vendredi 30 novembre 2012

AVC : ne pas perdre de temps pour se rééduquer

"Après un accident vasculaire cérébral, la mise en place du renforcement musculaire est nécessaire, et travailler sur la rééducation à la marche doit se faire dès que possible", vient de souligner la Haute autorité de santé dans un rapport qu’elle vient de consacrer aux "bonnes pratiques" pour la rééducation après un accident vasculaire cérébral.
Dans ce rapport, la HAS recommande de mettre en place cette rééducation motrice sans perdre de temps et en combinant plusieurs méthodes, et insiste pour que l’on mise "dès le départ sur l'éducation thérapeutique du patient et de son entourage afin d'optimiser et de pérenniser les résultats de la rééducation".
Ce rapport dresse aussi la liste des méthodes de rééducation motrice, manuelles ou instrumentales, avec des recommandations d'application en fonction des trois "phases" de prise en charge : la phase "aiguë" jusqu'à 14 jours après l'AVC, la phase "subaiguë" de 14 jours à 6 mois après l'AVC et la phase "chronique" ensuite.
AVC : une urgence absolue
Cela a encore été rappelé il y a quelques jours, lors de la journée internationale de l’AVC : l’accident vasculaire cérébral est une urgence absolue. Et dès les premiers signes, il faut composer le 15.
L’accident vasculaire cérébral est la 3e cause de décès en France (après le cancer et la crise cardiaque), il est la 1ère cause de handicap acquis chez l’adulte. En France, 130.000 nouveaux cas d'AVC surviennent chaque année, dont 25% chez les moins de 65 ans, et 500.000 personnes souffrent au quotidien des séquelles d'un AVC, selon des chiffres fournis par la Direction générale de la santé.
Les séquelles les plus courantes de l'AVC sont une paralysie partielle, des difficultés à accomplir des gestes, des troubles de la sensation, de la vue ou de la parole.

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jeudi 29 novembre 2012

Omega-3 : ils évitent aussi la dépression post-partum

On savait déjà qu’un déficit en Omega-3 peut provoquer certains troubles de l’humeur. Des chercheurs canadiens ont découvert que ce manque d’Omega-3 peut également provoquer une dépression post-partum chez les jeunes mamans.
La dépression post-partum touche environ une jeune maman sur 10. A ne pas confondre avec le traditionnel baby-blues qui disparaît en quelques jours, la dépression post-partum arrive souvent dans les semaines qui suivent l’accouchement et peut durer de longs mois si elle n’est pas prise en charge par le médecin. Or des chercheurs canadiens viennent de découvrir que cette forme de dépression qui touche les jeunes mamans pourrait plus facilement être évitée en faisant le plein d’Omega-3.
Une étude qui vient d'être publiée dans la Revue canadienne de psychiatrie et menée par Gabriel Shapiro de l'Université de Montréal et du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, laisse entendre que l’on pourrait donc facilement dépister les futures mamans à risque de dépression post-partum, en surveillant leur alimentation et en ajustant leurs apports quotidiens en omega-3.
>> A découvrir aussi : les aliments les plus riches en omega 3
Certaines études ont déjà montré qu’une alimentation particulièrement riche en omega-3 permet de lutter contre la dépression et d’éviter les maladies cardio-vasculaires . « Mais la littérature scientifique a également aussi qu'il pourrait exister une corrélation entre la grossesse, les oméga 3 et les réactions chimiques qui permettent à la sérotonine, une molécule régulatrice de l’humeur, d'être transmise à notre cerveau», explique Gabriel Shapiro. « Or, le taux d’Omega-3 chute naturellement pendant la grossesse car les réserves dont la future maman dispose sont transférées au bébé. Et ces réserves continuent d’être au plus bas pendant les 6 semaines qui suivent l’accouchement ». Les femmes enceintes pourraient donc gagner à augmenter leur apport en oméga 3 pendant leur grossesse, en consommant (...) Lire la suite sur TopSante.com

mercredi 28 novembre 2012

Appendicite: on opère de moins en moins

Chaque année en France, environ 80 000 appendicectomies sont réalisées. Un chiffre qui a été divisé par trois en vingt ans et qui pourrait encore diminuer dans les années à venir car cette pathologie est de mieux en mieux comprise.

Autrefois, on avait tendance à opérer tout ce qui semblait être une appendicite et, parfois, il s’avérait que… ce n’en était pas une. Aujourd’hui, en cas de doute, on a recours au scanner», explique le PrVons, chirurgienne au CHU de Bondy. Les progrès de l’imagerie médicale, de plus en plus performante, permettent de poser un diagnostic beaucoup plus sûr. «On considère qu’il y a appendicite, donc qu’il faut opérer, quand et seulement quand le diamètre de l’appendice excède 6mm», précise notre spécialiste.

En plus de l’amélioration du diagnostic, les chirurgiens se sont rendu compte que la notion d’urgence était à revoir. En fait, on a compris qu’il existe deux formes d’appendicite : une simple et une compliquée, qui s’accompagne de nécrose et parfois de perforation de la paroi de l’appendice. Surtout, la forme simple n’évolue pas vers la forme compliquée. Il n’y a donc pas d’urgence à l’opérer. On peut prendre le temps du diagnostic et de la réflexion.Le scanner permet en général de distinguer ces deux formes d’appendicite. «Mais c’est un examen coûteux et qui engendre des irradiations. Les scientifiques travaillent actuellement sur la recherche d’autres facteurs discriminants, comme par exemple un dosage sanguin», ajoute le PrVons. L’origine de cette inflammation constitue également un axe de recherche important. «Des études épidémiologiques ont montré que l’incidence de la forme non compliquée évoluait en fonction des saisons, un peu comme les épidémies. De ce fait, on suspecte une origine bactérienne», poursuit notre spécialiste.A lire aussi:Après une opération de l'appendicite

L’hypothèse d’une origine bactérienne de certaines appendicites a poussé les chercheurs à mettre en place des études comparant la chirurgie à un (...) Lire la suite sur TopSante.com

mardi 27 novembre 2012

Aspirine, ibuprofène, paracetamol : quel antalgique choisir ?

Céphalée, rage de dents, douleurs des règles ou dans les articulations… Pour apaiser sa souffrance, on mise sur les antalgiques. Mais lequel ? Mode d’emploi pour mieux utiliser ces médicaments.

