samedi 30 avril 2011

Minceur : les plantes qui drainent à adopter d'urgence

Les plantes n'ont pas de pouvoir magique, elles ne font pas fondre la graisse, mais elles peuvent néanmoins vous aider à affiner votre silhouette. Dans l'idéal, rendez-vous chez un herboriste ou chez un pharmacien et demandez une tisane anticellulite en précisant vos symptômes (grignotage, excès de poids, rétention d'eau...). Plus simplement, choisissez des plantes qui vous conviennent dans la liste ci-dessous et prenez-les sous forme de gélules ou de tisanes.
- Le thé vert : la caféine, composant important du thé, lutte contre la rétention d'eau et augmente la dépense énergétique. Evitez-le après 15 heures si vous dormez mal.- Le frêne : il est diurétique grâce à ses sels de potassium, et permet un drainage de l'eau en douceur.- La queue de cerise : c'est la "reine des diurétiques" grâce à ses composants qui stimulent l'élimination rénale.- L'orthosiphon : également appelé thé de Java, il possède une très forte action diurétique, mais qui s'exerce tout en douceur.- Le sureau : les baies et les fleurs de cet arbrisseau combattent l'excès d'eau qui infiltre les tissus corporels et stimulent l'ensemble du système hépatique.- Le pissenlit : cette plante stimule les reins pour les aider à éliminer l'eau.- La piloselle : elle favorise l'élimination de l'eau et du sel contenus dans les tissus.
Son action anti-inflammatoire lui permet de lutter contre la cellulite incrustée et rebelle. Elle favorise l'élimination de l'eau et les déchets accumulés dans les cellules graisseuses.Contre la mauvaise circulation du sang : le cassisCette plante diurétique stimule le foie et améliore la circulation veineuse.Votre ordonnance en gélulesUne gélule de cassis, une gélule de reine-des-prés et une gélule d'orthosiphon, matin et soir par cure d'un mois. Et bien sûr, o ...Lire la suite sur TopSante.com

vendredi 29 avril 2011

Urticaire : il finit toujours par partir !

Des grosses plaques rouges en relief, après avoir mangé une assiette de fraises : c'est fréquent et spectaculaire, mais le plus souvent sans conséquence. En 24 heures, tout rentre dans l'ordre.

La plupart du temps, c'est une éruption de plaques rouges, boursouflées, de formes et de tailles variées, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres, disséminées sur tout ou partie du corps. Ces plaques démangent beaucoup, mais disparaissent en quelques heures, laissant la place à d'autres. La crise peut durer moins de vingt-quatre heures ou se prolonger pendant plusieurs semaines : un jour, les bras se couvrent de plaques ; le lendemain, les jambes, le bas du dos... ce qui empoisonne sérieusement l'existence.Les experts estiment que les grands bilans sont inutiles. L'observation, l'interrogatoire et une simple analyse de sang permettent de trouver une explication dans 46 % des cas, un bilan poussé ne révélant que 3 % de causes supplémentaires. Ce qui ne justifie pas d'embêter tous les malades.
Les examens visent surtout à détecter des allergies. De nombreux patients pensent, en effet, que leurs crises résultent d'une sensibilité à certains aliments. Or, c'est très rarement le cas dans les urticaires chroniques. En revanche, les causes physiques (urticaire au froid, au chaud, à l'eau de la douche) sont fréquentes et leur diagnostic est facile.Dans le cas de la douche, les actions de la chaleur, de l'eau et du frottement de la serviette se conjuguent. Il suffit souvent d'utiliser de l'eau moins chaude et de s'essuyer avec douceur pour diminuer les plaques, qui cessent d'être gênantes. Certains médicaments (anti-inflammatoires) peuvent aussi être incriminés.
Que la cause soit connue ou non, le traitement fait surtout appel à un antihistaminique, à prendre le soir pendant un ou deux mois. Si cela ne suffit pas, on peut en ajouter un second, à absorber le matin. Si le stress ou un état dépressif peuvent aggraver les poussées, il ne les provoque pas. Néanmoin ...Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 28 avril 2011

Du miel pour combattre les super-bactéries

Si l'on connaissait déjà les propriétés antiseptiques du miel, il semblerait que l'on est jusqu'ici sous-estimé son efficacité. Des chercheurs de l'Université of Wales Institute de Cardiff au Royaume-Uni ont découvert que le miel Manuka était capable de fragiliser les bactéries présentes sur une plaie infectée ou sur des surfaces d'hôpitaux. Celui-ci pourrait alors aider à lutter contre les organismes résistants aux antibiotiques, un phénomène croissant qui inquiète de plus en plus.
C'est en Nouvelle-Zélande à partir des arbres à thé Manuka que les abeilles produisent ce type de miel. En réalité, celui-ci, une fois filtré et débarassé de ses impuretés, est déjà utilisé dans certains produits de soins dans le monde. Une propriété qui a constitué le point de départ des recherches présentées au meeting de la Society for General Microbiology. Pour en apprendre davantage sur le miel Manuka, les scientifiques ont décidé de tester ses capacités sur deux types de bactéries : des streptocoques et des pseudomonas.
Ils se sont alors aperçus que le miel avait la capacité de casser les défenses mises en place par la bactérie contre l'action des antibiotiques. Plus précisément, il semblerait que la substance naturelle empêche les organismes de s'attacher efficacement aux surfaces, ce qui permet normalement l'infection. "Ceci indique que les antibiotiques existants pourraient être plus efficaces contre les infections résistantes aux médicaments s'ils sont utilisés en combinaison avec du miel Manuka" a indiqué le Pr Rose Cooper qui a conduit l'étude. Désormais, les scientifiques s'appliquent donc à chercher de nouvelles combinaisons comprenant des antibiotiques et à réaliser des tests cliniques pour évaluer leur efficacité.
Néanmoins, le Pr Cooper a tenu à souligner q... lire la suite de l'article sur Maxisciences

mercredi 27 avril 2011

Les infections nosocomiales responsables de plus de 4000 décès par an

Le chiffre fait froid dans le dos. Les infections associées aux soins (IAS), qui sont en partie évitables, sont loin d'être jugulées et demeurent responsables de 4.200 décès annuels en France dans les hôpitaux, malgré les efforts mis en oeuvre pour les combattre, selon le Bulletin épidémiologique hebdomadaire publié mardi.

D'après les enquêtes européennes récentes, ces infections (IAS) acquises lors de l'hospitalisation touchent 5 à 10% des patients hospitalisés en Europe (5% en France en 2006), selon l'éditorial du BEH qui appelle à "continuer la mobilisation" pour les combattre, d'autant que de nouvelles menaces émergent. La proportion de patients touchés par ces infections est bien plus élevée parmi les plus fragiles (affections chroniques graves, immunodéprimés, réanimation...), relève le BEH. Selon une étude française menée en 2000, les IAS contribueraient à 2,8% des décès hospitaliers (soit 4.200 décès par an), note-t-il.
Epidémies entre hôpitaux
Mais, ces infections pourraient être mieux combattues. "Entre 20 et 30% des IAS seraient évitables par la mise en oeuvre en routine de mesures de prévention connues", ajoutent les auteurs Jean-Claude Desenclos (Institut de veille sanitaire) et Christian Brun-Buisson (hôpital Henri Mondor, Créteil). Le recours aux gels ou solutions hydro-alcooliques fait partie des mesures d'hygiène des mains préconisées.

Les IAS provoquent aussi des épidémies qui peuvent se propager entre établissements et sont une cause importante de handicap. Elles ont un retentissement psychosocial et économique croissant. Préoccupation majeure : depuis les années 1980, une part croissante d'infections acquises à l'hôpital est due à des bactéries multirésistantes aux antibiotiques. Leur diffusion est favorisée par l'usage souvent excessif des antibiotiques, la transmission de souches résistantes de patients à patients via les soins et les soignants, et la vulnérabilité de certains patients.
Superbactéries
Marque des progrès enregistrés, depuis le début des années 2000, la fréquence des infections à staphylocoques dorés résistants à l'antibiotique méticilline (Sarm) a progressivement diminué. Mais en même temps, les infections dues à d'autres bactéries résistantes (entérobactéries productrices de bêta-lactamases à spectre étendu) augmentent dans les mêmes hôpitaux. Et, d'autres menaces émergent (épidémies de bactéries "pan-résistantes", "superbactéries" de type NDM provenant du sous-continent indien...).

Autant de raisons de ne pas baisser la garde. Mais, le risque infectieux existe aussi en médecine de ville (cabinets médicaux, soins à domicile...) où, a récemment déploré l'association de défense des victimes Le Lien, elles ne sont ni surveillées ni répertoriées.

mardi 26 avril 2011

Qu'est-ce qu'un toucher vaginal ?

