mercredi 31 octobre 2012

Cystite : soignez-la avec les médecines douces

Stimulantes, antiseptiques et diurétiques, les propriétés de certaines plantes sont intéressantes pour soigner une cystite. L'homéopathie peut aussi être utile dès les premiers signes d’alerte. Alors, n'hésitez pas à faire un tour chez un herboriste ou à consulter un homéopathe en cas de cystite !
- L'ortie : faites infuser 4 c. à café de feuilles hachées dans 150ml d'eau bouillante et buvez jusqu'à 3 tasses par jour.Bon à savoir : les infusions d'orties sont contre-indiquées chez la femme enceinte.- La verge d'or : faites infuser 3g de tiges dans 150ml d'eau bouillante pendant 10 à 15 minutes. Buvez 2 à 4 tasses par jour entre les repas.- La prêle des champs : faites infuser 2g de tiges dans 150ml d'eau bouillante pendant 10 à 15 minutes. Buvez 3 tasses par jour.>> A découvrir aussi : Cystite: 3 recettes naturelles pour la soigner
- Le raifort : laissez infuser 2g de racines fraîches dans 150ml d'eau bouillante pendant 5 minutes. Buvez plusieurs fois par jour.Bon à savoir : le raifort est déconseillé chez les femmes enceintes ou allaitantes ainsi que chez les personne sujettes aux ulcères gastriques et affections rénales.- La busserole : laissez infuser 3g de feuilles dans 150ml d'eau bouillante pendant 15 minutes. Pendant une semaine maximum, buvez 4 fois par jour en mangeant.Bon à savoir : la busserole est contre-indiquée chez la femme enceinte ou allaitante, ainsi que chez les enfants de moins de 12 ans.Pour renforcer votre système immunitaire : l'échinacéeFaites infuser 10 minutes 1g de racine dans une tasse d'eau bouillante. Vous pouvez boire jusqu'à 6 tasses par jour.Bon à savoir : l'échinacée existe aussi en gélules. Prendre 1g 3 fois par jour. >> A découvrir aussi : Les antibiotiques en cas de cystite c'est indispensable ?
4 granules en alternance toutes les heures de Cantharis 5CH et de Mercurius corrosivus 5CH.Bon à savoir Ce traitement homéopathique se prend aux (...) Lire la suite sur TopSante.com

lundi 29 octobre 2012

Accident vasculaire cérébral (AVC) : chaque minute compte

La 10e journée mondiale des AVC (accidents cardio-vasculaires) a lieu lundi 29 octobre. Chaque année 155 000 personnes sont touchées en France. Cette manifestation est l'occasion de rappeler la conduite à tenir et la nécessité de réagir vite. Le point avec la Société française neurovasculaire.
Faiblesse ou paralysie d'un côté du corps, difficulté à parler ou diminution brutale de la vision d'un oeil : vous venez peut-être de faire un accident vasculaire cérébral (AVC) et il faut immédiatement appeler le 15 car chaque minute compte.

Une personne touchée toutes les 4 minutes en France
"Une minute de perdue, c'est deux millions de neurones détruits", rappelle la Société française neurovasculaire (SFNV) avant la 10e journée mondiale des AVC (World Stroke day) qui se tient lundi 29 octobre. 155 000 personnes, en France, sont touchées chaque année par un AVC, soit une toutes les 4 minutes: 62 000 en meurent et quelque 50 000 se retrouvent handicapées à des degrés divers.
Première cause de mortalité pour les femmes
Il s'agit de la première cause de mortalité pour les femmes et la première cause de handicap acquis de l'adulte. Le risque d'AVC progresse avec l'âge, mais 25 % surviennent chez des personnes de moins de 65 ans, 15 % chez les moins de 50 ans, avec une augmentation rapide chez les jeunes femmes fumeuses. Selon la SFNV, il touche même l'enfant avec 500 nouveaux cas chaque année chez les moins de 18 ans.
Une pathologie négligée
Cette pathologie coûteuse pour la société (450 000 patients sont atteints d'AVC invalidants) reste pourtant mal connue, voire négligée. Face à un AVC, on dispose de quatre heures et demie pour réagir, mais "chaque instant compte car l'efficacité du traitement est bien meilleure s'il est appliqué le plus tôt possible" souligne le Pr Mathieu Zuber, chef du service de neurologie à l'hôpital Saint-Antoine, à Paris, et ancien président de la SFNV.
Ne pas rendre seul aux urgences
Il ajoute qu'il "faut surtout ne pas pas tenter d'aller soi-même aux urgences, et ne pas boire ou manger pour éviter des fausses routes". Les symptômes peuvent être très brefs et régresser en quelques minutes. Ils incluent un engourdissement, une faiblesse ou une paralysie brutale d'une partie ou de la moitié du corps, des difficultés à parler, un trouble de la vision, des troubles de l'équilibre, de la coordination ou de la marche, ou encore un mal de tête sévère et soudain n'ayant aucune cause connue. Il est alors nécessaire d'appeler immédiatement le 15 (Samu) afin de permettre une prise en charge immédiate et commencer des traitements qui permettront de diminuer les lésions cérébrales, précise la SFNV.
Facteurs de risques principaux : hypertension artérielle et tabagisme
Les deux principaux facteurs de risque sont l'hypertension artérielle et le tabagisme auxquels viennent s'ajouter des antécédents familiaux d'accident cardio-vasculaire précoce (infarctus du coeur, mort subite ou AVC), excès de graisses sanguines (hypercholestérolémie), diabète, troubles du rythme cardiaque, embonpoint abdominal ou stress.

http://www.midilibre.fr/2012/10/28/accident-vasculaire-cerebral-avc-chaque-minute-compte,585219.php

dimanche 28 octobre 2012

Cancer du sein : une prise de sang pour repérer les risques ?