C’est le médicament le plus prescrit en France. On le trouve en vente libre à 500 et à 1 000 mg sous différents noms (Doliprane®, Efferalgan®, Dafalgan®…). Le paracétamol agit en inhibant la synthèse des prostaglandines, des substances impliquées dans le processus de la douleur.Dans quels cas utiliser le paracetamol ? Pour calmer les douleurs peu ou modérément intenses. Il permet de soulager les céphalées, les douleurs dentaires ou post-traumatiques, les courbatures… De plus, il est antipyrétique (il fait baisser la fièvre).Les + : Il est très bien supporté. Il présente peu de risques
d’effets indésirables. C’est l’antidouleur qui est recommandé chez l’enfant, la femme enceinte de façon ponctuelle, et à tous les âges. Les - : Contrairement à l’aspirine ou à l’ibuprofène, le paracétamol n’a pas d’action anti-inflammatoire. Il ne réduit donc pas les manifestations qui accompagnent certaines douleurs (gonflements liés à une inflammation, rougeurs…).Contre-indications Insuffisance hépatique. Le paracétamol est toxique pour le foie à partir de 150 mg par kg absorbés en une seule prise, ce qui correspond à un surdosage.Précautions d’emploi  Le problème essentiel posé par le paracétamol est le risque d’intoxication hépatique en cas de surdosage accidentel ou involontaire. Cet effet toxique peut être fatal si aucune mesure n’est prise, mais il existe un antidote. Ce risque justifie des précautions d’emploi chez les personnes fragilisées (insuffisance hépatique, patients âgés…).À quelle dose ? Chez l’adulte, 500 à 1 000 mg par prise, en espaçant les prises d’au moins quatre heures. On peut prendre jusqu’à 3 g de paracétamol par jour, exceptionnellement 4 g en cas de douleurs intenses. Chez les personnes âgées ou en cas de fragilité hépatique, se limiter à 3 g par jour.>> A (...) Lire la suite sur TopSante.com

lundi 26 novembre 2012

Alzheimer : des scientifiques ont identifié un gène à risques

Cette découverte pourrait représenter un progrès énorme pour la recherche
Les résultats d'une enquête sur la maladie d'Alzheimer, publiée mercredi dans le New England Journal of Medicine, offrent de nouvelles perspectives sur les fondements de la maladie d'Alzheimer, maladie mortelle, dégénérative du cerveau, qui prive les gens de leurs souvenirs et de leur indépendance.

Dans des études distinctes, les équipes dirigées par deCode Génétique et John Hardy de l'University College de Londres, ont révélé que les personnes subissant une mutation liée à une inflammation dans un gène appelé TREM2 étaient quatre fois plus susceptibles d'avoir la maladie d'Alzheimer que ceux qui n'avaient pas le gène.

Le niveau de risque se compare à ApoE4, la cause génétique la plus connue de l'apparition tardive d'Alzheimer. Mais ce gène est 10 fois plus rare que l'ApoE4, qui est présent chez environ 40% des personnes touchées par Alzheimer.

«Il est tout à fait plausible que TREM2 soit impliqué dans toutes la maladie d'Alzheimer», a déclaré Andrew Singleton de l'Institut national sur le vieillissement, qui a travaillé sur l'étude avec Hardy et ses collègues de l'University College de Londres.

Du coup, cette découverte représenterait un progrès énorme pour la recherche. "C'est l'une des maladies les plus courantes et les plus dévastatrices et nous n'en connaissons toujours pas les causes", a déclaré le Dr Allan Levey, directeur du Centre de la maladie d'Alzheimer Emory à Atlanta.

La maladie d'Alzheimer touche plus de 5 millions d'Américains et coûte aux États-Unis plus de 170 milliards de dollars par an.

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dimanche 25 novembre 2012

Le risque cardio-vasculaire pourrait se lire sur le visage

Calvitie, tempes clairsemées, dépôts jaunes et graisseux sur les paupières, lobes d'oreille flétris Si le délit de sale gueule n'avait jamais semblé tuer personne, rien ne serait moins sûr selon une récente étude danoise présentée ce mois-ci au très sérieux congrès de l'association américaine de cardiologie. D'après les travaux menés par l'université de Copenhague, qui a suivi durant 35 ans 10.885 patients hommes et femmes, les sujets présentant au moins trois des critères physiques cités ci-dessus voient leur risque de développer une maladie cardio-vasculaire augmenter de 39%, et celui de subir une attaque cardiaque de 57%.
«Ces signes visibles du vieillissement reflètent l'âge physiologique ou biologique du patient, mais sont en revanche indépendants de l'âge officiel», précise le professeur Anne Tybjaerg-Hansen, principal auteur de l'étude et professeur de biochimie à l'université de Copenhague. «À l'heure actuelle, la part éventuelle d'une prédisposition génétique ou de facteurs environnementaux et liés au mode de vie dans leur apparition demeure encore inconnue. Mais vérifier la présence de ces signes visibles devrait faire partie de l'examen physique qu'effectuent les médecins», estime le professeur de biochimie.
«Ne pas attendre l'apparition des signes»
Le professeur Nieca Goldberg, membre de l'association américaine de cardiologie, nuance: «Scruter les signes de vieillissement ne remplacera pas la mesure de la tension artérielle, de la glycémie, ou du cholestérol chez les patients à risque. Mais cette étude a le mérite de rappeler l'importance de l'examen physique dans la prévention du risque cardio-vasculaire».
Le professeur Claude Le Feuvre, président de la fédération française de cardiologie, va plus loin, estimant que se baser sur des signes de vieillissement cutanés semble superficiel, voir (...)
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samedi 24 novembre 2012

Faut-il manger du chocolat pour être plus intelligent ?

Un médecin américain reconnu, spécialiste de l'hypertension, chercheur à la prestigieuse Université Columbia de New York, a profité de l'actualité liée à la traditionnelle remise des prix Nobel pour publier dans le numéro d'octobre d'une revue médicale très sérieuse une étude montrant que, dans chaque pays, le nombre de Prix Nobel dépend de sa consommation de chocolat
Après avoir lu des publications établissant que la consommation de flavanols, une sous-classe de flavanoïdes présents en quantité notable dans le cacao, était associée chez l'homme à une moindre diminution des performances intellectuelles liée à l'âge et chez le rat âgé à une amélioration significative des performances cognitives, il n‘y avait qu'un pas à franchir pour en déduire qu'une consommation importante de chocolat était également susceptible d'accroître le niveau intellectuel moyen d'une population donnée et donc, ipso facto, le pourcentage d'individus ayant une intelligence supérieure, les prix Nobel en étant «objectivement», selon lui, les meilleurs témoins.
Effectivement, le résultat ne s'est pas fait attendre et une corrélation surprenante, mais bien linéaire et significative, s'est révélée entre la concentration de prix Nobel et la consommation de chocolat par habitant. Parmi les 23 pays étudiés, sont ainsi apparus, à une extrémité, les moins performants au vu du jury de Stockholm et les plus faibles consommateurs: Japon, Brésil, Portugal, le plus mauvais élève étant la Chine (que se passera-t-il quand elle s'éveillera au chocolat?). Dans la petite moyenne, la France est désespérément «normale». Naturellement, la Suisse est de loin la meilleure. Mais la Suède, créditée de 2 fois plus de prix Nobel que prévisible, crée la surprise, à moins que dans la patrie d'Alfred Nobel, on n'ait le cerveau plus sensible aux bienfaits du chocolat ou que le jury du fameux prix n'y soit plus patriote (...)
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vendredi 23 novembre 2012

La caféine, une substance qui aiderait à rendre heureux ?