Le toucher vaginal est un examen médical qui ne peut être pratiqué que par un médecin - généraliste, gynécologue ou obstétricien - ou une sage-femme. Indolore, incontournable de la vie gynécologique permet d'explorer l'appareil génital de la femme.
Pratique du toucher vaginal
Le toucher vaginal permet de dépister une anomalie de positionnement, ou une augmentation de la taille de l'utérus. La présence d'une masse sera facilement détectable par la main du praticien. Il pourra également s'assurer de l'absence de kyste au niveau d'un ovaire. Une augmentation de volume, une consistance anormale du col de l'utérus, pourront également être découvertes de cette façon.
Déroulement de l'examen
La patiente étant allongée sur le dos, elle est installée sur la table d'examen, cuisses et jambes écartées et les talons posés dans les étriers. Le toucher est pratiqué avec l'index et le majeur ,q recouverts d'un gant enduit d'un gel lubrifiant. Avec son autre main, le professionnel procède à une palpation de l'abdomen, qui lui permet de percevoir les organes génitaux.
Risques éventuels du toucher vaginal
Les patientes obèses sont difficiles à examiner. La paroi abdominale étant trop épaisse en effet, la main pratiquant la palpation ne peut pas « ramener » correctement le fond utérin. En cas d'atrophie du vagin, l'examen doit être effectué avec un seul doigt. Chez une vierge enfin, cet examen est évité.Retrouvez cet article sur DestinationSante.com

lundi 25 avril 2011

Cancers, maladies oculaires : une nouvelle biothérapie prometteuse

Des scientifiques français viennent d'évaluer avec succès une nouvelle biothérapie sur la souris et le lapin. Travaillant à partir d'un nouveau récepteur cellulaire, qui a la propriété de favoriser la prolifération vasculaire, ils ont obtenu la régression de tumeurs cancéreuses, et à la résolution de certaines pathologies oculaires. Voilà, qui mérite explications...
Cette découverte pourrait s'avérer d'une importance capitale. Elle est le fruit d'une collaboration entre les équipes de Philippe Le Bouteiller (INSERM/CNRS Toulouse) et d'Armand Bensussan (INSERM-hôpital Saint-Louis, Paris). Elles ont travaillé à partir du récepteur CD-160, récepteur des cellules endothéliales qui a favorisé l'angiogénèse dans les tumeurs cancéreuses. Suite à leurs observations, les chercheurs ont développé un anticorps monoclonal spécifiquement dirigé contre ce récepteur.
Chez des souris porteuses de tumeurs hautement agressives comme le mélanome cutané, ils ont testé cette nouvelle biothérapie en association avec une chimiothérapie. Cette stratégie a permis de réduire significativement le rythme de croissance de la tumeur, prolongeant la survie des animaux. Chez les lapins, ils ont reproduit des pathologies humaines (rejet de greffe cornéenne, brûlures...) avant de les traiter avec l'anticorps CD-160. Au final, ils ont également constaté une diminution du développement de nouveaux vaisseaux.
« Cette nouvelle thérapie est originale, car elle induit directement la mort des cellules qui tapissent les vaisseaux et sont en pleine prolifération », explique Philippe Le Bouteiller. « Elle diffère des traitements antiangiogéniques actuellement utilisés, qui ciblent le facteur (de croissance vasculaire, n.d.l.r.) VEGF ».
A condition que ses tests chez l'Homme soient couronnés de succès, cette nouvelle cible thérapeutique pourrait donc représenter une alternative pour les patients résistants aux traitements actuels. Elle pourrait aussi ouvrir de nouvelles perspectives dans la prise en cha... Lire la suite sur DestinationSante.com

dimanche 24 avril 2011

Paludisme : les macaques porteurs d'un parasite transmissible à l'Homme

Alors que le paludisme tue encore chaque année plus d'un million de personnes dans le monde, des chercheurs ont fait part d'une nouvelle inquiétante. En Asie du sud-est, le parasite du paludisme qui touche habituellement des singes serait capable de passer durablement chez l'Homme. Plusieurs cas ont déjà été observés mais l'augmentation de la population et la déforestation pourraient aggraver le phénomène.
Il existe cinq espèces différentes du parasite responsable du paludisme. La plus répandue se nomme Plasmodium falciparum et cause une forme grave de la maladie. Mais en Asie du sud-est, c'est le Plasmodium knowlesi qui contamine les macaques. Au cours de leurs recherches décrites dans PLoS Pathogens, les scientifiques ont réalisé des tests sanguins sur 108 macaques qui ont révélé que trois quarts des animaux étaient infectés par le parasite. "Ils sont un réservoir énorme de Plasmodium knowlesi", a précisé à la BBC le Pr Balbir Singh du Centre de recherche sur la malaria à l'Université de Sarawak en Malaisie. C'est en effet dans cette région que des cas d'infections humaines à ce parasite ont été observés. Une contamination qui se serait exclusivement faite entre le "réservoir" et l'Homme, selon les scientifiques.
Une exposition plus importante aux pathogènes ?
Ainsi, ces résultats ont conduit les chercheurs à s'interroger sur l'avenir de la situation. "Nous ne savons pas comment le comportement des moustiques va changer. Avec des populations humaines croissantes et la déforestation, nous pouvons avoir un déplacement vers l'Homme", a expliqué le Pr Balbir Singh. Une perturbation de l'écosystème pourrait par exemple conduire à une exposition plus importante des populations aux piqûres de moustiques. Davantage contaminé, l'Homme deviendrait alors la cible principale du Plasmodi... lire la suite de l'article sur Maxisciences

samedi 23 avril 2011

Minceur : arrêtez les régimes pour perdre du poids

" Je veux perdre 10 kilos en deux semaines ". Qui ne s'est jamais exclamé cette absurdité tout en finissant le pot de pàte à tartiner ? C'est un fait, les femmes veulent perdre vite et sans contrainte. Ce qui n'a pas échappé au docteur Lylian Le Goff , médecin et environnementaliste et à Laurence Salomon, naturopathe.
Dans " Ceci n'est pas un régime " paru aux éditions Marabout, les deux auteurs partent du constat que l'organisme subit fréquemment des maltraitances et se trouve carencé, entre les régimes yo-yo, la diète totale composée, exclusivement de bananes ou bien à base de sachets hyper protéinés.
Ils ont décidé de r duquer toutes les adeptes aux régimes miracles aux fondamentaux nutritionnels en inscrivant leur programme minceur dans la durabilité.
Ludique et complet, ce manuel du "manger bien, manger de tout" privilégie la variété des aliments ainsi que l'apprentissage de leurs bienfaits sur l'organisme. Découpé en quatre parties selon les saisons, chaque programme est adapté avec des recettes et des réponses ciblées : quoi prendre au goûter ? Quels aliments adopter ? Quel sport choisir ? C'est dit, vous n'avez plus aucune raison d'être frustrée ou fatiguée avec ce guide de bonnes résolutions.
" Ceci n'est pas un régime ", Dr. Lylian Le Goff et de Laurence Salomon, éditions Marabout, 15 ERetrouvez cet article sur Elle.fr

vendredi 22 avril 2011

Quelle contraception après une IVG ?

Caractérisé par un très fort taux de diffusion des méthodes médicales, le modèle français de contraception n'a pas l'efficacité que l'on pourrait en attendre ». Dans un rapport rendu public fin 2009, deux membres de l'Inspection générale des Affaires sociales (IGAS) - Claire Aubin et Danièle Jourdain Menninger dressaient un constat peu brillant.
Elles insistaient alors, sur « la nécessité de privilégier dans l'effort de prévention les modalités les plus efficaces ». Une manière polie de dire stop au tout pilule ? A leurs yeux en fait, il est particulièrement important « de promouvoir des méthodes moins contraignantes que la pilule en termes d'observance ».
Elles font ici référence en particulier, aux méthodes de contraception réversible de longue durée. C'est-à-dire le dispositif intra-utérin (DIU) ou le système intra-utérin (SIU) hormonal. Ce dernier semble d'ailleurs séduire de plus en plus de femmes. Pour en avoir le cur net, des médecins néo-zélandais exerçant dans un centre d'IVG, ont récemment conduit une campagne d'information de 10 semaines sur les DIU et SIU. Elle était destinée aux femmes bien sûr, mais aussi... à leurs médecins.
Les auteurs expliquent ainsi que « la pose de méthodes de contraception réversible de longue durée SIU hormonal en particulier a enregistré une forte croissance durant la période couverte par l'étude. Il est donc possible d'augmenter le recours au SIU, à condition notamment de prendre le temps d'en expliquer les bénéfices ». En termes notamment d'efficacité sur 5 ans et donc de risque de nouvelle ... Lire la suite sur DestinationSante.com

