mercredi 30 juin 2010

Préservatif : faites le bon choix

Taille, couleur et même arôme, présence ou non d'un réservoir... Le choix d'un préservatif repose sur de multiples paramètres qui ne relèvent pas toujours de la fantaisie. A l'approche de vacances estivales longtemps attendues et puisque la période est réputée propice aux rencontres, petit tour d'horizon des points à ne pas négliger.
Marquage CE ou NF. En tout premier lieu, vérifiez que le produit porte bien la norme CE, obligatoire pour tout produit mis sur le marché dans l'un des Etat-membres de l'Union européenne. En matière de préservatifs, elle garantit que le fabricant a bien effectué des tests de solidité et de porosité.

La marque NF est toute aussi importante. Comme le fait valoir la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF), « sa mention indique que le fabricant a choisi de se conformer volontairement à la norme NF EN ISO 4074 de septembre 2002 qui va au-delà du simple marquage CE ». C'est donc un plus incontestable.

La bonne taille.... Small, Medium ou Xtra large : choisir un préservatif d'une taille adaptée, ce n'est pas un détail anecdotique. Trop petit, il risque de comprimer la verge, diminuant le plaisir et dans certains cas, provoquant la rupture de l'enveloppe. Trop grand, il pourrait glisser au cours des rapports, avec tous les risques que cela comporte : grossesse non désirée ou infection sexuellement transmissible.

Encore faut-il déterminer la taille du préservatif idéal. Plusieurs sites comme celui du Roi de la capote, proposent un gabarit de mesure. Vous y apprendrez que la majorité des pénis « acceptent » le gabarit le plus vendu en France, à savoir 178mm de longueur pour 20mm de large. Quant aux grandes tailles, elles vont jusqu'à 215 mm par 57 mm.

Certaines gammes toutefois, misent davantage sur l'originalité que sur le choix de la taille. C'est ainsi que la marque Capricia cible de manière privilégiée les femmes pour leur proposer des préservatifs masculins. Elle leur permet ain... Lire la suite sur DestinationSante.com
http://www.destinationsante.com/Preservatif-faites-le-bon-choix.html

mardi 29 juin 2010

Informations sur les médicaments en libre accès dans les pharmacies

L'occasion pour les usagers de découvrir les différents aspects de cette nouvelle tendance de consommation. Initié par l'Afipa, ce recueil a été réalisé en partenariat avec les acteurs du secteur de l'automédication responsable et de nombreux patients-consommateurs. Lire la suite l'article
Baptisé "Le libre accès aux médicaments en pharmacie, ils en pensent quoi ?", ce recueil propose de nombreux témoignages d'experts du secteur de l'automédication responsable, mais également de patients-consommateurs. S'il s'adresse avant tout aux usagers du système de santé, le recueil a également été élaboré pour les pharmaciens prêts à franchir le pas du libre accès.

Outre les nombreux témoignages, le recueil vise également à informer les particuliers sur le fonctionnement du libre accès aux médicaments, ainsi que sur ses avantages et ses particularités.

"Ce recueil est une initiative enrichissante, nouvelle pour notre industrie, qui a permis à notre secteur d'élaborer une source fiable et complète d'information sur le libre accès pour le grand public. Il sera possible de trouver le recueil sur internet, mais également dans le courant de l'été dans les pharmacies de France", explique Vincent Cotard, président de l'Afipa.
http://www.topsante.com/actualite/view/180631/Actus/Informations-sur-les-medicaments-en-libre-acces-dans-les-pharmacies

lundi 28 juin 2010

Guider les patients face aux cancers

Le cancer colorectal frappe chaque année, 37 000 personnes en France. Le mélanome cutané en affecte 7 300. Pour répondre aux questions que ces nouveaux patients se posent, la Haute Autorité de Santé (HAS) et l'Institut national du Cancer (INCa) ont publié les deux premiers guides destinés aux malades... mais pas seulement.
Ces deux guides sont les premiers d'une série qui couvrira progressivement, tous les cancers. Ils doivent servir plusieurs objectifs : apporter au patient une information sur sa maladie, sa prise en charge et son suivi ; faciliter le dialogue avec le médecin traitant ; et enfin orienter le malade ou ses proches vers des ressources d'informations complémentaires, notamment associatives.

Destinés principalement aux patients et remis par le médecin traitant, ces guides résultent de la volonté de promouvoir une information partagée. Des versions électroniques sont toutefois disponibles.

D'autres guides sont déjà en cours de conception. Ils concerneront les cancers de la prostate, du poumon, du sein, de l'ovaire, de l'utérus, des voies aérodigestives et de la thyroïde.

http://fr.news.yahoo.com/8/20100623/thl-guider-les-patients-face-aux-cancers-be91fa4.html

dimanche 27 juin 2010

Minceur: 5 conseils pour être toute légère cet été

Les bons reflexes
Il est important de ne pas s'affamer car :

vous risquez aussi de réduire votre masse musculaire. Or, les muscles, par le seul fait dêtre là consomment de lénergie et brûlent des calories. Si vos muscles deviennent plus petits, après le régime, vous aurez tendance à reprendre du poids.

Vous consommez des fibres car :

Présentes dans les fruits et les légumes, elles permettent à lorganisme de bien digérer les aliments et garantissent un bon transit intestinal. De plus, les fibres procurent une sensation de satiété (contrairement au sucre et au gras qui ouvrent lappétit).

Vous mangez des protéines car:

Vous vous lancez dans un régime, oubliez que lobjectif est de manger uniquement des légumes et des fruits, en faisant limpasse sur la viande.Les protéines sont la clé du succès dun régime. Ce sont elles qui permettent aux muscles de se maintenir. Noubliez donc pas de consommer de la volaille, du poisson et des produits laitiers pour donner les protéines nécessaires à vos muscles.

Les meilleurs coupe-faim

La pomme:

Les fibres de la pomme ont aussi le don de piéger les graisses dans lestomac et donc déviter leur assimilation. Il est conseillé de la manger avec la peau, après lavoir lavée car la pelure est très riche en fibres (1,6g pour 100 grammes).

Le son d'avoine:

Il gonfle au contact de leau et occupe 20 à 30 fois son volume dans lestomac. Il piège les calories dans lintestin grêle et les entraîne avec lui dans les selles. Une déperdition calorique minime mais qui, sans renouvelée, finit par peser son poids. Mangez deux cuillères soupe par jour, mélangées à deux cuillères à soupe de son de blé, une cuillère de soupe de fromage blanc et un blanc duf.

Le poisson:

Très riche en protéines complètes, plus longues à digérer, le poisson, est aussi riche en oméga 3, qui savent mobiliser les sucres de lalimentation dans les cellules, ce qui laisse le champ libre aux proté ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/Femme/Nutrition-minceur/Minceur-5-conseils-pour-etre-toute-legere-cet-ete

Les fruits secs, un atout contre le cholestérol

Cette méta analyse réalisée sur 25 études impliquant 583 participants a été publiée par le Pr Joan Sabaté de lUniversité Loma Linda (Californie) et financée par The International Tree Nut Council Nutrition Research and Education Foundation.
Afin dévaluer limpact des bénéfices nutritionnels connus des fruits à coques, comme les noix ou les

pistaches, sur le cholestérol, le Pr Joan Sabaté de lUniversité Loma Linda (Californie) et son équipe

ont consolidé les données de 25 études scientifiques menées entre 1992 et 2007 dans 7 pays portant sur la consommation de fruits à coques (noix, pistaches, etc.) de 583 adultes (hommes et femmes âgés de 19 à 86 ans).

Lanalyse démontre quune consommation quotidienne de 67 g de fruits à coques (noix, pistaches...), dans le cadre dune alimentation équilibrée, serait associée à une diminution moyenne

- de 5,1% du niveau de cholestérol total

- de 7,4% du niveau de LDL-cholesterol.

- de 10,2% des niveaux de triglycérides chez les sujets qui présentaient des niveaux élevés de triglycérides

Selon les résultats, cette diminution du niveau de cholestérol (en %) serait supérieure

- chez les sujets dont le niveau de LDL-cholestérol était le plus élevé (vs niveau de cholestérol normal)

- chez les sujets ayant un IMC inferieur (par rapport aux autres sujets)

- chez les sujets ayant suivi un régime occidental (cholestérol total : -7,4% ; LDLcholestérol

: -9,6%) vs ceux ayant suivi un régime pauvre en graisse (-4,1% et -6%) ou un régime méditerranéen (-4,1% et -6%).