Pouvoir repérer en amont les femmes ayant le plus de risques de développer un cancer du sein afin de les traiter préventivement tel est l’objectif d’une nouvelle étude américaine.
Vers un dépistage plus précis du cancer du sein ?
Le Dr Xuehong Zhang de l'hôpital Brigham and Women's de Boston, en charge de l’étude déclare : « Nous et d’autres (chercheurs), sommes en train d'évaluer si l'ajout de niveaux d'hormones dans les modèles actuels de prévision des risques peut améliorer considérablement notre capacité à identifier les femmes à risque élevé qui bénéficieraient d'un dépistage amélioré ou de chimiothérapie préventive. (…) Si c'est le cas, les données actuelles suggèrent que les niveaux d'hormones n'aurait pas besoin d'être mesuré dans la clinique plus d'une fois tous les 10, voire 20 ans.»
Des dosages hormonaux ont été effectués sur des femmes en 1989 et 1990 puis en 2000 et 2002 dans le cadre d’une vaste étude américaine sur les facteurs de risque affectant la santé des femmes la « Nurses Health Study ». Seules les femmes ménopausées ne prenant pas de traitement hormonal de substitution étaient éligibles pour cette étude.
Un cancer du sein a été diagnostiqué chez 796 de ces femmes en 2010, soit 10 ans après la deuxième série de tests.
Les chercheurs ont constaté que les 25 % de femmes qui avaient les plus hauts taux hormonaux d’œstradiol, testostérone et DHEAS avaient 50 à 107 % de risque en plus de développer un cancer du sein que celles faisant partie des 25 % ayant les taux les plus faibles.
Taux d’hormones lié aux cancers agressifs
Des niveaux élevés d'œstradiol ont été spécifiquement associés à un risque accru de cancers du sein hormono-dépendant.
De fort taux d'hormones ont aussi été liés aux cancers les plus agressifs.
« Le lien était comparable voire même plus fort pour les cancers du sein récidivants ou mortels qu'il ne l'était pour le risque de cancer du (...) Lire la suite sur TopSante.com

samedi 27 octobre 2012

Cancer : prendre des vitamines tous les jours réduirait les risques

L’étude, menée sur près de 15 000 hommes d’âge moyen, a mis en évidence une baisse de 8 % du risque de développer un cancer grâce à la prise régulière de vitamines. Elle a été publiée hier dans le Journal of the American Medical Association.
De 1997 à 2011, 14 641 hommes médecins, âgés de 50 ans ou plus, dont 1 312 ayant des antécédents de cancer ont reçu tous les jours un comprimé de vitamines (ou un placebo) pendant plus de 11 ans. Il s’agissait d’un mélange de vitamines A, C, D, E, B6 et B12, de calcium, de sélénium et de zinc.
Au cours de l’étude, les chercheurs ont comptabilisé 2 669 cas confirmés de cancer, dont 1 373 cas de cancer de la prostate et 210 de cancer colorectal. 2757 hommes sont décédés (18,8 %) dont 859 (5,9 %) à cause d’un cancer.
L’analyse des données a permis de mettre en évidence une baisse modeste mais significative de 8 % du risque de développer un cancer, dont celui du poumon, de la vessie ou le colorectal. Mais il n’y aurait pas d’impact clair sur la mortalité par cancer ni de différence flagrante entre les sujets ayant eu un antécédent de cancer et les autres.
Cette étude, la première du genre, est significative pour le Dr Michael Gaziano, chef du service « anti-âge » de l'hôpital de Boston et responsable de la recherche. En effet, il indique qu’: «en dépit du fait que plus d'un tiers des Américains prennent des compléments multivitaminés, leurs effets à long terme sont inconnus jusqu'à présent. » Il ajoute : « Bien que la principale raison de prendre des vitamines est de prévenir les carences nutritionnelles, ces données fournissent un appui pour l'utilisation potentielle des suppléments multivitaminés dans la prévention du cancer chez les hommes d'âge moyen et plus. »
Les chercheurs n’ont pas pu identifier pour le moment une vitamine en particulier ou une combinaison de vitamines responsable de cet effet. D’après leurs conclusions une alimentation équilibrée favorisant les fruits et légumes (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 26 octobre 2012

Vivre plus longtemps grâce à une protéine, une réalité pour les souris

Mises au régime, les souris se mettent à produire une protéine pour s'adapter à ces conditions. Or, celle-ci peut allonger considérablement leur espérance de vie. Une équipe américaine a réussi à créer des souris génétiquement modifiées qui fabriquent la protéine sans avoir à jeuner, ce qui a donné des animaux capables de vivre jusqu'à 40% plus longtemps.
Vu qu'elles paradent rarement en maillot de bain, les souris se moquent très probablement de leurs grammes en trop. Elles auraient pourtant tort de dénigrer les régimes car ceux-ci provoquent chez ces rongeurs la fabrication d'une protéine qui augmente considérablement leur longévité. Si cette découverte semble déjà intéressante, des scientifiques sont allés encore plus loin. En effet, cette équipe de chercheurs de Dallas au Texas a réussi à obtenir des souris génétiquement modifiées qui surproduisent directement la protéine en cause, sans nécessiter de jeûne. Ces travaux ont été publiés le 15 octobre dans la revue en ligne eLife.
"Il a déjà été prouvé que les restrictions alimentaires étendaient la longévité de divers espèces animales, explique Steven Kliewer qui a participé aux travaux. Dans notre étude, nous avons mis au point des souris transgéniques capables de produire davantage de protéine facteur de croissance des fibroblastes 21 (FCF-21). Elles bénéficiaient alors des avantages de la diète sans avoir à limiter leur consommation de nourriture. Les souris mâles qui surproduisaient la protéine ont vu leur longévité moyenne augmenter de 30% et les femelles d'environ 40%".
Une protéine qui fonctionne comme une hormone
Alors qu'aucune souris du groupe de contrôle n'a atteint trois années d'âge, certaines souris génétiquement modifiées n'ont pas été loin de souffler quatre bougies sur leurs morceaux de fromage. Cette longévité est bien due à FCF-21 qui est produite par le foie lors de périodes de jeûne afin d'aider le corps à supporter la situation. Bien que ce (...) Lire la suite sur maxisciences.com

