’une étude où les volontaires s’étaient vu administrer 60 milligrammes de codéine.
"Nous avons été surpris par l'ampleur de l’impact du sommeil en termes de réduction de la sensibilité à la douleur, en comparaison d’une prise de codéine, par exemple" a déclaré le Dr Timothy Roehrs. Cette nouvelle étude est la première à montrer qu’une duré supplémentaire de sommeil est utile pour réduire la sensibilité » à la douleur.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/04/1505524-le-sommeil-un-remede-antidouleur.html

mercredi 12 décembre 2012

Accoucher à la maison moins risqué qu’un accouchement à l’hôpital ?

Les femmes qui accouchent chez elles ont moins de risques de souffrir de saignements et d’hémorragie post-partum que celle qui accouchent à l’hôpital : voilà l’étonnante conclusion d’une étude menée par les chercheurs de l'Université de Southampton, en Grande-Bretagne, qui se sont penchés sur les dossiers médicaux de 500 000 femmes. Une conclusion qui n’a rien d’anodin lorsque l’on sait que l’hémorragie post-partum est la principale cause de décès liées à l’accouchement en France.

Hémorragie post-partum : c’est quoi ?

L’hémorragie post-partum se définit par une perte sanguine de plus de 500 ml dans les 24 heures qui suivent la naissance. Bien que ce type de saignement ne concerne que 5 % des naissances environ, il représente la principale cause de décès maternel en France car la majorité des HPP surviennent sans qu’aucun facteur de risque n’ait pu être identifié.

Selon les chercheurs anglais, la sur-médicalisation de l’accouchement, l’usage de médicaments pour accélérer les contractions, la pratique courante de l'épisiotomie pour faciliter la sortie du bébé par voie basse ou encore la multiplication des césariennes provoquent des saignements intempestifs et compromettent la sécurité des femmes enceintes en plein travail.

« Toutes les femmes enceintes devraient en être informées et devraient pouvoir choisir librement le lieu où elles souhaitent accoucher » ajoute Janet Fyle, conseillère médicale au Collège royal des sages-femmes de Grande-Bretagne.

Retrouvez cet article sur TopSante.com

lundi 10 décembre 2012

Comment apprendre à maigrir en comprenant ce que vos bourrelets disent de vous

Êtes-vous plutôt poignées d'amour, culotte de cheval ou ventre gonflé ? Les zones de stockage des graisses en disent long sur nos habitudes alimentaires et sur le régime idéal pour se débarrasser de ces rondeurs.
Dis moi où est ton bourrelet, je te dirai qui tu es… ou plutôt ce que tu manges, et comment perdre du poids.

Car à chacun ses rondeurs : nous n'avons tous pas les mêmes points sensibles. Certains n'arrivent pas à faire fondre leurs poignées d'amour, d'autres désespèrent de leur culotte de cheval, d'autres enfin stockent tout au niveau du ventre.

Les scientifiques savaient déjà que ces profils différents s'expliquaient en grande partie par notre patrimoine génétique. Mais ce n'est pas tout. La façon dont notre graisse s'accumule est aussi révélatrice de nos styles de vie. Ces spécificités en disent long sur notre régime alimentaire, mais également sur les moyens les plus efficaces pour éradiquer ces rondeurs disgracieuses, selon le Daily Mail.

James Duigan, entraineur des stars et auteur de Clean & Lean Diet, explique : "les mauvais aliments, des déséquilibres hormonaux, le stress et les toxines peuvent déterminer où nous stockons la graisse".

Lire aussi sur les régimes


- La vérité sur les calories

- Adolescence et régime : un vrai danger ?

- Le régime miracle existe-t-il ?

Voici quelques exemples de "profils adipeux", leurs causes et leurs solutions :

Le ventre rond


Votre ventre semble rond et gonflé quoi que vous fassiez ? Même lorsque vous mincissez, votre ventre n'est jamais plat ?

La cause

Vous êtes stressé. "Le ventre est corrélé à des niveaux de stress élevés", note la nutritionniste Vicki Edgson. Quand nous sommes stressés, notre glande surrénale produit du cortisol, qui provoque un stockage des graisses dans l'estomac.