Pour le coeur

"Consommer une ou deux poignées de pistaches présente un intérêt nutritionnel intéressant dans la prévention des maladies cardiovasculaires" affirme Martin Yadrick, M.B.A., R.D., ancien Président

de lAmerican Dietetic Association. « Elles sont en effet connues pour leurs apports nutritionnels bénéfiques dans lamélioration des fonctions des vaisseaux sanguins, le contrôle du taux de glycémie

dans le sang, ou encore le contrôle du poi ...
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http://www.topsante.com/actualite/view/180195/Actus/Les-fruits-secs-un-atout-contre-le-cholesterol

samedi 26 juin 2010

Cabines de bronzage : les recommandations de l'Académie de médecine

Comme chaque année avant l'été, l'Académie de médecine rappelle les dangers liés à l'utilisation des cabines ou des bancs de bronzage.


Outre l'aspect esthétique, de nombreux Français croient que quelques séances d'UV vont les aider à préparer leur peau au soleil estival. Or, cette croyance est erronée.

En effet, l'Académie de médecine dénonce les effets néfastes des cabines de bronzage. Elles favorisent le vieillissement de la peau et, pire, sont responsables de l'apparition de mélanomes, principale cause des cancers de la peau. De plus, elles ont un effet addictif. Les utilisateurs apprécient trop leurs répercussions esthétiques, sociales et psychologiques.

L'Académie de médecine prône une interdiction totale. A défaut, elle souhaiterait que la réglementation en vigueur soit plus efficace. Elle recommande donc l'interdiction de la publicité et une meilleure information du consommateur sur les dangers liés aux modes de bronzage artificiel.
http://www.maxisciences.com/

vendredi 25 juin 2010

Selon une étude menée par des chercheurs des universités d'Edimbourg et de Glasgow, les hommes vivant à proximité d'espaces verts seraient moins susceptibles de mourir de problèmes cardiaques ou pulmonaires.
Les chercheurs ont examiné, dans les différentes entités urbaines du Royaume-Uni, l'éventuelle relation entre la présence d'espaces verts (parcs, aires de jeu, terrains boisés...) et la diminution du risque de troubles pulmonaires et cardiaques. S'intéressant non seulement à la disponibilité des espaces verts au sein de la ville, mais aussi aux niveaux de pollution atmosphérique, ils ont ainsi pu déterminer un lien entre santé et présence d'espaces verts.Les hommes qui résident dans des quartiers dont la végétation est plus importante seraient ainsi 10% moins susceptibles de contracter des problèmes pulmonaires que ceux vivant dans des quartiers beaucoup plus urbanisés. Publiés dans le Journal of Social Science and Medicine, les résultats de cette étude sont surprenants. En effet, aucune différence notable n'est notée entre les femmes vivant dans des quartiers verts et celles résidant dans un milieu moins végétalisé. Coauteur de l'étude, le Dr Elizabeth Richardson de l'Université de Géosciences d'Edimbourg admet que son équipe ne peut expliquer avec certitude cette différence entre hommes et femmes. Cependant, sur la base d'autres études, elle avance l'hypothèse selon laquelle les femmes utiliseraient moins les espaces verts que les hommes. De plus, celles-ci seraient moins susceptibles de les utiliser pour l'exercice physique, notamment si elles ne s'y sentent pas en sécurité. Selon la chercheuse, il pourrait s'agir d'une explication mais des travaux supplémentaires sont nécessaires pour apporter une véritable explication. L'étude menée par ces chercheurs et financée par l'organisme Forestry Commission serait la première à explorer le lien entre espaces verts et santé, à travers toutes les régions urbaines du Royaume-Uni. Ell... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/espace-vert/espaces-verts-leur-proximite-reduirait-les-risques-de-maladies-cardiaques-et-pulmonaires_art7896.html

jeudi 24 juin 2010

Etude : la dépression entraîne bel et bien une prise de poids

Une étude de l'université d'Alabama l'a confirmé : une dépression peut entraîner une prise de poids, et notamment mener à une obésité abdominale
L'étude, publiée dans l'American Journal of Public Health, a porté sur les données récoltées dans le cadre de l'enquête Cardya (Coronary artery risk development in young adults). Cette étude basée sur l'observation de 5.115 hommes et femmes de 18 à 30 ans a permis d'identifier quelques facteurs menant à l'obésité. La professeure Belinda Needham a ensuite réussi à déterminer un lien entre dépression et obésité, notamment l'obésité abdominale.

En effet, durant une période de 15 ans, les adultes suivis ayant subi divers épisodes dépressifs ont pris du poids bien plus vite que les autres. En revanche, ceux qui avaient commencé à grossir n'ont pas subi de dépression. C'est donc bien la dépression qui entraîne la prise de poids et non l'inverse.

L'obésité abdominale est liée à des risques accrus de développer un cancer, ainsi qu'à une augmentation de l'occurrence des maladies cardiovasculaires.

http://www.maxisciences.com/d%e9pression/etude-la-depression-entra-ne-bel-et-bien-une-prise-de-poids_art7803.html

mercredi 23 juin 2010

Cancer de l’utérus : lancement d’une nouvelle campagne de lutte en France

Le ministère de la Santé et l'Institut national du cancer (INCa) s'associent pour lancer une campagne nationale de mobilisation contre le cancer du col de l'utérus.
Le but de cette campagne est de sensibiliser les femmes aux différentes méthodes de prévention et de dépistage du col de l'utérus.

Ces dernières peuvent avoir recours au dépistage par frottis cervico-utérin afin de détecter les lésions cancéreuses ou précancéreuses du col de l'utérus. Elles bénéficient alors d'un traitement avant que le cancer ne soit trop développé, permettant de réduire au minimum le risque de décès. Malheureusement, les femmes ne sont pas à égalité devant cette méthode, certaines en bénéficiant trop, et d'autres pas assez.

La vaccination contre le Papillomavirus humain est également recommandée pour les jeunes filles. Celui-ci est en effet à l'origine de 70% des cancers du col de l'utérus. Elles devront évidemment, par la suite, subir des frottis cervico-utérin car le vaccin ne les remplace aucunement.

Des dépistages seront proposés dans neuf départements de France dans le cadre d'une expérimentation, ainsi que dans les quatre départements "pilotes" (Haut-Rhin, Bas-Rhin, Isère et Martinique). Deux millions de femmes devraient bénéficier des différents programmes qui seront proposés.

2.800 femmes sont victimes du cancer du col de l'utérus chaque année en France, et près de 1.000 d'entre elles n'y survivent pas. Un dépistage précoce permet de considérablement diminuer le risque de décès.

http://www.maxisciences.com/campagne/cancer-de-l-uterus-lancement-d-une-nouvelle-campagne-de-lutte-en-france_art7812.html

mardi 22 juin 2010

Santé publique : le péril de la contrebande africaine...

Des chercheurs de la Zoological Society of London (ZSL) estiment que 270 tonnes de gibier sont illégalement introduites en Europe chaque année par le seul aéroport de Roissy-Charles de Gaulle.
Du gibier en provenance d'Afrique et transporté par des passagers dans leurs bagages. Il va de soi qu'il est rigoureusement interdit d'introduire ainsi en Europe, toute denrée alimentaire - et a fortiori du gibier d'origine sauvage. Car en plus de ses conséquences environnementales et économiques, ce marché hors-la-loi comporte des risques sanitaires potentiellement considérables.

Du crocodile, du pangolin une espèce proche du fourmilier - et même du singe. De grandes quantités de viandes de ces espèces, dont certaines sont en voie d'extinction et inscrites sur la liste des espèces menacées, ont été saisies dans les bagages de passagers interceptés à Roissy Charles-de-Gaulle.

Pendant 17 jours, les valises de 134 passagers arrivés par 29 vols ont été fouillées. Résultat : 5 tonnes de gibier, en provenance essentiellement de République centrafricaine, du Cameroun et de République Démocratique du Congo ont été saisies. Ces marchandises étaient en partie destinées à un commerce sous le manteau, mais « répondaient également à des commandes prises en amont » de leur acheminement, indiquent les auteurs.