jeudi 25 octobre 2012

Médicaments : 8 questions qu'on se pose

Régulièrement, des médicaments sont retirés de la vente en raison d'effets secondaires importants. Et des affaires comme celle du Médiator l'an dernier renforcent notre méfiance. Les médicaments sont-ils suffisamment évalués et surveillés ? Les réponses des experts.
Pour vendre un médicament, le laboratoire doit obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) délivrée par l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) pour le territoire national. Dans ce but, il présente des essais qui attestent de son efficacité.La Commission d'autorisation de mise sur le marché accorde son feu vert si ses experts estiment que le rapport bénéfice/risque est favorable, autrement dit si la molécule présente des avantages supérieurs à ses inconvénients. Si tout produit actif est susceptible d'entraîner des effets indésirables, on en acceptera davantage pour un médicament traitant une maladie grave que pour celui qui soigne le rhume ou l'acné.
Il a été clairement mis en évidence que le laboratoire Servier connaissait les dangers du Médiator et avait dissimulé le fait que son produit était un anorexigène : une substance proche des amphétamines que les pharmaciens n'avaient plus le droit d'utiliser dans leurs préparations depuis 1995, et qui avait été interdite en 1997 dans un autre coupe-faim très proche du même laboratoire, l'Isoméride.Le Pr Philippe Even (auteur de La recherche biomédicale en danger) affirme qu'au cours des 7 années qu'il a passées à la commission chargée d'autoriser les médicaments (de 1981 à 1988) il a découvert que l'industrie pharmaceutique dissimule parfois les résultats des essais lorsqu'ils s'avèrent négatifs. L'Afssaps tempère ce constat : "Les laboratoires ont moins la possibilité de tricher aujourd'hui et nous ne sommes pas totalement démunis. Mais si on peut faire que la porte soit solide pour dissuader, aucun système n'est inviolable pour (...) Lire la suite sur TopSante.com

mercredi 24 octobre 2012

Lavage des mains : la première arme contre les virus

Cette année, plus de 200 millions de personnes devraient prendre part à la Journée internationale du lavage des mains : une journée de sensibilisation qui vise à rappeler qu’un geste aussi banal et simple que le lavage des mains à l’eau et au savon est la façon la plus efficace de lutter contre la propagation des virus.
Consacrer une journée au lavage des mains peut sembler bien ridicule. Pourtant, un sondage récent réalisé par BVA pour une marque de produits d’hygiène, montre que le lavage des mains n’est pas une priorité pour tous les Français. Y compris en période d’épidémie de grippe , de gastro ou de bronchiolite.
>> A lire aussi : Hygiène : vous en faites trop ou pas assez ?
Même si 21,4 % des français se lavent les mains 10 fois par jour ; dans certaines situations où l’hygiène semble pourtant indispensable, le lavage des mains reste subsidiaire. C’est le cas notamment des transports en commun : 55 % de la population française ne se lave pas systématiquement les mains après les avoir empruntés, alors qu’une personne sur 2 pense qu’une barre de rame de métro ou de bus est l’objet le plus sale de la vie quotidienne !
Autre constat surprenant : plus d’1 Français sur 5 ne se lave pas systématiquement les mains avant de manger. Cette tendance est beaucoup plus forte chez les plus jeunes (la tranche d’âge des 18-34 ans) puisque 43 % d’entre eux ne se lavent pas les mains automatiquement avant de passer à table. Mais ils sont cependant plus sérieux lorsqu’il s’agit de cuisiner, puisque 86,6 % d’entre eux se lavent les mains systématiquement avant de passer aux fourneaux.
A lire aussi : 4 nids à microbes que vous touchez tous les jours
Enfin, ce qui devrait apparaître comme le B.A.-BA en matière de lavage des mains, ne l’est finalement pas pour la totalité de la population : 12,5 % des français ne se lavent pas toujours les mains en sortant des toilettes !
Si on ne vous demande pas de tomber dans l’addiction au savon, il est important (...) Lire la suite sur TopSante.com

mardi 23 octobre 2012

Gelée royale : ses 6 bienfaits santé

La gelée royale est une substance naturelle produite par les abeilles. Riche en nutriments de grande qualité, c’est un véritable trésor de bienfaits pour la santé. Découvrez les vertus de la gelée royale avec notre dossier !
Grâce à sa richesse en éléments nutritifs et en composés antibactériens, la gelée royale permet de booster les défenses immunitaires de l’organisme. Idéale pour lutter contre les virus et les bactéries, notamment durant les périodes de froid ou les changements de saisons, elle aide le corps à prévenir les maladies infectieuses. Grâce à elle, adieu rhumes, angines et autres grippes !A lire aussi:video_minute
Riche en glucides, lipides, protides mais aussi vitamines (notamment du groupe B), minéraux (cuivre, phosphore, fer) oligo-éléments et acides aminés, la gelée royale est une véritable source de vitalité. Trésor de nutriments, elle booste l’organisme, redynamise et revitalise le corps. Idéale, en période de surmenage, elle augmente l’endurance à la fatigue, aide à retrouver la pêche et offre à l’organisme une nouvelle énergie. Pensez-y après une maladie, en cas de convalescence, d’hospitalisation ou de fatigue prolongée : elle fait des merveilles !
Idéale pour améliorer les performances intellectuelles, la gelée royale permet, grâce à sa richesse en principes actifs et nutriments, d’accroitre les performances intellectuelles en améliorant la vivacité d'esprit. Elle est particulièrement recommandée aux étudiants ou durant des périodes de surcharge de travail : c’est une substance naturelle idéale pour favoriser et entretenir la mémoire.
La gelée royale est un adaptogène naturel : elle participe au renforcement de l'organisme face aux différents stress qui l'atteignent. Prise en cure de façon régulière, elle aide ainsi à renforcer sa résistance contre le stress et les tensions du quotidien, à diminuer l’émotivité et permet, en outre, de contribuer au bon fonctionnement des cellules nerveuses. Elle est efficace en cas de (...) Lire la suite sur TopSante.com