Le remède

Faites du yoga. N'écoutez pas les idées reçues, et évitez l'excès d'effort physique ! Trop d'exercice cardiovasculaire peut augmenter le stress, explique le nutritionniste Jason Camm. Privilégiez la douceur des Pilates ou du (...)lire la suite sur Atlantico

dimanche 9 décembre 2012

Sinusite : 3 remèdes de grand-mère pour la soulager

La sinusite est une affection assez douloureuse. Rien d'étonnant dès lors que nos grand-mères nous aient concocté toute sorte de remèdes pour calmer les symptômes.
Sinusite : les cataplasmes d'argile
Les cataplasmes d'argile aident à dégager les sinus. Appliquez le cataplasme 1 à 2 heures le matin et le soir pendant plusieurs jours le long des ailes du nez ou sur le front.
Recette : versez de l'argile dans un récipient, de préférence en verre, et mélangez avec de l'eau. Lorsque la pâte est assez épaisse, appliquez sur les plaques.
Sinusite : les inhalations d'ail et de vinaigre
Pour dégager vos sinus, versez une gousse d'ail finement hachée et 1 c. à café de vinaigre dans un demi-litre d'eau bouillante. Respirez pendant 5 à 10 minutes plusieurs fois par jour avec une serviette ou un torchon sur la tête.
Sinusite : le jus de carotte et de citron
Pour calmer l'inflammation des sinus, mettez le matin 1 goutte de jus de carotte dans chaque narine. Pour une action antibactérienne, mettez 1 goutte de jus de citron dans chaque narine le soir.
>> A lire aussi : Marre des sinusites à chaque rhume: la solution !

Retrouvez cet article sur TopSante.com

samedi 8 décembre 2012

10 idées pour rester en forme quand il fait froid

Une première vague de froid nous annonce l'arrivée prochaine de l'hiver ! Toutes nos astuces pour rester en pleine forme, même si la température chute.
Une bonne alimentation est synonyme de bonne santé. Sous ce proverbe de grand-mère se cache un conseil avisé pour affronter l'hiver sans rhume, rhino ou bronchite. Pour vous composer une bonne assiette, privilégiez :- les fruits de mer, la viande rouge et les céréales complètes pour leur teneur en zinc.- Les épinards, le cresson, les noix, le brie, riches en vitamines B9.- Les agrumes, le persil, les kiwis ou les poivrons crus pour emmagasiner de la vitamine C.>> Découvrez et testez les recettes bio d'automne de Laurence Salomon
A base de ginseng (anti-fatigue), d'acérola (riche en vitamine C), d'angélique (contre le surmenage), de guarana (stimulant) et de gelée royale (plein de vitamines et d'oligo-éléments) pour aider au bon fonctionnement physiologique de l'organisme.Ampoules cocktail tonique de Pro Royal. Disponible en pharmacies et parapharmacies. >> Et si vous testiez le smoothie énergie banane-dattes ?
Tout plein de bons actifs dans ces capsules : magnésium, manganèse, vitamine C et E, zinc, fer… pour que la fatigue ne soit que passagère !Capsules forme et vitalité de Léro base. En pharmacies et parapharmacies.>> Découvrez si vous êtes carencée en magnésium ou pas
Reproduisez l'effet dynamisant d'un plongeon dans la mer avec ce coffret riche en sels minéraux qui contient : une huile de massage relaxante, une émulsion de bain océanique, 3 galets effervescents pour le bain et une brosse silhouette en bambou.Coffret de bain dynamisant H20 Nature et découvertes. Dans les magasins Nature et Découvertes. >> Et si vous faisiez vous même votre tisane de bain ? Voici la recette.
Ces gélules boostent la fabrication d’antioxydants et renforcent les défenses immunitaires. Elles permettent également de couvrir 100% des AJR de zinc, sélénium (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 7 décembre 2012

Noël : la fête… sans mettre le feu

Guirlandes, bougies, décorations du sapin... Pour créer une ambiance de fêtes, vous avez décidé de décorer votre intérieur aux couleurs de Noël. Pour éviter que cette fin d'année ne soit gâchée par un incendie, remettez-vous en à quelques précautions très simples, mais néanmoins essentielles. En France en effet, un incendie domestique se déclare toutes les deux minutes. Et ces accidents sont responsables de plusieurs centaines de morts chaque année.