« Ce trafic peut favoriser l'importation de certaines bactéries à l'origine d' intoxications alimentaires graves - Escherichia coli, Listeria et différentes espèces de staphylocoques », nous a confié le Dr Marcus Rowcliffe, l'un des co-auteurs de l'étude et par ailleurs, membre de la ZSL. « En revanche la transmission de virus tel le virus Ebola dont le réservoir est un singe africain, n.d.l.r. - est moins probable. La plupart des morceaux confisqués avaient en effet été fumés ». Tout risque de diffusion d'affections telles que la peste porcine ou la maladie mains-pieds-bouche, n'est cependant pas écarté. Transposé à l'échelle européenne, ce trafic constitue pour les auteurs « ... Lire la suite sur DestinationSante.com
http://www.destinationsante.com/Sante-publique-le-peril-de-la-contrebande-africaine.html

lundi 21 juin 2010

Don d'organes : "Pour sauver des vies, il faut l'avoir dit

Le message est clair. "Pour sauver des vies, il faut l'avoir dit", prône l'Agence de la biomédecine à l'occasion de la 10e Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe, qui a lieu mardi 22 juin. En d'autres termes, il est essentiel de faire part de sa décision à sa famille ou à ses proches, pour leur éviter bien des tracas supplémentaires si, un jour, la question se pose. Or, malheureusement, c'est loin d'être toujours le cas, comme le confirme un sondage réalisé en ligne à cette occasion par Harris Interactive*.

Le sujet a été évoqué par un peu plus de la moitié des Français depuis le début de l'année, presque exclusivement auprès de leurs proches. Les femmes, et notamment les plus jeunes, parlent plus facilement du don d'organes que leurs homologues masculins : une sur deux en a discuté avec l'un de ses intimes, contre seulement un homme sur trois. En revanche, seuls 41 % des Français de plus de 50 ans en ont parlé à leur entourage. Et pourtant, plus de la moitié des personnes interrogées (57 % des femmes, contre seulement 46 % des hommes) affirment vouloir faire don de leurs organes après leur mort. Une volonté qui est en général communiquée par les enfants à leurs parents, alors que dans l'autre sens, ce thème est moins facilement abordé. De plus, les Français font plus facilement part de leur décision à leurs amis qu'à leurs frères et soeurs.

C'est le plus souvent un reportage dans les médias qui provoque le débat. 37 % des Français disent avoir discuté du don d'organes à la suite de la diffusion d'un reportage à la télévision sur le sujet. Les femmes semblent plus particulièrement réceptives à ce type de média (41 %, contre 32 % pour les hommes). Les informations issues de la presse écrite sont citées par 16 % des Français ayant discuté du don, celles issues de la radio par seulement 3,5 % d'entre eux. Enfin, ils sont 9 % à estimer qu'une campagne de communication en ligne pourrait les inciter à échanger avec leurs proches. Sans surprise, les jeunes de moins de 24 ans se démarquent significativement sur ce type de campagne : 20 % d'entre eux estiment qu'ils seraient incités à en parler après son visionnage.

* Sondage réalisé du 5 au 12 mai 2010, auprès d'un échantillon de 864 personnes représentatives de la population française, âgées de 15 ans et plus.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/anne-jeanblanc/don-d-organes-pour-sauver-des-vies-il-faut-l-avoir-dit-21-06-2010-468958_57.php

Des moisissures détectées dans des flacons d'Eosine

Sept lots de flacons de solution asséchante Eosine 2% de marque Cooper, destinée au soin du cordon ombilical et du siège du nouveau né, font l'objet d'un rappel, par précaution, à la suite de la découverte de moisissures, selon l'agence du médicament. «Le germe identifié, Penicillium corylophilum, n'est pas considéré comme pathogène».

Mais «compte tenu de la population concernée, l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) recommande, par précaution, de ne pas utiliser les flacons d'éosine 2% Cooper, solution asséchante (50 ml et 100 ml), comportant les numéros de lots 4248, 4283, 3971, 4528, 4529, 4530, 4531, et de les rapporter à la pharmacie, et en cas de réaction cutanée, de consulter son médecin traitant».

Le signalement, par une pharmacie d'officine, de la présence d'un dépôt dans un flacon, a conduit le laboratoire à procéder à des contrôles. Les résultats montrent que 5 lots de solution présentent une contamination microbiologique avec une moisissure. Les deux derniers lots retirés du marché pourraient se révéler contaminés dans plusieurs semaines, le germe décelé ayant une «croissance lente».

Selon les analyses du laboratoire, l'origine de cette contamination semble provenir de la présence du germe non pathogène identifié dans l'environnement de production. Le laboratoire Cooper conduit actuellement des analyses afin d'apporter la confirmation que les germes contenus dans les flacons contaminés sont de la même espèce. Les résultats sont attendus avant fin juin.

http://www.leparisien.fr/societe/sante-des-moisissures-detectees-dans-des-flacons-d-eosine-21-06-2010-972532.php

dimanche 20 juin 2010

Vrais progrès autour du cancer de la prostate

Deuxième cause de décès par cancer chez l'homme mais premier par la fréquence, le cancer de la prostate évolue depuis quelques années dans deux sens: sa mortalité diminue (un peu moins de 10 000 décès par an) mais le nombre de nouveaux cas augmente très vite: 71 000 attendus en 2009, contre 62 000 en 2005. «Cette augmentation est due essentiellement au dépistage», précise le Pr Olivier Cussenot, urologue à l'hôpital Tenon (Paris). «Le cancer de la prostate est responsable de 1% des décès, mais 40% des hommes de plus de 50 ans ont des foyers microscopiques. La grande majorité de ces lésions est associée au vieillissement et évolue très peu.»
Les symptômes de ce cancer très lent peuvent être tardifs, voire postérieurs à la formation de métastases, surtout osseuses. Après 50 ans, le médecin propose donc souvent un dépistage régulier par dosage sanguin du PSA («prostate specific antigen»), une protéine sécrétée spécifiquement par la prostate. «Le PSA dépend du taux des hormones mâles ou androgènes, dont la testostérone. Son taux sanguin augmente en cas de cancer, mais aussi d'infection, d'inflammation. Passé 50 ans, 40% des hommes ont une hypertrophie bénigne de la prostate, qui augmente le PSA, et 30% un déficit androgénique, qui le diminue. C'est un marqueur de la prostate qui peut révéler un cancer mais n'en est pas spécifique», insiste le Pr Cussenot. Le PSA varie aussi d'un homme à l'autre et en fonction de l'âge, qui est aussi le premier facteur de risque du cancer de la prostate, avec une origine africaine ou antillaise, la présence d'autres cancers dans la famille, certains variants génétiques et des facteurs environnementaux.

Devant un PSA élevé et une prostate suspecte au toucher rectal, le médecin va proposer une biopsie. Effectuée en divers points de la glande, elle seule peut détecter un cancer et permet d'en mesurer l'agressivité, exprimée par le score de Gleason. Dans un tiers des tumeurs, ce score est élevé, signe d'un ca... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
http://www.lefigaro.fr/sante/2010/06/13/01004-20100613ARTFIG00271-vrais-progres-autour-du-cancer-de-la-prostate.php

samedi 19 juin 2010

Cette injection qui pourrait sauver des milliers de vie

Le TXA est peu coûteux, disponible dans de nombreuses régions du monde... mais faute d'une injection rapide de ce produit anti-hémorragie aux victimes d'accidents ou lors d'accouchements difficiles, des milliers de personnes meurent chaque année

L'injection d'un médicament anti-hémorragie peu coûteux pourrait sauver des milliers de vies chaque année dans le monde, parmi les traumatisés victimes d'accidents de la route ou de violence, selon une vaste étude internationale publiée mardi dans la revue médicale The Lancet.

L'étude CRASH-2, menée sur 20.000 patients adultes de 274 hôpitaux de 40 pays, montre que l'administration précoce d'un médicament "antifibrinolytique" (anti-caillot), le TXA, a permis de réduire le risque de décès de toutes causes de 10% comparé au placebo et de 15% pour le risque de mourir d'hémorragies. L'administration du TXA peu de temps après le traumatisme pourrait prévenir jusqu'à 100.000 morts par an dans le monde, selon les chercheurs. En Inde quelque 13.000 vies pourraient ainsi être épargnées et environ 12.000 en Chine. Ce traitement sauverait environ 2.000 vies par an aux Etats-Unis.

4,50 dollars le gramme

Le coût du TXA (acide tranexamique), un médicament qui n'est plus sous brevet, est d'environ 4,50 dollars le gramme. Ce type de médicaments est largement utilisé en chirurgie pour diminuer la perte de sang pendant l'opération et les besoins en transfusions, mais leur effet sur les patients traumatisés, avec hémorragie sévère ou à risque d'en faire une, demeurait jusque là inconnu.