lundi 22 octobre 2012

Dépression: comment en faire une expérience positive

Plus de 350 millions de personnes dans le monde souffrent de dépression ou d'un trouble mental, selon les derniers chiffres de l'Organisation mondiale de la santé. Mais la dépression peut aussi être synonyme d’une véritable révolution personnelle. Pour en sortir transformée, voici les conseils de nos spécialistes.
D'après les estimations de l’OMS, la dépression est courante dans toutes les régions du monde. Une étude effectuée avec le soutien de l'Organisation mondiale de la santé montre qu'environ 350 millions de personnes souffrent de dépression dans le monde et que le nombre de femmes atteintes de dépression est 50% plus élevé que celui des hommes."Pour sortir d’une dépression, il faut d’abord y entrer", affirme Moussa Nabati. Certaines personnes vont se forcer à sortir, faire des longueurs à la piscine, aller au cinéma et rire devant une comédie… Des initiatives qui certes, les apaiseront sur l’instant mais, à long terme, usent leur énergie. La solution ? Accepter d’être dépressif, tout simplement. "La première étape est de reconnaître sa souffrance", préconise Moussa Nabati.Si la dépression est un signal d’alarme, encore faut-il comprendre ce qu’elle dit de soi. Suis-je bien la personne que je veux être ? Qu’est-ce qui fait que je passe à côté de ma vie ? Est-ce que je donne de l’importance aux bonnes choses ? Autant de questions qui permettront de relativiser, de trouver sa propre philosophie de vie et de réajuster ses actions au sens qu’on souhaite donner à son existence.On fera ainsi la distinction entre ce qui a vraiment de la valeur pour soi et ce qui est superflu. Une fois tout cela mis à plat, il s’agit de mettre tout en œuvre pour réorienter sa vie en fonction des valeurs essentielles qu’on a pu exhumer. On a besoin de pratiquer beaucoup d’activités ? On peut continuer à le faire, mais avec moins d’esprit de compétition. L’amitié est l’une de nos valeurs primordiales ? On développe sa sollicitude pour les (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 21 octobre 2012

Des médicaments qui changent la couleur des cheveux

Votre voisine un temps brune a viré au roux? C'est peut-être la faute de ses médicaments. Selon une étude de chercheurs de l'université de Melbourne en Australie, certains traitements causeraient quelques dégats sur la chevelure.
Certains médicaments peuvent changer la couleur des cheveux. Des scientifiques australiens de l'université de Melbourne ont découvert que certains médicaments contre l'acné, la dépression, la douleur ou pour la contraception, pourraient altérer la chevelure: faire tomber les cheveux, les rendre plus bouclés ou très raides, voire même les faire changer de couleur...
Il est bien connu, par exemple, que les médicaments de chimiothérapie tuent les cellules cancéreuses, mais attaquent aussi les racines des cheveux. Et ce ne sont pas les seuls.
Selon l'étude, certains antidépresseurs comme le Prozac ou quelques pilules contraceptives à base de progestérone pourraient même les faire tomber légèrement, explique Sam Shuster, professeur de dermatologie de la Newcastle University, cité lundi par le Daily Mail. Chez un patient sur 100, l'ibuprofène utilisé sur le long terme provoquerait une chute de cheveux, un effet secondaire qui reste heureusement assez rare.
Du brun au roux
Un traitement local de l'acné par rétinoïdes (un dérivé de la vitamine A), dégraderait temporairement la texture du cheveu, son aspect, sa couleur et sa densité. Enfin, des traitements contre le psoriasis changeraient la couleur des cheveux, les faisant passer du brun au roux, ou les épaissiraient.
Inutile pourtant de se ruer chez le coiffeur du coin pour laver l'affront, ces changements capillaires sont temporaires et totalement réversible. "Quand les médicaments affectent les cheveux, le changement est plutôt modéré et s'arrête une fois qu'on arrête son traitement", rassure Sam Shuster. La solution: consulter son médecin traitant qui modifiera la dose prescrite ou changera le traitement.


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samedi 20 octobre 2012

Maux de ventre : les 4 astuces anti-douleur de la levure de bière

La levure de bière est l'une des meilleures sources de vitamines du groupe B et de minéraux. Bien sûr, vous pouvez en prendre en prévention, pour booster vos défenses naturelles. Mais la levure de bière soigne aussi nos petits maux de ventre.
Constipation, ballonnements, mauvaise digestion: grâce aux probiotiques, aux vitamines B et aux protéines qu'elle contient, la levure de bière permet une meilleure action des sucs digestifs et une meilleure contraction des muscles de l'appareil digestif. Elle régénère aussi votre flore intestinale lorsque celle-ci est déséquilibrée par une mauvaise alimentation, le stress ou la fatigue.En cas de constipation occasionnelle : prenez de la levure de bière vivante pendant une dizaine de jours pour que tout revienne dans l'ordre. Mais attention : si vous souffrez d'une maladie inflammatoire de l'intestin, la levure de bière peut vous être déconseillée. Parlez-en à votre médecin.En cas de transit paresseux : suivez régulièrement des cures de levure de bière vivante (en gélules ou en comprimés). Mais ne la prenez pas en même temps qu'un liquide ou un aliment chaud car la chaleur détruit ses qualités probiotiques.>> A lire aussi : Je rééquilibre ma flore intestinalevideo_minute
On estime qu'entre 2 et 5 touristes sur 10 attrapent la turista, lors de leurs voyages. Ce trouble gênant est le plus souvent lié à l'ingestion d'aliments ou d'eau contaminés par une bactérie. Dans ce cas, la levure boulardii est particulièrement recommandée pour son action antibactérienne et rééquilibrante : elle aide l'organisme a se débarrasser plus rapidement du germe responsable et rééquilibre la flore intestinale.En pratique : n'attendez pas d'avoir attrapé la turista pour avoir recours aux bienfaits de la levure de bière ! 4 à 5 jours avant votre départ en vacances, commencez une cure de levure boulardii et poursuivez-la pendant toute la durée de vos vacances. La levure boulardii est (...) Lire la suite sur TopSante.com

mercredi 17 octobre 2012

Régime chrononutrition : le goûter c'est l"heure du sucré!