Publiée dans PLoS ONE, une étude expérimentale allemande suggère que la caféine accroîtrait les facultés de notre cerveau à détecter les stimulations positives.
Des recherches antérieures avaient déjà montré que notre cerveau est relativement plus doué pour percevoir les notions (mots, sons, images...) 'positives' que les notions 'négatives'. Mais certains éléments pourraient l'y aider encore davantage ! C'est du moins ce que suggère une étude publiée dans la revue PLoS ONE et qui révèle les étonnantes propriétés du café. En effet, la caféine étant connue pour améliorer certaines performances mentales (lors de tâches simples), des chercheurs allemands ont voulu savoir si cette substance n'était pas aussi capable d'influer sur cette perception.
Plus précisément, ils ont cherché à déterminer si la caféine n'était pas capable "d'équilibrer" les choses et de booster nos perceptions en amenant le 'positif' et le 'négatif' à égalité. Pour cela, l'équipe de Lars Kuchinke, spécialisée en psychologie expérimentale à l'Université de la Ruhr, a demandé à 66 volontaires de reconnaître le plus rapidement possible des mots existants, parmi des chaînes de lettres défilant sur un écran. Au préalable, tous les 'cobayes' avaient pris des comprimés : 200 mg de caféine (l'équivalent de 2 ou 3 tasses de café) pour la moitié d'entre eux et un placebo pour l'autre moitié.
Résultats : chez les sujets sous caféine, les performances dans la reconnaissance des mots positifs se sont avérées meilleures de 7% aux performances dans la détection des mots négatifs. Autrement dit, la caféine aurait favorisé la reconnaissance des notions positives au détriment des négatives. Or, la substance est connue pour stimuler dans notre cerveau l'émission de dopamine, liée à la notion de 'récompense' (et de toxicomanie) et à la créativité. "La caféine améliore certaines fonctions mentales, mais notre (...) Lire la suite sur maxisciences.com

jeudi 22 novembre 2012

Le nombril, une véritable "forêt tropicale" de bactéries

Belly Button 2.0 est un projet visant à étudier la faune microbienne ombilicale. Selon les chercheurs, les nombrils s'apparentent à des "forêts tropicales" recelant une énorme variété de bactérie.
Le nombril, cicatrice de naissance laissée par la coupure du cordon ombilical, recèle d'un monde de micro-organismes variant d'un individu à l'autre. La nature et la cause de cette présence spécifique de bactéries, qui varient selon ceux qui les portent, reste en partie un mystère pour les microbiologistes. Pour tenter d'élucider la question, une équipe de chercheurs dirigée par Rob Dunn, de la North Carolina State University, a lancé Belly Button 2.0, un projet dédié à l'étude de la biodiversité des nombrils.
A dire vrai, l'initiative lancée il y a deux ans, prétendait à des objectifs quelques peu différents. Belly Button 2.0 est né de l'intention particulière d'intéresser le public à la science. Pour ce faire, les biologistes ont pensé développer une sorte de catalogue visuel présentant aux personnes l'aspect de l'écosystème florissant dans leur nombril. Cette zone du corps, étant l'un des recoins les plus rarement lavés, elle offrait dans un même temps aux chercheurs l'opportunité d'étudier l'un des paysages microbiens les plus vierges de l'homme.
Avec les premiers résultats obtenus, les scientifiques ont découvert une biodiversité particulièrement importante dans cette zone du corps. En effet, les bactéries, étudiées au niveau moléculaire, se sont avéré appartenir à des populations extrêmement diversifiées. Ces observations ont ainsi ouvert la voie à une étude plus détaillée visant à enquêter sur les raisons pour lesquelles il existe cette diversité et variation de bactéries d'un nombril à un autre.
Des espèces dominantes et d'autres plus rares
En 2011, Rob Dunn et ses collègues, assistés d'une équipe de 60 bénévoles, ont prélevé et cultivé en laboratoire la micro faune ombilicale (...) Lire la suite sur maxisciences.com

mercredi 21 novembre 2012

Diabète : 5 conseils pour manger moins gras

Le diabète de type 2 peut être favorisé par une alimentation trop riche en graisses. Voici cinq idées pour adapter vos plats et ainsi manger moins gras.
Au resto, équilibrez vos menus
Vous avez envie d'une pizza ? Evitez les plus riches : 4 fromages, calzone… et préférez celles qui sont garnies de légumes.
Au fast-food, optez pour la portion de frites la plus modeste et complétez votre repas par une salade.
Limitez les graisses saturées
Modérez votre consommation de charcuterie, beurre, sauces, fromage…
Choisissez les viandes les plus maigres
Optez pour le lapin ou les volailles. Mais ne vous laissez pas tenter par la peau craquante du poulet cuit : elle est beaucoup trop grasse.
Adaptez vos sauces
Préparez une onctueuse béchamel sans beurre, c'est possible. Délayez 50g de farine complète avec un peu de lait froid, chauffez sur feu moyen puis versez 50cl de lait en mélangeant jusqu'à obtenir la consistance voulue.
Cuisinez vos poissons au four
Accompagnez-les d'aromates et de fines herbes. Vous obtiendrez ainsi un jus de cuisson savoureux, sans ajouter de crème ou de beurre. Accompagnez de jus de citron et de persil ciselé, qui diminuent l'index glycémique des aliments. Vous pouvez aussi les cuire à la vapeur ou les faire griller : c'est mieux que la friture.

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mardi 20 novembre 2012

Cancer du poumon : quels traitements ?

De nouveaux médicaments plus spécifiques et mieux ciblés, l’espoir naissant d’un vaccin thérapeutique… Enfin de véritables avancées dans le traitement du redoutable cancer du poumon qui explose aujourd’hui chez les femmes !
Le problème est bien là. Le cancer du poumon évolue sans symptômes précis. Il peut faire tousser, provoquer des douleurs mais lorsqu’elles apparaissent, il est souvent bien tard : il s’est déjà étendu à la plèvre, aux os… Voilà pourquoi le diagnostic se fait souvent de manière fortuite. Ce que l’on peut conseiller ? Consulter un médecin dès qu’on a une toux qui persiste, une bronchite qui traîne, des glaires, du sang dans les crachats.
La prise en charge fait appel à la chirurgie, à la radiothérapie, à la chimiothérapie et, depuis peu, à de nouvelles thérapies dites "ciblées". Dans les cancers non à petites cellules, la chirurgie est le traitement de référence lorsque le stade et l’état de santé du patient le permettent. Quand on peut, on opère ! Le recours à la radiothérapie se discute au cas par cas. À un stade avancé, on propose au malade une chimiothérapie et/ou une thérapie ciblée, et de la radiothérapie en cas de douleurs. Les cancers à petites cellules sont traités par une chimiothérapie, associée ou non, selon le stade, à de la radiothérapie.
Une meilleure connaissance des tumeurs permet d’envisager des traitements "à la carte". Dans le Caucase, 10% des tumeurs présentent une mutation du récepteur du facteur de croissance épidermique EGFR. On a conçu des médicaments s’opposant à ce récepteur (Tarceva®, Iressa®). On a aussi découvert, dans 5% des adénocarcinomes, une autre anomalie moléculaire entraînant la production d’une enzyme, l’ALK, qui favorise le développement de la tumeur. Un médicament capable de bloquer cette enzyme fait l’objet d’essais thérapeutiques prometteurs. C’est une révolution dans la prise en charge des cancers du poumon, d’autant que ces thérapies ciblées sont mieux tolérées que les (...) Lire la suite sur TopSante.com