Dans la population âgée de 5 à 45 ans, le traumatisme est la deuxième cause de mortalité, uniquement précédée du sida. "Chaque année près de 600.000 patients blessés saignent au point d'en mourir dans le monde", souligne le Dr Ian Roberts, professeur d'épidémiologie à Londres (London School of Hygiene and Tropical Medicine). "Les blessures peuvent être accidentelles, comme les accidents de la route, intentionnelles, telles les blessures par balle, à l'arme blanche ou provoquées par des mines et la majorité des décès surviennent peu après. Bien que la plupart de ces morts surviennent dans les pays en développement, les traumatismes sont une cause prédominante de décès parmi les jeunes adultes dans le monde", ajoute-t-il.

Chaque année, dans le monde, près de 3 millions de personnes décèdent des suites d'un traumatisme. Le TXA pourrait réduire les hémorragies cérébrales après un traumatisme crânien, mais des nouvelles études sont nécessaires pour le vérifier. Ce médicament pourrait aussi servir à réduire les hémorragies consécutives à un accouchement qui tuent environ 100.000 femmes par an dans le monde (étude en cours).
http://lci.tf1.fr/science/sante/2010-06/cette-injection-qui-pourrait-sauver-des-milliers-de-vie-5882203.html

vendredi 18 juin 2010

Un ver de terre nous apprend à protéger notre mémoire

Un petit ver de terre d'un millimètre de long, qui ne dispose que de 300 neurones et au total de 1 000 cellules, n'en finit pas d'éclairer les chercheurs du monde entier sur les manières de lutter contre le vieillissement et les troubles de la mémoire. Dénommé Caenorhabditis elegans (C. elegans), utilisé depuis la fin des années 1960 dans les laboratoires de recherche les plus pointus, ce ver a d'ores et déjà permis de découvrir des stratégies de lutte efficaces contre le vieillissement chez les mammifères.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, un travail sur C. elegans publié le 18 mai dans la revue internationale «PLoS Biology» révèle que certaines modifications, comme la restriction calorique ou l'inhibition du récepteur à l'insuline (hormone qui s'élève lors de la consommation de sucre et impliquée dans le stockage des graisses), peuvent rendre la mémoire plus performante. «Aujourd'hui, les autorités politiques ne nous demandent plus d'augmenter l'espérance de vie mais la durée de vie en bonne santé, comme le prouvent les appels d'offres actuels de l'Europe, explique Hugo Aguilaniu (biologiste, École normale supérieure, Lyon). C'est tout l'objectif des travaux que nous menons sur des modèles expérimentaux, comme le ver C. elegans, le rat et les primates.»

Ce ver, transparent, vit au maximum trois semaines. Sa courte espérance de vie en fait un modèle unique pour apprécier très vite l'impact de stratégies sur le vieillissement. Des recherches récentes avaient déjà permis d'observer que cette restriction calorique ou l'inhibition des récepteurs à l'insuline étaient deux moyens de multiplier par deux sa durée de vie. Extrapolées à l'homme, nous pourrions vivre 160 ans!

Tout récemment, l'équipe de Coleen Murphy (Princeton, États-Unis) s'est intéressée aux techniques permettant d'améliorer la «mémoire» de ce ver. En couplant une odeur (celle de la butanone) à la présence de nourriture, elle a pu voir que ce ver savait se souvenir de l'odeur pen... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
http://www.lefigaro.fr/sante/2010/06/13/01004-20100613ARTFIG00268-un-ver-de-terre-nous-apprend-a-proteger-notre-memoire.php

jeudi 17 juin 2010

Anesthésie générale : la crainte persiste

Sur un panel de 460 personnes ayant subi une intervention chirurgicale, 85% ont déclaré, le lendemain de l'opération, qu'elles avaient eu peur de l'anesthésie générale, selon une étude publiée dans la revue internationale «Journal of Advanced Nursing». Plus précisément, 70% des patients ont répondu qu'ils avaient été «extrêmement angoissés» et seulement 15% «pas du tout inquiets».
La principale crainte est la peur de mourir à cause de l'anesthésie, vient ensuite celle de ne pas se réveiller après. Sont également mentionnées l'angoisse de se réveiller au beau milieu de l'intervention ainsi que l'anxiété de devoir patienter avant de passer au bloc opératoire. «Notre étude souligne l'importance de la nécessité de donner aux patients une bonne information sur l'anesthésie avant le jour de l'intervention chirurgicale», a estimé le Dr Mark Mitchell, de l'université britannique Salford.

«Nous sommes très mauvais pour réduire l'anxiété des malades, admet volontiers le Pr Michel Lévy, président du Syndicat national des anesthésistes-réanimateurs de France ( Snarf ). Il est vrai qu'il est difficile, lors d'une consultation où légalement nous devons informer les patients des risques éventuels de l'anesthésie, de les rassurer.» Le cas de Jean-Pierre Chevènement, victime d'une allergie à un produit anesthésiant en 1998, a créé un choc dans l'opinion publique en France.

Pourtant, si l'on s'en tient aux statistiques, l'anesthésie générale ne devrait pas faire peur. «Il y a vingt ans, le risque de ne pas se réveiller et de mourir des complications de l'anesthésie s'élevait à 1 pour 10 000 dans les pays riches, explique ainsi le Pr Alexandre Mignon, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital Cochin. En 2000, ce chiffre tombait à 1 pour 200 000.»

Mesurer la profondeur du sommeil

Il faut dire qu'entre-temps les structures au sein des établissements hospitaliers se sont considérablement améliorées et les salles de réveil ont vu le jour. «Les malades sont surveillé... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
http://www.lefigaro.fr/sante/2010/06/13/01004-20100613ARTFIG00269-anesthesie-generale-la-crainte-persiste.php

mercredi 16 juin 2010

Mieux guérir : le stress montré du doigt

Une équipe scientifique du King's College de Londres met en évidence les effets néfastes du stress sur le processus de guérison.
Le vieil adage qui affirme que "le moral, c'est 50% de la guérison" aurait donc des raisons scientifiques d'exister. En effet, des chercheurs en psychiatrie ont mené une étude sur les effets du stress chez des patients souffrant de blessures diverses. Résultat : les plus stressés récupèreraient deux fois moins vite que les patients plus détendus. L'expérience est très sérieuse : on a mesuré les quantités de cortisol, connu comme l'hormone du stress, chez chacun des cobayes. Ces derniers ont ensuite subi un interrogatoire sur leur état psychologique. Enfin, un prélèvement de peau a été effectué pour évaluer le temps de cicatrisation.Une étude donnant les mêmes résultats a été menée en parallèle. Certains patients ont tenu un journal où ils exposaient leurs inquiétudes alors que d'autres tentaient de trouver une façon efficace de gérer leur temps. C'est chez le premier groupe qu'on a constaté un processus de guérison le plus satisfaisant.
http://www.maxisciences.com/stress/mieux-guerir-le-stress-montre-du-doigt_art7756.html


mardi 15 juin 2010

Alzheimer : de nouvelles découvertes

Selon les chercheurs, des antagonistes du récepteur au glutamate pourraient freiner, voire enrayer, le phénomène de détérioration des synapses impliquée dans les troubles de la mémoire.
Des scientifiques de l'Institut de Biologie de l'Ecole Normale Supérieure et de l'Université Northwestern (Chicago) ont étudié, grâce à un système de marquage de nanoparticules, la progression de molécules spécifiques, les oligomères béta-amyloïdes, sur des neurones d'hippocampe de souris.

Résultat, les oligomères béta-amyloïdes s'accumulent au niveau des synapses pour former des "agrégats amyloïdes"; ce qui provoque une "diminution de la mobilité de certains récepteurs du glutamate (mGluR5)", un neurotransmetteur.

Selon les chercheurs, c'est ce phénomène qui génère la détérioration et le dysfonctionnement des synapses liée aux troubles de la mémoire. Ainsi, les scientifiques estiment que des antagonistes des mGluR5 pourraient prévenir les troubles de la phase initiale de la maladie.