Les bougies offrent une lumière tamisée très naturelle, intimiste et qui donne une dimension particulière à la fête. C'est vrai. Toutefois, n'en mettez pas trop. Car plus il y en aura, plus vous risquerez d'en oublier une allumée. D'autant qu'il est essentiel de ne jamais laisser une bougie brûler sans surveillance. Lorsque vous quittez une pièce, vérifiez que toutes celles qui s'y trouvent sont bien éteintes. Evitez de souffler dessus. Pincez plutôt la mèche entre deux doigts mouillés. N'en placez sous aucun prétexte sur les branches ou près du sapin, ni à proximité des rideaux ou de tissus d'ameublement.

Le sapin aurait vite fait de se transformer en une véritable torche. Placez-le à distance de toute source de chaleur. Les bougies donc, mais aussi les radiateurs ou la cheminée. Si vous avez décidé d'acheter un sapin artificiel, choisissez-le dans un matériau anti-feu ou ignifugé. S'il est naturel, humidifiez la souche s'il est en pot, et brumisez quotidiennement ses branches s'il est coupé. Dans les deux cas, évitez de le couvrir de neige artificielle, de flocage ou de cheveux d'ange : tous ces produits sont très inflammables.

Electricité et décorations

Soyez également vigilant avec les nappes en satin, les rubans et tous les objets fabriqués à l'école par vos enfants. Surtout s'ils sont en carton, en coton ou en pommes de pin par exemple.

Les guirlandes électriques elles aussi, peuvent être à l'origine d'un départ de feu. Pour réduire ce risque, assurez-vous qu'elles sont conformes aux normes françaises (NF). (...) Lire la suite sur destinationsante.com

jeudi 6 décembre 2012

Vastarel® et ses génériques encore trop prescrits en France?

« L'utilisation de la trimétazidine - Vastarel® et ses génériques n.d.l.r. - reste trop importante en France », déplore l'ANSM. Ses responsables estiment ainsi nécessaire de rappeler aux médecins, les limitations d'indications de ce médicament, ainsi que ses précautions d'emploi. Toutes recommandations émises par l'Agence européenne du Médicament (EMA).
La trimétazidine n'est vraiment pas un médicament récent. Autorisé en France depuis 1978, ce dernier avait à l'origine, trois indications :
- le traitement d'appoint des baisses d'acuité visuelle et des troubles du champ visuel présumés d'origine vasculaire ;
- la prise en charge des vertiges et des acouphènes ;
- le traitement prophylactique (ou préventif) de la crise d'angine de poitrine.
En raison de la notification d'effets indésirables neurologiques, l'Agence nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé (ANSM) a procédé à la réévaluation du rapport bénéfice/risque de ce médicament. En avril 2011, elle a ainsi recommandé d'en suspendre l'utilisation, et ceci dans les trois indications ci-dessus. L'EMA a ensuite été saisie d'une demande d' arbitrage européen. Celle-ci alors a recommandé de ne conserver qu'une indication, « en association dans le traitement symptomatique des patients adultes atteints d'angine de poitrine ». Dans les deux autres indications, elle a conclu que le rapport bénéfice/risque était insuffisant et a demandé le retrait de ces indications de l'Autorisation de mise sur le Marché (AMM).
En France, Vastarel® et ses génériques ne sont plus remboursés par la Sécurité sociale depuis le 1er mars 2012. L'ANSM tient à préciser que les patients traités par la trimétazidine dans les indications d'acouphènes, de vertiges et de troubles visuels, « devront faire arrêter ce traitement lors de leur prochaine consultation ». 
Retrouvez cet article sur destinationsante.com

mercredi 5 décembre 2012

Sida: le dépistage du VIH, comment ça se passe ?