jeudi 21 avril 2011

10% des cancers seraient imputables à l'alcool chez l'homme

Une étude effectuée dans le cadre de l'EPIC (étude européenne prospective sur le cancer) et portant sur les cas de cancers des hommes et femmes de huit pays a été menée par Madlen Schütze de l'Institut allemand de nutrition humaine. Au total, 364.000 personnes à travers l'Allemagne, le Danemark, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Italie, les Pays-Bas et le Royaume-Uni ont été retenues, indique LeMonde.fr.
Les résultats montrent que, pour l'année 2008, 44% des cancers des voies aérodigestives supérieures étaient présents chez des hommes ayant eu une consommation passée ou présente d'alcool et 25% chez les femmes. Ont également été retrouvés 33% de cancers hépatiques chez l'homme et 18% chez la femme, ainsi que 17% et 4% en ce qui concerne les cancers colorectaux, précise l'AFP.
Les chercheurs ont attribué les cancers des voies aérodigestives supérieures (bouche, pharynx, larynx et sinus) de 57.600 personnes à la consommation quotidienne de plus de deux verres d'alcool. Chez les femmes, les chercheurs ont estimé que 80% des 21.500 cancers étaient dus à une consommation de plus d'un verre par jour. L'auteur de l'étude indique que "de nombreux cas de cancers auraient pu être évités en limitant la consommation quotidienne d'alcool à deux verres pour les hommes et un verre pour les femmes".
Il convient toutefois de rester prudent quant à ces interprétations qui ne tiennent compte que d'un seul facteur. Il est en effet avéré que de nombreux éléments entrent en ligne de compte et se limiter au seul facteur alimentaire est réducteur. Qu'en est-il de la pollution ou encore des aliments bourrés de pesticides, eux aussi sources de pathologies cancéreuses ?
http://www.maxisciences.com/cancer/10-des-cancers-seraient-imputables-a-l-039-alcool-chez-l-039-homme_art13859.html

mercredi 20 avril 2011

Suivre un régime en étant enceinte peut être risqué pour l'enfant

Suivre un régime quand on est enceinte peut porter préjudice à l'ADN du bébé dans l'utérus, accroissant plus tard ses risques d'obésité, de maladie cardiaque ou de diabète, selon une étude internationale qui sera publiée la semaine prochaine dans le journal Diabetes. "C'est une découverte majeure parce que pour la première fois, nous disposons de données pour travailler sur le régime optimal pour une future maman", a déclaré mardi à l'AFP le professeur Peter Gluckman de l'Institut Liggins de l'université d'Auckland. "Cela pourra légèrement varier d'une mère à une autre mais cela pourrait être un outil majeur pour gérer ‘l'épidémie' d'obésité".

Cette étude, conduite par des scientifiques de Grande-Bretagne, de Nouvelle-Zélande, et de Singapour, démontre que ce que mange une mère durant sa
grossesse a une influence sur l'ADN de son enfant, au travers d'un processus appelé changement épigénétique. Les enfants avec un niveau de changement épigénétique élevé sont plus susceptibles de développer un métabolisme qui "fixe les graisses" et de devenir obèses, ont indiqué les scientifiques. Ces enfants pèsent environ trois kilos de plus que les autres entre 6 et 9 ans, a indiqué le Pr Gluckman. "C'est un surpoids très important à cet âge", a-t-il ajouté, soulignant que cet excès de graisse avait toutes les chances d'être conservé à l'âge adulte, augmentant les risques de diabète et de troubles cardiaques.

Les chercheurs ont travaillé sur le cordon ombilical de 300 bébés pour mesurer le taux de changement épigénétique, et ont ensuite examiné si cela était lié aux poids des enfants entre 6 et 9 ans. "La corrélation était très forte, à tel point qu'au départ nous ne le croyions pas. Alors on a refait l'expérience encore et encore", a déclaré M.Gluckman. Il a également indiqué que le niveau de changement épigénétique était peut-être lié à un régime pauvre en hydrates de carbone au cours des trois premiers mois de grossesse, mais qu'il était prématuré de tirer des conclusions définitives. Le chercheur a expliqué que l'une des théories était que l'embryon recevant peu d'hydrates de carbone -qui procure de l'énergie- pense qu'il va naître dans un contexte similaire et ajuste en conséquence son métabolisme. C'est à dire qu'il stocke plus de graisses, qui pourront être sollicitées pour avoir de l'énergie quand l'alimentation en manquera.

http://lci.tf1.fr/science/sante/2011-04/suivre-un-regime-en-etant-enceinte-peut-etre-risque-pour-l-enfant-6399649.html

mardi 19 avril 2011

A long-terme, l'ecstasy endommagerait la mémoire

Le débat sur les effets de l'ecstasy est relancé. En février dernier, des chercheurs américains révélaient au cours d'une étude que les dommages cérébraux causés par cette drogue avaient été clairement surestimés. En effet, ils avaient avancé que les précédentes recherches n'avaient souvent pas pris en compte le mode de vie des participants ou la consommation d'autres drogues. Aujourd'hui, c'est une conclusion contraire à laquelle sont arrivés les experts de l'Academic research center d'Amsterdam aux Pays-Bas.
Selon leur étude publiée dans le Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry, une consommation d'ecstasy conduirait à long-terme à des dommages touchant les structures cérébrales de la mémoire. Pour arriver à un tel résultat, les chercheurs ont étudié au scanner IRM les cerveaux de 10 utilisateurs réguliers d'ecstasy âgés d'une vingtaine d'années et qui ont consommé plus de 250 tablettes en 6,5 ans. Puis ils les ont comparés à ceux de 7 participants n'ayant jamais pris de drogues. Ils ont ainsi découvert que les utilisateurs de drogue présentaient une matière grise en moyenne 4,6% moins étendue et un hippocampe 10% plus petit comparé aux non-utilisateurs.
"Ces données fournissent des preuves préliminaires que les consommateurs d'ecstasy peuvent être sujets à des dommages encourant de l'hippocampe", ont expliqué les chercheurs dans leur publication. Des résultats qui peuvent également aider à expliquer les pertes de mémoire souvent observées chez ces utilisateurs par de précédentes études. En effet, l'hippocampe fait partie des structures cérébrales impliquées dans le processus de la mémoire. Et comme l'ont indiqué les chercheurs : "L'atrophie de l'hippocampe est une marque manifeste des maladies à déficience cognitive progressive, telle que la maladie d'Al... lire la suite de l'article sur Maxisciences

lundi 18 avril 2011

Le coeur, son rythme et l'AVC

En France, près d'un million de patients - souvent âgés de 65 ans ou plus- souffriraient de fibrillation auriculaire (FA). « Le problème, c'est qu'un bon tiers l'ignorent. Or c'est une affection très sérieuse » s'inquiète le Pr Ariel Cohen, chef du service cardiologie de l'hôpital Saint-Antoine, à Paris. Et pour cause, puisqu'après 65 ans, la FA est reconnue comme le premier facteur de risque d'accident vasculaire cérébral (AVC).
La FA. Fréquente mais méconnue, la fibrillation auriculaire (ou fibrillation atriale selon la terminologie anglo-saxonne) affecte l'activité électrique des oreillettes du cur. Celles-ci ne se contractent plus de façon synchrone, et le rythme cardiaque devient anarchique, et souvent trop rapide.
« Comme les oreillettes ne se contractent plus normalement, le sang peut y stagner », poursuit le Pr Cohen. Le risque est alors de voir « se former un thrombus, autrement dit un caillot sanguin, susceptible de migrer dans la circulation générale ». Et pas n'importe où. Le « chemin » le plus direct peut en effet conduire ce caillot dans une grosse artère comme la carotide, avant qu'il n'atteigne le cerveau. C'est pourquoi « lorsqu'un AVC lié à la FA survient, il est généralement plus sévère qu'un AVC associé à une autre cause », reprend le Pr Cohen.
Une épée de Damoclès. Chaque année dans le monde, 3 millions de patients sont victimes d'un AVC dû à la fibrillation auriculaire. Ce qui représente 5 cas à la minute ! « Un malade atteint de FA a 5% de risque de faire un AVC dans l'année », poursuit-il. « Ce risque augmente avec l'âge, et en présence d'autres facteurs de risque comme l'hypertension artérielle, le diabète et l'insuffisance cardiaque ».
Quelle prévention ? Loin d'être fataliste, Ariel Cohen ajoute que « dans de nombreux cas ces AVC peuvent être prévenus ». A condition de bien connaître leurs signes avant-coureurs...qui ne se manifestent pas chez tous les patients. Il n'empêche, « une fatigue inexpliquée, des palpitations et/ou des do... Lire la suite sur DestinationSante.com