"Les mGluR5 pourraient être une meilleure cible pour le traitement de la maladie d'Alzheimer que d'autres récepteurs spécifiques au glutamate jusqu'à présent ciblés. Les mGluR5 étant situés plus en amont dans la voie de la toxicité synaptique. De plus, via le nouveau mécanisme pathologique que nous avons découvert, nos résultats ouvrent la voie pour de nouvelles approches thérapeutiques alternatives ou complémentaires", indique Antoine Triller, directeur de l'Institut.
http://www.topsante.com/actualite/view/178841/Actus/Alzheimer-de-nouvelles-decouvertes

lundi 14 juin 2010

L'Assurance maladie rembourse peu les soins dentaires

Les soins dentaires coûtent cher, tous les Français le savent bien, et c'est pourquoi certains d'entre eux tardent à consulter leur dentiste. La Commission des comptes de la Sécurité sociale ( CCSS) le confirme dans son rapport sur les résultats 2009, très récemment mis en ligne sur le site de la Sécurité sociale. Elle constate que les dépenses dentaires sont financées pour un peu plus d'un tiers par l'Assurance maladie obligatoire, l'État et les organismes de base finançant la couverture maladie universelle (37,1 %), pratiquement autant par les assurances complémentaires (37,2 %), 25,7 % restant à la charge des ménages. Le rapport précise que les dépenses totales de soins dentaires, remboursables ou non, ont atteint 9,7 milliards d'euros en 2008.

Entre 1995 et 2008, la part des organismes de base dans la dépense totale s'est effritée, passant de 39,5 à 37,1 %, ce qui s'explique par "la progression rapide des dépassements d'honoraires qui représentent près de la moitié des honoraires totaux", soit 49,7 % en 2008 contre 46,4 % en 1995. À l'inverse, le taux de prise en charge sur la part remboursable des soins dentaires est stable, à 73,6 %. Selon les graphiques présentés dans le rapport, un chirurgien-dentiste libéral a réalisé en 2008 une moyenne de 320 actes de soins prothétiques, facturés 120.000 euros (35.000 euros d'honoraires opposables et 85.000 euros de dépassements). La profession regroupait 41.422 chirurgiens-dentistes en 2008 (39.284 en 1995), dont 88 % exerçaient une activité libérale. Enfin, 56 % de ces spécialistes exercent en cabinet individuel.

Les honoraires moyens perçus par un chirurgien-dentiste en 2007 s'établissent à 220.000 euros, mais peuvent varier de 167.000 à 311.000 euros selon les régions, précise le rapport de la Commission. Les dépassements constituent la moitié des honoraires (actes d'orthopédie dento-faciale et soins prothétiques en particulier), et les soins prothétiques (12 % de l'activité) représentent, à eux seuls, 58 % des honoraires totaux. L'écart important constaté entre les honoraires et le revenu moyen (81.400 euros en 2007) s'explique par "un taux de charges relativement élevé de 63 % (qui inclut notamment le coût des prothèses dentaires), supérieur à celui des autres professions médicales", souligne la Commission.
http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2010-06-14/rapport-l-assurance-maladie-rembourse-peu-les-soins-dentaires/1055/0/466453

Cancer du poumon : traiter même après 70 ans

Il est aujourd'hui possible de proposer aux patients de plus de 70 ans souffrant d'un cancer du poumon une combinaison de deux chimiothérapies. Un schéma thérapeutique réservé jusqu'à présent, aux malades plus jeunes.
Les résultats sont prometteurs, à en croire une étude française présentée à Chicago devant les participants au Congrès de l'American Society of Clinical Oncology. Cette stratégie thérapeutique pourrait ainsi, entrer rapidement dans la pratique.

Pour le Pr Elisabeth Quoix, pneumologue aux Hospices civils de Strasbourg, « c'est un progrès marquant dans la lutte contre le cancer du poumon ». Elle a suivi 451 patients de plus de 70 ans, dont un premier groupe a été traité une combinaison de deux chimiothérapies, les autres recevant une monothérapie.

Après un an de traitement, 45 % des patients ayant bénéficié de deux chimiothérapies associées étaient en vie, contre seulement 27% dans l'autre groupe. La médiane de survie quant à elle, s'est avérée supérieure de 4 mois dans le premier groupe. Des données encourageantes, précise le Pr Jean-François Morere, cancérologue à l'hôpital Avicenne de Bobigny. « Cette étude bat surtout en brèche de nombreuses idées reçues. Auparavant, il était généralement admis que ce type de traitement pouvait se révéler plus toxique chez les personnes âgées. Autre fait notable, ces patients se sont révélés bien plus sensibles à ces traitements que les malades plus jeunes. »

Une fréquence plus importante des neutropénies fébriles (une chute du nombre de globules blancs, n.d.l.r.) a néanmoins été observée dans le groupe traité par bithérapie. De sorte que si « cette étude est assurément porteuse de bonnes nouvelles, il faudra prévoir un encadrement spécifique au niveau des effets secondaires », précise Jean-François Morere. Autre donnée positive, l'efficacité du traitement a été observée dans pratiquement tous les groupes de patients, même les plus fragiles.

Cette étude montre qu'il n'y aucune raison de ne pas traiter un canc... Lire la suite sur DestinationSante.com
http://www.destinationsante.com/Cancer-du-poumon-traiter-meme-apres-70-ans.html

Cancer du col: comment le dépister?

Destinée à sensibiliser les femmes aux frottis de dépistage et les jeunes filles à la vaccination contre le Papillomavirus humain, cette campagne de mobilisation sera déclinée en affiches, en brochures d'information et en sports radio.
Cette campagne de prévention vise à informer les femmes sur les différentes possibilités de dépister le cancer du col de l'utérus, mais aussi à réduire les inégalités en matière de recours au dépistage de la maladie. Inscrit dans le Plan cancer 2009-2013, ce dispositif d'information est également destiné à inciter les femmes de 25 à 65 ans à recourir au dépistage de manière systématique, à savoir tous les 3 ans.

L'objectif: sensibiliser les femmes dès 25 ans à l'importance du frottis cervico-utérin permettant de détecter les lésions cancéreuses du col de l'utérus.

Les femmes pourront également se procurer une nouvelle brochure d'information sur le frottis de dépistage dans l'ensemble des pharmacies de l'Hexagone. En outre, les jeunes filles et leur mère bénéficieront de deux espaces en ligne pour s'informer sur la vaccination contre le Papillomavirus humain.

L'espace dédiée aux jeunes filles comportera deux entrées, l'une pour les filles de 14 ans, l'autre pour les 15-23 ans, âge du rattrapage du vaccin. La campagne propose également un espace sur le site communautaire Facebook pour sensibiliser les adolescentes à la vaccination.

Quelque 2 millions de femmes pourront ainsi bénéficier de ce programme de dépistage et de suivi de la maladie. Les structures départementales inviteront, par courrier, les femmes n'ayant pas fait de frottis depuis trois ans et relanceront celles n'ayant pas donné suite au signalement d'une anomalie sur leur dépistage.

Selon l'INCa, plus de 2.800 femmes sont touchées par un cancer du col de l'utérus chaque année en France, soit près de 1.000 décès par an.

Source : www.e-cancer.fr
http://www.topsante.com/actualite/view/178839/Actus/Cancer-du-col-comment-le-depister


dimanche 13 juin 2010

Anti-âge : 3 exos de gym faciale simplissimes

Tout comme le corps, le visage est composé de plusieurs muscles. Ce sont eux qui donnent à la peau sa tonicité. Au fil des années, ces muscles saffaissent, la peau perd de sa fermeté. Pour lutter contre les effets du temps et préserver son tonus, il est donc important de les entretenir.

Pour cela, rien de tel que la gym faciale. Cette méthode simple aide en effet à soutenir les muscles de lensemble du visage, du front au menton, en passant la pointe du nez ou le contour des lèvres.

Pour des résultats significatifs, quelques minutes par jour suffisent. Avec un peu dentrainement, vous serez surprise des résultats : votre peau est mieux irriguée, plus souple et plus ferme : comme rajeunie !

Gym faciale pour lisser le front

Ce premier exercice est idéal pour entretenir votre muscle frontal et agir contre les rides. Il permet aussi dactiver la circulation sanguine du cuir chevelu pour lutter contre la chute des cheveux.

- Placez-vous face à un miroir. Remontez votre front puis relâchez-le.

- Posez délicatement vos mains à plat sur le front (lune sur lautre), et faites bouger la peau de haut en bas. Les mains suivent le mouvement de manière passive.

- Pressez ensuite les mains contre votre front. Faites remonter le muscle frontal contre la résistance opposée de la main. Bloquez pendant 5 secondes et répétez lexercice 4 fois.