Le dépistage est essentiel dans la lutte contre le Virus de l’Immunodéficience Humaine. Pourtant, l’infection est bien souvent diagnostiquée tard. Une négligence qui favorise la transmission du virus et empêche l’accès aux soins.
Le test de dépistage est essentiel dès lors que vous avez pris un risque d’être contaminé par le VIH (relation sexuelle non protégée, rupture de préservatif, partage d’une seringue ou de matériel d’injection, blessure avec un objet souillé de sang), que vous souhaitez, dans un couple stable, avoir des relations sexuelles non protégées avec votre partenaire, que vous êtes enceinte ou que vous souhaitez donner votre sang.Notez que parfois, il faut attendre 6 semaines après la prise de risque pour confirmer l’absence de contamination. Au dessous de cette période, le virus peut en effet être présent dans le sang sans pour autant être détectable. Les tests de dépistage réalisés avant 6 semaines doivent donc toujours être confirmés par un second test. Sachez enfin que, si vous pensez avoir été exposé à un risque de contamination, il est important de vous rendre le plus tôt possible et sans dépasser un délai de 48 heures dans l’hôpital le plus proche de chez vous soit dans un service d'infectiologie, soit au service des urgences, soit dans un Centre de Dépistages Anonymes et Gratuits. Un médecin pourra ainsi vous prescrire, si besoin, un traitement préventif d'une durée d'un mois (la trithérapie d’urgence) afin d’éviter une possible contamination par le VIH.video_minute
Le test de dépistage permet de détecter les anticorps spécifiques du VIH présents dans l’organisme. Il mesure ainsi soit la présence d’anticorps spécifiques produits par notre organisme en réponse à la présence du virus dans notre corps, soit les antigènes portés par le virus VIH lui-même. Il est réalisé grâce à une simple prise de sang, qui ne nécessite pas d’être à jeun. VIH : où se rendre pour faire un test ? Le test de dépistage peut être effectué dans un (...) Lire la suite sur TopSante.com

mardi 4 décembre 2012

Migraine : un nouveau médicament pour la soulager plus vite

L'ibuprofène fait partie des traitements indiqués en première intention en cas de crise de migraine. Spedifen® 400 mg permet une action plus rapide de ce composé en l'associant à l'arginine, un excipient.
Action rapide
Alors qu'habituellement un comprimé d'ibuprofène met 90 min pour atteindre son pic maximal d'absorption, le nouveau médicament des laboratoires Zambon y parvient en seulement 30 minutes.
Un avantage certain quand on sait que, pour bien soigner une crise de migraine, il est recommandé de prendre son traitement dès les premiers signes. La crise passe ainsi plus rapidement et les risques de "rebond" (reprise de la crise) sont limités.
Sans ordonnance
Spedifen® 400 mg est recommandé dans le traitement des crises de migraines légères à modérées avec ou sans aura après un avis médical. Il est réservé à l'adulte et disponible en pharmacie sans ordonnance.
Après une première dose, si le patient n'est pas soulagé il doit opté pour un autre traitement qui ne soit ni de l'aspirine ni un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS).
Si le patient est soulagé mais que les symptômes réapparaissent, il doit attendre au moins 8 heures avant de reprendre un comprimé et ne pas dépasser 1200 mg / jour. Attention, le traitement ne doit pas être pris plus de 3 jours.
Spedifen® 400 mg, boîte de 10 comprimés pelliculés. Prix public indicatif : 3,60 €.

Retrouvez cet article sur TopSante.com

lundi 3 décembre 2012

J'ai un bon rhume : les remèdes naturels

Quand le nez coule, on ne lésine pas sur les mouchoirs en papier. On se lave les mains et on aide la nature avec les médecines douces.
- L’écoulement est clair, les narines sont irritées : Alium cepa 5 CH, 3 granules, 3 fois par jour. - Il est clair, les yeux sont irrités : Euphrasia officinalis 5 CH, 3 granules, 3 fois par jour. - Il est jaune, non irritant : Pulsatilla 5 CH, 3 granules, 3 fois par jour. - Il est verdâtre : Mercurius solubilis 5 CH, 3 granules, 3 fois par jour. - Il est épais, avec formation de croûtes : Kalium bichromicum 5 CH, 3 granules, 3 fois par jour. - Vous éternuez en salves : Sabadilla 5 CH, 3 granules, 3 fois par jour. À noter : vous pouvez aussi prendre des complexes comme Coryzalia (Boiron), 2 comprimés toutes les ­heures. >> A lire aussi : L'homéopathie, mon remède contre la grippe
- Prenez 3 fois par jour 1 goutte d’huile essentielle de ravintsara sur un demi-sucre, ou dans une cuillère à café de miel ou d’huile d’olive. - Pour déboucher vos voies aériennes encombrées et éviter la surinfection, mélangez dans un bol d’eau chaude 2 gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus radié et 1 goutte de tea tree. Faites 3 inhalations par jour pendant 2 ou 3 jours. Les astuces en plus - Pour décongestionner et apaiser l’irritation nasale, appliquez un peu de crème Calendula (Lehning) sur les ailes du nez. Ou déposez un petit pois de crème Homéoplasmine (Boiron) dans les narines. - Lavez-vous le nez plusieurs fois par jour, pendant 10 à 15 jours, avec des pulvérisations d’eau de mer enrichie en cuivre ou de Rhinargion Rhume (Granions). - Pensez au pélargonium, la « cranberry du poumon ». Antibactérien et antiviral, il empêche la surinfection des voies respiratoires (Activox gouttes buvables).>> A lire aussi : Sureau, le remède naturel de l'hiver
L’air a du mal à passer ? Il faut hydrater vos muqueuses, donc boire suffisamment, plutôt du chaud, et apaiser l’inflammation. Les remèdes de l’homéopathe - La congestion (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 2 décembre 2012