dimanche 17 avril 2011

Médicaments: un outil pour le ménage de printemps

Une récente étude a mis en avant les difficultés qu'éprouvent les Français à bien gérer leur armoire à pharmacie. Médicaments périmés, mal rangés, lieux de stockage peu appropriés... Un nouveau kit de sécurité est disponible gratuitement en pharmacie. Mis au point par le génériqueur Biogaran, il semble répondre à un besoin réel...
Pour favoriser une utilisation et une gestion plus sûres des médicaments, il propose trois conseils :
- Le bon rangement des comprimés, des suppositoires et autres sirops, est essentiel pour éviter notamment les confusions et/ou les ingestions accidentelles. Des étiquettes comprises dans le Kit permettront de favoriser le classement. Il sera ainsi possible d'inscrire le nom de la personne à qui le traitement aura été prescrit, d'ajouter le motif de la prescription - douleur, fièvre, vomissements...- ou la catégorie des médicaments - usage vétérinaire, premiers soins...
- Le tri régulier des médicaments au moins tous les 6 mois. Pour ne pas oublier, et pour bien mener votre tri, le Kit comporte également un magnet aide-mémoire. Positionné sur la porte du réfrigérateur par exemple, il permet de noter la date à laquelle il sera nécessaire d'effectuer la prochaine inspection... Un conseil, avant de réutiliser un médicament, vérifiez sa date de péremption, et relisez bien la notice. En cas de doute, parlez-en à votre pharmacien
- Le recyclage des médicaments enfin, ne peut se faire n'importe comment. Lorsque des médicaments sont périmés ou ne sont plus utilisés, il est essentiel de ne pas les jeter dans la poubelle, dans les toilettes ou le lavabo. Ce sont des substances actives, qui peuvent avoir un effet néfaste sur la santé publique et l'environnement, en polluant les eaux par exemple. Grâce à un sac réutilisable compris dans le Kit, vous prendrez l'habitude de rapporter régulièrement vos traitements à votre pharmacien. C'est un geste qui favorise le développement durable et préserve la santé de toute la famille... comme des voisins ! En... Lire la suite sur DestinationSante.com

samedi 16 avril 2011

Sport et mucoviscidose : le second souffle

Non, la mucoviscidose ne contre-indique pas la pratique d'un sport. Loin de là ! Selon l'association Vaincre la Mucoviscidose, « faire du sport à son rythme est même recommandé ». Explications
En cas de mucoviscidose en effet, il est avéré que la pratique régulière d'une activité physique est salutaire. Elle améliore la tolérance à l'exercice, la force musculaire, la coordination motrice et on n'en sera pas surpris - la qualité de vie. La fonction pulmonaire en bénéficie également, particulièrement les muscles respiratoires. Il en résulte une réduction de la dyspnée, ainsi qu'une augmentation du volume expiratoire maximum par seconde (VEMS). Dans un livret destiné aux jeunes patients, l'association confirme tout cela : « le sport te permettra de t'essouffler moins vite, de te désencombrer, de développer tous tes muscles, y compris les muscles respiratoires. En plus l'exercice physique facilite la kinésithérapie respiratoire ». Eh oui...
Avant de se lancer dans une activité physique, il est bien entendu indispensable que le traitement soit adapté et correctement suivi. Une consultation médicale dans le cadre d'un suivi régulier, sera donc nécessaire. Et si le sport en général est très recommandable à ces malades, certaines activités doivent leur être déconseillées. C'est le cas de la plongée sous-marine, et des sports en altitude au-dessus de 2500 mètres.
Chaque année, plus de 200 enfants viennent au monde avec la mucoviscidose, qui est la maladie génétique la plus fréquente de l'enfance. En fait cette affection évolue toujours de façon dramatique, le seul réel espoir pour les malades reposant sur la transplantation d'un bloc cur-poumon. Comme le souligne l'association, « grâce aux progrès de la recherche et des soins, l'espérance de vie des enfants nés en 2008 est de 46 ans, alors qu'elle ne dépassait pas 7 ans en 1965. Mais l'âge moyen du décès des patients considérés dans leur ensemble, n'est que de 28 ans. » Pour davantage d'informations, consultez le sit... Lire la suite sur DestinationSante.com

vendredi 15 avril 2011

Nos stratégies ciblées pour éviter la chute de cheveux

Sur la brosse ou dans la douche, il est tout à fait normal de perdre une certaine quantité de cheveux. Mais au-delà dune centaine par jour, il y a lieu de sinquiéter et de réagir. On vous dit comment...

Un cheveu en bonne santé correspond à un environnement vasculaire, hormonal et métabolique favorable. Lorsquun déséquilibre survient, il provoque laltération du cheveu et, le plus souvent, une chute précoce. Différentes de celle des hommes, les causes de cette chute sont plus nombreuses chez les femmes. Et les études montrent que 3 femmes sur 4 seront concernées un jour ou lautre. "Dans la plupart des cas, cette situation est mal vécue, car il y a la peur de devenir chauve... ", confie le Dr ­Sylvie ­Garnier ­Lyonnet, dermatologue spécialiste des cheveux. Mais, contrairement à ce qui se passe chez les hommes, cela narrive jamais... Mais mieux vaut traiter la chute des cheveux sans tarder... En associant les traitements oraux (Masse capillaire dInnéov...) et locaux, on peut agir efficacement sur la santé du cuir chevelu, freiner la chute des cheveux et même stimuler leur repousse. Au quotidien, "les soins cosmétiques peuvent contribuer à renforcer la tige pilaire afin quelle soit plus forte et résistante", ajoute la dermatologue.
On associe traitement hormonal et soins spécifiques anti-âge :Le profil hormonal se masculinise, cest-à-dire que lon perd des strogènes alors que le taux dandrogènes se maintient. Cette modification entraîne une perte de cheveux, notamment parce que leur durée de vie se raccourcit: elle passe de quatre ou six ans à deux ou trois ans. Toutes les femmes ménopausées ne sont pas concernées, car tout dépend du capital génétique et de la sensibilité aux récepteurs des androgènes. Comment on sen aperçoit? La chute se localise sur le sommet de la tête, la repousse est plus lente et le cheveu saffine (son diamètre passe de 80 à 40 microns), parfois un simple duvet remplace ce qui est tombé. Ça dure combien de temps? Si lon ne fait rien, la ch ...Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 14 avril 2011

Alzheimer : des atteintes au cerveau dix ans avant le diagnostic ?

Certaines parties du cerveau affectées par la maladie d'Alzheimer commenceraient à rétrécir jusqu'à dix ans avant que cette dégénérescence cérébrale incurable ne soit diagnostiquée, selon une étude publiée mercredi aux Etats-Unis. Bien qu'il ne s'agisse que de résultats préliminaires, les chercheurs estiment que cette découverte pourrait un jour permettre, à l'aide d'IRM (imagerie par résonance magnétique), de déterminer quelles sont les personnes qui présentent le plus grand risque de développer cette maladie, parfois héréditaire.
Pour leur recherche, les médecins ont mesuré avec des IRM les zones du cerveau généralement affectées par la maladie d'Alzheimer de 64 personnes saines, sans problème de mémoire ou d'autres symptômes de démence. Ils les ont suivies sur une période allant de sept à onze ans.
Déterminer qui, et quand
Ils ont constaté que les sujets avec l'épaisseur la plus faible du cortex - substance grise contenant les neurones, essentiels aux fonctions cognitives, sensorielles et motrices - avaient de loin un plus grand risque de souffrir de la maladie d'Alzheimer comparativement à ceux avec ces mêmes parties cérébrales plus épaisses.
Ainsi, dans le groupe de onze participants qui avaient les zones cérébrales concernées les plus modestes, 55% ont développé la maladie d'Alzheimer. En revanche, aucun patient dans le groupe de neuf personnes avec les plus grandes tailles de ces mêmes parties du cerveau n'a souffert d'Alzheimer, précisent les chercheurs dont la communication paraît dans la revue Neurology, la publication de l'American Academy of Neurology. Enfin, dans le groupe des sujets avec une taille moyenne de ces zones cérébrales, 20% ont souffert de la maladie d'Alzheimer.
"Ces mesures sont un indicateur potentiellement important des premiers changements dans le cerveau liés à Alzheimer. Elles pourraient aider à prédire qui sont les personnes ayant le plus grand risque de souffrir de cette maladie et peut-être aussi de déterminer quand la maladie va se manifester", explique le Dr Bradford Dickerson de la faculté de médecine de Harvard, principal auteur de l'étude.