- Pour finir, faites des mouvements circulaires avec les doigts. Fermez les yeux et sentez les bienfaits apportés à votre peau.

Gym faciale pour raffermir le contour des yeux

Idéal pour limiter lapparition des fameuses pattes doie, cet exercice permet de stimuler le muscle orbiculaire. Parfait également pour lutter contre les poches sous les yeux et les paupières tombantes.

- Baissez doucement les paupières, puis fermez les yeux fortement pendant quelques secondes.

- Posez ensuite chaque majeur sur le coin externe des yeux. Etirez légèrement ...Lire la suite sur TopSante.com
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samedi 12 juin 2010

Incollable sur les gélules à bronzer !

C'est un concentré de jus de carottes.

VRAI - Les gélules contiennent des caroténoïdes, des molécules que l'on trouve dans tout le monde végétal : plantes, légumes, fruits, algues. Il peut s'agir du bêta-carotène - l'une des premières molécules utilisées mais de plus en plus abandonnée au profit du lycopène -, de la lutéine et, depuis cette année, du phytoène et du phytofluène. Il semble aussi que les caroténoïdes d'origine naturelle sont plus efficaces que les synthétiques.

La peau bronze tout en étant protégée.

VRAI - Mais pas seulement. Au départ, les dermatologues prescrivaient ces gélules pour réduire les risques d'intolérance au soleil chez les personnes prédisposées... C'est toujours le cas. Mais on s'est peu à peu aperçu que, sans toutefois remplacer les crèmes protectrices, elles minimisaient les coups de soleil. En fait, elles permettent de bronzer plus, même avec une peau claire, en s'exposant moins. Grâce à leurs propriétés antioxydantes, elles protègent l'ADN des cellules bombardées par les UVA et UVB. Ce qui préserve notre capital solaire face aux maladies de peau liées aux expositions (mélanomes). Notez que la lutéine protège l'épiderme, mais également les yeux, réduisant ainsi le risque de cataracte de près de 50 %.

Il faut en prendre dès le premier jour d'exposition.

FAUX -Pour être efficace, le traitement doit être démarré trois semaines avant l'exposition. Cependant, l'idéal est de le suivre pendant toute la période d'ensoleillement et ce, jusqu'à la rentrée !

Ca marche vraiment !

VRAI - Plusieurs dizaines d'études cliniques ayant fait l'objet de publications scientifiques ont démontré l'efficacité des caroténoïdes en tant que protecteurs et fortifiants de la peau face au soleil. On peut même considérer ces gélules comme un produit antirides qui renforce et protège notre peau de l'intérieur. Notez enfin que, sans que l'on sache pourquoi, certaines personnes sont plus réceptives que d'autres. Autreme ...Lire la suite sur TopSante.com
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vendredi 11 juin 2010

Cheveux : retrouvez votre couleur naturelle

Retrouvez votre couleur après un balayage


La principale difficulté :

Eviter le choc psychologique d'une chevelure subitement plus foncée et surtout plus uniforme que celle à laquelle on était habituée.

Au plan technique, le maniement des pigments doit s'effectuer avec prudence et maîtrise, surtout lorsque les cheveux sont longs avec des mèches très blanches qui ne demandent qu'à virer au vert, les cheveux « balayés » étant aussi sensibilisés que des cheveux décolorés en totalité.

La bonne méthode :

Il faut expliquer et prévenir que la transformation s'effectuera en deux ou trois opérations. Ensuite, le coiffeur pratique tout simplement un nouveau balayage, mais d'une nuance plus soutenue pour « remonter » la couleur petit à petit, tout en gardant relief et lumière. En sachant qu'il éclaircira un peu avec les shampooings.

A la maison :

Lavez vos cheveux avec un shampooing le plus doux possible, sans tensio-actifs, l'équivalent pour le visage d'un savon sans savon pour sensibiliser les longueurs au minimum, et garder le maximum de brillance et de reflets.

Naturelle... mais sans cheveux blancs

La principale difficulté :

Trouver la nuance exacte, ou plus précisément, celle qui vous ira le mieux. C'est important si vous aviez des boucles « aile de corbeau » à 15 ans. A 50, cela ne ferait pas naturel et durcirait les traits.

La bonne méthode :

En deux séances seulement, on peut obtenir la couleur souhaitée, quel que soit le pourcentage de cheveux blancs. Mais comme pour toutes les colorations permanentes, des retouches mensuelles sont nécessaires pour couvrir les racines.

A la maison :

Soignez vos cheveux pour les faire briller, car la différence entre une coloration châtain et un châtain naturel est qu'après quelques shampooings, la première ternit. Un soin capillaire, donc, avant chaque lavage, aura pour mission de resserrer les écailles des cheveux. La lumière se reflétant mie ...Lire la suite sur TopSante.com
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jeudi 10 juin 2010

Un espoir dans la lutte contre certaines tumeurs du cerveau

C'est un premier pas dans le combat contre le médulloblastome, tumeur du cerveau la plus fréquente chez l'enfant et le jeune adulte : une thérapie expérimentale ciblée a donné des résultats préliminaires encourageants, selon une petite étude clinique publiée samedi. Le médicament, appelé GDC-0449, développé par les firmes de bio-technologie américaine Curis et Genentec - cette dernière a été rachetée en 2009 par le groupe pharmaceutique helvétique Roche - bloque la protéine extracellulaire "Hedgehog" qui est essentielle pour la régulation de la croissance cellulaire. "Hedgehog" serait responsable de 20% des médulloblastomes ainsi que d'autres types de cancer.
Douze des treize enfants ayant participé à cette étude ont parfaitement toléré le médicament sans effets secondaires notables, dont un patient qui a été traité avec cette thérapie expérimentale pendant plus d'un an sans progression de la tumeur.

L'avenir appartient-il aux thérapies ciblées ?

Dans un cas précédent, un jeune homme atteint d'un médulloblastome avec une activation génétique de la protéine "Hedgehog" a obtenu les mêmes résultats prometteurs avec le GDC-0449, a expliqué le Dr Amar Gajjar, directeur du service de neuro-cancérologie à l'hôpital des enfants St. Jude à Memphis. Il est le principal chercheur ayant conduit cette étude clinique présentée à la 46e conférence annuelle de l'American Society of Clinical oncology réunie ce week-end à Chicago.

"Un certain nombre de ces patients ont été traités avec le GDC-0449 pendant des périodes prolongées et les premiers résultats sont positifs et encourageants", a-t-il souligné lors d'une conférence de presse. Tout en notant que les traitements les plus prometteurs "pour traiter ces enfants atteints de cette tumeur sont les thérapies ciblées comme celle-ci, qui bloquent des fonctions clés de la tumeur l'empêchant de fonctionner ou de se régénérer".
http://lci.tf1.fr/science/2010-06/un-espoir-dans-la-lutte-contre-certaines-tumeurs-du-cerveau-5870519.html

mercredi 9 juin 2010

Faites-vous de jolies jambes avant l'été

Le massage, on le sait, ça fait du bien à la peau... Ça active la circulation, ça améliore la pénétration des actifs et ça stimule le drainage lymphatique. Réalisé avec un soin raffermissant, il va permettre de retonifier des genoux un peu flasques, des cuisses trop potelées, et de diminuer le volume dune culotte de cheval. À partir de 45 ans, la peau a tendance à se relâcher, explique le Dr Ariel Toledano*, angiologue-phlébologue, car les tissus de soutien (collagène et élastine) sabîment avec lâge. Cest surtout visible sur la face interne des cuisses. Essentiel, le massage va permettre de mieux désengorger les tissus. Pas besoin quil soit trop compliqué ou trop long: quelques minutes matin ou soir, cest déjà très bien pour optimiser laction du soin. Lidéal: on remonte en douceur avec ses deux mains le long de la jambe, de bas en haut. Sur la cuisse, on frictionne la culotte de cheval plusieurs fois de bas en haut, le poing fermé, avec le plat des phalanges. Puis, assise, on fait des palpers-roulers sur les faces internes et externes des cuisses, en partant du genou pour terminer à laine.

Merci à Ariel Toledano, auteur du "Guide santé et beauté de vos jambes", éditions Dauphin.

Une recette anti-cellulite maison ? Une fois par semaine, mélangez 40g de fleur de sel, une cuillère à soupe d'huile d'olive et un jus de citron jusqu'à obtenir une pâte épaisse. Appliquez-la avec un gant de massage sur les cuisses et les fesses, par mouvements circulaires. Puis rincez à l'eau froide.