Son rôle : apporter de l’énergie pour finir la journée en forme et couper la faim pour arriver sereine au dîner. La bonne combinaison : des gras anti-fringales et des fruits sucrés qui donnent du tonus.
Ce qui exclut les tartines de fromage ou de beurre-confiture, les yaourts, les crêpes (à base d’œufs et de lait), les crèmes dessert… Composé de graisses végétales (chocolat, oléagineux…), puis de fruits (frais ou non), c’est aussi le rendez-vous sucré de l’après-midi, qui compense l’absence de dessert à la fin des autres repas. Le soir, on n’est pas affamé et l’on peut ainsi dîner légèrement… ou pas du tout.On attend d’avoir de l’appétitLe goûter se prend quand vous avez faim, surtout pas avant ! C’est-à-dire en général cinq heures après le déjeuner. Et si votre estomac se manifeste plus tôt, c’est sans doute que vous n’avez pas mangé suffisamment de viande à midi. Augmentez-en la quantité de 20 à 40g le lendemain. En revanche, si la faim intervient six heures ou plus après le déjeuner, divisez par deux les quantités du goûter. «Ce repas est obligatoire, sauf cas exceptionnel de déjeuner plantureux, d’affaires ou en famille», insiste Alain Delabos. Enfin, il n’y a pas de différences d’une personne à l’autre : tout le monde a droit à la même chose.A lire aussi:video_minute
Une source de gras végétal au choix30g de chocolat noir2 c. à s. bien remplies d’oléagineux (amandes, noix, noisettes)2 c. à s. bien remplies d’olives vertes ou noires1 petit avocat ou ½ gros avocatUn fruit ou un aliment fruité au choix4 c. à s. bien remplies de fruits frais coupés en dés (sauf banane)2 c. à s. bien remplies de fruits secs25cl de jus de fruits frais3 c. à s. bien remplies de compote2 c. à s. bien remplies de confiture ou de crème de marron1 pomme cuite1 à 3 fois par semaine Vous pouvez remplacer les fruits par :6 calissons d’Aix3 marrons glacés4 loukoums2 c. à s. bien remplies de pâtes de fruits2 c. à s. bien remplies de dragées

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mardi 16 octobre 2012

Fatiguée, irritable : quel magnésium et à quelle dose ?

Fatiguée, irritable, sujette aux crampes ? Peut-être êtes-vous carencée en magnésium, comme 1 femme sur 4… Or, il est facile d’y remédier. Le point avec le Dr Jean-Paul Curtay, nutrithérapeute, président de la Société de médecine nutritionnelle.
Les apports recommandés en magnésium varient énormément d’une personne à l’autre. Alors qu’ils tournent autour de 70 mg par jour pour un nourrisson et 250 mg pour un enfant, ils se situent aux alentours de 350 mg chez la femme et de 420 mg chez l’homme. Ils sont encore plus élevés chez les femmes enceintes ou qui allaitent, les personnes âgées et les sportifs, le magnésium étant en partie éliminé par la sueur. De plus, la présence du marqueur génétique HLA-B35, que l’on retrouve chez 18 % de la population, est associée à une moins bonne rétention du magnésium dans les cellules. Nos besoins en magnésium sont-ils suffisamment couverts ? D’après les études les plus récentes, les apports moyens en magnésium sont loin d’atteindre les apports recommandés, puisqu’ils ne dépassent pas les 240 mg par jour. En cause ? L’alimentation, mais aussi la prise de certains médicaments tels que les diurétiques ou les traitements hormonaux. Enfin, les régimes à répétition, le stress qui augmente les pertes urinaires, ou la consommation excessive d’alcool peuvent être à l’origine d’un déficit chronique.>> A lire aussi : Magnésium : un atout antistress
Les eaux minéralisées type Hépar, Quézac, Badoit ou encore Contrex affichent toutes plus de 80 mg de magnésium par litre. Vous n’aimez pas leur goût ? Utilisez-les pour préparer vos boissons chaudes et vos soupes du marché ou pour cuisiner des aliments qui absorbent l’eau de cuisson, comme les féculents et les légumes secs. Ces derniers sont eux aussi très riches en magnésium, tout comme le soja, les légumes verts, les céréales semi-complètes ou complètes, les oléagineux (noix, noisettes, amandes…) et les fruits de mer. Et le magnésium qu’on trouve dans le chocolat ? Contrairement à (...) Lire la suite sur TopSante.com

dimanche 14 octobre 2012

Bon pour le cerveau, le coeur, et même la ligne : le chocolat, ce produit miracle

Plusieurs études montrent que le chocolat pourrait, entre autres choses, protéger le cœur et le cerveau, et même améliorer la vue. Mais il pourrait aussi favoriser les diabètes... Petit tour d'horizon.
Non, non, non, il ne faut plus culpabiliser. Un petit morceau – voire même un gros – de chocolat noir ne vous fera aucun mal. Les scientifiques l'assurent, le chocolat n'est pas votre ennemi. Il pourrait même s'avérer être un allié de choix face à diverses maladies. Promis, on vous dit tout, à condition bien sûr que vous ne fassiez pas d'excès !
Évacuons pour commencer la peur principale liée au chocolat : celle de la prise de poids. Aux prochains sarcasmes de vos amis qui insinuent que vous ne devriez pas manger de chocolat quand vous êtes au régime, sortez-leur l'étude de Beatrice Golomb de l'Université de Californie à San Diego qui montre que manger du chocolat pourrait en fait aider à rester mince. Et oui ! La scientifique a en effet montré que les personnes qui consommaient du chocolat plusieurs fois par semaine étaient en moyenne plus minces que celles qui en mangeaient occasionnellement. Si le chocolat est bourré de calories, il contient également des ingrédients qui pourraient favoriser la perte de poids, plutôt que la synthèse des graisses. L'important est par ailleurs à quelle fréquence vous mangez du chocolat et non pas la quantité ingurgitée.
A chaque Saint Valentin, le chocolat vous remplit le cœur, mais saviez-vous qu'il pouvait justement également le protéger ? Des scientifiques de l'Université de Cambridge ont en effet démontré dans une étude que manger beaucoup de chocolat pouvait réduire le risque de maladies cardiaques, mais également celui d'accidents vasculaires cérébraux. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont comparé les risques liés au cerveau et au cœur de personnes qui mangeaient peu de chocolat – moins de deux barres par semaine – avec d'autres qui en consommaient bien plus – plus de deux barres par semaine. Ils ont alors (...)lire la suite sur Atlantico