Alzheimer : découverte de 5 nouveaux gènes impliqués

Des chercheurs anglais et britanniques sont parvenus à identifier de nouveaux gènes qui augmenteraient le risque de développer la maladie d'Alzheimer.
C'est un pas en avant dans l'identification de la maladie. Mettant en commun leur travail, deux équipes de scientifiques français et britanniques ont révélé la découverte de cinq nouveaux gènes de prédisposition à la maladie d'Alzheimer. Publiée hier dans la revue Nature Genetics, l'étude se rajoute aux précédentes recherches qui avaient déjà permis d'en identifier cinq.
Travaillant séparément, les deux équipes européennes ont analysé le génome de 59.176 individus dont 19.870 déjà atteints de cette maladie qui affecte la mémoire et le comportement. Ainsi, ils ont pu constater la fréquence de mutations de cinq gènes qui n'avaient jusqu'ici pas encore été impliqués. Les recherches ont également pu confirmer le rôle d'un autre gène déjà découvert. Publiée simultanément dans la revue, une troisième équipe de chercheurs, cette fois-ci américaine, a conduit des recherches semblables qui ont abouti à l'identification de quatre des gènes.
Désormais, on connait donc 10 facteurs de susceptibilités génétiques. Une avancée remarquable dans la connaissance des causes de la maladie mais aussi dans l'espoir de développer des tests de dépistage plus précoces et plus efficaces. En recherchant des mutations de ces gènes de prédisposition, les chercheurs pourraient alors évaluer le risque d'un individu de développer la maladie. Aujourd'hui, près de 800.000 personnes en seraient atteintes en France. Un chiffre qui pourrait quasiment doubler d'ici 2030 selon l'association Alzheimer disease international (ADI), d'où l'importance de tels travaux.
http://www.maxisciences.com/alzheimer/alzheimer-decouverte-de-5-nouveaux-genes-impliques_art13656.html

mercredi 13 avril 2011

Des gènes responsables de l'ostéoporose de la hanche

Pour la première fois, des chercheurs sont parvenus à identifier des combinaisons de gènes qui pourraient être responsables de l'ostéoporose de la hanche chez les femmes après la ménopause.

Chaque année en France, plus de 130.000 fractures de la hanche ou du poignet sont attribuables à l'ostéoporose. Cette maladie implique une perte de densité osseuse et concerne généralement les femmes post-ménopausées. Plusieurs chercheurs de l'Université de Grenade, en Espagne, sont partis du constat que 80% de la formation des os est déterminée génétiquement pour étudier les facteurs qui pourraient prédisposer les femmes à l'ostéoporose de la hanche.
Pour ce faire, les scientifiques ont étudié le dossier clinique de 2.000 patientes post-ménopausées se présentant aux consultations gynécologiques de cinq cliniques différentes. Ils ont alors cherché à isoler les facteurs de risque connus pour ce type d'ostéoporose. Une analyse de sang a été effectuée pour chaque patiente afin de déterminer en même temps les facteurs génétiques, ainsi qu'une densitométrie (examen consistant à mesurer la densité osseuse de la hanche et de la colonne). Ainsi, les chercheurs sont parvenus à identifier certaines combinaisons de gènes qui pourraient favoriser l'ostéoporose de hanche. Pour autant, la prudence reste de mise pour les chercheurs tandis que le principal auteur de l'étude, Presa Lorite explique à Science et Avenir : "Il se peut que dans un avenir relativement proche, on puisse réaliser une étude génétique aux patientes dans les cabinets médicaux qui leur indique la possibilité de souffrir d'une fracture de la hanche et de se soumettre à un traitement".
http://www.maxisciences.com/ost%e9oporose/des-genes-responsables-de-l-039-osteoporose-de-la-hanche_art13631.html

mardi 12 avril 2011

L'épidémie d'hépatite A due à des tomates

D'après les conclusions de l'Institut de veille sanitaire (InVS) publiées mardi, l'épidémie d'hépatite A survenue en 2009 et 2010 dans 19 départements, notamment dans les Hautes-Pyrénées et le Lot, apparaît bien liée à la consommation de tomates semi-séchées importées de Turquie. L'InVS avait relevé il y a un an l'existence de cette épidémie et, soupçonnant le lien avec les tomates séchées, avait décidé de conduire une enquête approfondie.
Les dates d’apparition des symptômes se situent entre mi-novembre 2009 et mi-février 2010. 59 cas ont été relevés, avec 28 hospitalisations et une évolution favorable pour tous, détaille l'institut. La courbe épidémiologique "suggérait une source commune de contamination suivie d'une transmission de personne à personne".
L'étude confirme que cette épidémie est très probablement liée à la consommation de tomates semi-séchées utilisées dans trois sandwicheries, importées surgelées de Turquie et transformées en France. Le fournisseur était commun pour les sandwicheries et il s'agissait du même lot. Des cas de contamination ont été signalés en Australie et aux Pays-Bas, avec le même produit. "Il est très probable que la contamination ait eu lieu en Turquie, en raison de la séquence de la souche identifiée et de l'endémicité du virus de l'hépatite A (VHA) plus importante dans ce pays", note l'étude.

Premières rides : les bons gestes pour retarder leur apparition

Les rides sont véritablement l'ennemi de la trentenaire ! On fait le point sur ce qu'on devrait savoir sur les rides pour mieux les combattre
Vous le saviez, la cigarette est très néfaste à votre santé, mais elle l'est aussi pour votre beauté! Eh, oui, le tabac est le premier ennemi de la peau et un des responsables du vieillissement prématuré. A chaque cigarette, un très grand nombre de réactions d'oxydation est provoqué. L'alcool est aussi responsable de la fabrication des radicaux libres, veillez donc à limitez votre consommation.Le soleil aussi est un faux ami! Les rayons UV accélèrent le vieillissement de la peau, la fragilisent et entrainent la formation des rides et des taches brunes sur le long terme.Votre alimentation joue également un rôle sur la beauté de votre peau. Ainsi, une consommation trop importante de viande rouge et d'aliments gras augmente fortement l'oxydation. A lire aussi:Notre rubrique gestes beauté
Une nouvelle ride sur le front...la faute à qui? Ce sont les radicaux libres qu'il faut blâmer!Les radicaux libres sont des molécules d'oxygènes instables qui vont tenter de s'accoupler aux cellules de notre organisme, détruisant ainsi des molécules saines. Bien que la peau possède des systèmes internes de destruction des radicaux libres, les défenses s'amenuisent et la peau se déssèche au fur et à mesure que l'on avance dans l'âge. Lorsque les réserves d'antioxydants sont épuisées, l'oxydation provoquée par les radicaux libres sur nos cellules et sur les tissus de la peau entraine des cassures et donc des rides visibles. Les radicaux libres sont donc bel et bien responsables du vieillissement prématuré.Mais il faut faire la différence entre deux types de radicaux libres: ceux qui sont présents dans le corps naturellement et qui sont provoqués par la respiration tissulaire, ceux là sont facilement neutralisés par les antioxydants naturels que nous possédons, et ceux qui proviennent des agressions externes ou qui sont dus au stress. A lir ...Lire la suite sur TopSante.com

lundi 11 avril 2011

Cancer de la prostate: Le dépistage ne serait daucune utilité?

Une nouvelle étude, publiée par le British Medical Journal, affirme que...