Merci à Laura Panaïte, auteur de "Sel, saveur et vertus", éditions Grancher.

Raffraîchissez-vous pour des jambes légères

Dès quil commence à faire beau, les jambes souffrent de la chaleur. En fin de journée, si vous avez besoin de soulager ces sensations de lourdeur, filez sous la douche. Commencez par asperger vos jambes dun jet deau tiède, puis passez progressivement à leau froide. Il ny a pas mieux pour pro ...Lire la suite sur TopSante.com
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mardi 8 juin 2010

Faites contrôler votre vision gratuitement

Délaissée par les Français, la santé visuelle a l’occasion d’être pour une fois au centre des préoccupations. Au cours de la 6e édition des journées de la vision organisées par l’Association nationale pour l’amélioration de la vue (Asnav), quelque 6.000 opticiens partenaires proposent de tester gratuitement et sans rendez-vous votre acuité visuelle et vision périphérique pour diagnostiquer d’éventuels défauts. « Lorsque les premiers symptômes apparaissent, c’est qu’il est déjà trop tard, explique Catherine Jégat, responsable opération au sein de l’association. Il ne faut donc pas attendre et faire régulièrement contrôler sa vue. » Myopie, l’astigmatisme ou l’hypermétropie, suivant les résultats du test, l’opticien pourra conseiller d’aller consulter un ophtalmologiste.

Soleil et conduite : les Français imprudents
Des Journées de la vision bien utiles au regard des résultats du baromètre sur la santé visuelle commandé par l’Asnav et rendu public la semaine dernière. On y apprend qu’un quart des conducteurs ayant des défauts visuels ou des problèmes de vision ne portent jamais leur équipement correcteur au volant, et que par temps ensoleillé 59 % des Français ne portent pas systématiquement de lunettes de soleil pour conduire. « Ces résultats soulignent la nécessité de poursuivre les missions de prévention et d’information du grand public en matière de santé visuelle », indique Bertrand Roy, président de l’association.

Cette semaine sera aussi l’occasion de s’informer auprès des opticiens partenaires sur les différentes façons de protéger sa vue durant la période estivale. Choix de la protection solaire, prévention pour les enfants ou encore verres polarisants… Chacun pourra ainsi bénéficier de conseils pratiques délivrés par des professionnels de la santé. Et l’une des priorités de l’association concerne les lunettes vendues à la sauvette. Si ces lunettes vont protéger de l’éblouissement en raison de leur teinte très sombre elles ne filtrent en revanche aucun UV. Pire, elles risquent même de provoquer des lésions : protégée de la lumière la pupille se dilate et laisse pénétrer encore plus d’UV venant directement frapper la rétine. « Les lunettes homologuées doivent porter un étiquetage CE et un marquage de protection allant de 1 à 4, poursuit Catherine Jégat. Malheureusement ces authentifiants sont facilement imitables et parfois il vaut mieux ne pas mettre de lunettes et privilégier une bonne casquette. » D’autres conseils et la liste des opticiens participants sur : www.asnav.org
http://www.asnav.org/

http://francesoir.fr/medecine-sante/faites-controler-votre-vision-gratuitement

Bientôt un vaccin contre le cancer du sein ?

Pour l'instant, seules les souris sont concernées, grâce aux chercheurs américains du Lerner Research Institute de Cleveland, qui ont mis au point un vaccin les protégeant contre le cancer du sein. Ils ont présenté leurs résultats, dimanche 30 mai, sur le site Nature Medicine. Lire la suite l'article
Le vaccin mis au point par l'équipe du professeur Vincent Tuohy est dirigé contre une protéine produite en forte dose dans les tumeurs du sein, l'alpha-lactalbumine. Au bout de dix mois, les résultats ont montré qu'aucune des souris ayant reçu le vaccin n'avait été atteinte de cancer, alors que toutes celles n'ayant reçu que l'adjuvant (le vaccin sans la molécule active) ont développé un cancer.

Pour le professeur Tuohy, 'si le vaccin fonctionnait chez l'être humain comme chez la souris, ce serait monumental. Cela éradiquerait le cancer du sein'.

Même si les résultats sont encourageant, il ne faut pas oublier que la grande majorité des essais sur les animaux ne sont pas, par la suite, concrétisés par des traitements pour les humains. De plus, l'alpha-lactalbumine est également sécrétée lors de l'allaitement. Le vaccin, s'il aboutit un jour, ne pourrait alors qu'être administré aux femmes ne souhaitant plus d'enfants ou ménopausées pour éviter le risque que se déclare une maladie auto-immune
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/06/03/bientot-un-vaccin-contre-le-cancer-du-sein_1367522_3244.html#xtor=AL-32280184

lundi 7 juin 2010

Alerte au moustique-tigre

Le ministère de la Santé vient de décider de renforcer son dispositif de lutte estival contre le moustique-tigre qui propage le virus du chikungunya, une maladie tropicale grave, car sa présence a été détectée dans le sud de la France et pour la première fois dans la cité phocéenne. « Ce moustique a été observé très récemment dans certains quartiers de Marseille.
C’est une espèce particulièrement nuisible capable dans certaines conditions de transmettre des maladies comme le chikungunya (lire encadré) ou la dengue (NDLR : maladie infectieuse parfois mortelle) », indique la Direction générale de la santé.
Ce moustique-tigre (ainsi appelé en raison des rayures sur son abdomen) est également présent depuis quelques années dans les départements des Alpes-Maritimes, de Corse et du Var. Le ministère de la Santé précise « qu’il n’y a pas, à l’heure actuelle, d’épidémie » de ces pathologies « dans ces départements », mais il juge la situation suffisamment sérieuse pour décider de lancer des actions pour limiter une propagation de ces virus.
Le plan gouvernemental consiste à utiliser des insecticides pour éradiquer le moustique dans les zones où il s’implante, notamment en Camargue. Un appel à la population locale est aussi lancé : il est particulièrement conseillé « de supprimer les eaux stagnantes qui contiennent des larves de moustiques, à l’intérieur et autour de son domicile ».
Le moustique-tigre, dont le nom savant est Aedes albopictus, est souvent présent dans les gouttières et dans les pneus usagés. Les autorités sanitaires ont également décidé de recenser les cas de chikungunya chez les voyageurs qui reviennent de régions du monde où le virus circule de façon importante. « Des mesures de démoustication autour de ces cas » sont prévues afin d’éviter une contamination de leur entourage.
Sur Internet, certains parents s’inquiètent des piqûres que le tigre peut occasionner : « Ma fille s’est fait piquer par un moustique, la cloque rouge est tout de suite devenue très importante. On m’a dit qu’il s’agissait de ce nouveau moustique et qu’il fallait la faire examiner par un médecin », indique une maman. En réponse à ces inquiétudes, l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) conseille « de consulter son médecin traitant en cas de fièvre brutale et de douleurs articulaires ». Il est préconisé aussi « de porter des vêtements longs et amples et d’utiliser des produits antimoustiques ».
Les symptômes du chikungunya (douleurs articulaires très fortes, fièvre élevée) apparaissent quatre à sept jours après la piqûre de ce moustique.
http://www.leparisien.fr/societe/alerte-au-moustique-tigre-07-06-2010-953706.php

Pour les moustiques aussi, c'est l'été !

Le chikungunya et la dengue ne concernent pas que les départements et territoires d'outre mer. Le moustique Aedes albopictus, capable dans certains cas de véhiculer ces maladies, a fait son apparition dans le sud de la France dès 2004. Même si aucun cas n'est à signaler, le ministère de la Santé et des Sports, lance chaque année un dispositif de sensibilisation et de vigilance auprès des communes concernées
Actualisé cette année, le dispositif vise à accentuer la surveillance des populations de moustiques. Objectif : ralentir la progression de l'implantation de l'espèce. Surveillance également des humains. Limitée jusqu'à présent aux voyageurs de retour des zones où le virus circule, celle-ci est renforcée depuis le 1er mai dans les zones où la présence du moustique est avérée (Alpes-Maritimes, Haute-Corse et Corse du Sud, Var) « et depuis très récemment, dans certains quartiers de Marseille » indique le ministère. Ce dernier lance également une campagne d'explication des virus pour le grand public. Son but, apprendre à se protéger... et à protéger les autres. Il importe en particulier de supprimer tous les gites larvaires : eaux stagnantes à l'intérieur et autour de son domicile, qui peuvent contenir les larves de moustiques.
http://www.destinationsante.com/Pour-les-moustiques-aussi-c-est-l-ete.html

dimanche 6 juin 2010

Minceur: les différentes causes de votre prise de poids

Minceur : attention à l'excès de sodium

Le sodium favorise la rétention d'eau extra-cellulaire donc la prise de poids. On le retrouve dans une alimentation trop salée et aussi dans les boissons alcoolisées. Il est recommandé explique Eric Dache dans " Pourquoi je n'arrive à maigrir" de ne pas consommer plus de 3 grammes de sel par jour. Pour diminuer sa consommation de sel, il est important d'éviter au maximum les produits alimentaires industriels et des remplacer le sel par des épices et des herbes et de favoriser les aliments qui aident à maigrir.