lundi 19 novembre 2012

Cheveux : les nouvelles solutions anti chute

La stimulation des cellules souches, une version améliorée d’un antichute qui a fait ses preuves et des poudres étonnantes qui camouflent… Ces nouvelles avancées qui permettent de lutter contre la chute des cheveux vont vous changer la vie !
La chute des cheveux n’est jamais une expérience agréable à vivre. Heureusement, des solutions existent, d’autant que les chutes féminines sont le plus souvent temporaires. Elles ne mettent pas en péril la repousse du cheveu et peuvent être traitées assez facilement. Mais les causes sont nombreuses : l’après-grossesse où la chute brutale est liée à un changement hormonal, les carences alimentaires, le stress ou la fatigue qui sont responsables d’une tige pilaire de mauvaise qualité, qui se casse et tombe, le changement de saison dont on ne connaît pas encore scientifiquement les causes profondes. Le meilleur réflexe : agir dès les premiers signesParfois, le phénomène est irréversible : le follicule pileux est définitivement détruit et le cheveu ne repousse plus. C’est le cas de l’alopécie de traction due à l’action mécanique répétée sur le cuir chevelu des tresses, chignons, queues de cheval trop serrés. Ou encore de la chute des cheveux à la ménopause, due à la perte des œstrogènes, alors que le taux d’androgènes se maintient.Quelle qu’en soit la cause, il faut donc réagir vite, dès les premiers signes, et traiter rapidement. Ces soins nouvelle génération vont vous aider.
Un minoxidil sans effet grasLa molécule est reconnue depuis longtemps pour son efficacité dans les cas difficiles et résistants au traitement oral, comme l’alopécie andro-génétique chez la femme entre 40 et 60 ans. Jusqu’à présent, il fallait être vraiment motivée pour l’utiliser ! Car ce traitement local vasodilatateur qui doit s’appliquer sur cheveux secs, était gras et collant, rendant la cure pénible et astreignante. Cette solution est devenue moins épaisse, et ne laisse plus les cheveux gras. On peut donc se coiffer de manière naturelle. Plus (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 18 novembre 2012

Diabète de type 2 : boire du thé noir réduit les risques

Le thé noir anti-diabète
Il en résulte que les pays qui comptent le plus de buveurs de thé noir ont un nombre moins élevé de personnes souffrant de diabète de type 2, d’obésité et de syndrome métabolique. L’Irlande arrive ainsi en tête avec 2 kg de thé noir par habitant par an suivi de près par la Grande-Bretagne et la Turquie. Le Brésil, le Maroc et le Mexique arrivent, eux, en queue de peloton.
Le Dr Ariel Béresniak, directeur du Data Mining International à Genève et qui a dirigé l’étude, précise qu’il n’a pas remarqué de lien entre le thé et d’autres pathologies.
Selon les chercheurs, c’est lors du processus de transformation du thé vert en thé noir que certains types de flavonoïdes, responsables de cette action protectrice, sont créés en nombre. Dans une tasse de thé on compte ainsi environ 200 mg de flavonoïdes. La plupart étant libérées pendant la première minute d’infusion.
Un nombre de diabétiques en hausse
Cette étude vient confirmer les conclusions de précédentes publications sur le sujet. Les chercheurs expliquent : « Ces résultats sont compatibles avec ceux des études biologiques, physiologiques et écologiques précédentes menées sur le potentiel du thé noir sur le diabète et l'obésité. Ils fournissent de nouvelles et précieuses informations scientifiques à l'échelle mondiale. »
Une bonne nouvelle quand on sait que le nombre de diabétiques de type 2 a été multiplié par 6 dans le monde au cours des dernières décennies. D’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), la France devrait ainsi compter près d’un million de diabétiques supplémentaires d’ici 2030 ! Une bonne raison de se mettre au thé noir en complément d’une activité physique régulière et d’une alimentation équilibrée…

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samedi 17 novembre 2012

L'arrivée de Bébé, tant attendue, est enfin programmée... Il est vraiment temps de lui préparer une chambre à la fois confortable, saine et sûre ! Autrement dit, vous allez devoir bien anticiper. Notamment en ce qui concerne les travaux de peinture et l'acquisition de nouveaux meubles.
Vous avez décidé de refaire les peintures de sa chambre ? Dans ce cas, veillez à prévoir suffisamment à l'avance, pour leur laisser le temps de bien sécher. Si vous avez acheté de nouveaux meubles, vous devrez les installer là encore, bien avant la naissance. En effet, ces derniers peuvent dégager pendant plusieurs semaines des composés organiques volatils, comme le formaldéhyde reconnu cancérigène. Il est donc raisonnable de terminer les travaux de rénovation et d'aménagement largement avant la naissance, et de garder la chambre bien aérée pendant une longue période.
Une chambre saine, c'est une chambre propre, fraîche, sèche et répétons-le, régulièrement aérée. La poussière, les acariens peuvent en effet provoquer des réactions allergiques. Evitez si possible, les tapis et moquettes, qu'ils soient en laine ou synthétiques. Mieux vaut un revêtement lavable ou un parquet. Pour la même raison, préférez les couettes et les oreillers en matière synthétique, lavables en machine et séchables dans un sèche-linge à tambour. Pensez également à régulièrement laver les peluches de Bébé, et à leur offrir un petit séjour au congélateur…
Par ailleurs, sachez que le chien ou le chat de la maison ne doit jamais rester dans la chambre d'un nourrisson. Il pourrait en effet se coucher près de son visage, au risque de l'étouffer. Ils risquent par ailleurs de transmettre des microbes et autres virus. Pensez aussi à doter les prises électriques d'un cache-prise. Vous éviterez ainsi que Bébé n'y mette ses petits doigts. Utilisez enfin un bloque-porte, et apprenez-lui dès que possible à ne pas jouer avec ces dernières.

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vendredi 16 novembre 2012

L'infarctus frappe de plus en plus les femmes

La prévention et les soins plus efficaces font reculer la maladie cardiaque chez les hommes. Pas chez les femmes. Et elle demeure la deuxième cause de mortalité en France, derrière les cancers.
Bonne nouvelle : on meurt moins des maladies coronaires, en particulier de l'infarctus du myocarde. « En France, comme dans de nombreux pays », se réjouissent les rédacteurs du bulletin de l'Institut de veille sanitaire, paru hier. Explications : il y a moins d'infarctus, « du fait de l'amélioration de la prévention » et, quand ils surviennent, ils sont moins souvent mortels.
Principale cause : le tabac
La lutte contre le tabagisme, l'incitation à pratiquer une activité physique régulière et à manger équilibré portent leurs fruits. Les espoirs d'en guérir se sont également améliorés sensiblement grâce à la thrombolyse (dissolution d'un caillot de sang par médicament) ou l'angioplastie (dilatation d'une artère par l'usage de ballonnets gonflables, entre autres). Sans compter le nombre de défibrillateurs installés dans des lieux publics qui permettent une action plus rapide en cas d'attaque.
Néanmoins, l'infarctus a encore tué 38 072 victimes en 2008. « C'est la deuxième cause de mortalité derrière les cancers de la plèvre, de la trachée, du larynx ou des poumons. » Très, très loin devant les morts sur la route : 4 275 dans cette même année 2008 (3 963 en 2011).
Le nombre d'hospitalisations pour infarctus baisse régulièrement. Les hommes demeurent plus touchés (37 200 hospitalisations en 2008) que les femmes (18 900 hospitalisations). Mais ce bon signe ne doit pas cacher un clignotant passé à l'orange : le nombre de cas augmente fortement chez les femmes de 35 à 54 ans. Là encore, c'est un phénomène international : « Les études récentes menées aux États-Unis et au Canada montrent également une augmentation pour les jeunes femmes (d'âge compris entre 35 et 44 ans aux États-Unis et 20 et 49 ans au Canada ».
Les raisons de cette progression sont les mêmes partout : « Le cholestérol, l'hypertension artérielle, le diabète, l'obésité abdominale, le stress... » Mais surtout, surtout : le tabagisme. Le Pr Daniel Thomas, à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, souligne, dans Le Figaro, que le tabagisme a chuté chez les hommes : « 65 % de fumeurs en 1965 ; 30 % aujourd'hui. » Mais qu'il a augmenté chez les femmes : « 10 % de fumeuses en 1965 ; 30 % aujourd'hui. »
 