Une étude qui vient mettre de l'huile sur le feu. Alors que le débat fait rage sur l'utilité, voire sur la nocivité, du dépistage du cancer de la prostate, le British Medical Journal publie de nouveaux résultats. Ces derniers affirment que «le taux de survie global n'est pas plus élevé chez les hommes ayant subi un dépistage, que chez les autres».
Une conclusion qui abonde dans le sens d'une étude, publiée en 2009 par le New England Journal of Medicine, qui soutenait que pour prévenir un seul décès du cancer de la prostate il fallait dépister 1.410 hommes et en traiter 48. C'est-à-dire «surdiagnostiquer» et «surtraiter».
Comment expliquer ces chiffres? Le dépistage du cancer de la prostate se fait par prélèvement du dosage du PSA (antigène de la prostate qui ne doit pas dépasser une certaine concentration dans le sang). Seulement, le PSA permet de montrer une anomalie du fonctionnement de la prostate mais ne permet absolument pas de déterminer si la tumeur découverte est bénigne ou agressive.
Association version Haute autorité de santé
Un argument que ne conteste pas l'Association nationale des malades du cancer de la prostate (Anamacap) mais qu'elle cherche à éclairer. «Le problème réside dans le fait qu'une fois dépistés les patients sont pris en charge par des chirurgiens, or les chirurgiens par définition gagnent leurs vies en opérant. Les interventions se passent mal une fois sur deux (incontinence, impuissance etc.) alors même que le patient n'en a pas forcément besoin. Il faudrait un dépistage intelligent entre 45 et 70 ans et ne pas se précipiter lorsque le PSA n'a pas une valeur élevée», explique son président, Roland Muntz, qui ne veut pas remettre en cause le dépistage. «L'analyse sanguine permet d'alerter d'un désordre de la prostate. Il me parait extraordinaire que ce marqueur ne soit pas utilisé», s'insurge-t-il. D'autant plus que «plus ... lire la suite de l'article sur 20minutes.fr

Des migraines liées à une anomalie cardiaque

Les enfants qui souffrent de certains types de migraines ont une probabilité deux fois plus élevée de présenter un "trou" dans le coeur, selon une récente étude américaine.
Ce n'est pas la première fois que des chercheurs établissent un tel lien mais la découverte pourrait permettre de soulager de nombreuses personnes souffrant de migraines inexpliquées. Des scientifiques de l'Université d'Utah aux Etats-Unis ont découvert que les migraines accompagnées de troubles visuels pouvaient être associées à un défaut cardiaque. Publiée dans la revue Journal of Paediatrics, l'étude a été réalisée sur 109 enfants, parmi lesquels six souffraient de ce phénomène appelé "aura migraineuse".
En effectuant des échocardiogrammes, les scientifiques se sont alors aperçus que 50% des enfants migraineux présentaient un "trou" au coeur, un défaut assez fréquent et plus connu sous le nom de foramen oval perméable (FOP). Au lieu que les différents compartiments du coeur soient parfaitement isolés, cette anomalie entraine une communication entre les deux oreillettes. Lorsque la pression est importante, par exemple si l'on tousse, le passage peut s'ouvrir et laisser le sang circuler dans toutes les directions.
Pour l'instant, les causes précises de cette association n'ont pas été clairement établies. "Il peut y avoir une infinité d'explications à ce lien. Des recherches supplémentaires sont donc nécessaires avant de pouvoir émettre des conclusions fermes", a expliqué à la BBC Amy Thompson, une infirmière de la British Heart Foundation. Néanmoins, d'après le travail des scientifiques, une chirurgie destinée à refermer le foramen oval pourrait permettre de réduire l'intensité et la fréquence des migraines, lorsqu'aucune autre thérapie ne parvient à les soulager. Si les scientifiques appellent à davantage d'études pour confirmer le lien, le Dr Rachel McCandless qui a conduit les recherches, a espéré que leur travail "aide à guider les futures recherches sur ce problème difficile".
http://www.maxisciences.com/migraine/des-migraines-liees-a-une-anomalie-cardiaque_art13632.html

dimanche 10 avril 2011

Journée mondiale Parkinson : Vers un plan de prise en charge des malades ?

Près de 150.000 personnes sont atteintes de la maladie de Parkinson en France. Cette année, à l'occasion de la journée mondiale de cette maladie, l'association France Parkinson souhaite sensibiliser les pouvoirs publics sur la mise en place d'un Plan Parkinson. Un an après la parution de son livre blanc, diffusé à 10.000 exemplaires, l'association fait état de mesures obtenues encore insuffisantes.

Accélérer la prise en charge

L'association France Parkinson veut rappeler aux pouvoirs publics que la prise en charge des personnes atteintes de la maladie est encore trop longue. Entre le moment du diagnostic et l'instauration d'un traitement thérapeutique, les malades attendent des mois, voire des années. Le Plan Parkinson devrait aider à accélérer la prise en charge médicale et sociale des personnes atteintes de cette maladie.

Mieux accompagner les malades


Un fois le diagnostic établi, le malade doit faite face à l'annonce de l'affection. L'association France Parkinson veut insister sur le fait que la phase qui suit celle-ci est également importante. Le Plan Parkinson devrait ainsi permettre d'instaurer des mesures d'accompagnement pour aider les patients à affronter leurs peurs et angoisses.

Des animations pour sensibiliser le public


Tout au long du mois d'avril, les initiatives locales seront à l'honneur. Les antennes de France Parkinson organiseront ainsi des activités dans plusieurs villes de l'Hexagone. Les malades pourront notamment s'initier à Internet, prendre des cours de danse ou encore s'essayer à la gymnastique préventive. Débats, colloques et conférences seront par ailleurs organisés sur différents thèmes autour de la maladie.

Sculptez-vous de jolies jambes avant l'été

Pour sculpter de jolies jambes longilignes Jérôme Pagès* recommande de pratiquer des sports qui sollicitent les muscles des fessiers jusqu'aux mollets, des sports d'endurance d'intensité moyenne pendant 45 minutes.Conseil n°1 : il est essentiel de pratiquer votre activité sportive au moins 3 fois par semaine, à un niveau qui vous correspond (quand vous avez mal, vous arrêtez et vous ne reprenez pas l'activité avec des courbatures).La danse reste le sport qui sculpte le corps le plus harmonieusement possible. Trouvez la danse qui vous plaît, salsa, danse orientale, classique, moderne (sauf la danse africaine) et pratiquez la de manière ludique. Pour de jolies jambes, vous pouvez aussi choisir les sports d'eau, comme la natation ou l'aquagym.A la maison, pratiquez le renforcement musculaire pour galber vos jambes. Cet exercice tout simple consiste à passer de la position assise à la position debout sans s'aider de ses bras et tout en gardant la cheville gauche sur la cuisse droite (10 à 20 mouvements pas série).
Travaillez le muscle oui, mais aussi éliminer les graissesComme il faut 45 minutes de marche rapide pour éliminer un pain au chocolat, tous vos efforts physiques ne seront pas concluant sans rééquilibrage alimentaire. Les zones de stockage des graisses pour les femmes sont essentiellement à l'intérieur des cuisses et sur les hanches. Toutes les graisses de votre corps en surplus se concentrent dans ces parties du corps.Pour les éliminer, il faut que votre organisme les utilise comme énergie motrice. Procédé qui se met en route, pendant les sports d'endurance pratiqué modérément (pas de vitesse ou excès) pendant 45 minutes. Une fois le métabolisme de brûlage des calories amorcées le corps continuent plus facilement sur sa lancée.Conseil n°2 : si vous voulez des jambes fines et douce ...Lire la suite sur TopSante.com

samedi 9 avril 2011

Manger des fibres serait bon pour le coeur

Une nouvelle étude américaine a mis en avant le fait que les régimes alimentaires riches en fibres pouvaient permettre de garder le coeur en bonne santé, tandis que le rôle bénéfique des fibres était déjà reconnu dans la baisse du taux de cholestérol
Les résultats d'une nouvelle étude américaine ont récemment été présentés au congrès de l'American Heart Association. D'après les chercheurs qui se sont penchés sur le sujet, un régime riche en fibres serait particulièrement bénéfique pour les 20-50 ans qui auraient alors moins de risques de souffrir d'une affection cardiaque, rapporte La République du Centre.
Ainsi, si les fibres étaient déjà reconnues pour leur rôle bénéfique dans la baisse du taux de cholestérol et de l'hypertension, c'est la première fois qu'elles sont reconnues comme contribuant à la baisse du risque de maladie cardio-vasculaire.
Les chercheurs expliquent alors que d'après eux, il serait important que les individus parviennent à respecter la dose de 25 à 30 grammes de fibres par jour, une dose déjà recommandée par les Etats-Unis par exemple. De plus, pour ceux qui envisagent de suivre une telle prescription, il est important que ces fibres proviennent d'aliments complets et non pas d'aliments industriels transformés. Ainsi, Donald M. Lloyd-Hones, un cardiologue américain qui a participé à l'étude, explique : "Un aliment transformé peut être riche en fibres, mais il sera en général aussi riche en sodium, et nettement plus calorique qu'une pomme, par exemple, alors que la teneur en fibres sera la même". Il est possible de retrouver des fibres dans les flocons d'avoine, les légumes, les céréales complètes, les artichauts, le quinoa ou encore les haricots rouges.
http://www.maxisciences.com/fibre/manger-des-fibres-serait-bon-pour-le-coeur_art13522.html