Mincir: attention à certaines carences

Une carence en potassium rappelle Eric Dache favorise la rétention d'eau. Pour éviter ce trouble, il est recommandé de manger des abricots, de l'ail, des avocats, des bananes, des noix, des fèves.

Une carence en iode, explique Eric Dache peut provoquer une baisse de l'activité de la thyroïdienne, donc d'une prise de poids par manque d'oxydation. Pour combattre une carence en iode, mangez de l'ail, des algues marines, des asperges, des champignons, du poisson d'eau de mer, des fruits de mer.

Une carence en chrome augmente la production de l'insuline. Cette hormone permet d'assimiler les sucres. Pour éviter cette carence, Eric Dache insiste sur l'importance d'éviter les graisses saturées et les sucres raffinées. Les sources alimentaires du chrome sont: les céréales, les algues, le poulet, le foie de veau, les noix, les oeufs...

Mincir: les gestes à éviter

Sautez votre repas de midi: ce geste va dérégler un équilibre alimentaire essentiel à la perte de poids. Il favorise l'hypoglycémie qui entraîne des frénésies alimentaires.

Evitez de: consommer des produits à IG haut tels que les friandises, les sodas et tous les aliments raffinés comme le pain blanc, le sucre lent et des aliments plein de sucres cachés (sauces, pizza, les chips, les biscuits apéritifs).

Eliminez de votre alimentation : les ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/Femme/Nutrition-minceur/Minceur-les-differentes-causes-de-votre-prise-de-poids

samedi 5 juin 2010

La cerise, votre allié minceur de l'été

Les cerises : votre atout minceur

Ne vous privez pas de manger des cerises, sous prétexte quelles seraient trop sucrées ou trop caloriques ! Si elles contiennent, certes, davantage de glucides que la moyenne des autres fruits (17% environ, contre 12%), son apport énergétique reste modéré. Une poignée de cerises ne vous apporte que 100 kcal environ Cest-à-dire autant quun yaourt nature sucré, mais beaucoup moins quune glace !

Valeurs nutritionnelles (aux 100 g)

Energie 68 kcal

Glucides 15 g

Lipides 0,4 g

Protides 0,8 g

Les cerises: votre atout santé

La cerise nous fournit une quantité intéressante de vitamine C (15 mg aux 100 g) et de bétacarotène. Sa richesse en potassium lui donne des propriétés diurétiques, et ses fibres stimulent le fonctionnement intestinal.

Elle contient par ailleurs des polyphénols antioxydants qui protègent nos cellules des maladies dégénératives (cancers, maladies cardio-vasculaires).

Et plus original : une étude récente réalisée au Forsyth Dental Center (USA) montre que le jus de cerise peut neutaliser l'activité enzymatique aboutissant à la formation de plaque la dentaire. L'étude montre que le jus de cerise joue un puissant rôle anti-bactérien à ce niveau.

Merci à Fraich'Attitude

Les cerises : des idées de recettes

Tartine de fromage de brebis aux cerises

Dénoyautez des cerises. Préparez des tartines de Ossau Irati et passez-les sous le gril quelques instants. Déposez dessus des cerises et arrosez dun petit filet dhuile dolive. Servez ave ...Lire la suite sur TopSante.com
http://www.topsante.com/Femme/Nutrition-minceur/La-cerise-votre-allie-minceur-de-l-ete

vendredi 4 juin 2010

Assurance-maladie: le gouvernement annonce 600 millions d'euros d'économies supplémentaires

Le gouvernement a annoncé vendredi une série de mesures visant à économiser 600 millions d'euros supplémentaires sur les dépenses d'assurance-maladie pour combler le dépassement de d'objectif de dépenses pour 2010.

"Nous avons décidé un certain nombre de mesures correctrices dont le rendement 2010, estimé à 600 millions d'euros, viendra compenser la prévision de dépassement" des objectifs de dépense, déclarent les ministres Roselyne Bachelot (Santé), François Baroin (Budget) et Eric Woerth (Travail) dans un courrier adressé au Comité d'alerte sur l'évolution des dépenses d'assurance maladie.

Ces mesures ont été annoncées alors que le Comité d'alerte a estimé vendredi que l'objectif national de dépenses d'assurance maladie, fixé pour 2010 à 162,4 milliards d'euros, "pourrait être dépassé d'environ 600 millions d'euros en l'absence de mesures nouvelles". Le Comité n'a toutefois pas déclenché la procédure d'alerte, "le dépassement prévisible restant en deçà du seuil de 0,75% du montant de l'objectif (soit 1,2 milliard d'euros en 2010)".

Le gouvernement n'en a pas moins annoncé une série de mesures, parmi lesquelles une baisse supplémentaire de prix des médicaments, pour 100 millions d'euros, un gel des crédits du fonds pour la modernisation des hôpitaux (105 millions d'euros), ou un changement du mode de calcul des indemnités journalières de compensation des arrêts de travail (70 millions d'euros). AP
http://fr.news.yahoo.com/3/20100528/tfr-gouvernement-assurance-maladie-econo-56633fe.html


jeudi 3 juin 2010

Le saturnisme infantile a pris du plomb dans l'aile

De 84 000 cas à seulement 4 400 sur une période de 15 ans. L'Institut de veille sanitaire (InVS) publie dans la version web du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), les premiers résultats de l'enquête sur l'état du saturnisme en France. Basés sur les chiffres de2008-2009, ils montrent que le nombre de malades a été divisé par 20 depuis 1995, date de l'étude précédente
En France métropolitaine, le nombre des enfants de 1 à 6 ans touchés par cette intoxication au plomb est donc passé de 84 000 à 4 400. Ce résultat marque essentiellement l'efficacité de la prévention menée depuis 15 ans : suppression de l'essence au plomb, amélioration de l'alimentation, de l'habitat, du traitement des eaux de distribution publique

Mais ce chiffre encourageant ne doit pas faire oublier les 4 400 cas restants. Il s'agit pour la plupart d'enfants qui cumulent différents facteurs de risque : habitat dégradé ou insalubre, logement sur-occupé, environnement social défavorisé

http://www.destinationsante.com/Le-saturnisme-infantile-a-pris-du-plomb-dans-l-aile.html

mardi 1 juin 2010

Sportives: attention au cancer de la peau

Orchestrée par le Syndicat National des Dermatologues-Vénéréologues, une Journée a mis l'accent sur les risques encourus par ces deux populations, ainsi que sur la nécessité de prévenir la maladie grâce à une exposition solaire responsable.
Plusieurs centaines de dermatologues se mobiliseront dans quelque 300 centres de dépistage répartis dans toute la France pour vous informer, notamment vous qui travaillez dehors et vous les sportives en plein air, et vous les habitants de zones géographiques ensoleillées et les jeunes, sur les symptômes d'alerte et les facteurs de risque tels que les expositions prolongées, les peaux claires, et les antécédents familiaux.

. L'occasion pour chacun d'établir un diagnostic complet de sa peau ou de contrôler l'évolution d'un grain de beauté suspect.

Parrainée par le Ministère de la Santé et des Sports et par l'Institut National du Cancer (INCa), cette Journée Nationale a été également soutenue par Alexandre Caizergues, champion du monde de vitesse en kitesurf. Le sportif s'engage aux côtés des dermatologues pour sensibiliser les jeunes aux différents cancers de la peau et à la nécessité de réaliser un dépistage précoce pour prévenir la maladie.

Les usagers sont invités à téléphoner au 3113 (appel gratuit) ou à consulter le site dédié à la Journée Nationale de Prévention et de Dépistage des cancers de la peau pour accéder à la liste des centres de dépistage.
http://www.topsante.com/actualite/view/175629/Actus/Sportives-attention-au-cancer-de-la-peau