jeudi 15 novembre 2012

Hiver: 5 parades antivirus pour tous

Quand le froid est là, nous avons toutes nos petites fragilités. Mais ces infections saisonnières courantes ne sont pas une fatalité. Les conseils de nos spécialistes.
Si notre maison est transformée en cocon tropical et que nous sortons nous balader sous la neige, l’écart de température risque d’être vécu par notre organisme comme une agression brutale. L’idéal? Une température de 19-20°C à l’intérieur et des balades au grand air pour booster notre immunité et notre capital vitamine D. Dans un espace surchauffé, nos muqueuses ORL sont aussi asséchées, ce qui nous rend plus fragile.
Le B.A.-BA pour éviter la transmission des virus! Après s’être mouché, avoir toussé ou éternué, avant de passer à table… Plusieurs fois par jour à l’eau et au savon pendant 20 à 30 secondes (sans oublier les ongles). Si on ne peut pas se laver les mains, on opte pour une solution hydroalcoolique en vérifiant qu’elle est bien «bactéricide, virucide et fongicide». (Gel hydroalcoolique antibactérien, Puressentiel).
Faire du sport aide à lutter contre le stress «responsable de notre baisse d’énergie, d’une perte urinaire de magnésium, facteur de prolifération des virus et des bactéries dans les cellules», rappelle le Dr Jean-Paul Curtay. On peut aussi marcher 30 à 45 minutes par jour. Mais on évite de s’activer avant le coucher, ce qui nous empêcherait de dormir. Or un bon sommeil contribue à une bonne immunité.
Dehors, on ne peut pas grand-chose contre l’air pollué mais à l’intérieur, on peut éviter que notre home sweet home soit aussi un nid douillet pour les virus. La solution? Ouvrir les fenêtres au moins 10 minutes par jour pour renouveler l’air et ce, même par grand froid. On peut également vaporiser un spray assainissant, à raison de deux ou trois pulvérisations maximum, trois fois par jour.
Avec les probiotiques qui stimulent notre immunité. «La plupart des personnes présentent des déséquilibres de la flore à cause d’un excès de sucre ou de fer, ou du stress qui fait (...) Lire la suite sur TopSante.com

mercredi 14 novembre 2012

Médicaments et plantes : des associations dangereuses

Prendre du millepertuis sous forme d'huile essentielle ou en comprimés lorsque l'on est sous aspirine, voilà une bien mauvaise idée ! Et cette association d'une plante largement popularisée avec un traitement médicamenteux qui ne l'est pas moins, ne constitue qu'un exemple parmi beaucoup d'autres. En effet, bien des patients se tournent vers la phytothérapie ou les compléments alimentaires, sans en avertir leur médecin. Une équipe britannique s'est penchée sur ces interactions indésirables.
La warfarine que l'on appelle aussi coumaphène, l'insuline, l'aspirine, la digoxine ou encore la ticlopidine sont autant de médicaments majeurs, prescrits sur ordonnance. « Ils sont très souvent associés à des effets indésirables provoqués par la prise d'un complément alimentaire, ou d'un médicament à base de plante », soulignent les auteurs. Dans les 85 travaux qu'ils ont passé en revue, ils ont trouvé la description de… 882 interactions néfastes. Chacune se rapportait à l'association d'au moins une des 215 plantes ou compléments alimentaires, et d'un des 509 médicaments sur ordonnance pris en compte dans ces études.
Prévenez votre médecin
Les plantes qui exposent au plus grand risque d'interactions indésirables avec des médicaments se sont révélées être le lin, l'échinacée et l'extrait de yohimbe. Mais les problèmes de santé parfois graves, causés par l'absorption croisée de médicaments et de compléments alimentaires, concernent également le magnésium, le calcium ou encore le millepertuis et le ginkgo biloba.
Dans 42% des cas, ces interactions provoquent une altération de l'efficacité du traitement prescrit par le médecin. Mais l'absorption conjointe de ces traitements peut aussi conduire à des effets indésirables au niveau intestinal, neurologique ou rénal.
« Malgré l'usage répandu de ces traitements à base de plantes, notre connaissance reste très incomplète », note Edzard Ernst, professeur émérite à l'Université d'Exeter, au Royaume-Uni. Toutefois, « les médecins (...) Lire la suite sur destinationsante.com

mardi 13 novembre 2012

La noix, une alliée anticholestérol

Les bonnes raisons et les bonnes recettes à base de noix!
Faire baisser le taux de cholestérol, grâce à la présence de phytostérols, des molécules qui prennent sa place.Prendre soin du système cardiovasculaire et de l’équilibre nerveux. Leurs secrets?: des oméga-3, des acides gras polyinsaturés.Lutter contre les radicaux libres, grâce à leur forte teneur en antioxydants (concentrés dans la fine peau brune des cerneaux).
Découvrez la recette de la Salade de brocoli
Découvrez la recette du Gratin de potiron au parmesanA lire aussiEnfant: comment leur faire aimer le potiron?
Découvrez la recette du Cabillaud en croûte


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lundi 12 novembre 2012

Fatigue : et si cela venait de vos dents?

Avec les milliards de bactéries qu'elle contient, la plaque dentaire ne se contente pas d'abîmer dents et gencives. Elle peut aussi être source de fatigue. Une raison de plus pour l'éliminer régulièrement.
Eh, oui, la plaque dentaire peut fatiguer ! D'ailleurs, certains sportifs effectuent régulièrement des détartrages pour conserver de bonnes performances. "En faisant enlever les milliards de bactéries qui peuvent envahir leur bouche, ils retrouvent des défenses immunitaires plus efficaces, moins concentrées sur une seule partie du corps", explique le Dr Bochin, dentiste.Naturellement, la plaque dentaire est surtout responsable d'ennuis au niveau du parodonte, nom donné à l'ensemble des tissus qui soutiennent la dent.
Le tartre, un dépôt incolore et extrêmement collant, se forme nuit et jour à partir de la salive. On en trouve principalement derrière les incisives inférieures, à la sortie des canaux des glandes salivaires sous-maxillaires et sublinguales. Il s'accumule aussi sur les prothèses et les appareils dentaires. Les bactéries fixant le calcium de la salive, il se calcifie peu à peu pour former la plaque dentaire. Différents pigments contenus dans les boissons (thé, café), les aliments (myrtilles) et le tabac (nicotine) peuvent la colorer.Un brossage régulier trois fois par jourCes brossages quotidiens limitent la formation du tartre. Mais le chewing-gum sans sucre peut ponctuellement le remplacer. Les poils de la brosse doivent être suffisamment souples pour se plier et atteindre le sillon gingival. Si vous utilisez une brosse électrique, n'appuyez pas trop fort ni trop longtemps : l'émail risque de s'user. Le brossage peut être complété par l'emploi d'un hydropulseur, un jet dentaire qui envoie de l'eau et de l'air entre les dents, sous les gencives (en vente en pharmacie). Brossettes interdentaires et bains de bouche sont réservés aux patients qui souffrent de maladies (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 11 novembre 2012