Mal de gorge : comment se soigner soi-même ?

Il n’y a pas que les pastilles pour soulager un mal de gorge  ! Appliqués directement là où ça fait mal, les sprays ou collutoires soulagent aussi les gorges irritées.
Quand on a mal à la gorge, il faut consulter ?
Ce n’est pas automatique… comme les antibiotiques. Si la douleur est récente, si votre gorge n’est pas trop rouge, vous pouvez vous rendre à la pharmacie et traiter vous-même ce désagrément. En revanche, si vous sentez des ganglions sous les mâchoires, si vous avez de la fièvre, mal aux oreilles, si vous êtes très fatiguée, il faut voir un médecin. Idem si, après avoir tenté de vous soigner seule, rien n’a changé au bout de cinq jours.
Comment faire pour se soigner soi-même ?
Le plus efficace consiste à alterner pastilles et collutoires (sprays). On bénéficie ainsi de leur action complémentaire. Les premières ont, selon les cas, un effet antalgique et/ou antiseptique. Et le réflexe salivaire ­qu’elles déclenchent aide à calmer la douleur. Les seconds ont une action fugace, mais rapide et bien ciblée.
>> A découvrir aussi : Angine et mal de gorge : les solutions de l'homéopathie
Des précautions sont-elles nécessaires ?
Pastille ou spray, il faut éviter de boire et de manger juste après. Primo, le fait de s’alimenter entraînerait la substance active dans le tube digestif. Secundo, les formules renferment parfois un anesthésique local qui lutte contre la douleur et insensibilise donc le fond de la gorge. D’où un risque d’avaler de travers !
 Retrouvez cet article sur TopSante.com

samedi 1 décembre 2012

Les clémentines pour affronter les frimas

Ses apports riches en vitamine C et pauvres en calories lui permettent de se vanter d'être un produit incontournable lors des saisons automnale et hivernale.
Cultivées essentiellement en Espagne et au Japon, les clémentines consommées par les Français proviennent pour leur part de Corse. Les 135 producteurs des clémentines de Corse se sont lancé dans la cueillette des quelque 18.000 à 20.000 tonnes de ce fruit issu des 520.000 clémentiniers cultivés. Ronds et fermes, ses quartiers, recouverts d'une fine membrane sans filaments blancs, doivent être faciles à éplucher. Son goût doit être à mi-chemin entre le sucré et l'acidité.Des conseils pour bien choisirSouvent confondues avec les mandarines - ces dernières étant un peu plus grosses -, les clémentines sont orangées et légèrement vertes à l'extrémité. Cette couleur est d'ailleurs la preuve que le fruit n'a pas déverdi en chambre froide. Les consommateurs doivent ainsi être rassurés quant à la couleur verte qui n'empêche pas à la clémentine d'être mûre, sucrée et savoureuse. La couleur des clémentines, présentes dans les magasins de novembre à février, va évoluer vers un rouge orangé.A lire aussi:Tiramisù clémentine et épices douces
Avec 40 calories pour 100g, les clémentines sont idéales pour s'intégrer dans une alimentation saine et équilibrée. Elles sont également riches en vitamine C, en nombreux minéraux et oligo-éléments. Même les personnes les plus fragiles peuvent en consommer car leur chair peu acide convient à tous les organismes. Aussi, elles renforcent les résistances des vaisseaux sanguins.Hormis en dessert, les clémentines peuvent être assorties à des salades ou utilisées pour faire des sauces, des confitures ou des sorbets.Conserver les clémentinesAprès achat, les clémentines se gardent quelques jours à température ambiante. Pour une conservation plus longue - de 1 à 2 semaines, il est conseillé de les disposer dans le bac à légumes du réfrigérateur. Il est (...) Lire la suite sur TopSante.com