samedi 13 octobre 2012

Soins : les IRM deviennent incontournables

Il faut souvent près d’un mois avant de passer une IRM non urgente. Pourtant, le nombre d’appareils ne cesse d’augmenter, mais trop peu pour faire face à l’explosion des demandes.
Apparue dans les années 90, l’imagerie par résonance magnétique (IRM) a d’abord été utilisée pour explorer le cerveau. Elle a aidé au diagnostic de la sclérose en plaques, d’une tumeur cérébrale… Puis, peu à peu, les médecins ont découvert son intérêt pour l’ensemble du corps. Résultat : « Cet examen est devenu de plus en plus indispensable pour poser des diagnostics, éviter des récidives, déterminer le pronostic et même modifier des traitements », explique le Pr Jean-Yves Gauvrit., neuroradiologue au CHU de Rennes.Les spécificités de la technique permettent d’obtenir une image d’une très grande précision, une intensité et des contrastes qui aident à visualiser des éléments invisibles autrement. On voit ainsi très nettement les petits nerfs crâniens ou encore la séparation entre la substance blanche et la substance grise dans le cerveau. Des « détails » que le scanner ne permet pas d’identifier. C’est ce qui explique que, pour explorer un genou ou une hanche douloureuse, ou encore pour poser une indication opératoire en orthopédie, l’IRM est maintenant demandée de manière systématique.video_minute
L'IRM est, avec l’échographie, un examen d’imagerie qui n’expose pas le patient à un rayonnement. Contrairement au scanner, l’IRM peut donc être renouvelée sans risque, puisqu’on n’irradie pas le corps et qu’on n’injecte pas de produits radioactifs. Un avantage déterminant pour les femmes enceintes et précieux chez les enfants. Dans les services de pédiatrie des hôpitaux allemands, l’IRM est prescrite le plus souvent possible en remplacement des autres examens radiologiques. Chez nous aussi, les pratiques commencent à changer : les indications des IRM augmentent actuellement de 7 à 8 % tous les ans.>> A découvrir aussi : L'échographie est-elle anodine ?
Prenons (...) Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 12 octobre 2012

Ronflements: la radiofréquence, ça marche ?

Plus simple que la chirurgie ou le laser, la radiofréquence est devenue LE traitement du ronflement chez les personnes qui ne sont pas en surpoids. Une bonne efficacité si le voile du palais est en cause.
Dans les années 2000, la chirurgie du voile du palais était le traitement proposé en première intention pour réduire le ronflement. Au bistouri ou au laser, elle consistait à couper une partie du voile et à y associer souvent l’ablation des amygdales. Mais l’intervention est douloureuse et les récidives surviennent fréquemment, car on ne s’attaque pas à la véritable cause.On sait maintenant que le ronflement n’est pas dû à un voile trop long, mais à un voile trop mou qui vibre à l’arrière de la bouche. Avec parfois, en plus, une base de la langue trop grosse qui vibre elle aussi et obstrue le passage.Le principe de la radiofréquence est de rigidifier le voile du palais sans le couper ni modifier sa forme.Comment se passe l'intervention ? L’intervention s’effectue sous anesthésie locale, au cabinet de l’ORL s’il dispose de l’appareillage, à l’hôpital ou en clinique. Le médecin place une sonde au fond de la bouche. Elle ressemble à une petite aiguille qui provoque un échauffement contrôlé (moins de 100 °C), avec un effet « micro-ondes » : les molécules d’eau du voile du palais vont s’agiter. « En cicatrisant, l’inflammation créée au fond de la gorge va produire du collagène qui durcira le voile du palais en l’espace de 4 à 6 semaines », explique le Dr Emmanuel Schmitt, ORL et chirurgien de la face et du cou, qui a conduit les premières études sur la radiofréquence en France.
L’intervention est indolore. Elle dure trois fois 25 secondes, la sonde agissant à trois endroits du voile. Le patient peut reprendre immédiatement une activité et manger normalement, avec un petit mal de gorge durant 48 heures. Pas de précaution particulière avant la séance et une seule contre-indication : la prise d’anticoagulants. Compter au moins 100 € la séance, non remboursée (...) Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 11 octobre 2012

Il refuse de payer pour pouvoir donner son corps à la science

Un retraité de 85 ans n'a pas voulu payer 409 euros de frais de dossier, pour faire don de son corps...
Donner son corps à la science n’est donc pas gratuit. Un retraité de l’Aude, âgé de 85 ans, l’a appris à ses dépens, rapporte France Info ce vendredi. L’homme souhaitait faire un geste généreux, en offrant son corps à la science. Sauf que la faculté de médecine de Montpellier (Hérault), qui devait se charger de récupérer le corps pour ses étudiants en médecine, demandait au monsieur la somme de 409 euros.
C’est, d’après l’institution, le prix à payer pour les frais de dossier qui lui auraient permis d’obtenir sa carte de donneur. Une carte qui autorise le transfert du corps en cas de décès, et permet ainsi aux étudiants de se perfectionner en matière de chirurgie.
Frais généralement pris en charge
Si ces frais sont généralement pris en charge par les centres de don du corps en France, rapporte France Info, ce n’est pas le cas dans la faculté montpelliéraine. Celle-ci ne peut plus se le permettre et demande, en plus de donner son corps, d’en payer le prix.
Sauf que le retraité a refusé de payer. Et donc de donner son corps. «Par principe je l’aurais pas fait. C’est pas possible qu’on soit obligé de payer pour faire son don!» rapporte France Info.

http://www.20minutes.fr/article/1016787/refuse-payer-pouvoir-donner-corps-science

mercredi 10 octobre 2012

Des bactéries intestinales impliquées dans le diabète

En plus des facteurs génétiques et environnementaux bien connus, cette maladie aurait aussi une composante infectieuse.
Maladie endocrinienne la plus répandue au monde, le diabète de type 2, dit aussi diabète "gras" ou "de la maturité" ne cesse d'étendre ses ravages. En France, il touche aujourd'hui près de 3 millions de personnes, soit 4,4 % de la population. 400 nouveaux cas apparaissent chaque jour et, si rien n'est fait, un Français sur dix sera atteint d'ici à 15 ans. D'où l'intérêt de toute nouvelle découverte en la matière. Celle que vient de publier la revue Nature, et qui émane de chercheurs de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique) de Jouy-en-Josas associés à des équipes chinoises, semble prometteuse.
Jusqu'à présent, les recherches consistant à analyser les marqueurs génétiques sous-jacents au diabète de type 2 se faisaient principalement par l'utilisation d'études d'association pangénomique, c'est-à-dire par "l'analyse de nombreuses variations génétiques dans le génome de beaucoup d'individus d'une même espèce, afin d'observer leurs corrélations avec des pathologies", précise l'Inra dans son communiqué. Mais "récemment, des recherches ont indiqué que le risque de développer un diabète de type 2 pouvait également impliquer des facteurs liés au génome des bactéries contenues dans notre tube digestif", le "métagénome".
Un protocole expérimental complexe
Pour bien comprendre ces travaux, il faut savoir que l'étude des bactéries de l'intestin (les spécialistes parlent du microbiote intestinal) est devenue un secteur de recherche important en santé humaine. C'est pourquoi les auteurs de cette publication ont chercher à identifier les espèces microbiennes qui pouvaient être associées au diabète de type 2. Ils ont développé un protocole expérimental complexe consistant à analyser le contenu microbien des selles de (...) Lire la suite sur LePoint.fr