L'exercice physique devrait être prescrit sur ordonnance

C'est ce que propose l'Académie de médecine du fait des multiples bénéfices sur la santé du sport.
Le sport sur ordonnance médicale, pris en charge par la Sécurité sociale, pour «réduire la consommation de médicaments des Français» ? Alors que le ministère de la Santé doit mettre en œuvre dans les semaines à venir son plan en faveur de l'activité physique, l'Académie de médecine veut aller plus loin.
«Le sport doit faire partie des prescriptions au cabinet médical, au même titre que les antibiotiques, l'aspirine ou les antidépresseurs», affirme le Dr Jacques Bazex, auteur d'un rapport sur ce thème rendu public cette semaine. L'idée d'une prise en charge de l'exercice physique par les pouvoirs publics, pour certaines catégories de la population, a d'ailleurs été déjà envisagée récemment, en particulier en Grande-Bretagne.
Depuis trente ans, une avalanche de publications ont démontré les bienfaits du sport sur la santé mentale et physique en général. À court terme, l'activité a un effet bénéfique sur le sommeil, le stress, l'anxiété. Pratiquée régulièrement, elle allonge l'espérance de vie en bonne santé et retarde l'âge d'entrée dans la dépendance. Une étude prospective publiée en 2007, portant sur 250.000 personnes, montre ainsi qu'un sport d'intensité modérée, pratiqué au moins trois heures par semaine, réduit le risque de mortalité de l'ordre de 30 %. Selon l'Organisation mondiale de la Santé, la sédentarité serait responsable d'un décès sur dix dans le monde.
Oxygénation des tissus
«En favorisant l'oxygénation des tissus, le sport améliore la fonction cardiovasculaire et pulmonaire, les muscles, le squelette, le système nerveux, le cerveau et les supports de l'immunité», rappelle le Dr Bazex. Enfin, l'activité physique est un outil thérapeutique performant dans le traitement de certaines maladies chroniques.
Comme l'a décrit une expertise collective de l'Inserm en 2008, un programme structuré d'activité physique réduit la pression artérielle chez les (...)
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samedi 10 novembre 2012

Tonus : 5 conseils nutri pour surmonter le passage à l’heure d’hiver

Le passage à l’heure d’hiver est pour beaucoup synonyme de froid, de fatigue et de petite forme. Pas question cette année de flancher ! Notre nutritionniste nous dit comment garder son peps.
A chaque changement de saison, il est bon de nettoyer son organisme. Une petite détox s’impose parce que notre foie a tendance à être surchargé entre les excès de l’été et l’arrivée de l’hiver. On adopte quelques gestes détox en commençant dès le réveil par un jus de citron dans un verre d’eau tiède le matin. Un rituel qu’on peut suivre de l’automne à février-mars. On fait la part belle également aux aliments détox : ananas, jus de radis noir, artichaut… Autre bon réflexe, les tisanes détox pour se débarrasser des toxines. Vous pouvez vous programmer un week-end détox ou suivre nos bonnes résolutions détox toute la semaine.
Pas la peine de manger plus gras. On n’est pas en Sibérie, notre corps n’a pas besoin de faire des réserves pour lutter contre le froid ! Inutile donc de manger plus gras ni d’ailleurs plus salé ni plus sucré. On zappe de son alimentation les fritures et les produits industriels : bourrés de matières grasses saturées (qui favorisent le mauvais cholestérol) et d’additifs, ils ne facilitent pas la détox et notre foie va devoir travailler plus pour les éliminer. A la place, on mise sur les bonnes graisses (poissons gras, oléagineux…) et le naturel avec des légumes et fruits.
Le secret du tonus c’est la vitamine C. Arme anti-fatigue par excellence, elle nous rend plus résistant aux virus comme le rhume ou la grippe et ralentit le vieillissement de nos cellules. Pour faire le plein de vitamine C, on démarre la journée avec deux kiwis au petit déjeuner, plus riches en vitamines qu’une orange pressée. Si on n’arrive pas à combler leur manque en vitamine C juste avec les légumes et fruits, on essaie des compléments alimentaires à base d’acerola naturel. En cas de grosse fatigue, une cure de magnésium peut également être utile : on en trouve dans l’eau (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 9 novembre 2012

Le vaccin antigrippal protège le cœur

Une étude canadienne portant sur 3.227 patients relève une diminution de moitié du risque de faire une crise cardiaque ou un AVC dans l'année qui suit la vaccination.
Selon une étude présentée au congrès canadien de santé cardio-vasculaire, se faire vacciner contre la grippe aurait un effet protecteur sur le cœur. «Le vaccin antigrippal permet de réduire le risque de développer un événement cardiaque majeur, comme un infarctus», conclut le Dr Jacob Udell, cardiologue à l'université de Toronto, après avoir compilé quatre recherches cliniques menées sur le sujet entre 1998 et 2004.
Dans cette méta-analyse incluant 3.227 patients atteints ou non de pathologies cardiaques, la moitié des participants ont été vaccinés, tandis que l'autre moitié a reçu un placebo. Après un an, les patients protégés contre la grippe avaient un risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral réduit de moitié. Le risque de décès, toutes causes confondues, était diminué de 40 %.
Ces résultats sont cependant à prendre avec précautions, car ils n'ont pas été soumis à une relecture scientifique, comme le souligne le Pr Antoine Flahault, directeur de l'École des hautes études en santé publique: «Sur ce sujet très débattu, il faudrait conduire un vaste essai randomisé qui n'a toujours pas été réalisé à ce jour.» Une étude publiée en juin par une équipe taïwanaise avait déjà mis en évidence une diminution du risque de décès et du nombre d'hospitalisations, chez les personnes âgées de plus de 65 ans avec antécédents cardiaques, en cas de vaccination contre la grippe. Mais d'autres travaux se sont révélés non concluants.
Ces études remettent toutefois en lumière l'intérêt de la vaccination en cas d'insuffisance cardiaque grave ou d'antécédents cardiaques. «En cas d'agression pulmonaire, les sujets fragiles risquent une décompensation qui peut leur être fatale. D'où l'importance de les protéger d'une infection virale», rappelle le Pr Hervé Douard, cardiologue au CHU de Bordeaux. En (...)
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jeudi 8 novembre 2012

Canal carpien : comment se passent les infiltrations ?