vendredi 8 avril 2011

Troubles sexuels : testez vos connaissances

Les troubles sexuels peuvent parfois bousculer la vie dun couple. Ils ont souvent pour cause des soucis physiques ou psychologiques... Pour y faire face ensemble, en gardant le sourire, mieux vaut tout savoir sur ce qui peut arriver. Séance de révision.
FauxCest justement le contrôle (ou l'hyper-contrôle) qui pose problème. Un homme qui souffre d'éjaculation précoce doit apprendre à se détendre et ne surtout pas se mettre la pression à ce sujet.
Vrai80 % des troubles de l'érection chez l'homme sont dus à un blocage psychologique. Souvent, un travail avec un sexologue (ou un thérapeute) suffit pour retrouver une sexualité épanouie. Le reste du temps, certaines maladies comme le diabète ou l'hypertension peuvent provoquer une impuissance.
Vrai A petite dose, l'alcool peut avoir des effets bénéfiques sur la sexualité en favorisant l'érection. Mais attention, l'alcool n'est pas un aphrodisiaque. A forte dose, le désir et la qualité du plaisir peuvent en effet se détériorer fortement.
FauxCest justement tout le contraire. L'anéjaculation est l'absence d'éjaculation. Ce trouble se présente habituellement lors de rapports avec un partenaire. Beaucoup moins fréquemment lors de la masturbation. Elle résulte le plus souvent d'un blocage psychologique.
VraiCette addiction est un trouble sexuel à caractère psychologique. L'homme (cela peut aussi arriver chez la femme) ressent une envie irrépressible d'assister à des scènes pornographiques pour assouvir son désir. Ce trouble de la sexualité serait causé par un fort conditionnement psychologique.
FauxL'aphanisis désigne la disparition (ou le défaut d'apparition) de désir sexuel. Par conséquent, ce trouble peut aussi bien apparaitre chez la femme que chez l'homme.
VraiCe trouble, qui concerne les hommes pendant un rapport sexuel ou une masturbation, sappelle léjaculation anhédonique. Le rapport sexuel se termine ainsi systématiquement sans orgasme, bien que lhomme éprouve de lexcitation et du plaisir tout au ...Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 7 avril 2011

Le mercure du poisson serait sans danger pour le coeur, selon un étude

Le mercure provenant de la consommation de poisson n'augmente pas le risque de maladie cardiaque ou d'accident vasculaire cérébral, selon une étude américaine originale qui mesure la quantité de toxique présente dans des centaines de milliers de coupures d'ongles de pied. Lire la suite l'article
Les experts sanitaires, soucieux de diminuer les pathologies cardio-vasculaires, incitent depuis longtemps les gens à consommer du poisson. Mais une partie d'entre eux s'inquiète de la quantité de mercure présente dans certains poissons comme le requin ou l'espadon qui pourrait, selon eux, contrebalancer leurs bénéfices. Les études précédentes portant sur le mercure et les problèmes cardio-vasculaires chez les adultes fournissaient des résultats contradictoires.
Au lieu de reposer sur ce que les gens mangent, cette nouvelle étude financée par le gouvernement américain mesure la quantité de mercure présente dans les ongles de pied -une bonne évaluation de l'exposition au métal provenant de la consommation de poisson. Et les auteurs de l'étude, publiée dans le dernier numéro du "New England Journal of Medicine", ont retrouvé le même nombre d'accidents cardiaques quel que soit le taux de mercure relevé dans les ongles des participants.
"Nous devrions tous manger du poisson dans le cadre de notre hygiène alimentaire" et ne pas nous inquiéter de ses effets sur la santé, résume le Dr Dariush Mozaffarian, un cardiologue de l'Ecole de santé publique d'Harvard qui a conduit la recherche.
Les résultats ont été collectés à partir des informations provenant de 174.000 professionnels de santé. Bien que les ongles de pied poussent lentement et à différents rythmes, ils sont préférés aux échantillons sanguins parce qu'ils fournissent une image plus précise de l'exposition à long terme au mercure. Les ongles de pied sont par ailleurs faciles à rassembler et peuvent être conservés à bon marché.
Au bout d'onze ans en moyenne, 3.500 des participants qui avaient fourni des échantillons d'ongles ont souffert d'AVC ou de maladie cardio-vasculaire. Les chercheurs ont comparé les rognures à celles d'un nombre égal de participants qui, eux, n'avaient pas été victimes des mêmes problèmes de santé.
Après ajustement en fonction de différents critères comme l'âge, le sexe, la consommation de tabac, ils n'ont pas retrouvé de lien entre l'exposition au mercure et les risques de maladie cardio-vasculaire et d'AVC. Et ce, même à de très hauts niveaux d'exposition, pour des taux de mercure d'un microgramme par gramme en moyenne, grossièrement deux fois la limite recommandée pour la femme enceinte.
Le mercure existe à l'état naturel dans la terre et les roches, notamment dans le charbon. Le charbon, libéré dans l'atmosphère par la combustion provenant d'une centrale électrique, retombe dans l'eau. Les petits poissons qui se nourrissent de plancton absorbent le mercure, avant d'être à leur tour mangés par des poissons plus gros, comme le requin, l'espadon et le maquereau roi, qui concentrent les plus fortes quantités de mercure.
Consommé en grande quantité, le métal peut endommager le développement du cerveau et le système nerveux des jeunes enfants. Il présente aussi un danger potentiel pour le foetus chez les femmes enceintes.
L'Association américaine de cardiologie (AHA) recommande aux adultes de manger du poisson au moins deux fois par semaine. Les femmes enceintes et les jeunes enfants doivent éviter les poissons les plus riches en mercure et limiter à environ 350 grammes par semaine leur consommation de saumon et de loup de mer, des poissons moins riches en mercure.
Alors que les poissons contiennent des acides gras oméga-3, que l'on sait bons pour le coeur, les consommateurs devraient aussi compléter leur régime par des céréales, des fruits et des légumes, soulignent les experts. "La consommation de poisson est importante, mais nous devons aussi réfléchir à l'ensemble", explique Alice Lichtenstein, professeur de nutrition à la Tufts University, extérieure à la recherche. AP
Sur le Net: http://www.nejm.org

http://fr.news.yahoo.com/3/20110326/thl-sante-mercure-poisson-ongles-aa61a25.html

mercredi 6 avril 2011

Diabète : un appareil de mesure du glucose par les larmes

Mesurer le taux de glucose dans les larmes sera bientôt possible grâce à des chercheurs de l'université de l'Arizona et de la Mayo Clinic, aux États-Unis. Ceux-ci travaillent désormais à l'élaboration d'un appareil qui éviterait aux diabétiques d'avoir à se piquer le doigt.
Actuellement, les personnes diabétiques doivent se piquer le doigt plusieurs fois par jour pour mesurer leur taux de glucose dans le sang. Cette pratique pourrait bientôt s'avérer révolue grâce à un appareil qui effectue la mesure à partir des larmes des patients.
Élaboré par des chercheurs américains, l'appareil dispose d'un nouveau type de capteur qui utilise le liquide lacrymal pour mesurer le taux de glucose de chaque individu. L'ingénieur Jeffrey T. LaBelle, concepteur du nouveau capteur, explique au Parisien.fr l'intérêt d'une telle innovation : "Certains patients rechignent à faire le test car ils ne supportent pas la douleur au doigt. Cette nouvelle technologie pourrait permettre aux patients de vérifier leur taux de glucose plus souvent, et ainsi de mieux contrôler leur diabète". La technologie utilisée pour ce nouveau test a déjà fait l'objet d'une publication dans le Journal of Diabetes Science and Technology.
D'après l'Organisation mondiale de la Santé, 220 millions de personnes dans le monde présentent actuellement des problèmes de diabète dont plus d'un million en meurent.
http://www.maxisciences.com/diab%e8te/diabete-un-appareil-de-mesure-du-glucose-par-les-larmes_art13426.html

mardi 5 avril 2011

Les médecins se mobilisent pour lutter contre le diabète

Alors que près de trois millions de Français souffrent actuellement de diabète, plusieurs médecins se mobilisent pour apporter de nouvelles propositions sur le traitement des malades. Ils suggèrent notamment de limiter les hospitalisations et d'organiser les soins autour du patient.