mardi 9 octobre 2012

Les petits secrets du bicarbonate de soude

Accessible, économique, naturel, écologique et polyvalent, le bicarbonate de sodium, ou bicarbonate de soude, est connu depuis longtemps par nos grands-mères pour ses vertus domestiques. Mais savez-vous qu'en plus de détacher, dégraisser ou détartrer, cette poudre blanche fabriquée à partir de craie et de sel soigne aussi les petits pépins de santé? Reste à savoir quand et comment l'utiliser.
Pour soulager les brûlures d'estomac. Une demi-cuillère à café de bicarbonate diluée dans un demi-verre d'eau facilitera la digestion grâce à l'action antiacide.
Pour l'hygiène et la santé de la bouche. Saupoudré sur la brosse à dents humide, le bicarbonate a une action blanchissante et abrasive, tandis que les dépôts bactériens sont neutralisés. En cas de gencives douloureuses, plongez vos doigts mouillés dans le bicarbonate et appliquez sur la zone en tapotements. Idem dans la bouche des enfants qui souffrent de leurs poussées dentaires. Enfin, pour avoir bonne haleine, il y a aussi une solution: diluez le bicarbonate dans un verre d'eau et prenez-le en bain de bouche.
Pour les infections urinaires. Afin de rééquilibrer le PH de l'organisme, versez une demi-cuillère à café dans 300 ml d'eau et buvez-en huit verres maximum sur 24 heures.
Pour les gorges irritées. Une cuillère à café de bicarbonate dans un verre d'eau chaude pris en gargarismes plusieurs fois par jour apaise les maux.
Pour soigner les démangeaisons, les verrues, les boutons d'acné. Le bicarbonate s'utilise aussi en pâte, obtenue à partir de trois volumes de poudre et d'un volume d'eau. Sur ces petites ulcérations ou inflammations, appliquez la pâte épaisse et laissez agir autant de temps que nécessaire.
Pour soulager les pieds fatigués et les embaumer. Trois cuillères à soupe de bicarbonate dans un bassin d'eau chaude pour un bain de pieds détente.
Pour lutter (...) Lire la suite sur 20minutes.fr

dimanche 7 octobre 2012

Chriurgie : une première mondiale à l'hôpital Nord de Marseille

Une équipe de l'hôpital Nord, à Marseille, conduite par le Pr Marc Barthet, dans le service de gastro-enterologie dirigé par le Pr Jean-Charles Grimaud, a procédé à la reconstruction d'un oesophage par chirurgie endoscopique transluminale en évitant l'ouverture extensive du thorax et de l'abdomen. C'est la première intervention mondiale de ce type chez un adulte et un nouvel exploit qui confirme l'avancée française dans le domaine de la chirurgie endoscopique transluminale par les voies naturelles, dont le professeur Barthet est un référent international.
Deux interventions viennent ainsi d'être réalisées en un mois, avec la collaboration d'autres équipes de chirurgie. Le premier cas était celui d'une une patiente strasbourgeoise atteinte d'obésité et victime d'une perte de substance de l'oesophage dans les suites d'une chirurgie bariatrique. L'opération a duré deux heures trente avec des suites simples puisque la patiente a été en mesure de se réalimenter quatre jours après alors qu'elle ne pouvait plus s'alimenter oralement depuis cinq mois. Elle a quitté le service huit jours après son intervention.
La deuxième intervention a été plus lourde encore, nécessitant la reconstruction de toute la hauteur de l'oesophage, et avec un double abord endoscopique digestif et ORL par le Dr Arnaud Deveze. L'intervention ayant duré là aussi deux heures trente. Dans la plupart des cas, les patients atteints par ce type de pathologies sont opérés par le biais d'une chirurgie traditionnelle durant laquelle un morceau de colon est greffé sur l'oesophage. Moins invasive, la technique endoscopique permet de réaliser des interventions moins longues, de diminuer les traumatismes et ainsi de limiter les complications postopératoires. Difficultés suplémentaires au niveau du thorax : le risque infectieux majeur et la proximité des structures cardiaques et de gros vaisseaux.
La nouvelle approche thérapeutique nécessite un équipement sophistiqué et une maîtrise parfaite de gestes, combinant deux approches endoscopiques, un endoscope étant passé par voie orale classique, l'autre à l'envers en remontant depuis l'estomac. Cette technique est nommée "technique du rendez-vous". Le Pr Marc Barthet, spécialisé dans l'endoscopie digestive et auteur de cette première, a pu la mettre au point grâce aux recherches qu'il conduit depuis plusieurs années au niveau de Centre d'Enseignement et de Recherche Chirurgical (CERC) intégré à la faculté de médecine de l'hôpital Nord.

http://www.laprovence.com/article/sante/chriurgie-une-premiere-mondiale-a-lhopital-nord-de-marseille

vendredi 5 octobre 2012

Dépistage cancer du sein : une fausse bonne idée ?