Si la prise d’antidouleurs oraux ne suffit pas à calmer les douleurs de votre syndrome du canal carpien, votre médecin peut vous proposer des infiltrations. En quoi cela consiste-t-il ?
La main ou certains doigts vous font mal, ils sont engourdis, et la douleur vous réveille parfois en pleine nuit. Votre médecin peut vous prescrire des anti-inflammatoires, le plus souvent en infiltrations à base de cortisone. En faisant dégonfler le contenu du canal carpien, ce traitement symptomatique soulage temporairement. Il est d'autant plus efficace que le syndrome est récent, aigu, déclenché par une activité manuelle.
Comment ça se passe ?
L'injection se fait au cabinet médical. Le produit (du type Altim®) s'injecte en infiltration à proximité du canal carpien et parfois même directement dans le canal.
Environ 3 ml de solution sont lentement injectés tout en surveillant le patient qui doit signaler la survenue de symptômes qui permettront ou non de continuer l'injection.
Une sensation de fourmillement est quelquefois ressentie au moment de l'introduction de l'aiguille ou un peu après. N’hésitez pas à la signaler au médecin.
Et après ?
Les infiltrations sont en général efficaces au bout de quelques jours et de petites douleurs peuvent être ressenties au début. Le résultat complet s'observe au bout d'une semaine. Cependant, les signes peuvent réapparaître au bout de quelques mois. Votre médecin peut réaliser une série de 2 à 3 infiltrations en quelques semaines. Ces médicaments sont remboursés à 65%.
>> A découvrir aussi : Canal carpien : les médecines douces à votre secours

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mercredi 7 novembre 2012

Arrêter de fumer avant 40 ans permet de gagner 9 ans de vie

L'étude, publiée dans la revue médicale britannique Lancet, s’est intéressée à 1,2 million de femmes britanniques, qui ont été recrutées entre 1996 et 2001 et suivies jusqu'en 2011.
Les chercheurs britanniques ont cherché à comprendre ce qu'il était arrivé aux femmes ayant arrêté de fumer à des âges divers de leur vie. Ils ont ainsi découvert qu'en arrêtant avant 40 ans, les femmes pouvaient regagner plus de 9 ans d'existence, et 10 ans en arrêtant de fumer avant 35 ans.
Arrêter de fumer tôt, bon aussi pour les hommes !
"Qu'ils soient hommes ou femmes, les fumeurs qui arrêtent de fumer à un âge moyen vont gagner en moyenne 10 ans de vie", souligne l'un des co-auteurs de l'étude, Richard Peto, de l'Université d'Oxford. "Cela ne signifie pas toutefois que les femmes peuvent sans danger fumer jusqu'à 40 ans et s'arrêter ensuite car elles conservent dans les décennies suivantes un taux de mortalité supérieur de 20% à celles qui n'ont jamais fumé", note l'étude. Car bien evidemment les femmes non fumeuse ont une meilleure espérance de vie. Si on compare les fumeuses qui ont continué et les non fumeuses, le risque global de mourir prématurément est quasiment multiplié par 3. Le risque augmente en fonction de la quantité de cigarettes fumées quotidiennement et de l'âge auquel les femmes ont commencé à fumer. Le décès prématuré des fumeuses est principalement dû au cancer du poumon et aux affections respiratoires chroniques, ainsi qu'aux maladies cardiovasculaires. Pour celles qui arrêtent de fumer entre 45 et 55 ans, le risque de décès prématuré est augmenté de 56% par rapport aux non fumeuses, mais elles gagnent encore quelques 6 à 7 années de vie supplémentaires par rapport à celles qui vont continuer à fumer.

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mardi 6 novembre 2012

Cancer du cerveau et téléphone portable : un lien officiellement reconnu

Un cadre supérieur atteint d’un cancer du cerveau vient d’obtenir gain de cause dans un procès qui l’opposait à son entreprise, en Italie. Selon lui, sa tumeur résulte de l’utilisation intensive de son téléphone portable, dans le cadre professionnel, pendant 12 ans.
Débat relancé sur les portables ?
Après avoir examiné les arguments scientifiques présentés par l’accusation, la cour a validé la requête du plaignant. Le cancer du cerveau de cet employé a été reconnu comme maladie professionnelle et il recevra désormais une pension d’invalidité.
Les études avancées par la défense et mettant en doute un lien entre téléphone portable et cancer du cerveau lors du premier procès ont été, elles, écartées. La Cour de cassation a estimé qu’il y avait conflit d’intérêt. Ces études étant financées par des entreprises.
Cette décision de justice fait date et va certainement relancer le débat sur les effets du téléphone sur le cerveau.
Portable potentiellement cancérogène
En 2011 déjà, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), agence spécialisée de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu l’usage du portable comme potentiellement cancérogène pour l’homme.
Par précaution, quelques bons gestes sont à suivre. Il est recommandé d’éviter l’utilisation de son téléphone dans les ascenseurs et les véhicules (où la réception est mauvaise) et en se déplaçant (changement répétés d’antennes relais) car cela augmente l’exposition aux ondes. Il est conseillé aussi de privilégier les conversations courtes, d’utiliser les kits oreillettes et d’éviter de laisser les jeunes enfants utiliser un portable.

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lundi 5 novembre 2012

Vertiges : dans quels cas consulter un ORL ?

Quand on a la tête qui tourne, on ne pense pas toujours à consulter un ORL. Pourtant, de nombreux vertiges sont liés à un problème d'oreille interne…
La forme la plus courante de vertiges concernés par une visite chez un ORL est le vertige positionnel paroxystique bénin. Il est causé par une accumulation de minuscules cristaux au fond des canaux semi-circulaires de l'oreille interne. Lors de certains mouvements de la tête, ces concrétions viennent se bloquer d'un seul côté, envoyant des informations positionnelles inexactes au cerveau. Parfois les crises de vertiges se répètent et sont accompagnées d'une perte momentanée de l'audition et de sifflements dans l'oreille. Ces symptômes sont très évocateurs de la maladie de Ménière, liée à un problème de pression dans l'oreille interne. 6% des vertiges sont causés par cette maladie. La consultation chez l'ORL est indispensable pour confirmer le diagnostic. Votre vertige était tellement intense que vous êtes resté plusieurs jours couché ? Il s'agissait probablement d'une névrite vestibulaire : une atteinte de l'oreille interne provoquant l'inflammation d'une branche du nerf auditif. Elle peut parfois être provoquée par un virus. Peu fréquente, cette affection bénigne touche plutôt les jeunes adultes qui s'en remettent généralement bien. Il vaut cependant mieux consulter. >> A découvrir aussi : Vertiges : mais d'où ça vient ?
Après vous avoir demandé de décrire vos vertiges, le médecin explore votre oreille interne. Pour confirmer son diagnostic, il vous fait éventuellement faire quelques tests : marcher sur place, faire deux pas en avant puis deux pas en arrière, tendre les bras en avant et rester ainsi quelques minutes les yeux fermés… Quand l'ORL détecte un vertige positionnel bénin, il effectue une manœuvre : il vous bascule d'un côté puis de l'autre d'une façon particulière. Cette manipulation, qui peut aussi être réalisée par (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 4 novembre 2012

A la santé de nos grand-mères !