Pour les professionnels de la santé, le diabète constitue une véritable "épidémie". Aussi, plusieurs d'entre eux se mobilisent pour proposer des solutions. Jacques Bringer, Président de la Société française de radiologie, Alain Coulomb, ancien directeur de la Haute autorité de santé et Serge Halimi, chef du service au CHU de Grenoble font partie du projet. Ils expliquent au Figaro qu'il est aujourd'hui primordial de "médiatiser la maladie puisqu'elle est due, dans 3 cas sur 4, à des facteurs environnementaux et comportementaux".
Maladie chronique, le diabète peut entraîner de lourdes complications et nécessite le suivi d'un parcours de soins important qui peut décourager plus d'un patient. Les médecins mobilisés autour de cette cause proposent dans un livre blanc sept propositions pour lutter contre la maladie. Ils demandent notamment de limiter les hospitalisations et de pousser les différentes professions de santé comme les infirmiers, nutritionnistes et médecins généralistes à se coordonner autour du patient. La mise en place d'un tel dispositif devra passer par la création de nouveaux réseaux dans un seul objectif, permettre aux diabétiques de se prendre en charge.
La diabète touche actuellement trois millions d'individus en France et ce, sans pendre en compte les 70.000 qui ignorent être touchés. Un constat alarmant face à une pathologie chronique qui nécessite le suivi d'un traitement quotidien tout au long de la vie.
http://www.maxisciences.com/diab%e8te/les-medecins-se-mobilisent-pour-lutter-contre-le-diabete_art13287.html

lundi 4 avril 2011

Mort subite du nourrisson : certains décès pourraient être évités

L'Institut de veille sanitaire (InVS) a mené son enquête concernant la mort subite du nourrisson en France. Si le nombre d'enfants décédés a nettement reculé ces dernières années, beaucoup de morts pourraient encore être évitées.
Pendant près de 2 ans, l'Institut de veille sanitaire (InVS) a surveillé les cas de mort subite du nourrisson dans 17 départements s'étant portés volontaires. Entre octobre 2007 et septembre 2009, 281 morts inattendues ont été constatées mais seuls 256 de ces cas ont été considérés par l'Institut dans leur enquête.
Selon les données, la majorité des décès concernait des bébés de moins d'un an (220 cas) alors que les autres concernaient des enfants de moins de deux ans. Plus précisément, un décès sur deux est survenu autour des trois mois de l'enfant explique l'Associated Press, et 72% des morts subites ont eu lieu au domicile des parents. De plus, pour 33% des cas, les chercheurs sont parvenus à expliquer le décès. Ainsi, ils ont pu en identifier les causes majeures parmi lesquelles : l'infection responsable de 42% des cas, l'accident de couchage causant 24% des décès mais aussi l'inhalation massive de lait, les maladies métaboliques ou encore la diarrhée et la déshydratation.
Les accidents de couchage peuvent survenir lorsque la literie est inadaptée, lorsqu'une couette, un oreiller ou un objet couvrent le visage de l'enfant ou lorsque celui-ci est couché sur le ventre, explique le Dr Juliette Bloch, pédiatre et rapporteur de l'étude. Mais le tabagisme passif est également un facteur important de mort subite du nourrisson précise l'AP. Ainsi, plusieurs morts du nourrisson auraient pu être évitées grâce à de simples mesures appliquées au couchage explique la pédiatre qui reconnait malgré tout que l'enfant peut parfois se retourner durant son sommeil.
Un nombre de décès en net recul
Pour limiter les risques d'accidents, le Dr Bloch recommande alors que les nourrissons dorment dans la chambre de leurs parents jusqu'à leurs six premiers mo... lire la suite de l'article sur Maxisciences

dimanche 3 avril 2011

Calendrier vaccinal : la rougeole inquiète toujours

Si le calendrier vaccinal 2011 comporte peu d'innovations, le Haut Conseil de la Santé publique (HCSP) s'inquiète à nouveau de l'épidémie de rougeole qui frappe la France depuis 2008. Pour la seule année 2010, plus de 5 000 cas ont été recensés.
« Un cinquième décès vient d'être observé », précise le HCSP. « Les personnes de plus de 20 ans représentent 38% des cas déclarés mais, parallèlement, le pourcentage des nourrissons de moins d'un an augmente, avec 8% des cas ». Sans surprise, la quasi totalité (96%) des cas n'est pas vaccinée ou n'a reçu qu'une seule dose (12%).
« En raison des épidémies de rougeole actuellement observées dans les crèches, la recommandation vaccinale des professionnels de santé est étendue au professionnels de la petite enfance », indique le HCSP. « Faute d'une réelle volonté de mettre en place les mesures de rattrapage, notamment autour des cas, l'épidémie se poursuivra ».
Par ailleurs, le HCSP recommande aux mères allaitantes de ne pas se faire vacciner contre la fièvre jaune. Cet avis fait suite à la survenue de deux cas d'encéphalite liés au virus vaccinal de la fièvre jaune transmis par une mère vaccinée à son enfant durant l'allaitement. Enfin suite à de nouvelles données complémentaires, les deux vaccins contre les infections à papillomavirus « sont désormais considérés comme équivalents ».
Aller plus loin lire l'intégralité du calendrier vaccinal.
http://www.destinationsante.com/.html

samedi 2 avril 2011

Pollens : le retour des snifs et des yeux rouges

Atchoum ! Le printemps est là et avec lui le fameux rhume des foins, autrement appelé rhinite allergique. Plus de 20% des Français sont touchés par ces réactions allergiques dues aux pollens. Ecoulement nasal, conjonctivites, toux, maux de tête en sont quelques unes des manifestations. Contrairement aux idées reçues, tous les pollens ne sont pas allergisants, ils ne sont d'ailleurs pas simplement associés au printemps
Les grains de pollen sont libérés par les végétaux au moment de la floraison. Diffusés par les insectes et le vent, ils peuvent provoquer des manifestations allergiques ponctuelles. Ces pollinoses c'est le nom scientifique du rhume des foins dépendent des végétaux qui s'avèrent plus ou moins allergisants. Ainsi, les graminées, l'ambroisie, le cyprès ou le bouleau sont-ils parmi les plus allergisants. Le Réseau national de Surveillance aérobiologique (RNSA) a d'ailleurs établi un classement des espèces selon leur potentiel allergisant, allant de 0 à 5 (0 étant un potentiel nul et 5 un potentiel très fort). Ainsi peut-on constater que le cyprès possède un potentiel de 5 là où le pin se situe à 0.
Une affaire de saison et de région
Les recommandations contre les allergies devraient en fait durer toute l'année. Eh oui ! Car plusieurs saisons polliniques se succèdent. Trois pour être précis. Dès le mois de janvier, la saison des arbres (bouleau, cyprès, frêne, aulne, noisetier, olivier, peuplier...), au printemps, la saison des graminées (des herbes qui pollinisent dans les prairies, les jardins...) et en été, les herbacées (ambroisie...).
La nature et la quantité des pollens varient également selon les régions. Ainsi, le RNSA émet chaque semaine un bulletin pollinique ainsi que des informations générales sur les risques des grandes villes de France. Il permet aux allergiques d'adapter leur mode de vie (sorties...) ainsi que leurs traitements.
Quelques conseils.
Si vous vous connaissez un passé allergique ou tout simplement si vous avez un doute,... Lire la suite sur DestinationSante.com

vendredi 1 avril 2011

Sida: comment marche la thérapie d'urgence

A la veille du sidaction, L'Express vous explique comment est mise en oeuvre la thérapie d'urgence, une solution efficace et pourtant fort méconnue
La trithérapie d'urgence: pour qui?
La tri-thérapie d'urgence s'adresse à toute personne qui s'est trouvée dans une situation potentiellement à risque de contamination par le VIH (échange de seringues, rapport sexuel non protégé, rupture de préservatif...) et qui n'est pas sous traitement anti-rétroviral.
Comment?
Elle consiste en une combinaison de différents traitements anti-rétroviraux et doit être administrée le plus rapidement possible après une situation à risques, en tout état de cause dans les 48 heures - exactement comme la contraception d'urgence. La personne concernée doit se rendre à l'hôpital, dans un service d'infectiologie ou aux urgences, et demander à bénféicier de ce traitement.
Depuis quand?
A l'origine réservée au personnel soignant, notamment en cas d'exposition ) du sang contaminé après une piqûe avec une seringue par exemple, la tri-thérapie d'urgence a été élargie au grand public depuis 1998. Mais, curieusement, les pouvoirs publics ont très peu conmmuniqué sur le sujet, alors même que 7 000 contaminations supplémentaires surviennt chaque année en France.
Quelle efficacité?
Impossible de donner un chiffre précis, car il faudrait pour cela mener un essai thérapeutique "grandeur nature", en comparant deux groupes, l'un sous traitement d'urgence et l'autre non, ce qui est évidemment impossible pour des raisons éthiques. Toutefois, les spécialistes estiment que ce traitement réduirait les risques de contamination de 80% environ.
Quelles limites?
Ce traitement est lourd et provoque des effets secondaires (nausées, vomissements....) qui contraignent parfois le patient à stopper sa trithérapie. Or, cette dernière doit être impérativement prise un mois entier, faute de quoi des résistances à ces médicaments pe... Lire la suite sur LEXPRESS