Initiée il y a 25 ans pour faire prendre conscience aux femmes de l’importance du dépistage du cancer du sein, l’opération Octobre rose va être à nouveau lancée dans quelques jours. A cette occasion, l’association de consommateurs UFC-Que choisir a décidé de jeter un pavé dans la mare et d’interpeller les autorités sanitaires sur le dépistage organisé du cancer du sein, le programme qui incite les femmes de 50 à 74 ans à se faire dépister tous les deux ans.
« L’information délivrée aux femmes françaises est à sens unique : celle-ci ne mentionne quasiment systématiquement que les avantages du dépistage, souvent en le surévaluant à partir des données scientifiques initiales (« 30 % de vies sauvées ») aujourd’hui contestées. Mais cette même communication reste muette sur les risques de ce dépistage organisé alors même que la mammographie détecte trop souvent des tumeurs qui n'auraient jamais évolué et que cela conduit dans certains cas à de lourds traitements inutiles (radiothérapie, chimiothérapie, ablation, etc.) » explique l’assictaion UFC Que choisir.
Dépistage cancer du sein : laisser les femmes choisir
Sans contester l’importance du dépistage du cancer du sein, l’association de consommateurs aimerait que l’injonction « Faites-vous dépister » laisse la place à une information complète qui permettrait à chaque femme de comprendre les avantages du dépistage, mais aussi les risques de sur-traitement qui pourraient en découler. Chacune aurait alors toutes les cartes en main pour décider si elle souhaite ou non faire une mammographie.
« Pour les décisions qui concerne sa santé, le patient est souvent tributaire de son médecin. Participer ou non à un dépistage est un choix d’une autre nature où le libre arbitre du patient doit pouvoir s’exprimer. La balance bénéfice/risques de l’intérêt du dépistage par mammographie, considérée comme largement positive au moment de son instauration est aujourd’hui plus incertaine. Cette controverse a déjà abouti à des (...) Lire la suite sur TopSante.com

mercredi 3 octobre 2012

Grande-Bretagne: Un nouveau virus de la même famille que le Sras identifié par l'OMS

Il n'y aurait pas d'inquiétude à avoir pour le moment...
Un nouveau virus appartenant à la même famille que celui du Sras, responsable de la mort de 800 personnes en 2002, a été identifié en Grande-Bretagne sur un homme ayant récemment séjourné en Arabie saoudite, annonce l'Organisation mondiale de la santé, dimanche.
L'OMS, qui a fait cette annonce via son système «d'alerte et de réponse globale», précise que les examens pratiqués sur le patient, un homme de 49 ans, confirment l'existence d'un nouveau coronavirus. Le coronavirus est le nom donné à un type de virus appartenant à la famille des virus tels que le Sras ou celui responsable du rhume.

«Pour le moment, la vigilance s'impose mais pas l'inquiétude»

«Etant donné qu'il s'agit d'un nouveau virus, l'OMS travaille actuellement à rassembler de plus amples informations afin de déterminer les implications sur la santé publique», précise le communiqué de l'OMS. Le Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) était apparu en Chine en 2002 et avait tué 800 personnes dans le monde avant d'être maîtrisé.
Pour Peter Openshaw, directeur du centre des infections respiratoires à l'Imperial College de Londres, le nouveau virus ne semble pas, à ce stade, devoir être un sujet de préoccupation publique. «Pour le moment, la vigilance s'impose mais pas l'inquiétude», a-t-il dit. Le patient d'origine qatarie présentait les symptomes d'une infection respiratoire aigue lors de son examen par des médecins le 3 septembre.

«La preuve d'une transmission (du virus) entre deux humains serait inquiétante»

Le 7 septembre, il a été admis dans une unité de soins intensifs à Doha avant d'être transféré en Grande-Bretagne par un vol sanitaire. «L'agence de veille sanitaire britannique a mené des examens en laboratoire et a confirmé la présence d'un nouveau virus», reconnaît l'OMS. Les chercheurs de l'AVS ont comparé des séquences génétiques du virus à partir d'un échantillon prélevé sur le patient qatari avec celles d'un virus prélevé par des scientifiques néerlandais sur des tissus pulmonaires d'un ressortissant saoudien décédé cette année.
Les deux séquences virales se sont révélées identiques. Pour Openshaw, aucun lien n'a été établi entre les deux cas pour le moment et leur apparition peut relever d'une simple coïncidence qui, en d'autres temps, n'aurait pas été diagnostiquée. «La preuve d'une transmission (du virus) entre deux humains serait inquiétante», a-t-il toutefois admis. «On pourrait s'inquiéter de l'apparition d'un nouvel agent (viral) du type du Sras», a-t-il ajouté. L'OMS ne recommande aucune restriction sur les déplacements.

http://www.20minutes.fr/article/1009135/grande-bretagne-nouveau-virus-famille-sras-identifie-oms

mardi 2 octobre 2012

Minceur : c'est la nuit qu'on maigrit !

Pour perdre du poids sans se contraindre et sans se priver, il faut avant tout écouter son corps et suivre les rythmes naturels de la journée... et de la nuit!
Commencez la journée en vous ressourçant avec un grand verre d'eau. Il est indispensable de ne pas sauter ce premier repas qui vous permettra de réguler votre appétit et vos besoins énergétiques de la journée. Une boisson chaude, du pain complet, du beurre en fine couche et une source de protéines pour les affamées, un bout de fromage ou un oeuf et pourquoi pas une tranche de jambon. On évite les céréales sucrées et grasses, le pain de mie, les brioches ou trop de viennoiseries, les couches épaisses de beurre, de confiture et de pâte à tartiner. Si vous avez fait des excès la veille, éliminez tous les sucres et les matières grasses de votre petit-déjeuner pour rétablir l'équilibre.>> A découvrir aussi : 5 moyens surprenants de brûler des caloriesvideo_minute
La journée peut se découper suivant des phases énergétiques. Le matin, vous faites le plein de calories, donc d'énergie.A midi vous rechargez les batteries. A vous les sucres lents, les protéines, et le laitage. Il est important de se poser à l'heure du déjeuner. De manger lentement en vous décontractant. Pour une meilleure digestion.A 16 heures: Le goûter n'est pas une obligation, mais il permet de tenir jusqu'au dîner sans craquer sur n'importe quoi. Privilégiez les fruits, un laitage ou une barre équilibrée.>> A découvrir aussi : Mincir: le coup de pouce de la phytothérapie
A partir de 19 heures, votre corps n'a plus besoin d'autant d'énergie, donc de calories. Le soir vous commencez donc votre régime. Un dîner léger mais de qualité pour ne pas se sentir frustrée. On cible les soupes, les légumes variés, très peu de protéines (pour bien dormir) de matières grasses et très peu de sucres. Choisir un laitage sans sucre, un fruit peu sucré ou si, comme 9 Français sur 10, vous êtes accro au (...) Lire la suite sur TopSante.com