Nos mamies n'étaient pas seulement les reines de la confiture ou du pain perdu ! Dans l'Encyclopédie des remèdes de Grand-mères vous redécouvrirez tous les petits trucs qu'elles savaient mettre en œuvre pour soulager les bobos du quotidien. Miel, citron, ail, oignon… vous y trouverez « 1 001 préparations » à réaliser vous-même.
Chacun connaît au moins un « remède de grand-mère », ainsi qu'il est convenu de les nommer. Celui-ci par définition, reste généralement dépourvu de toute justification scientifique. Pourquoi le citron soulage-t-il les maux de gorge ? Pourquoi aurions-nous intérêt à mettre du jaune d'œuf dans nos cheveux au moment de les laver ? Sans doute n'avaient-elles pas (non plus) la réponse. Les auteurs de cette encyclopédie, eux, font tout pour nous les apporter.
Ainsi apprendrez-vous que le citron doit son efficacité à l'acide citrique (qui a notamment des vertus anti-inflammatoires) et à la vitamine C, qui renforce nos résistances et s'oppose ainsi, à la progression de certaines infections. Le jaune d'œuf ? Il est constitué de lécithine, qui permet de reconstituer la texture du cheveu. Deux informations qui auraient fait dire à nos mamies, « tu te coucheras moins bête ce soir…
Aller plus loin Retrouvez pleins d'autres conseils dans l'Encyclopédie des remèdes de Grand-mères, pour se soigner au naturel, Dr Henry Puget et Régine Teyssot, 640 pages, 29, 90 euros, aux éditions de La Martinière.

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samedi 3 novembre 2012

Mal au genou, la marche à suivre

Selon l'âge, le niveau d'usure du cartilage et la déformation des jamabes, des solutions très différentes sont proposées aux personnes souffrant de l'arthose du genou

Chirurgie ou traitement médical ? C'est la question qui se pose aux spécialistes amenés à prendre en charge des personnes souffrant d'arthrose au genou. « Tout dépend de l'importance de l'usure du cartilage, de la déformation et de l'âge », résume le Dr Didier D'Hondt, chirurgien orthopédiste azuréen.

Lorsque l'usure du cartilage est inférieure à 50 %, un traitement médical est souvent suffisant. « Durant les périodes douloureuses et inflammatoires, on préconise un traitement antalgique et anti-inflammatoire et un repos relatif, grâce à l'utilisation de cannes. On réserve les infiltrations de corticoïdes aux périodes extrêmement douloureuses, rebelles aux antalgiques avec un épanchement synovial. »

Quant à la viscosupplémentation (injection d'acide hyaluronique) destinée à lubrifier l'articulation, elle ne donnerait de bons résultats que dans les stades précoces. « Au-delà, les résultats sont inconstants. »

Une chirurgie beaucoup plus lourde peut être proposée mais dans des cas qui restent très rares. « Chez les moins de 65 ans qui présentent une déformation importante du genou, une ostéotomie (section chirurgicale de l'os) peut être envisagée pour ralentir l'évolution de l'arthrose. »

Deuxième cas de figure : l'usure du cartilage est supérieure à 50 %. « La pose d'une demi-prothèse peut être envisagée, si la déformation du tibia est minime. Les résultats à court terme sont très bons, mais l'espérance de vie de ce type de prothèses est limitée. Il existe beaucoup d'échecs à 10 ans », reconnaît le spécialiste.

Dernière solution réservée aux patients présentant un genou très déformé : la prothèse totale. « Elle permet de supprimer les douleurs et retrouver une stabilité des genoux. Si la prothèse est bien positionnée, elle offre 90 % de bons résultats à 20 ans. »Soit un vrai espoir de retrouver sa liberté de mouvement.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/mal-au-genou-la-marche-a-suivre.1027835.html

vendredi 2 novembre 2012

Don de sang : une sécurité optimale ?

De bonnes nouvelles dans la dernière livraison du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), publié ce mardi et consacré au don de sang. Les rédacteurs mettent en avant la diminution de l'incidence du VIH, des virus des hépatites B et C (VHB et VHC), ainsi que du virus T-lymphotropique humain (HTLV) chez les nouveaux donneurs de sang. En revanche, chez les donneurs connus, ils ont observé une stagnation de ces incidences.
« Grâce à l'amélioration constante de la sélection des donneurs de sang, aux progrès réalisés dans la qualification biologique des dons, aux mesures de prévention prises dans la population générale pour prévenir les infections, le risque de transmission du VIH, de l'HTLV, du VHC et du VHB par transfusion est devenu très faible depuis une quinzaine d'années ». En effet sur la période 2008-2010, sur un total de 8,8 millions de dons prélevés, 111 ont été confirmés positifs pour le VIH, 99 pour l'HTLV, 512 pour le VHC et 905 pour le VHB. Les taux de dons positifs pour le VIH et l'HTLV sont stables alors que ceux pour le VHC et le VHB ont diminué chez les nouveaux donneurs.
Rassurer les futurs transfusés
« Continue de 1992 à 2010La diminution des prévalences chez les nouveaux donneurs, , traduit clairement l'amélioration de leur sélection clinique », indique dans l'éditorial du BEH, le Pr Georges Andreu, de l'Institut national de la transfusion sanguine. « Pour autant, l'évolution du taux d'incidence chez les donneurs connus qui, après une baisse spectaculaire de 1997 à 2000 reste stable depuis cette date, est plus perturbante ».
Les rédacteurs du BEH se réjouissent tout de même de l'ensemble des résultats. « Ils confirment que la sécurité virale des produits sanguins est aujourd'hui optimale. Ce message doit être diffusé auprès des patients transfusés et des donneurs de sang ».

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jeudi 1 novembre 2012

Pas de « hic » avec les génériques !

Les Français désormais, sont une majorité à bien connaître les médicaments génériques. Il n'en reste pas moins que beaucoup se posent bien des questions : quelle est leur composition exacte ? Leur efficacité est-elle bien la même que celle des médicaments originaux ? Pour lever ces zones d'ombre, une nouvelle web-série tout juste mise en ligne, fait le point et s'attaque aux idées reçues. Son titre ? « Avec les génériques, y'a pas de hic ! »
C'est peu dire que les idées en question, parfois tenaces, alimentent la rumeur. Les génériques permettent tout à la fois de prendre en charge de nombreuses affections et de réaliser des économies sur les soins dispensés. Mais ils sont régulièrement mis en cause par les uns ou les autres. Pour donner au public une information plus claire et plus précise, le laboratoire Biogaran a développé un programme pédagogique inédit, diffusé sur Internet.
« Avec les génériques, y'a pas de hic » met en scène deux gélules : un médicament d'origine et son équivalent générique. L'une et l'autre passent une véritable radiographie : définition, composition, fabrication, prix, efficacité, méthodes de contrôle… Chaque thème est abordé, rappelant au public les bases du sujet et passant en revue les freins à l'utilisation des génériques. Le sujet est sérieux mais le ton est à la fois, léger, humoristique et didactique, la série se déclinant en 6 épisodes d'une minute 30 :
- Les médicaments génériques, ça s'explique ;
- Les médicaments génériques, secrets de fabrique ;
- Excipients et médicaments génériques : petit guide pratique ;
- Etre un médicament générique, c'est physique ;
- Les médicaments génériques, des contrôles systématiques ;
- Les médicaments génériques, c'est vraiment économique.
Pour découvrir cet univers inattendu, un site internet spécialement dédié a été mis en ligne : www.avec-les-generiques-y-a-pas-de-hic.fr.

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